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1 569. C’est le nombre de visiteurs enregistré lors du premier jour de la seconde édition du Salon Bons-Plans Tourisme organisé au Jardin d’Antaninarenina, un événement dédié à la promotion du tourisme local. L’idée est de persuader les citoyens malagasy mais aussi les résidents à Madagascar à découvrir les différentes Régions du pays. Cet effort de persuasion commence petit à petit à porter ses fruits. Ces chiffres en sont la preuve.

 

La durée de remboursement rallongée. Le ministre de l'Economie et des Finances Richard Randriamandrato et Christophe Bouchard, ambassadeur de France à Madagascar, ont signé, mardi dernier, un accord de différé de dette. Selon les termes du contrat, les versements se feront en six paiements semestriels, égaux et successifs. Le premier intervient le 15 juin 2022 tandis que le dernier aura lieu le 15 décembre 2024. Il en est de même pour les intérêts courus sur les montants différés du début mai 2020 au 31 décembre 2020. D'un montant total de 1 647 221,78 euros, cette dette soumise au différé est constituée par les prêts consentis par l'Agence française de développement (AFD), ayant fait l'objet d'un contrat ou de toute autre forme d'arrangement financier conclus avant le 24 mars 2020 d'une durée supérieure à un an.

Au beau fixe. Les relations entre l'Etat malagasy et la Banque mondiale le sont. Comme preuve des bonnes relations entre les deux parties, l'institution financière a approuvé le financement supplémentaire sous forme de don d'un montant de 150 millions de dollars pour renforcer les programmes nationaux de protection sociale et accélérer la riposte face à la pandémie de Covid-19.  La représentante de la Banque mondiale à Madagascar, Marie-Chantal Uwanyiligira et le ministre de l'Economie et des Finances, Richard Randriamandrato, ont procédé à la signature de l'accord de financement hier.

Dans un communiqué publié, hier en début de soirée, la Présidence de la République de Madagascar annonce la fin du mandat des membres de la Haute Cour constitutionnelle. Iavoloha indique que le Chef de l’Etat a pris le 4 mars dernier le décret n°2021-261 constatant l’expiration de mandat des membres de la Haute Cour constitutionnelle « à compter du 12 Mars 2021 ».

