La porte-parole du Gouvernement réaffirme la solidarité dans les rangs des personnalités pro – régime. Une réponse qui intervient face aux informations relatives à une prétendue guerre intestine qui secoue le camp des dirigeants. « Parler de guerre interne au sein des dirigeants est totalement faux et je le conteste fortement », a indiqué Lalatiana Andriatongarivo, au cours de l'émission hebdomadaire Tsy ho tompon-trano mihono, diffusée, hier, sur les stations publiques audiovisuelles du pays. La majorité donne actuellement un grand sentiment de désordre, selon certains observateurs de la vie politique et ce, en se basant notamment sur des discours ambigus et des comportements qui pourraient porter à un quiproquo certaines personnalités fortes des soutiens du camp présidentiel.
La présidente du Freedom, un parti politique membre de la coalition soutenant l'actuel Président de la République, Lalatiana de parler de certains points de vue qui ne sont peut-être pas les mêmes. Les divergences d'opinions existent selon elle « partout à travers le monde » mais ne signifie pas qu'il y a une guerre.
Appel à plus de retenue
A entendre la ministre, certaines manières de communiquer ses idées pourraient faire penser à une lutte interne. Une conclusion hâtive qui relève pourtant de supputations selon toujours la ministre et qui pourrait être volontairement véhiculée voire mise à profit par certains détracteurs du régime dans l’unique but d’affaiblir le camp présidentiel. Aussi, ce membre du Gouvernement estime qu'il faille peut-être revoir la manière de formuler les idées par les personnalités concernées. « Peut-être faut-il plus de retenue et de précaution dans la manière de s'exprimer car vous êtes dans le camp des dirigeants », estime également l'ancienne chroniqueuse politique qui semble s’adresser à certaines figures qui ont été au centre des polémiques ces derniers jours.
Elle consent en effet à dire que certaines critiques issues de soutiens du pouvoir actuel sont parfois légitimes. Des critiques qui, selon la porte-parole du Gouvernement, devraient être formulées avec intelligence pour « ne pas avoir des conséquences pour le pouvoir que vous prétendez soutenir ». La confusion qui résulterait de certains commentaires pourrait notamment nuire à l’autorité du Président de la République et plomber la suite de son quinquennat. Le message est lancé !
La Rédaction
Une jeune femme de 18 ans et un homme de 23 ans furent arrêtés par les fins limiers de la brigade des stupéfiants de la Police à Anosy vers 6h du matin, jeudi dernier à Ambatofotsy. Motifs : trafic et usage d’héroïne. Ce service de police aurait été informé au préalable sur les agissements des concernés. Ses éléments dépêchés à l’endroit ont alors tendu un piège dans lequel les suspects sont tombés, c’est-à-dire surpris en plein trafic.
Et comme pièces à conviction, les deux suspects avaient encore quatre paquets de cette drogue particulièrement dangereuse que néfaste sur eux. De même, ils avaient également du matériel tel qu’une balance. Aussitôt, les Forces de l’ordre les ont embarqués au bureau de la Police pour enquête. Dans leurs aveux, les concernés de dire qu’ils se procurent le paquet à 2000 ariary pour le revendre ensuite à 2500 ariary. Et qu’ils font ce trafic depuis le mois de décembre 2021 avec la complicité du beau-frère de la jeune femme en cause. Cette dernière serait la démarcheuse d’héroïne dans la localité d’Ambatofotsy et qu’elle réussit à écouler 50 paquets presque quotidiennement.
Parallèlement à cela, les éléments du commissariat du 2e Arrondissement ont interpellé un jeune suspect de 17 ans dans les parages du stade de football à Ambohimiandra, hier matin. En cause, le suspect était surpris en pleine prise d’héroïne. Du coup, l’adolescent fut arrêté. Lorsque la Police l’avait emmené au commissariat pour l’auditionner, le jeune homme avait aussi une seringue sur lui. Comme ses deux homologues d’Ambatofotsy, l’adolescent aurait dû être déféré au Parquet d’Anosy, hier.
