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Relance progressive du secteur. « Le tourisme a été l'un des secteurs les plus touchés de l'économie en raison de la pandémie de Covid- 19 dans tous les pays, y compris l'Inde et Madagascar. Alors que nous surmontons les défis que nous a lancés la pandémie au cours des deux dernières années, l'ambassade de l'Inde à Madagascar prend l'initiative de promouvoir le tourisme entre l'Inde et Madagascar ».

Rassurant, Germain, le directeur général des impôts s’est tourné vers les opérateurs privés, hier, à la Chambre des commerces et des industries d’Analamanga, à l’occasion du dialogue public-privé organisé pour l’élaboration de la prochaine loi de finances. En ce qui concerne la partie concernant la suppression des avantages fiscaux des entreprises franches, le premier responsable du Fisc a tenu à mettre les point sur les « i ».

L’ambianceur est dans nos murs. Ca y est, l’un des patriarches du monde du DJ surnommé Dj Dina, qui réside en France, est arrivé dans la Grande île, le week-end dernier. Il est parmi nous pour la grande tournée qu’il a peaufinée depuis déjà quelques mois. Pour son entrée en scène, Dj Dina a choisi de visiter Mahajanga où il donnera deux rendez-vous inédits.

Des conclusions alarmantes ! Tel se résume le 6ème rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) intitulé : « Changement climatique 2022 : impacts, adaptation et vulnérabilité ». Dans un communiqué hier, le WWF (Fonds mondial pour la nature) à Madagascar attire l'attention sur ledit rapport qualifié de « véritable appel de détresse ». En effet, les conclusions du Groupe d'experts portent sur 4 grands axes importants dont l'injustice climatique à laquelle les régions les plus pauvres du monde, à l'instar de Madagascar, sont sujettes. 

L'orage qui s'est abattu, mardi après-midi sur la Capitale, a fait des victimes dans différents points d'Antananarivo, mais également de ses environs. C'est le cas de cette écolière de 10 ans qui avait été entraînée par les torrents à Ambatomaro. Le drame est survenu peu de temps après la sortie des classes et où la petite se trouvait en chemin qui doit mener chez elle, bravant ainsi le danger qui l'avait guettée.

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LA UNE DU 03 MARS 2022

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La une du 2 mars 2022


L’Association des médiateurs culturels au niveau du Centre de ressources des arts actuels de Madagascar (ADMC-CRAAM), sise à Ankatso, a lancé l’ouverture de l’inscription pour une résidence de formation en montage de spectacle « voix et mouvement », s’adressant à tous les danseurs de différents styles, aux slameurs ainsi qu’aux comédiens. Cette initiative a comme objectif  d’apprendre et de maîtriser le processus de création d'un spectacle de danse ou encore de théâtre avec la chorégraphe et metteuse en scène de renom, Jessica Henou. En effet, la résidence a ouvert ses portes depuis dimanche dernier. La formation se fait en 4 phases biens distinctes, notamment la préparation c’est-à-dire la recherche de connaissances, l’exploration de différentes pistes, l’incubation ou la combinaison et la synthétisation des  différents éléments, et enfin la vérification d’une réponse par rapport à une thématique ou une problématique initiale.
Acquis
Cette formation est une occasion pour les danseurs et comédiens qui participent à cette résidence d’acquérir la capacité d’élaborer un spectacle de danse et de théâtre à partir de différents processus de création. A l'issue de cette formation, les artistes participants acquerront la capacité à produire de nombreuses idées à partir d’un stimulus, ainsi que la capacité d’associer, combiner et synthétiser différents éléments au sein d’une œuvre. A noter que l’apprentissage des voix et mouvement, l’écriture textuelle et gestuelle, l’écriture du plateau et la dramaturgie sont les éléments de base de cette résidence. Cette formation entre toujours dans l’objectif de l’ADMC-CRAAM qui œuvre dans la structuration, la professionnalisation et la valorisation du secteur artistique malagasy, tout en offrant à ces artistes et acteurs culturels une visibilité accrue. La résidence se poursuivra jusqu’au vendredi 4 mars et se terminera par la restitution des artistes.
Sitraka Rakotobe



