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Désormais officiel. Le calendrier scolaire de 2020-2021 vient de sortir, suite à la validation de l’arrêté ministériel y afférent. « Ce calendrier se divise en 3 périodes, et non en trimestre. Une période peut être plus courte ou plus longue qu’un trimestre », explique Andriamiakatsilavo Raoniherijaona, Directeur général en charge de la pédagogie (DGP) auprès du ministère de l’Education nationale (MEN). Pour cette année donc, la première période se fera entre le 26 octobre et le 18 décembre, soit 2 mois et quelques, suivie par les vacances de Noël du 19 décembre au 3 janvier. Les élèves reviendront en classe le 4 janvier 2021 et ce jusqu’au 2 avril pour la 2è période. Celle-ci inclut les journées des écoles du 24 au 26 février et les vacances de Pâques, du 3 au 11 avril. Cette dernière pause scolaire a été écourtée d’une semaine, au lieu de 2, d’après le DGP. La 3è et dernière période de l’année scolaire se fera du 12 avril au 30 juillet 2021, soit plus de 3 mois. Les élèves auront une journée de pause le 13 mai, Ascension, et une autre le 24 mai, lundi de Pentecôte. Les grandes vacances auront lieu à partir du 31 juillet. « En tout, l’année scolaire 2020-2021 se composera de 37 semaines, dont une partie destinée pour les rattrapages du programme non achevée de l’année dernière », résume le DGP. Normalement, les élèves devraient passer 930 heures en classe, soit 27,5 heures par semaine. Ce n’était pourtant pas le cas l’année dernière, non seulement à cause de la suspension des cours liée au coronavirus mais aussi selon le calendrier fixé dès le départ.
Des organisations spécifiques
Effectif en hausse dans la plupart des établissements publics. La gratuité de l’éducation y a favorisée la ruée des parents vers les inscriptions. Par conséquent, l’effectif des élèves par classe pourrait nettement augmenter, d’autant plus que les infrastructures d’accueil restent limitées. Des organisations spécifiques pourraient ainsi s’imposer, à part le dispatching des élèves en groupes pour suivre les cours dans la matinée ou dans l’après-midi. Pour bon nombre d’établissements privés, cette répartition des élèves en groupes s’applique notamment pour le préscolaire et le primaire. « Nous avons pris cette mesure depuis la rentrée en septembre pour mieux respecter les mesures sanitaires, notamment la distanciation sociale. Les parents d’élèves en sont plus rassurés. Par contre, les élèves doivent quotidiennement faire des devoirs à la maison », nous confie la directrice d’un Collège privé sis à Bemasoandro Itaosy. Pour d’autres, les cours en classe se font 2 à 3 fois par semaine jusqu’à nouvel ordre. De retour en classe depuis quelques jours, la plupart des élèves des établissements privés s’attèlent jusqu’à maintenant aux rattrapages du programme non achevé l’année dernière. Le programme pour 2020-2021 débutera vers fin octobre ou au début novembre, selon les informations recueillies. Pour la majorité d’entre- eux, l’année scolaire prendra fin en juillet 2021.
Patricia Ramavonirina


