Clôture du Vème Sommet de la COI ! Effectivement, la cinquième édition de la rencontre au Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement des îles sœurs indianocéanie dans le cadre de la COI au CCI – Ivato s’est tenue le 24 avril dernier. Dois-je rappeler que c’est le troisième Sommet à Madagasikara après celui du 16 mars 1991 et du 27 juillet 2005.
Le premier Sommet de la COI a eu lieu à Antananarivo le 16 mars 1991. A peine quelque mois seulement avant la crise politique qui devait déboucher, après une « longue grève », vers la chute de l’Amiral Didier Ratsiraka. Le second à Saint-Denis de La Réunion (France), le 3 décembre 1999. Le troisième à Antananarivo le 27 juillet 2005. Et le 4ème Sommet avant celui d’aujourd’hui, à Moroni en 2014.
A partir de lundi, Antananarivo deviendra l’épicentre du leadership féminin en accueillant pour la première fois le Comité mondial des femmes chefs d’entreprises (FCEM). Ce rendez-vous international, organisé par le Groupement des femmes entrepreneures de Madagascar (GFEM), est présenté comme un moment historique pour le pays et pour l’ensemble du continent africain. « C’est un honneur et une immense responsabilité de recevoir ce Comité chez nous », confie Fanja Razakaboana, présidente du GFEM.
Jusqu’au 30 juin, le Centre Pompidou, situé dans la capitale française, dévoile la richesse cachée des artistes noirs qui ont marqué de leur empreinte l’art français de l’après-guerre jusqu’à aujourd’hui. Avec sa brillante exposition appelée « Paris Noir », le musée retrace l’histoire souvent négligée ou mal représentée de ces créateurs, réécrivant ainsi la trame de l’art moderne à travers leur regard.
Une tapisserie délicate de Victoire Ravelonanosy (1910-1981) fait sensation dans cette exposition foisonnante. Il s’agit d’une œuvre montrant un groupe de femmes œuvrant dans une rizière, entouré de végétaux et animaux traités de façon stylisée, dans des tonalités de couleurs vives exaltant une nature luxuriante. Unique représentante de Madagascar, cette pièce, prêtée par le Mobilier National, témoigne de la diversité et de l’ampleur du parcours artistique de Victoire, dont la créativité s’est exprimée dans des médiums variés, peinture, céramique, dessin et tapisserie. Elle s’est épanouie parallèlement à une carrière diplomatique entre Madagascar, la France et la Tunisie.
Désenclavement des localités difficiles d’accès grâce au ballon dirigeable.
Désenclaver des régions, améliorer la qualité de vie des populations locales et renforcer la résilience face aux défis logistiques. C’est dans cette optique que le Gouvernement malagasy, par l’intermédiaire du ministère des Transports et de la Météorologie, a signé un accord de coopération avec la société française Flying Whales hier. Cette collaboration marque une étape importante dans l’amélioration de la connectivité et de l’approvisionnement dans les zones isolées de Madagascar. Flying Whales est une entreprise innovante spécialisée dans la fabrication et l’exploitation de ballons dirigeables capables de transporter jusqu’à 60 tonnes de fret dans les airs. Ces ballons, appelés LCA60T, offrent une solution de transport aérien sans nécessité d’infrastructures lourdes au sol, ce qui constitue une véritable avancée pour les régions difficiles d’accès. Grâce à cette technologie, le transport de marchandises vers les localités reculées sera non seulement plus rapide mais également plus sûr, facilitant ainsi la communication, l’approvisionnement en biens essentiels et le développement économique de ces zones isolées.
La Région de Sofia, considérée comme le grenier rizicole de Madagascar, amorce une nouvelle phase de développement avec le lancement officiel du projet « Riz Plus », une initiative pour booster la production agricole et soutenir durablement les agriculteurs.
