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90 % des eaux usées de la Capitale sont déversées sauvagement dans la nature ou dans les canaux d'évacuation, et ce, sans traitement au préalable, provoquant ainsi diverses contaminations et maladies. A travers un projet écologique, la Société municipale d'assainissement ou SMA (ex-SAMVA) lance le traitement des boues de vidange dans cinq sites situés à Antananarivo, à savoir Manjakaray, Anosibe, Anosipatrana, Ambatomaro et Tanjombe-Ambohimanarina. Ce projet a permis la composition, la collecte et le stockage des excréments prévoyant un système de traitement des boues, ce qui permet d'aboutir à une élimination ou une réutilisation sans danger, en produits dérivés autobloquants, en biogaz ou en engrais naturel.

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Nœud gordien !

Accouchement difficile ! Travail compliqué ! Gymnastique de grand écart risqué ! Le remaniement tant attendu devrait avoir lieu dans les prochaines heures. Des supputations vont bon train. Ce qui semble vrai c'est que les deux têtes de l'Exécutif, les seuls habilités à décider, se trouvent dans une situation difficile, compliquée et risquée. Tout porte à croire que l'opération s'avère des plus hasardeux.

Alternative fonctionnelle. La problématique des logements est liée à la migration, l’insécurité foncière, la pauvreté, l’insuffisance des infrastructures d’accueil et d’assainissement. Dans un contexte où 70 % des logements malagasy ne sont pas conformes à la norme internationale, la maison container tente de séduire le consommateur local. La maison container ou maison conteneur est un style de logement qui existe depuis 1990, mais qui est reconnue seulement depuis les années 2000.

 « Tana Design Week », l’événement phare consacré au secteur de l’artisanat, se déroule actuellement à la gare de Soarano. Etonnement, regards interrogateurs, chuchotements discrets… Cette exposition qui a donné son coup d’envoi vendredi dernier sublime les visiteurs et captive pas mal de public. Artisans, femmes d’Etat, étudiants ou simples visiteurs sont curieux de découvrir le travail des artisans et designers d’excellence de l’île, à l’instar de Le Crabe d'Or, Andrée Ethève, Domi Sanji, Nassara Design, Richianny, Sham'archi. 

Bonne nouvelle pour ceux qui souhaitent rallier la France. La Grande île est placée sur la liste verte de la France, celle des pays caractérisés par une faible circulation du coronavirus. Cette information est visible dans l'arrêté du ministre français des Solidarités et de la Sante daté du 12 mars 2022, modifiant l'arrêté du 7 juin 2021 identifiant les zones de circulation de l'infection du virus SARS-CoV-2, publié dans le Journal officiel de la République française du 13 mars 2022. 

Nouvelle prise pour les agents de la Police de l'Air et des Frontières (PAF) française à Mayotte. 55 ressortissants malagasy ont été interceptés à bord d'une embarcation clandestine dans le cadre d'une opération dénommée « Shikandra ». D'après les informations émanant de la Préfecture de Mayotte et relayées par des médias réunionnais, la PAF, guidée par le poste de coordination de l'action de l'Etat en mer et la surveillance aérienne, a pu intercepter l'embarcation à Saziley, situé au sud de cette île française. Ces passagers malagasy « tentaient d'entrer illégalement sur le territoire français », selon les mêmes informations. Un passeur aurait également été interpellé parmi les passagers.

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LA UNE DU 15 MARS 2022

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La une du 14 mars 2022

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Le navire tangue mais…

Il tient le coup. Le bâtiment Orange bascule mais il garde le cap ! Il tangue mais il maintient l’équilibre ! Les rafales des perturbations cycloniques semblent persister d’une autre façon. Des bisbilles frisant des enfantillages en interne, de vulgaires scandales sur la place publique et des frustrations mal gérées secouent l’immeuble et finissent par ternir l’image. En effet, le régime Orange du Président Rajoelina traverse en ces temps-ci une zone de turbulence.
Le premier semestre de l’année 2021 fut un tournant notable sur l’avenir de la majorité présidentielle en particulier dans la relation entre Exécutif et majorité à l’Assemblée nationale.  Une bataille rangée s’éclate. Députés IRD et des membres du Gouvernement détenant des départements-clés comme la Justice, la Sécurité, les Finances ou d’autres se tirent les oreilles en pleine session. Des parlementaires Orange se sentent frustrés. Ils accusent l’Exécutif d’ignorer leurs « demandes », entre autres, véhicule tout-terrain, etc. et règlent leurs comptes.
Le remaniement, quelque peu controversé, du 15 août pollue encore plus l’atmosphère. Un ministre nouvellement nommé, après avoir tout juste effectué la passation, dut se démettre illico. En cause, empêtré dans une affaire de malversation, il fut poussé à la porte. Un fait rarissime !
Deux femmes ministres appelées à collaborer étroitement dans un même Département se chamaillent honteusement. Idem pour deux ministres issus d’un grand ministère éclaté en deux n’arrivent pas à trouver le terrain d’entente. Etant entendu que leurs domaines d’actionrespectifssont interdépendants, ils finissent au contraire par se discréditer publiquement. Un autre membre de Gouvernement, n’a pu faire autrement que jeter l’éponge. Pour cause, mêlé dans une affaire de corruption de haut vol, il ne pouvait que s’éclipser. Des parlementaires de la majorité qui font trop parler d’eux compliquent la chose.Evidemment, les réseaux sociaux ne ratent pas et saisissent la balle au bond.
Cerise sur le gâteau, le mal ne vient jamais seul. Une formation politique membre dès le départ de la plate-forme, l’ARMADA,  soutenant le Président quitte avec éclat le navire. Le malaise existe !
Le navire portant pavillon « Orange » tangue mais attention, il ne chavire point. Le leader de la Révolution 2009, Chef de l’Etat en place, dispose toujours la carte maitresse en main. A un an et plus de l’échéance décisive pour le second mandat, Rajoelina Andry, très conscient du danger qui guette, entreprend à redorer le blason. Il lui faudra un second souffle. De toute manière, il n’est jamais tard pour bien faire ! Tout le monde, membres de l’équipage, anciens et nouveaux, doivent impérativement, resserrer les rangs.
Ndrianaivo