Il y a 62 ans, jour pour jour, la Première République de Madagascar est née. Pour cette célébration ô combien historique, le Président Andry Rajoelina a fait le déplacement à Anahidrano, dans le District d’Antsohihy. Cet endroit est le village natal du premier Président de Madagascar, Philibert Tsiranana. A cette occasion, le Chef de l’Etat a rendu hommage au père de l’indépendance à travers un dépôt de gerbes sur la tombe où repose ce grand homme. La cérémonie a vu la présence du Premier ministre, Christian Ntsay, quelques membres du Gouvernement, des élus locaux, ainsi que des membres de la famille Tsiranana. Ces derniers ont montré leur gratitude face à cet hommage au père de l’indépendance. D’ailleurs, le Président Andry Rajoelina fut le premier Président en exercice qui est venu rendre hommage à Philibert Tsiranana.
Outre cette cérémonie, le Chef de l’Etat a honoré plusieurs évènements marquants dont la pose de la première pierre pour la mise en place d’une Centrale hybride photovoltaïque – thermique à Bekitrobaka, Ambalabe, dans le District d’Antsohihy. Cette infrastructure concrétise l’un des « Velirano » du Président en vue d’un accès à l’électricité pour tous. Cet ouvrage sera terminé d’ici la fin de l’année pour une production en électricité annuelle de 200 000 kW.
Des actions sociales au profit de la population
Dans le volet éducation, le Président a remis des kits scolaires aux élèves du ZAP Anahidrano afin de mieux les équiper pour débuter la nouvelle année scolaire 2020 – 2021. Les kits en question sont composés de tabliers, de cartables, de cahiers, de trousses, de gourdes. A cela s’ajoutent des « Rakibolana », dictionnaires bilingues en malagasy et français.
L’homme fort du pays a aussi inauguré le nouveau bureau de la direction régionale de la Police nationale de la Sofia. L’installation d’une telle infrastructure vise à permettre aux agents de police d’être plus proches de la population. Le Président a ainsi profité de cette inauguration pour donner des consignes en vue d’octroyer de meilleurs services dont une plus grande rapidité dans les interventions de la Police.
Sur un tout autre sujet touchant la crise sanitaire, le Chef de l’Etat a tenu à montrer le soutien de l’Etat à la population. 2138 personnes ont ainsi bénéficié de « Vatsy Tsinjo » dans l’enceinte d’un bureau administratif à Antsohihy. Pour cette première vague, plusieurs catégories de personnes ont été les bénéficiaires : enseignants dans des écoles privées, personnes âgées, transporteurs, commerçants, etc. Outre la lutte contre la pandémie de Covid-19, l’Etat n’a pas oublié d’adopter des stratégies pour améliorer les conditions sociales de la population.
Hier en début de soirée, le Président de la République a assisté à un meeting dans le cadre de la célébration de la fête nationale, au cours duquel il a notamment annoncé La réhabilitation prochaine de la route Antsohihy-Bealanana et celle reliant Antsohihy Befandriana Nord ainsi que l’envoi d’un pack entier d’engins de construction pour la réhabilitation des routes intercommunales dans la Région Sofia.  Le Président Rajoelina a annoncé la construction à Anivorano Antsohihy d’une université « manara-penitra » qui portera le nom du Président Tsiranana. La cérémonie a également été marquée par l’inauguration de la stèle commémorative du soixantième anniversaire du retour de l’indépendance à Madagascar par le Chef de l’Etat.
La Rédaction

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Ambition inavouée

A la demi-surprise quasi générale, le parti Malagasy Miara-Miainga (MMM) de Hajo Andrianainarivelo dépose ses dossiers de candidature pour les sénatoriales à Toamasina et à Antananarivo. Les observateurs de la vie politique nationale s’étonnent à moitié de cette démarche affichée de Hajo Andrianainarivelo. Dans un sens, il s’agit d’un secret de polichinelle. On s’attendait déjà à ce que cette formation franchisse le Rubicon pour se démarquer sinon désavouer ouvertement sa « grande famille » politique.
Hajo Andrianainarivelo fut parmi les tout premiers membres du Gouvernement nommés sur la Place du 13 mai en 2009. Au départ de la « Révolution », Hajo fit partie du cercle rapproché du leader du mouvement Orange. Il jouissait d’une confiance sincère auprès du jeune dirigeant Rajoelina. La preuve, il lui a confié un poste-clé, l’Aménagement du territoire et les Travaux publics, durant la Transition. En effet, Andrianainarivelo fut l’un des ministres inamovibles pendant toute la durée de cinq ans de la Transition. Hajo Andrianainarivelo était au secret des dieux des décisions.
Pour tout avouer,  Hajo Andrianainarivelo fut un compagnon de route et de lutte du jeune leader Orange.  Pour des raisons qui échappent au commun des mortels, lors des présidentielles de 2013, Hajo se démarqua de Andry et créa son propre parti, le MMM. Et il se présenta  et défia le poulain du MAPAR, le candidat n° 3 Hery Rajaonarimampianina. Ainsi soit-il, le chemin se séparait ! En fait, Hajo se caresse toujours discrètement l’ambition d’occuper le fauteuil de la magistrature suprême du pays. Son ancien compagnon de route de Chef d’Etat lui a refusé, jusqu’à la fin, le poste de Chef de l’Opposition à l’Assemblée nationale. Il errait dans le désert durant le règne de son ancien compagnon.
En 2018, Le MMM intégrait le groupe de base, l’ossature de l’IRD-IRK, soutenant le candidat Rajoelina. A la veille des élections sénatoriales, le MMM se pose en adversaire de la plateforme présidentielle dont il fait partie à part entière dans deux provinces (Antananarivo et Toamasina). Hajo abat les cartes et joue le « trouble-fête ».
 





