Qui ose croire ? Ces employés d'une société de distribution, que l'on croyait être les victimes des braqueurs sur la RN2, se retrouvent récemment en prison. Tout simplement parce que les voleurs, ce sont les concernés eux-mêmes, ou du moins les complices ! Selon la Gendarmerie, c'est le présumé cerveau de l'acte et ses complices supposés qui ont été pris dont 6 personnes au total. Les faits. Vers 23h, le 14 février dernier, un fourgon Mercedes Benz Sprinter appartenant à un commerce de gros était tombé dans l'embuscade des bandits. Venus en moto, ces derniers étaient répartis en direction de Tanà avec la somme de 250 millions ariary, la recette perçue le jour par ladite entreprise.
L'intensité du cyclone augmente. Toute la Région d’Atsimo-Andrefana a été ruinée par les vents violents accompagnant le cyclone tropical Honde. Par ailleurs, les fortes pluies ont causé une inondation dans plusieurs localités. Selon une source locale, les dégâts sont énormes. Les digues sont en rupture, sans parler de la destruction des habitants, bureaux, écoles et d’autres infrastructures. Dans la Commune d'Isalo, District de Morondava, Région du Menabe, environ 461 hectares de champs et rizières sont inondés. Toujours dans cette même Région, dans la Commune de Manambina, plus de 124 hectares de rizières sont également submergées par l’eau. Et dans la Commune d'Ankiliabo, District de Manja, environ 50 hectares de rizières sont inondées.
« Madagascar n’a pas encore eu la chance de voir l’apparition de croissant lunaire aujourd’hui. Ainsi, le début du mois de Ramadan se fera le dimanche 2 mars ». Tel est le message envoyé par le Comité de la lune auprès de l’association des musulmans de Madagascar (FSM), hier. Ainsi, les pratiquants de l’Islam commenceront les 30 jours de jeûne à partir de demain, même si certains débuteront les leur dès ce jour. Il s’agit du quatrième pilier de l’Islam, une occasion pour les pratiquants de renouveler leur foi en Allah et de se purifier, notamment avec un jeûne obligatoire entre la levée et le coucher du soleil.
Madagasikara serait-il en train de se … donner la mort ? De se suicider ! Les évènements tragiques survenus ces derniers temps semblent le corroborer. Des meurtres ciblés à des endroits différents inquiètent au plus point plus d’un dont les ondes de choc pourront dépasser les limites de nos frontières. Attention !
Rasazy Narindra, sage-femme de son état, maire nouvellement élue de la Commune rurale de Mangataboahangy, District d’Ambatofinandrahana, Région Amoron’iMania, a été mortellement touchée par balle en cours de route vers sa localité. Alors que Ranivoarivony Narindraniaina alias Narindra rasazy, une jeune sage-femme dans la fleur de l’âge, regagnait la localité, dont elle est élue, une bande d’assassins armée tendait une embuscade entre Ambavalozakely et Ankafotra à 20 km de la Commune rurale d’Itremo et la tue de sang-froid. Elle rentrait de la cérémonie de son installation avec d’autres nouveaux maires à Antampon’ny Vinany Ambositra.
La récente implantation d’un établissement financier de renommée internationale au pays, accompagnée d’une décision drastique de révision à la baisse des salaires de ses employés, a jeté un froid dans le secteur. Les salariés, déjà en alerte, menacent de recourir à une grève pour se faire entendre, estimant que la mesure est injuste et déstabilisante. Selon leurs témoignages, la Direction justifie cette décision par la nécessité de faire face à un redressement fiscal inopiné, imposé dès leur installation. Pour les employés, ces arguments ne suffisent pas à calmer la grogne, surtout après les promesses initiales d’un avenir stable et prospère au sein de cette nouvelle institution.
La scène musicale malagasy s'apprête à briller sur la scène internationale grâce à la participation de Mashmanjaka au Marché des musiques de l’océan Indien (IOMMa - « Indian Ocean Music Market ») qui se tiendra cette année les 3, 4 et 5 juin à Saint-Pierre, île de La Réunion. Cet événement d'envergure, qui en est à sa 11e édition, offrira une occasion unique aux artistes de la région de se faire connaître sur le plan mondial. Mashmanjaka, dont le style musical fusionne habilement le reggae, le hip-hop, la « roots music », la « soul music » et la soca, attire un public toujours plus large. Sa musique, à la fois entraînante et riche en émotions, reflète la diversité culturelle de Madagascar.