Après l’Egypte et le Gabon, Madagascar est le troisième pays membre de la confédération africaine de pétanque suspendu par la Fédération internationale de pétanque et jeu provençal (FIPJ). La sanction a été annoncée par le président de la FIPJ, Claude Azema en personne aux autorités malagasy.
Cette suspension signifie que Madagascar ne pourra pas participer aux prochains championnats du monde, individuel, doublette féminin masculin et doublette mixte qui se tiendront du 12 au 15 mai 2022 à Karlslunde au Danemark ainsi qu’aux jeux mondiaux prévus à Birmingham (USA) du 7 au 17 juillet. Pire, la FIPJ a annoncé que Madagascar, pays hôte des Jeux des îles de l’océan Indien 2023, ne pourra pas aussi se présenter à la discipline pétanque.
La raison des sanctions est que Madagascar n’a pu payer ses divers frais lors des championnats du monde de pétanque de Barcelone en novembre dernier. La somme impayée reste encore indéterminée mais d’après le président de la Fédération malagasy de sport boules (FSBM) Amir Andrialemirovason  « Tous les frais d’hébergement de la délégation durant le séjour à Barcelone restent impayés. La liste est longue, si je ne cite que les billets d’avion, les divers frais de dossiers, de visa, de transport, qui ont été avancés par des particuliers,… Jusqu’ici, seuls les billets d’avion ont été remboursés par le ministère. Mais en ce qui concerne notre hébergement, c’est la FIPJ qui s’est engagée à le payer», explique le numéro un de la FSBM qui n’a pas mentionné la somme non payée. Et il a avancé que des pourparlers avec les ministères de la Jeunesse et des Sports sont prévus la semaine prochaine pour trouver une issue à ces problèmes de sanction.
La Grande île est donc suspendue pour une durée d’un an jusqu’à régularisation de la situation. Du côté d’Ambohijatovo, les responsables confirment que la facture venant de la FIPJ n’est parvenue au ministère que vers début décembre. Le retard sur le déblocage de l’argent en question ne dépend pas du ministère de tutelle. Pourtant, la FSBM réplique que les dossiers nécessaires ont déjà été déposés à Ambohijatovo un an avant le départ et que la somme a aussi été déposée mais le déblocage a connu un retard.
« 4 mois après… le Gouvernement malagasy n’a toujours pas versé l’argent promis à la Fédération malagasy du sport boules …, pour régler les frais de séjour des équipes présentes », relate la FIPJP dans une lettre officielle datant de vendredi 11 mars.
Le même communiqué précise dans un paragraphe plus bas que, « seuls ont bizarrement été réglés sur place les séjours de M. le ministre des Sports, M. Hawel Mamod’ali qui n’a jamais manifesté sa présence, et de sa directrice des sports, Mme Rosa Rakotozafy… ».
Ce même problème est déjà survenu à l’équipe nationale malagasy lors du championnat du monde junior et dame au Cambodge en 2019. C’était le président par intérim de la FSBM, feu Dolys Andriamihaja qui a payé de sa poche toutes les dépenses de la délégation, qui restent impayées jusqu’à ce jour.
Elias Fanomezantsoa


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Editorial

  • 7 février 2009
    Seize ans après, la flamme demeure vive ! La flamme de la mémoire et surtout de la douleur reste allumée ! Plusieurs personnes sont décédées. Le sang a coulé. Drame, on n’est pas jusqu’à présent en mesure d’identifier ni de dresser exactement le nombre des victimes ! Seize ans après, les proches et les amis des victimes attendent toujours des nouvelles de leurs siens. En effet, le bilan reste malheureusement et curieusement du domaine du mystère. Quand est-ce qu’on l’aura élucidé cette triste et douloureuse affaire ?

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