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LA UNE DU 11 MARS 2021

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La une du 10 mars 2021

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Conspiration de vol

Qui veut abattre le sportroi du continent noir ? La conspiration se précise et se profile nettement sur le ciel de l’Afrique. Un jeu dangereux à haute voltige auquel la Fédération internationale de football association (FIFA), du moins son tout puissant patron Gionni Infantino, en tire les ficelles.
Qui veut mettre à terre AhmadAhmad, le président de la Confédération africaine de football (CAF), l’ancien désormais, et par ricochet le football malagasy ? On a l’impression qu’on s’acharne quelque part sur quelqu’un qui n’a qu’un seul défaut, vouloir mettre sur orbite, à l’échelle mondiale, les laissés-pour-compte de la planète Terre, les adeptes du sportroi de l’Afrique.
Le 23 novembre 2020, le comité d’éthique de la FIFA suspendait pour cinq ans de toutes activités sportives le président de la CAF, le Malagasy Ahmad Ahmad. Une peine assujettie d’une amende d’un montant de 185 000 euros. Le motif de la sanction, apparemment sévère, repose sur une charge principale, à savoir desdétournements de fonds, à sous-entendre le délit d’abus de pouvoir et autres. Un coup de massue ! Il s’agit quand même d’une brutale décision. Evidemment, Ahmad ne comptait pas se laisser piétiner de la sorte, il interjetait en appel auprès du Tribunal arbitral du sport (TAS) àLausanne (Suisse).Un geste que Gionni Infantino n’apprécie guère. Pour une raison qui échappe au commun des mortels du monde du sport, notamment en Afrique, en particulier à Madagasikara, Son Excellence l’« empereur Infantino » a une dent contre le « petit » malagasy Ahmad.
Le 29 janvier 2021, le TAS réhabilite Ahmad en suspendant la peine. Du coup, il peut reprendre son poste. Bien qu’il s’agisse d’une décision provisoire en attendant l’arrêt final, Ahmad a pu relever la tête et l’honneur de sonpays sauvé. Et en principe, il pouvait désormais s’aligner sur le starting-block pour la course à la présidence de la CAF. Ce qui allait bien sûr déclencher davantage l’ire de l’« empereur » du football mondial. La suite des évènements corrobore la réaction « violente » de Gionni Infantino.
Comme il fallait s’y attendre, Zurich va précipiter les choses avant que le TAS rende le verdict final prévu ce lundi 8 mars. Le week-end dernier, Infantino a réussi à finaliser sinon boucler « le Pacte de Rabat » stipulant un « compromis »entre les quatre candidats retenus sous l’impulsion du président de la FIFA. Le milliardaire sud-africain Motsepe, le candidat favori de Zurich,soit le seul concurrent en lice et les trois autres se retirent. En  effet, l’Ivoirien Jacques Anouma, en dépit de sa forte réticence sur l’injonction de Gionni Infantino, le qualifiant d’ingérant et qui a voulu décliner l’offre pour un poste de vice-président au prix de sa défection volontaire, finit par se plier. Même scénario pour le Sénégalais Augustin Senghor et leMauritanien Ahmed Yahya, ils ont tous « marché » sur la sollicitation de Zurich. Bref, Motsepe est élu avant terme. Ahmad est écarté définitivement. A noter que le TAS a statué en définitif la réduction à deux ans la suspension de Ahmad et l’amende réduite à 45 000 euros. Soulignons que l’arrêt du TAS est irrévocable !
En tout cas, la combine de la conspiration de haut vol a bien « réussi » et les carottes sont cuites. Merci messieurs !
Ndrianaivo

« Donner, c’est implanter les racines du partage ». Les collaboratrices au sein de la STAR ont concrétisé cet esprit pour marquer la célébration du 8 mars. Ainsi, les femmes dudit groupe, représentées par un petit comité issu de différentes Directions, ont offert des kits de naissance Eau Vive pour les mères ainsi que les bébés de moins de six mois reçevant des soins au Centre hospitalier universitaire mère-enfant de Tsaralalàna (CHUMET). La remise officielle des dons s’est tenue lundi dernier en présence du directeur de l’établissement. D’après les donatrices, avoir un accès aux soins est un droit fondamental pour tous. De plus, toutes les mères ont le droit d’accoucher dans la dignité et de bénéficier des soins adéquats.
Outre les kits de naissance, la remise mensuelle des packs d’eau pour faciliter la prise en charge des jeunes patients a également été effectuée à l’occasion. Des cache-bouches et une solution hydroalcoolique ont aussi été mis à disposition du CHUMET pour soutenir la lutte contre le coronavirus, encore d’actualité. A travers cette action de solidarité de ses collaboratrices, la STAR réitère son engagement social à l’amélioration de la santé mère-enfant.
Recueillis par Patricia R.



