La nouvelle venant d’une ville de l’Est de Madagascar met en émoi la population toute entière. Il s’agit d’une ordonnance de placement provisoire d’un enfant de 7ans suite à une accusation de viol sur une fillette de 5ans. Sur les réseaux sociaux, un des membres de la famille du garçon accusé a balancé que celui-ci est actuellement incarcéré dans une prison de la localité. Cette mauvaise nouvelle inédite et honteuse est fortement commentée par les internautes.
Un recoupement auprès des sources proches du dossier confirme la situation mais elles précisent toutefois que l’enfant en question n’est pas emprisonné. D’après une de ces sources, le garçon ne se trouve pas dans la prison, c’est-à-dire dans l’enceinte du mur de sécurité, encore moins incarcéré dans une quelconque cellule. Il est placé sous la surveillance et l’autorité d’une enseignante, épouse d’un employé de la prison. « C’est cette personne qui l’héberge et le nourrit. Il peut jouer comme tous les enfants mais n’a pas le droit de quitter le lieu », explique la source. Elle précise que cette mesure a été prise pour éviter toutes agressions envers le garçon, de vengeance ou d’une justice populaire. C’est la liberté restreinte ainsi pour ce garçon de 7ans accusé de viol sur une fillette de 5ans en début de cette année et qui a connu des rebondissements avant que la situation se trouve dans l’état actuel.
Dans un premier temps, les parents de deux enfants se sont arrangés pour renforcer la surveillance de leurs progénitures respectives d’autant plus que le garçon aurait nié avoir effectué d’un tel acte. Mais quelques mois plus tard suite à des querelles, les parents de la fillette ont sorti l’affaire et l’ont portée devant le représentant du ministère de la Population sur place. Ils ont exigé le paiement d’un dommage de 2 millions Ar aux parents du garçon. Bien que la plainte déposée n’ait abouti dans le sens souhaité par les plaignants, ces derniers ont accepté un nouvel arrangement avec les parents du garçon. Un arrangement écrit noir sur blanc devant le représentant du ministère de la Population et signé par les parents. Néanmoins quelques jours plus tard, au début du mois courant, les parents de la fillette reviennent à la charge en déposant une plainte auprès de la Gendarmerie avec à l’appui un certificat médical.
C’est à la suite de cette énième plainte que les autorités ont sorti l’ordonnance de placement provisoire du garçon pour « sa sécurité » et en attendant l’aboutissement de l’enquête au fond.
La rédaction
« 73 % des jeunes en activité travaillent dans l'agriculture, une niche à saisir. 10 % s'activent dans l'industrie et 16 % dans les services. Seulement 2,5 % des jeunes sont des entrepreneurs. C'est pourtant possible de passer à une grande proportion, d'autant plus que des jeunes à partir de 20 ans sont déjà des entrepreneurs aguerris, si l'on tient compte des témoignages », avance Issa Sanogo, Coordonnateur résident du Système des Nations unies (SNU) à Madagascar.
52,7 % de la population malagasy se trouvent actuellement dans l’extrême pauvreté. L’Etat a donc décidé d’accroître l'accès des ménages extrêmement pauvres aux services de protection sociale. Et cela à travers la mise en place d’un projet de Filets sociaux de sécurité (FSS), coordonné par le ministère de la Population, de la Protection sociale et de la Promotion de la femme (MPPSPF), mis en œuvre par le Fonds d’intervention pour le développement (FID) et financé par la Banque mondiale.
Décision bien accueillie ! L'initiative du Gouvernement Ntsay sous la houlette du Chef de l'Etat Rajoelina ayant pris les devants de revoir à la hausse le salaire des agents de l'Etat et du secteur privé embaume le cœur. Une bouffée d'air que le commun des mortels du monde du travail apprécie au-delà de toutes les considérations.
Le terme « digitalisation » est devenu commun dans le monde de l’entreprise. Les dirigeants d’entreprise, les conférenciers, les pouvoirs publics et autres acteurs de l’économie l’utilisent fréquemment. Ainsi, à l’occasion de la célébration de la Semaine de l’Europe, une table ronde axée sur la digitalisation au service de l'environnement des affaires à Madagascar a eu lieu.
« En aucun cas, le ministère ne veut contrôler la gestion de l’Office malagasy des droits d’auteur (OMDA). Nous avons déjà envoyé aux artistes une proposition pour créer une société d’auteurs. Une société qui serait dirigée par les artistes à la place de l'Etat. Si cette proposition de loi est mise en place, le ministère de la Culture sera prêt à aider les artistes et à mettre en œuvre la dérogation de l'Etat à la gestion des droits d'auteur. Mais pour l'instant, comme l'OMDA est toujours sous la tutelle du ministère, la loi oblige ce dernier à gérer ces droits et à améliorer l’OMDA ».
Un programme chargé pour le Président Andry Rajoelina qui a visité deux régions, hier en une journée. Dans la matinée, le Chef de l'Etat a débuté sa visite par l'inauguration du Lycée « Manara - penitra » à Vohipeno (Région Fitovinany). L'établissement scolaire qui compte une douzaine de salles de classe s'ajoute aux centaines de lycées « Manara - penitra » construits par le régime actuel. Par la suite, le Président a inauguré la route pavée à Ambohimagnarivo.
Le président de la Haute Cour constitutionnelle est sorti de son mutisme, hier. Au cours d'une interview en marge d'une journée portes ouvertes, Florent Rakotoarisoa a tenu à mettre les points sur les « i » et répondre aux critiques proférées à son encontre par le Syndicat des enseignants-chercheurs et des chercheurs-enseignants.
Vers les premières heures de la matinée du 2 mai dernier, la Commune de Mangabe, à Foulpointe, District de Toamasina II, s'est réveillée avec deux cadavres entre les bras. Et pas tendre. Les deux corps sans vie d'un homme et d'une femme, visiblement morts de façon barbare, ont été trouvés dans une cabane d'habitation. La vision a horrifié les habitants. Le torse nu, l'homme était pendu à la volige de la maison avec une corde tandis que la dame couchée sur un lit.
Le défenseur latéral droit des Barea de Madagascar, Romain Métanire, ne sera pas parmi les joueurs pour le premier match de l’équipe nationale malagasy au mois de juin. Nicolas Dupuis, déjà en contact avec ses joueurs, vient d’annoncer la mauvaise nouvelle aux fans. Le numéro 20 des Barea, est blessé. Ainsi, il sera absent du groupe qui affrontera le Ghana et l'Angola début juin dans le cadre des qualifications pour la CAN 2023 qui aura lieu en Côte d’Ivoire.