Le communiqué rendu public par la délégation de l’Union européenne à Madagascar avant-hier continue de faire parler dans les salons huppés de la Capitale. Ce communiqué fait état notamment d’une démarche conjointe de la communauté internationale à Madagascar sur l’agression de la Fédération de Russie contre l’Ukraine. Une démarche présentée au ministre des Affaires étrangères Patrick Rajoelina, demande sans aucune pincette à Madagascar de clarifier sa position dans le conflit en Ukraine et de le communiquer publiquement. Les parties à cette initiative attendent par ailleurs que Madagascar se joigne à leur prise de position en soutenant une proposition de résolution de l’Assemblée générale des Nations unies, condamnant les actions russes, et qui devrait être soumise au vote ce jour. Pour motiver leur démarche, la délégation de l’UE, l’Allemagne, la République de Corée, les Etats-Unis, la France, le Japon, la Norvège, le Royaume-Uni, brandissent le respect du droit international, dont la Charte des Nations unies. Par exemple, les Occidentaux accusent la Russie de violer l’article 2 de la Charte des Nations unies, intimant à leurs membres de s’abstenir de menace et de recours à la force pour régler une crise. Ils mettent aussi en avant le respect de la souveraineté et l’indépendance de l’Ukraine.
Des arguments et une pression sur Madagascar qui ont fait tiquer plusieurs observateurs malagasy. Ces derniers de soutenir que, sur le principe, « encourager » Madagascar à prendre position sur la base du droit international dont la Charte des Nations unies, la souveraineté ou encore l’indépendance d’un pays, tout le monde est d’accord. Cependant, il faudrait que ces pays encouragent aussi à ce que ces principes soient respectés par tous les Etats. Et de déplorer à cet effet que nombre de résolutions des Nations unies sont et demeurent encore aujourd’hui non respectées. Pour ne citer que celle concernant les îles Eparses de Madagascar. Faut-il ainsi rappeler que le 12 décembre 1979, une résolution a été adoptée par les Nations unies, enjoignant au « Gouvernement français d’entamer sans plus tarder des négociations en vue de la réintégration des îles Glorieuses, Juan de Nova, Europa et Bassas da India, qui ont été séparées arbitrairement de Madagascar ». Cette même année, l’ONU avait invoqué, en faveur de Madagascar, « la nécessité de respecter scrupuleusement l’unité nationale et l’intégrité territoriale d’un territoire colonial au moment de son accession à l’indépendance ». Une résolution qui est restée sans suite. La France a adressé une fin de non-recevoir à cette résolution non contraignante. Un sujet qui n’est jamais revenu à l’ordre du jour des Nations unies pour des raisons inconnues.
La Rédaction



Quelques semaines après le passage des cyclones Ana et Batsirai dans le pays, les sites d’hébergement de la Capitale sont tous vides. Les sinistrés ayant été hébergés dans les sites mis en place par la Commune urbaine d’Antananarivo et le Bureau national de gestion des risques et de catastrophes (BNGRC) sont déjà rentrés chez eux. Il faut savoir que l’accueil au niveau de ces endroits est limité pour une quinzaine de jours en général. La plupart de ces gens ont déjà repris leurs activités quotidiennes, tandis que d’autres n’ont pas encore nulle part où aller. « Même si nous n’avons plus rien, on préfère rentrer chez nous afin de pouvoir réparer notre maison avec les planches et tôles que nous avons déjà achetés avec le peu d’argent que nous gagnons chaque jour », soutient Eulalie, habitant à Andranomahery.
Malgré les pluies diluviennes qui se sont abattues ces derniers jours, aucune menace n’est encore à craindre dans la ville des mille, en particulier la montée des eaux. Par contre, dans les autres Régions, 43 602 personnes issues de 9 834 ménages sont déplacées dont le plus grand nombre a été recensé dans la Région d’Atsimo-Atsinanana avec 21 977 personnes. Elles sont encore hébergées dans les 92 sites répartis dans plusieurs Régions de Madagascar, à savoir Amoron’i Mania, Androy, Anosy, Atsimo-Andrefana, Fitovinany, Ihorombe, Matsiatra-Ambony, Sofia, Vakinankaratra et Vatovavy.
Par ailleurs, les activités d’urgence entamées par le BNGRC se poursuivent encore. Dans le District de Mananjary, une équipe est déployée pour la distribution de repas chauds pour les sinistrés, tandis qu’une autre a été dépêchée à Manakara afin d’évaluer la faisabilité de la distribution d’aide alimentaire après le passage du cyclone Emnati. Une équipe médicale polonaise est également arrivée à Manakara et Vohipeno. Dans le cadre de la riposte Batsirai mais dans la zone affectée par Emnati, l’Office national de la nutrition (ONN) a distribué de la farine enrichie pour les enfants et les femmes enceintes dans les Districts de Mananjary, Manakara, Vohipeno et Ifanadiana. Par ailleurs, un hélicoptère Mi-8 d’une capacité maximale de 20 passagers ou 2,6 tonnes a été déployé pour acheminer des aides d’urgence dans quelques localités de Mananjary.
Anatra R.

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Editorial

  • Mission délicate
    Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) change de main. Le suspense sur celui ou celle qui va assurer le relais pour succéder à Sahondra Rabenarivo prend fin. Jean Louis Andriamifidy, magistrat de son état, a été nommé président du CSI par le Conseil des ministres du 19 avril. Il va tenir les rênes de cet organisme public ayant la haute charge de veiller à la bonne marche de la Nouvelle stratégie de la lutte contre la corruption à Madagasikara. Sahondra Rabenarivo, juriste de classe internationale, sortante de la célébrissime université privée américaine Harvard (School of law) – Cambridge, a été à la manette pendant 6 années, 2019 - 2025. Arrivée en fin de mandat, Sahondra Rabenarivo quitte la présidence du Comité après avoir milité, à bras-le-corps, contre ce fléau. C’est une citoyenne imprégnée de la conviction sur la nécessité de battre à plate couture la « bête »…

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