L’objectif est de porter la production annuelle à 800.000 tonnes, selon les ambitions du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MINAE). Le projet « Riz Plus », financé par la Banque mondiale et le Fonds international de développement agricole (FIDA), s’inscrit dans une stratégie globale visant à améliorer les rendements agricoles et à renforcer la résilience des agriculteurs face aux changements climatiques et aux défis socio-économiques. Sous le haut patronage du MINAE, ce projet marque un tournant majeur dans la modernisation de la riziculture dans la Grande île.
« Ce projet s’avère essentiel car il contribue à concrétiser la vision présidentielle de développement agricole », a affirmé le ministre de l’Agriculture et de l’Elevage, François Sergio Hajarison, également ministre coach de la Région de Sofia. Lors de la cérémonie officielle de lancement à Antsohihy, il a souligné l’importance de cette initiative pour la souveraineté alimentaire du pays.
Un plan d’action clair a été établi pour la mise en œuvre du projet, intégrant un suivi rigoureux des appuis techniques à l’endroit des producteurs. Le projet prévoit notamment l’intégration de technologies numériques adaptées, afin d’optimiser le suivi des exploitations.
Le ministère a réaffirmé sa volonté de rester à l’écoute des agriculteurs et de valoriser les retours de terrain pour assurer le suivi des interventions. « Il est fondamental que chaque voix compte dans l’amélioration de la mise en œuvre du projet », a souligné le ministre lors de sa rencontre avec les paysans locaux.
A travers « Riz Plus », le but n’est pas simplement rehausser le rendement, mais il s’agit également de renforcer la sécurité alimentaire, de valoriser le rôle des producteurs locaux et d’asseoir l’autonomie agricole de la Grande île.
E.F.
Inespéré et inattendu ! C'est le moins ce qu'on puisse dire du geste du Premier ministre mauricien, en marge du Sommet de la Commission de l’océan Indien (COI) qui s’est tenu hier au Centre de conférence international (CCI), Ivato. En effet, il est venu à ce Sommet, et pas les mains vides ! Il a apporté une valise remplie de 45 lingots d'or, pesant 25,5 kilos. Des trafiquants les ont fait transiter à l’île Maurice en 2019. A l'époque, ces lingots d’or appartenant à la Grande île avaient été saisis à l'aéroport de cette île voisine. Puis, il a alors fallu attendre six longues années pour que la marchandise ait été finalement remise aux autorités malagasy.
Le chef du Gouvernement mauricien a remis officiellement ces lingots au Président de la République malagasy, hier à Ivato. Le numéro Un du pays n'a pas caché sa joie et son soulagement devant le geste du Premier ministre mauricien : « (…) Et c'est vous monsieur le Premier ministre qui a eu cette volonté politique de retourner l'or de Madagascar dans son pays d'origine. Cet or appartient à Madagascar, à son peuple et ses générations futures », a déclaré Andry Rajoelina au chef du Gouvernement mauricien.
Le dirigeant malagasy se félicita aussi de l'aboutissement des efforts entrepris par des responsables étatiques du pays en charge du rapatriement de ces lingots, pendant cette longue période. Mais il ne manqua pas aussi de saluer la coopération de la partie mauricienne : « Nous travaillons étroitement avec les services de renseignement de l'île Maurice. Il existe aussi des trafics de drogue qui transitent par Madagascar pour aller jusqu'à Maurice », a ajouté Andry Rajoelina.
De son côté, le Premier ministre mauricien a répondu au Chef d’Etat malagasy : « Il m’est particulièrement agréable d'accomplir aujourd'hui un geste qui marque non seulement la qualité des relations bilatérales entre Maurice et Madagascar, mais aussi l'esprit avec lequel l’on gouverne la solidarité régionale et la fraternité entre les îles », a-t-il indiqué.