Franck R.
Enfin ! Le ciel de Madagasikara rouvre ! Le Conseil des ministres réuni ce mercredi 23 février décrète la réouverture du ciel malagasy à partir du 5 mars. Et cela, grâce à la baisse significative des chiffres des contaminés et des décès de la Covid sur tout le territoire national. Désormais, tous les trafics aériens, maritimes et terrestres pourront avoir lieu. L’espoir est de nouveau permis. En effet, un grand ouf de soulagement et d’espoir à tous les opérateurs !
Rappel des faits. Le 20 mars 2020, un jour de vendredi au soir, le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina annonçait aux antennes nationales (radio et télévision publiques) que le virus, tant redouté, de la Covid-19 débarque au pays. Trois cas positifs importés ont été détectés à l’aéroport international d’Ivato. Immédiatement, la première mesure qui s’impose fut le confinement total. Ainsi, le Gouvernement malagasy ordonnait la fermeture sine die du ciel du pays à tout trafic aérien sans distinction.En dépit des appels de détresse des opérateurs évoluant dans le tourisme, le Gouvernement fut intraitable à toute tentative de réouverture des frontières. Il fallait attendre la « Rencontre avec les entrepreneurs francophones, belges et marocains » à l’Hippodrome Longchamp à Paris (France), au mois d’août 2021, à laquelle Madagasikara fut convié avec les honneurs pour que les choses commencent à bouger. En effet, acculées et dos au mur, les autorités du pays ont concédé à la réouverture du trafic aérien à partir du mois d’octobre 2021. Encore faut-il l’admettre qu’il s’agissait des vols limités impérativement au trafic vers et en provenance uniquement de Paris.
Devrait-on faire état, en marge de la situation critique causée par la fermeture du trafic aérien, de la problématique du cas de la Compagnie nationale Air Madagascar. L’ancien fleuron de l’économie nationale agonise ! Bien avant que la pandémie de la Covid-19 atterrisse au pays, Air Mad se trouve déjà en état végétatif et malgré les efforts entrepris, elle ne parvient pas à surmonter ses problèmes. La lenteur de la prise décision au niveau des autorités s’explique en partie par la crise apparemment irrésolue de la Compagnie.
L’économie nationale subit de plein fouet les impacts destructifs du confinement, en général, et de la fermeture des portes du pays en particulier. Aucune économie, quel que soit le choix appliqué, ne résiste ou ne subsiste point dans un système en vase clos.Le tourisme en est le premier secteur le plus durement touché. En 24 mois et plus d’inactivité sinon coincé, ce secteur hautement générateur de devises s’agenouille et même sur le point de rendre son âme. Pour tout dire à quel point la décision gouvernementale de rouvrir le ciel malagasy arrive à point nommé.
Les opérateurs s’apprêtent, ainsi, à démarrer en … trombe leurs activités. D’autant que la mise à flot de ce secteur à fortes potentialités exige un minimum de temps de préparation allant de trois mois à un an. Il faut bien rattraper les retards et les gaps encaissés. Les manques à gagner s’élèvent à des milliards d’ariary.
La réouverture totale des frontières intéresse toutes les activités économiques du pays. Il est grand temps que la machine tourne !
Ndrianaivo
Projet d'acquisition des équipements de la Fédération de Karaté-Do de Madagascar. Le Gouvernement du Japon, ayant répondu à l’appel de la Fédération de Karaté-do de Madagascar pour financer l’acquisition complète des équipements de karaté, a décidé d’octroyer le financement. Ceci entre dans le cadre du programme de coopération du Japon intitulé « Dons aux micro-projets locaux contribuant à la sécurité humaine ».
La Fédération de Karaté-Do de Madagascar est l’organisation nationale du Karaté-Do dans la Grande île née en 2001 et depuis lors elle a toujours fait ses efforts pour la promotion de l’art martial japonais à travers divers championnat, concours, stage, répétition, etc.