La messe est dite. Le pouvoir a secoué la léthargie générale autour de la date du 14 octobre, la vraie « fête nationale malagasy » aux termes de l’ordonnance n° 60-062 du 20 juillet 1960. La République Malagasy était née le 14 octobre 1958. Hier, pour marquer le 62e anniversaire de cet événement à marquer d’une pierre blanche dans les annales de la jeune nation de l’océan Indien, les autorités ont organisé une série de manifestations à Anahidrano, Antsohihy dont est originaire le premier Président de la République Philibert Tsiranana.
Les habitudes collectives ne connaissent que la date du 26 juin comme jour de fête nationale. Voici ce qu’écrit Galibert Didier, un chercheur à l’université de La Réunion à ce propos : « Jusqu’à la fin de l’année 1972 subsiste ainsi un dédoublement de la fête aboutissant à minorer l’indépendance politique officielle au profit du début de la construction administrative de l’État, cependant que le renversement de la Première République se traduit, l’année suivante, par la disparition pure et simple de la journée commémorative du 14 octobre. Celle-ci est désormais banalisée au profit exclusif du 26 juin, qualifié de ‘fête nationale de l’indépendance’. La date de cette dernière est restée depuis inchangée, cependant que la stèle inaugurée par Philibert Tsiranana le 14 octobre 1959 est livrée aux détritus et aux graffitis. »
L’éducation citoyenne visant à inculquer cette donne dans la conscience des générations actuelles et futures relève d’une œuvre collective comme on a fait avec la lutte contre la Covid-19. Les chercheurs en sciences humaines et sociales, en particulier, ont leur mot à dire là-dessus. Leur intervention est sollicitée pour apporter de plus amples éclaircissements sur les faits historiques bien rangés dans l’inconscience commune durant ces décennies d’oubli.
M.R.

La transition énergétique du pays en route! Le Président de la République, Andry Rajoelina, a inauguré hier, la centrale hybride solaire-thermique d’Antsohihy. Cette nouvelle infrastructure est le fruit de la collaboration de la JIRAMA avec la société First Energy. Plus de 3 000 ménages de la région seront alors approvisionnés en électricité, grâce à cette centrale d’une puissance de 1,3 MW. Elle soulève ainsi d’un poids les problèmes d’électricité rencontrés dans la région. La centrale contribue également à l’augmentation de la production d’électricité. Il faut rappeler que le Gouvernement malagasy s’est donné comme objectif de doubler la production d’ici 2023, tout en assurant la transition énergétique du pays. Pour préserver l’environnement, Madagascar se détache petit à petit de l’usage des énergies fossiles et tend un peu plus vers les énergies renouvelables comme le solaire ou encore l’hydraulique. Ainsi, les deux partenaires comptent bien étendre la puissance de cette nouvelle centrale à 4,9 MW.
A cette même occasion, le Chef d’Etat a procédé à la pose de la première pierre de la future centrale de même type d’Anahidrano. Elle est prévue être opérationnelle en décembre, avec une puissance de 32 kW extensible jusqu’à 4,9 MW. 65 ménages abonnés de la JIRAMA vont en bénéficier directement. Outre la réduction de la pollution, l’avantage avec l’hybridation est la réduction du coût de la production d’énergie étant donné que le solaire assurera la production et l’alimentation le jour et la thermique la nuit.
A part Antsohihy et Anahidrano, d’autres localités seront les cibles du projet, à l’instar de Mananara, Ambilobe, Marovoay, Nosy Be, Sainte-Marie et Ambanja.
Rova Randria

Engagée comme elle est, et il n’y en pas plusieurs, le Professeur Vololontiana Hanta Marie Danielle, porte-parole du Centre de commandement opérationnel - Covid-19 Ivato, partage avec ces quelques lignes la manière dont elle a vécu sa mission dans la lutte contre la Covid-19 à Madagascar.