La politique n’est pas un jeu où l’on peut sacrifier l’intérêt national sur l’autel des ambitions personnelles. Pourtant, c’est exactement ce que fait l’Opposition malgache. La dernière révélation de la ministre de l’Economie et des Finances, Rindra Rabarinirinarison, en est une preuve éclatante. En effet, le grand argentier de l’Etat a indiqué que des manœuvres ont été entreprises pour tenter de bloquer les financements du FMI, mettant ainsi Madagascar en difficulté. Heureusement, ces tentatives ont échoué. Mais elles en disent long sur les méthodes d’une Opposition prête à tout, quitte à pénaliser la population.
Jirama trébuche et touche le fond.
Il est temps qu’on crève l’abcès. Rien ne va plus chez la Compagnie nationale d’eau et d’électricité d’Ambohijatovo-Ambony. L’approvisionnement en eau se détériore. Il va de mal en pis. Les délestages s’éternisent. Tout comme si le tourment causé par les intempéries ne suffisent pas qu’il faille en rajouter et souffrir davantage. Le calvaire de la population atteint son paroxysme !
Durant la période sèche prolongée, les robinets des ménages et les bonnes fontaines des quartiers de la capitale et les communes environnantes sont à sec. Les citernes d’eau faisaient le tour des quartiers jusque dans les communes périphériques. Certes, le problème s’atténue mais entre les deux livraisons, pour quelques jours, c’est l’attente interminable. On comprend la situation par le fait que Dame pluie se fait attendre et qu’il fallait disposer de carburant suffisant. Et quand les flottes viennent à tomber, à grosses gouttes. Déception, pas encore d’approvisionnement en eau ! Comme explication de la JIRAMA, la montée des eaux ! Que la JIRAMA dise la vérité ! Quel est vraiment le fond du problème ? En période sèche, pas d’eau à la pompe. En période de pluie, pas d’eau non plus à la pompe. Les usagers en ont assez d’être menés en bateau !
Les délestages reviennent au galop au grand dam des ménages, des petites unités de production, des usines et des entreprises. L’année nouvelle 2025 commence mal. Il ne s’agit pas parle plus de simples coupures ou de délestages mais d’absence prolongée de courant. Dès le début de février, les délestages allaient de 15 à 35 %. Et vers la fin de ce mois, lesquels délestages durent 24 heures. A travers RIA, Fenoarivo jusqu’à Ampefy et au-delà, le courant est absent toute la journée, nuit et jour, pour deux fois, en espace de quelques heures. Bref, les coupures s’éternisent. Et on tombe des nues ! Le plus dur à avaler dans tout cela vient de l’absence totale d’explication plausible de la part de la JIRAMA. La direction générale ne daigne même pas aviser ou plutôt donner des explications valables par voie de presse officielle. Aucun communiqué digne de foi. Ambohijatovo se contente des avis par réseaux sociaux interposés. Des explications ou plutôt des excuses bidon ! Mais pour qui nous prenne-t-elle ! La direction générale sait pertinemment que l’usage de Facebook n’est pas l’apanage du commun des mortels.
On veut bien admettre les raisons avancées.Le bas niveau de l’étiage et la baisse de l’ensoleillement. Et concernant les longues coupures ces derniers jours, il y aurait des incidents techniques. Soit ! A se demander, les techniciens de la JIRAMA ne maitrisent-ils pas leur travail. Sinon, ils savent parfaitement leur métier, seulement ils auraient bâclé. Ou enfin, peut-être, les équipements de la Compagnie nationale sont … irréparables !
Jusqu’à quand la JIRAMA va-t-elle nous créer des ennuis ? Nous mener à chaque coup en bateau ? Les questionnements sont légitimes. On fait payer des factures « salées » après une longue queue alors que le service en retour laisse à désirer.
Ndrianaivo