L’instance nationale de karaté regroupe actuellement 7 400 pratiquants licenciés. Cependant, elle ne dispose pas assez de matériels et ne se permet pas de mettre en œuvre les esprits bien motivés chez les karatékas malagasy.
Les efforts fournis par le président de la Fédération de Karaté-Do de Madagascar (FKMD), Solofo Barijaona Andrianaivomanana, et son staff pour le développement du karaté ne passent pas inaperçus et se voient finalement récolter leurs fruits.
Le Gouvernement du Japon prendra en charge l’achat des équipements nécessaires pour l’activité de la Fédération de Karaté-Do de Madagascar en fournissant des tatamis, kimonos, matériels de karaté, scoreboards électriques,…
La signature du contrat de don d’une valeur de 29 769 euros, soit l’équivalent de 125 millions d’ariary, s’est déroulée à l’Hôtel Le Louvre entre M. Higuchi Yoshihiro, ambassadeur du Japon à Madagascar et Solofonirina Barijaona Andrianavomanana, président de la Fédération. Tout s’est déroulé en présence des représentants du ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS) et du Comité olympique malagasy (COM).
Entre autres ces équipements, c’est le Gouvernement japonais qui prend en charge leur achat. D’après Yoshihiro Higuchi, ces matériels arriveront au pays en juin prochain.
E.F.
La barre symbolique des 100 dollars a été franchie pour le prix du baril de Brent depuis le début du conflit entre l’Ukraine et la Russie. Ainsi, les conséquences sur les prix du pétrole ne se sont pas fait attendre en s’établissant à 103,43 dollars, soit une hausse assez spectaculaire de 6,81 % par rapport à la veille. Une hausse vertigineuse dans la mesure où la Russie est le deuxième exportateur mondial de pétrole après l’Arabie Saoudite. L’offre russe de pétrole pourrait donc disparaître du jour au lendemain, dans un contexte où la production de pétrole est déjà insuffisante pour répondre à la demande mondiale.
Mais au-delà de la situation en Ukraine, les prix du pétrole sont en forte augmentation depuis le début de l’année 2022. L’offre reste toujours faible face à une demande mondiale plus forte que prévue en raison de la croissance économique. Les pays de l’OPEP vont avoir du mal à produire davantage pour compenser, sachant qu’ils peinent déjà à tenir leurs objectifs actuels de production. Cependant, il n’y a encore rien à craindre pour le moment et tout dépendra de la durée du conflit, selon les responsables au sein de l’Office malgache des hydrocarbures (OMH). Ces derniers rassurent que pour le moment, l’approvisionnement s’effectue habituellement et que les stocks sont suffisants pour assurer la consommation de carburant sur l’ensemble du territoire.
Regards tournés vers Téhéran
Selon certains analystes, le prix du pétrole devrait rester au-delà des 100 dollars le temps que des sources alternatives majeures soient disponibles. Les regards se tournent notamment vers Téhéran. Si un accord sur le nucléaire iranien venait à être conclu, l’Iran serait de nouveau en mesure d’exporter son or noir. Davantage de pétrole serait alors disponible sur les marchés, ce qui pourrait limiter la hausse des prix. Mais pour le cas de Madagascar, le prix reste inchangé depuis 2018 où l’Etat a conclut une « entente » avec les pétroliers. L’Etat annonce des prix, réduits de 100 ariary par litre pour le supercarburant, 150 ariary pour le gasoil et 500 ariary pour le pétrole, par rapport aux prix fixés depuis décembre 2018. Les statistiques de l’OMH remontant à 2009, affichant un prix à la pompe en ascension et en yoyo, presque tous les mois, et ce, toujours indiqués, dépendent de nombreux paramètres (valeur de l’ariary, prix du baril).
Les prix réels du carburant, prenant en compte toutes les charges logistiques et des coûts d’approvisionnement, ont par contre, toujours été estimés comme « trop élevés » pour les consommateurs malagasy. Les prix ne sont jamais stables. L’Etat gère ainsi les prix suivant une structure de référence fixée par voie règlementaire, avec le pouvoir d’achat des Malagasy en filigrane. Avant cette entente entre l’Etat et les pétroliers, les ajustements automatiques entrepris par l’Etat ont modifié les prix à chaque début du mois. Toujours est-il que la hausse ou la baisse des prix ne se profile pas à l’horizon.