La Vérité (+) : En général, comment avez-vous vécu le rôle de porte-parole du Centre de commandement opérationnel - Covid-19 Ivato ?
Professeur Vololontiana Hanta Marie Danielle (-) : Il s’agit d’une expérience personnelle et professionnelle positive. Une sorte d’abnégation dissuadée par une patience, une confiance, une passion ainsi qu’une bonne grâce de Dieu. Certes, la pression en tant que porte-parole a été bien présente, notamment dans la gestion de statistiques qui requiert un grand professionnalisme. Avec les bagages intellectuels que j’ai acquis durant mon carrière professionnelle, j’ai tenu le coup avec fierté.
(+) : Qu’en est-il de votre état de santé ? Comment l’avez-vous préservé ?
(-) : A mon plus grand bonheur, je n’ai jamais été souffrante durant cette période d’environ 7 mois, même pas un quelconque signe de grippe ou encore de fièvre. Néanmoins, durant un certain temps, j’étais juste victime d’une rhinite allergique. En étant Professeur, je connais mon état de santé mieux que quiconque. De ce fait, aucun prélèvement en vue de dépister la présence du coronavirus ne m’a été fait. Par contre, ma famille et moi, nous nous sommes bien protégés du virus en dormant 5 heures de temps en moyenne, en consommant également de l’alimentation saine. Et le plus important a été le respect à la lettre des gestes de barrières sanitaires. Le week-end, j’essaie un peu de faire de la randonnée ou s’occuper un tout petit peu de mon jardin.
(+) : L’emploi du temps chargé n’a-t-il pas impacté votre vie familiale ?
(-) : Je n’ai même pas pu fêter les fiançailles de ma fille. J’ai dû ainsi m’absenter de la fête pour honorer pendant un long moment mes responsabilités en tant que porte-parole du CCO. Heureusement, mes parts de nourriture ont été conservées jusqu’à mon arrivée. Et c’était pareil lors du baptême de mes petits-enfants. A ces deux grands événements s’ajoutent la fête des mères et celle des pères ou encore les Pâques et la Pentecôte où ma famille a dû attendre la fin de l’émission avant de se mettre à table. Or, parfois, la préparation du « direct » précédant la présentation de l’émission demeurait interminable.
(+) : Avez-vous une conseillère en image au cours de ces centaines de jours d’émissions en direct ?
(-) : La réponse est non. Je me suis toujours débrouillée à être présentable par respect envers le public. Je n’ai pas fait d’investissement propre. De là à dire que je dispose d’une centaine de vêtements. Je me suis coiffée moi-même. Je ne me maquille pas beaucoup mais je mets juste du rouge à lèvres. En ce qui concerne les articles vestimentaires, c’est vrai que je n’ai pas porté des habits identiques tout au long de cette aventure, mais il m’est arrivé quelquefois de remettre les hauts que j’affectionne particulièrement. Pour être différente tous les jours, j’ai misé sur les accessoires.
(+) : Comment avez-vous géré les attaques menées à votre encontre et qui ont été publiées sur les réseaux sociaux ?
(-) : Je ne fais pas beaucoup attention aux discussions liées à mon sujet. Je me suis toujours dit qu’il existe d’autres personnes plus parodiées que moi, mais qui surpassent ce problème en gardant la tête haute. J’assume en toute honnêteté cet engagement. En outre, personne ne m’a intimidée encore moins n’a exercé une quelconque pression sur moi. J’étais donc à l’aise et tranquille durant l’exercice de mes fonctions.
Propos recueillis par K.R.







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La une du 15 octobre 2020

Au-delà de la satisfaction du résultat, le contenu du match a été très intéressant pour Nicolas Dupuis, coach de l’équipe nationale malagasy. Il nous a livré sa première réaction juste après le match amical contre les Etalons du Burkina Faso. Dans la foulée, il n’a pas manqué de remercier la Présidence et le ministère qui ont permis à l’équipe d’effectuer ce stage.

 

Les vols avec agression refont de plus en plus surface dans certains quartiers de la Capitale. C’est le cas dans le secteur du « tetezan-dRamala » à Ambodin’Isotry. Ce qui a poussé le Commissariat de police du 4ème arrondissement à déclencher une action visant justement à freiner le phénomène, tout en mobilisant ses éléments en tenue civile. Dimanche après-midi dernier, la Police a ainsi procédé à un coup de filet au cours duquel trois suspects ont été surpris en plein forfait, c’est-à-dire en agressant une victime. Après leur arrestation, les trois larrons ont été soumis à un interrogatoire au bureau de la Police, puis finalement placés sous mandat de dépôt à Antanimora, hier.

 

204. Tel est le nombre de jours durant lesquels le Professeur Vololontiana Hanta Marie Danielle, porte-parole du Centre de commandement opérationnel (CCO) - Covid-19, a informé sur l’évolution de la situation sanitaire liée au coronavirus à Madagascar. Dévouée comme elle l’est dans l’accomplissement de cette mission, à chaque bonne nouvelle, elle ne se gêne pas pour exprimer sa joie et de partager ses sourires aux millions de téléspectateurs. Les larmes qu’elle a quelques fois versées lors de l’annonce des patients décédés suite aux complications médicales, témoignent son affection particulière à son travail.

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Editorial

  • Enfin !
    De la lumière ! Qu’importe jusqu’à quand ! Ne soyons pas trop grincheux ni trop hargneux ou d’éternels insatisfaits. Les délestages seront réduits de 6 heures à 20 heures. C’est déjà ça ! Sur le plateau de la Télévision nationale (TVM), le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina annonce dans la soirée de jeudi dernier la réduction notable des délestages sur la zone interconnectée (RIA) mais aussi à Mahajanga et à Antsiranana. A l’issue d’une réunion du locataire d’Iavoloha, au Palais, avec les responsables dirigeants de la Société nationale qui ont pris l’engagement à condition qu’on augmente la quantité du carburant livré, ce que le Président Rajoelina concède. Et donc, la galère due aux coupures de courant intempestives devra cesser du moins limiter à des heures de la nuit, de 20 heures jusqu’à 6 heures. En personne, il l’a fait savoir pour rassurer la population. Enfin ! Toutefois, on croit…

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