Trois trafiquants malagasy fixés sur leur sort
Les 25,5 kg d'or saisis par l'île Maurice en 2019 ont une valeur estimée à 6 milliards 277 millions d'ariary. Les experts qualifient cet or, provenant d'un trafic démantelé le 10 janvier 2019, d'un véritable trésor. Un démantèlement puisque les trois voyageurs malagasy qui devaient s'envoler vers Bombay, pour deux d'entre eux, et Dubaï pour le troisième, ont été ainsi arrêtés. Durant leur interrogatoire, les trois hommes ont indiqué que les bijoux fabriqués avec le métal précieux, devraient être ensuite revendus à Madagascar. Mais il n'y avait que des lingots. Les enquêteurs avaient également saisi 60.000 euros et 7.000 dollars dans les bagages des trafiquants. Actuellement, deux parmi ces Malagasy mis en cause, croupissent en prison. Pour revenir finalement à la restitution d'hier, les 25,5 kg d'or rapatriés ont été immédiatement confiés à la Banque centrale de Madagascar.
Franck R.
Le Ve sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement de la Commission de l’océan Indien (COI) tenu à Antananarivo Madagascar a pris fin. Cette rencontre de haut niveau, qui s’est tenue dix ans après le précédent tenu à Moroni en 2014, a réuni les dirigeants des cinq Etats membres de l’organisation régionale – les Comores, la France, Madagascar, Maurice et les Seychelles – ainsi que le secrétaire général de la COI, M. Edgard Razafindravahy. Des représentants des pays partenaires et des organisations internationales, parmi lesquels l’Union européenne, l’Organisation internationale de la Francophonie ou encore les Nations unies, ont également pris part aux travaux.
Le sommet a permis de dresser un bilan des actions menées par la COI au cours de la dernière décennie, tout en définissant les grandes orientations politiques régionales pour les prochaines années. Quatre axes prioritaires ont été retenus, à savoir la sécurité alimentaire, la résilience climatique, la sécurité maritime et la santé publique.
Sur le volet sécurité alimentaire, les dirigeants ont validé le Programme régional de sécurité alimentaire et nutritionnelle (PRESAN) et ont réaffirmé leur soutien à une agriculture durable, dans la continuité des engagements pris lors de la conférence ministérielle régionale de mars 2025.
Concernant la résilience climatique, l’accent a été mis sur la promotion de l’économie bleue, la lutte contre la pollution marine et l’amélioration de l’accès aux financements climatiques pour les Etats insulaires. Le sommet a également réitéré l’importance de la sécurité maritime, avec un engagement en faveur du renforcement de l’architecture régionale, la protection des câbles sous-marins et la lutte contre la pêche illégale.
En matière de santé publique, les dirigeants ont apporté leur soutien au réseau régional SEGA – One Health et à la création d’un centre régional de santé, visant à renforcer les capacités collectives face aux menaces sanitaires.
En marge des travaux pléniers, plusieurs événements ont enrichi les échanges. Une conférence sur l’égalité femmes-hommes et la lutte contre les violences basées sur le genre, ainsi qu’un forum économique réunissant les acteurs du secteur privé, ont permis de mettre en lumière les défis sociaux et les opportunités de développement de la région.
La clôture du sommet a été marquée par un discours du Président de l’Union des Comores, SEM. Azali Assoumani, président en exercice de la COI. Il a salué les résultats obtenus, tout en insistant sur la nécessité d’assurer un suivi rigoureux des décisions adoptées. Il a également exprimé la gratitude collective envers le Gouvernement malgache pour l’accueil et l’organisation de ce sommet, soulignant le leadership du Président Andry Rajoelina.
A l’issue de ce sommet, les Etats membres ont réaffirmé leur attachement à la coopération régionale et leur volonté de construire un avenir commun fondé sur la solidarité, la paix et le développement durable dans l’espace de l’océan Indien.
Recueillis par L.A.
Les Chefs d’Etat et de gouvernement ayant participé au sommet de la Commission de l’océan Indien, qui s’est tenu hier à Antananarivo, ont salué le Président malgache dès la fin des travaux, sauf changement de programme de dernière minute. Toutefois, plusieurs d’entre eux devraient recroiser Andry Rajoelina très prochainement.