Evoluant avec l’équipe réserve depuis deux semaines, l’international malagasy Lalaina Nomenjanahary alias Bôlida a fait son retour sur la pelouse après 5 mois de convalescence à l’issue de sa blessure en équipe nationale lors du match contre la Côte d’Ivoire à Abidjan. Il semble bien déterminer à rejoindre les siens après la convocation mais hier, une nouvelle est tombée comme un couperet pour les fans. Il ne sera pas disposé en équipe nationale durant la double confrontation.
Le club parisien Paris FC vient de décider de garder son joueur durant la fenêtre FIFA de ce mois de mars. Ce qui est tout à fait son droit selon les règles de la FIFA et restent encore valables jusqu’à la fin avril entre clubs et sélections. 
Mais l’attaquant de Paris FC a expliqué la raison du refus de son club, le Paris FC, par rapport à la convocation pour le regroupement des Barea. Il a signifié qu'il était blessé durant 5 mois, après le match opposant Madagascar à la formation ivoirienne. Normalement, sous la responsabilité de la fédération malagasy, il devait être soigné par cette dernière. Ce qui n'a pas été le cas. A peine remis de sa blessure, il est impensable pour le club de confier son joueur à la Fédération malagasy de football.
« Paris FC a pris soin de moi durant ma période de convalescence. Il est tout à fait normal que cette équipe refuse de m'exposer davantage à des risques de blessure », a-t-il expliqué.
Alors que les clubs sont d'ordinaire obligés de laisser leurs joueurs rejoindre leurs sélections lors des périodes internationales régies par la FIFA, ils pourront, tenir compte des mesures de quarantaine ou des restrictions de déplacement liées à la pandémie de coronavirus.
Les clubs pourront donc les conserver si une quarantaine d'au moins cinq jours est obligatoire à compter de l'arrivée sur le lieu  où est censé se disputer le match de l'équipe nationale  du joueur ou sur le lieu du club de celui-ci à son retour, selon l'instance mondiale du football.
 L’international malagasy ne reviendra au club après ce regroupement qu'en début du mois d'avril, alors que le 3 avril, Paris FC aura un match contre Sochaux. Match où il ne pourra pas participer car il sera encore en quarantaine, alors qu’il a déjà raté une quinzaine de matchs pourtant le club est sur la bonne position sur sa remontée en ligue 1.
La FIFA précise, toutefois, que cela ne s'appliquera que dans le cas où une exemption de ces mesures sanitaires n'aura pas été accordée pour les équipes nationales par les autorités locales.
Elias Fanomezantsoa

Pari gagné. Les citoyens malagasy ne se rappellent certainement pas de cette période du mois d’août 2019 durant laquelle une maquette où figurent des grands travaux dans la ville de Diego-Suarez a été présentée. 19 mois après, l’édifice a été inauguré en présence du Président de la République Andry Nirina Rajoelina et de son épouse, accompagnés de la ministre de la Communication et de la Culture (MCC), Lalatiana Andriatongarivo et son équipe.
« Une telle réalisation représente une grande avancée faite par le Gouvernement malagasy. Les journalistes ainsi que les acteurs culturels ne seront plus délaissés puisque leur développement et leur promotion figurent bel et bien dans la vision de développement du Président de la République Andry Rajoelina. Particulièrement à cette occasion, il s’est assuré du régie et de la sonorisation complète de la Maison de la culture et de la communication d’Antsiranana », a souligné le numéro un du MCC, lors de sa prise de parole en marge de la cérémonie d’inauguration, hier à Antsiranana. Et d’ajouter que ce bâtiment érigé comporte un auditorium destiné aux spectacles et à la diffusion cinématographique. Il s’agit de la plus grande salle pouvant accueillir jusqu’à 550 personnes. Une salle d’exposition y a été aussi ajoutée, sans oublier la pièce consacrée à la bibliothèque qui constitue une branche locale de la Bibliothèque nationale de Madagascar. Les journalistes, à travers l’Ordre des journalistes de Madagascar, disposent également d’un bureau et d’une salle de formation. A cela s’ajoute une salle d’informatique connectée pour que les visiteurs puissent s’aventurer dans le monde numérique. Deux autres espaces sont aussi disponibles pour les réunions et/ou les formations.
Comme il a été déjà annoncé au niveau du MCC, 5 Chefs-lieux de province vont être dotés d’une Maison de la Communication et de la Culture. La ville d’Antsiranana a été donc la première à en avoir profité. Tamatave et Majunga vont bientôt profiter chacune d’une nouvelle infrastructure. Les travaux de construction ayant débuté cette année à Antsirabe vont aussi bon train. Particulièrement, pour la Capitale, l’Académie nationale de la culture (ANAC) héberge toutes les structures y afférentes.
En termes de projets culturels, nombreuses étapes ont été déjà franchies par le ministère dont la reconstruction du Rova d’Antananarivo, de même que la mise en place d’une politique nationale de la culture, ce qui va mener vers la professionnalisation des artistes.
K.R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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