Hary Rakoto
Rajoelina de retour au pays
Après avoir assisté activement, à la tête d’une délégation, au VIème sommet UE-UA à Bruxelles (Belgique), le Président malagasy mit le cap sans tarder sur Antananarivo. En proie à des situations urgentes et complexes, le pays a besoin d’urgence la présence effective sur terrain de son Président. L’organisation générale de la réponse aux perturbations atmosphériques, la direction des affaires nationales et certains dossiers chauds attendent la présence du Chef de l’Etat au pays. 48 heures après son retour, Andry Rajoelina a pris la direction de l’Est de l’île pour être au chevet des populations victimes des intempéries qui se sont succédé dans la région de l’océan Indien.
La Banque mondiale à Iavoloha
Avant de reprendre son périple dans le pays, le Président Andry Rajoelinaa reçu au Palais d’Iavoloha, une délégation de la Banque mondiale dirigée par Idah Z.Pswarayi Riddihough, la directrice des opérations pour les Comores, Maurice, Madagascar et Mozambique. Au centre des discussions, la revue des projets financés par la Banque mondiale et les axes de coopération pour l’année 2022 ainsi que les pistes de coopération avancées par Madagascar dont l’obtention d’un aval de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA) pour le financement de l’hôpital de la nouvelle ville.
Emnati atterrit
Le énième cyclone tropical, le cinquième du genre, touche la terre ferme et frappe durement les côtes Est et Sud-est de la Grande île dans la nuit du lundi 21 au mardi 22 février. Alors que le pays se débat encore pour se débarrasser des dégâts laissés par Batsirai que voilà un autre débarque et aggrave la facture.
Marie Michèle Sahondrarimalala réagit
La ministre de l’Education nationale sort de son silence. Marie Michèle Sahondrarimalala remet le parlementaire à sa place. Connue par son caractère discret, le patron de la « Trano boribory » n’a pas pu garder le mutisme devant une injure qu’elle juge inacceptable vis-à-vis du Corps Enseignant. Elle met les points sur les « i » à qui veulent l’entendre qu’il ne faut jamais maltraiter ni manquer de respect envers l’enseignant. A elle de rappeler la noblesse et la délicatesse du rôle de l’enseignant à qui tout le monde, du moins ceux ou celles qui ont passé sur le banc de l’école, lui doit la redevabilité ne serait qu’en termes de respect.
Autoroute Antananarivo - Toamasina
Feu vert pour l'enquête publique de commodo- incommodo. Dans les plans depuis quelque temps, l'autoroute reliant Antananarivo à Toamasina prend forme petit à petit. L'Exécutif approuve le lancement de l'enquête administrative, publique, parcellaire de commodo incommodo pour le projet de construction de l'autoroute reliant Antananarivo à Toamasina. Cette enquête est une étape préalable réalisée par l'administration avant de faire des déclarations d'utilité publique. Cette autoroute reliant la Capitale à la ville du grand port doit être longue de 265 km contre 360 km à l'actuelle RN2 et passera par Ambatondrazaka. Avec cette autoroute de 256 km, Tanà-Tamatave se fera en 3h au maximum. L’autoroute prévoit un trajet plus court et sera donc bénéfique pour les entrepreneurs. Un projet qui fait tout simplement suite à l’extension du port de Toamasina.
Nouvel arrivage. Nombreux sont ceux qui veulent rénover leur intérieur ou offrir des cadeaux à leurs proches. La société Baolai pense à eux, tout en répondant à l’attente du public. « Un nouvel arrivage de panneaux solaires mono et polycristallins est déjà disponible dans tous nos showrooms sis à Analakely, Soarano et Bazar-be Toamasina. Aussi, la promotion cadeau continue sur nos Smart TV et téléviseurs Led de marque Jeyoo et Hisense, disponibles entre 32 et 85'', avec un an de garantie, et ce jusqu'à épuisement des stocks. Nos appareils électroménagers sont tous de premier choix, et dédiés à tout type de budget et de goût », avance un responsable.