Le Chef de l’Etat malgache est en effet attendu à Rome, ce samedi, pour assister aux obsèques du pape François, place Saint-Pierre. L’information a été confirmée par une source autorisée. Une cinquantaine de Chefs d’Etat et quelque 130 délégations étrangères sont attendus pour cette cérémonie d’adieu.
A l’annonce du décès du souverain pontife, lundi, le Président Andry Nirina Rajoelina avait exprimé sa vive émotion et rendu hommage au Saint-Père. Dans un message solennel relayé sur les réseaux sociaux de la Présidence, il a déclaré que « C’est avec une grande tristesse que j’ai appris le décès du Saint-Père, le pape François ».
Il a également rappelé les liens forts qu’il avait noués avec le pape, qu’il a rencontré à plusieurs reprises. « Sa simplicité a touché le cœur de nombreuses personnes. Mais plus encore, ce sont les messages d’amour et de fraternité qu’il a transmis qui marqueront les esprits », a souligné le Président.
Les relations entre le pape François et Andry Rajoelina ont été empreintes de respect et d’estime mutuelle. Dès avril 2013, alors président de la Transition, Rajoelina avait été reçu en audience au Vatican. Dix ans plus tard, le 17 août 2023, une nouvelle audience solennelle avait permis de renforcer les liens entre Madagascar et le Saint-Siège. Entre-temps il y a eu une rencontre entre les deux lors de la visite du pape dans la Grande île en septembre 2019.
Le Président de la République a tenu à s’associer à la douleur des fidèles malgaches et de la communauté chrétienne à travers le monde. « Cela restera à jamais gravé dans la mémoire de tous. Et dans mon esprit, et dans mon cœur également », a-t-il conclu avec recueillement.
Un dernier hommage dans la simplicité
Les obsèques du pape François, décédé lundi à l’âge de 88 ans, auront lieu samedi 26 avril à 10 h (heure locale) au Vatican. Comme il l’avait souhaité, la cérémonie se déroulera dans la sobriété, loin du faste habituel.
Les funérailles se dérouleront en trois temps. Elles débuteront par une messe sur la place Saint-Pierre, présidée par le doyen du collège des cardinaux, Giovanni Battista Re. Suivront ensuite l’Ultima commendatio (la dernière recommandation, avec bénédiction du cercueil par l’eau et l’encens) et la Valedictio (le dernier adieu).
Enfin, une procession conduira le cercueil à travers la ville de Rome, jusqu’à la basilique Sainte-Marie-Majeure. L’inhumation privée s’y tiendra, en présence d’un cercle restreint, conformément aux normes rituelles qu’avait lui-même validées le pape François un an plus tôt.
Recueillis par Lalaina A.
Vendredi 25 avril
Bebey, Benny et Nini Kolibera
Les fans du groupe « Lolo sy ny Tariny » peuvent se réjouir pour ce vendredi joli. Les trois complices de scène, Benny, Bebey et Nini Kolibera, vont à nouveau montrer leur talent à travers un concert mémorable au Piment Café de Behoririka. Leur présence promet une ambiance exceptionnelle. Ce soir, ils invitent le public à revivre des souvenirs marquants en l’embarquant dans un bon voyage musical. Benny et son groupe plongeront les spectateurs dans l'atmosphère des années 70-80, mettant en valeur le « folksong », le « blues », le « bà gasy » et la « country music » grâce à un répertoire riche en chansons emblématiques telles que « Fibata », « Dimbaka avy any Nazareta », « Tablier manga », « Raha mankany ialahy » et « Lemizo ». Le show démarrera à 20h 30.
Bodo
Après avoir enflammé la scène de la RNS à Vichy, en France, l’artiste malagasy Bodo revient dans sa terre natale pour offrir une soirée exceptionnelle à ses fans. Ce soir, dès 20 heures, le restaurant Soa Feeling à Ambohimangakely sera transformé en un lieu musical incontournable, où se marieront nostalgie et émotions. Forte d’une carrière de plus de trente ans, Bodo est une figure emblématique de la scène musicale malagasy. Bien connue pour sa créativité, sa passion sans limite pour la musique et sa voix puissante, elle sera de retour sous les projecteurs pour offrir un récital intimiste. Ce format choisi, loin des grandes scènes traditionnelles, permet à la diva de nouer une connexion sincère avec son public, favorisant ainsi une atmosphère chaleureuse et accueillante.
Stéphanie
Stéphanie, l'interprète du tube « Mila Fitiavana », revient en force dans la Capitale pour faire flamber la scène. Ce soir, la déesse de la chanson promet de faire vibrer les noctambules qui se réuniront au Chez Papa Isoraka dès 22h. Ces derniers vont sans doute réentendre les morceaux de la star comme « Mahatsiaro », « Tsy fotsy varavarana » ou encore « Tsaratsara tsy lany ». Avec son minois enchanteur et son talent indéniable, elle s'apprête à offrir un spectacle inoubliable, alliant dynamisme et convivialité. Que ce soit sur les grandes scènes ou les plus petites, Stéphanie sait captiver les spectateurs et créer une atmosphère festive. Les adeptes de musique et de danse ne voudront pas manquer cette opportunité de se déchaîner en sa présence.
Tarika Hasina
Ce soir, le groupe « Tarika Hasina », emmené par José et ses collègues de scène, promet une soirée inoubliable à Isoraka. Dès 20h, la salle du restaurant Chez Baba vibrera au rythme des plus grands succès de cette formation, dont « Alahelo », « Fonjan'ny neny », « Dia ho nofiko ve » et le célèbre tube intitulé « Babonao ». Fidèles à leur réputation, ces artistes vont une fois de plus enflammer le public dans une ambiance acoustique authentique, et cela grâce à des mélodies musicales envoûtantes. Une occasion unique pour les fans de savourer la richesse musicale malagasy dans une atmosphère conviviale et chaleureuse. Ne manquez pas cette soirée exceptionnelle qui promet d’être mémorable pour tous les amoureux de la bonne musique.
Samedi 26 avril
Tarika Be
Retour aux sources pour « Tarika Be », le groupe emblématique connu pour son tube « Raitra ». Dirigé par Hanitrarivo Rasoanaivo, Tam Rasamimanana et Ny Ony Rasolomahatratra, cette formation musicale prépare un nouveau concert après une pause prolongée. Sa dernière apparition scénique remontait à juillet 2024, marquant une période d’attente avant son retour en « live ». Après cette longue absence, « Tarika Be » revient avec enthousiasme, prêt à retrouver son public. Le concert est prévu pour demain soir à partir de 18h à l’Arena Ivandry. Au programme, un répertoire varié, comprenant plusieurs dizaines de titres, allant des morceaux moins connus aux incontournables qui ont forgé la renommée du groupe. Une nouvelle occasion de passer une soirée riche en émotions et en musique, témoignant de la vitalité de cette formation mythique malagasy.
Dimanche 27 avril
Reko
Fy Rasolofoniaina et tous ses camarades musiciens sont prêts à charmer de nouveau leurs admirateurs lors d'un concert qui aura lieu à l’église FJKM Tanjombato Maritiora, ce dimanche à partir de 15h. Fy, au chant et à la guitare, sera accompagné de Zazah à la batterie, Diary à la basse, et Princia à la guitare solo, pour un spectacle qui promet d'être une véritable fête musicale, pleine d'émotions et de surprises. Les amateurs de musique acoustique et de mélodies envoûtantes se réjouiront de pouvoir plonger dans l'univers artistique de Fy et de découvrir les morceaux extraits de son dernier album « Misia ». Ce concert s'annonce comme une soirée mémorable, où le talent et la passion vont s’unir pour envoûter et captiver le public présent à cette occasion.
Si.R