Tous les écrans plats de cette grande enseigne sont affiliés à des marques de renom, à l'instar de Hisense, sponsor officiel du Mondial 2022. A Madagascar, la société Baolai est le distributeur officiel de la marque depuis maintenant 12 ans. A part cela, on y trouve aussi divers appareils tels que des synthétiseurs, fers à lisser pour cheveux, cuisinières à gaz et électriques, amplis-baffles et subwoofer rechargeables, fours à micro-ondes, réfrigérateurs et amplificateurs. Les détails sont à découvrir sur le site web et sur la page Facebook de Baolai, ou en téléphonant au 020 22 605 88 et 020 22 308 48 aux heures de bureau. Le reste de cette année 2022 sera haut en couleur avec les diverses offres proposées par cette société.
P.R.
Le grand jour approche à grand pas. Pour la première fois, la ville des mille abritera un événement riche en créativité dans toute sa splendeur. Ce sera du 11 au 19 mars prochain à la gare de Soarano. « Tanà Design Week », un événement initié au sein du Conseil consultatif pour la culture et les arts auprès de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA), conçu par Domi Sanji, coordonné par Ihoby Rabarijohn, Imke Plinta, piloté par Johary Constellation et placé sous le patronage du maire d’Antananarivo. Neuf jours qui permettront à chacun une opportunité de voir et de s'approprier de la richesse créative malagasy à travers une exposition et vente de produits sélectionnés par des créateurs. « Cette édition se distinguera par la conception de mobiliers urbains. C’est-à-dire, impliquer les habitants d’Antananarivo pour qu’ils s’approprient de leur ville à travers la conception participative de mobiliers urbains tels que les abribus, mobiliers pour le marché, taxiphones, etc. Nous incitons ainsi tout un chacun à y participer », déploient les organisateurs. Pour cette première fois, les organisateurs ont choisi d’exposer sur le thème « Il était mille et un objets... manga » qui fait écho à Iarivo et à l'excellence, à la ville des mille jadis Analamanga. Il s’agit d’un événement jugé de grande envergure puisqu’il réunira des acteurs majeurs du design et de l'artisanat d'excellence de l’île, à l’instar de Le Crabe d'Or, Andrée Ethève, Domi Sanji, Nassara Design, Richianny, Sham'archi. Ces créateurs vont exposer une sélection de leurs productions personnelles.
Contribution
Les organisateurs tiennent à apporter du développement dans le secteur du design, à partir d’une ouverture d’un établissement. « On a constaté qu’il y a une manque de formation en matière de design à Madagascar. On envisage d’ouvrir une école de design à partir du niveau "Licence" pour épanouir cette secteur », indique Domi Sanji, initiateur et commissaire général du projet. En attendant, pour cette première édition, la programmation du « Tanà Design Week » sera riche, car en plus de l'exposition du travail des designers, des tables rondes et des conférences auront lieu afin d'appréhender les mille et une possibilités que permet le design. Un atelier visant à développer avec les habitants d'Antananarivo, des mobiliers urbains en phase avec leurs usages et leurs identités culturelles prendra place également au sein du lieu d'exposition. A noter que le Collectif de recherche-action, Johary Constellation a représenté Madagascar en 2020 à Lille Métropole/Capitale mondiale du Design, au Porto Design Biennale 2021 et participe régulièrement à des recherches internationaux. Les organisateurs prévoient de faire de « Tanà Design Week » un événement annuel du design et de considérer Antananarivo comme Capitale culturelle.
Sitraka Rakotobe
A un mois du regroupement de nos Barea U23, en vue de la préparation des éliminatoires des J.O 2024, le staff de l'association UFICASM a établi une liste d'une quarantaine de joueurs binationaux pour la préparation de la qualification olympique Barea U20 et la CAN U23 voire la préparation de la relève pour le Mondial 2026.