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30 ans de combat pour la dignité,  l’insertion et la justice  en faveur des  enfants, des  femmes  et des  personnes  âgées de la décharge d’Andralanitra. «  Le Père  Pedro a démontré qu’il est faisable de convertir la pauvreté en un espoir  et le centre Akamasoa en est la preuve», avance le Président de la République, Andry Rajoelina, dans le cadre de la célébration du centre Akamasoa hier à Andralanitra. Actuellement, l’histoire de ce centre est devenue  une référence à Madagascar et dans le monde entier.

Des réformes structurelles et sectorielles de grande envergure. Ce fut en ces termes que le Premier ministre, Christian Ntsay a résumé les grands chantiers qui seront menés à Madagascar pour rattraper le retard de développement du pays, devant l’assemblée générale des Nations unies, samedi dernier.  Le numéro deux de l’Exécutif a représenté le Président de la République lors de ce grand rendez – vous international à New York.

 

LA UNE DU 30 SEPTEMBRE 2019

Publié le dimanche, 29 septembre 2019

Des volutes de fumée et des langues de flammes qui ont jailli d’une maison à étages située dans les dédales du quartier, ont créé un moment de panique et ont vivement alerté les riverains à Ambatonakanga. Cela s’est produit vers 10h du matin, hier. En réalité, c’était une aile située dans la partie ouest du bâtiment occupé par deux familles, qui a été ravagée ainsi. Des meubles ont été également endommagés. Le comble, c’est que le sinistre s’est déclaré en l’absence de la locataire, une femme âgée qui y vit seule, qui n’était pas à l’endroit au moment des faits.

Un autre baobab, plus grand que « Tsitakakoike », issu de la famille de baobab Andansonia Grandidierie est découvert dans le Fokontany Andombiry, District de Morombe. Appelé « Tsitakakantsa », il est dorénavant le plus grand baobab de Madagascar et celui de la planète. D’une circonférence de 28,90m, « Tsitakakantsa » se traduit littéralement par si l’on chante dans l’une des faces de baobab, on n’entend pas le chant dans l’autre.

 

A la fin de l'année dernière, l'exposition de Pierrot Men au Musée du quai Branly-Jacques Chirac à Paris s'est démarquée. Ce qui fait qu'il revient aujourd'hui à Paris pour la 8ème édition de Photo Saint Germain, du 6 au 23 novembre prochain. Effectivement, retenu par un jury composé d'experts de la photographie, il exposera ainsi une vingtaine de ses photos à la Galerie Lee, au quartier Saint-Germain-des-Prés. Ce dernier étant le quartier des artistes, écrivains, musiciens, chanteurs comme l'a chanté Jérôme Randria dans son titre « Alina Paris ».

Quid du « famadihana » !

Publié le vendredi, 27 septembre 2019

Qu’il nous admette, pour peu qu’il soit, de s’émanciper des échauffourées des élections et les tiraillements voire des tensions autour de la vie politique, et cela, pour se donner l’occasion de faire une petite escapade et scruter la vie du terroir. En réalité, si en villes les attentions sont obnubilées par les enjeux des élections et accaparées par les actions du Gouvernement, dans les campagnes par contre notamment dans le pays profond, dans le terroir, du moins sur les Hautes Terres, le souci et les préoccupations sont ailleurs.

Tout est possible. Actuellement, avoir une connexion Internet chez soi reste encore un luxe inaccessible pour la grande majorité des ménages malagasy. Le prix exorbitant des services liés à ce réseau informatique mondial empêche ainsi les consommateurs d’y avoir accès. « Pour cause, nous sommes aujourd’hui dans un pays où les produits de télécommunication sont taxés comme des produits de luxe, avec des droits d’accise de 8 % en plus de la TVA (taxe sur la valeur ajoutée) de 20 %. Et d’après une étude, il y a un lien direct entre le taux de taxation et le taux de pénétration ou d’usage.

Lors de sa descente à Fianarantsoa dans la Haute-Matsiatra hier, Andry Rajoelina, le Président de la République, a donné son avis sur le débat entourant la nomination récente des gouverneurs de Région. L’occasion pour lui également de donner des ordres aux nouveaux patrons des Régions. Durant son discours à Fianarantsoa, le Chef de l’Etat indique ainsi que les gouverneurs seront dotés de plus de pouvoir. Le changement d’appellation des chefs de région correspond, dit-il, aux responsabilités qu’auront les gouverneurs. Et lui de préciser ainsi que les gouverneurs seront dotés d’un budget et de plus de pouvoir que de simples chefs de Région.

 

Une réalité triste et douloureuse ! Tel est le constat qui ressort de l’étude menée par Transparency International – Initiative Madagascar (TI-IM) dans le cadre du projet « Tsaboy ny gasy », financé par l’Union Européenne pour mesurer le coût et les impacts de la corruption dans le domaine de la santé à Madagascar. Selon les résultats de cette étude présentés hier au Louvre Antaninarenina, près de 65% des Malagasy auraient été victimes de la corruption dans le domaine de la santé.

 

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Editorial

  • Problématique nationale ?
    La Grande île manque d’eau ! Contradictoire ! L’eau, cet élément le plus précieux parmi les quatre essentiels pour la vie, à savoir la terre, l’air, le soleil et évidemment l’eau, semblerait nous faire défaut en ces temps-ci ? Pour en devenir une problématique nationale. Le conditionnel est de rigueur. Quelque part, on doute sur la pertinence de la chose. On confond, semble-t-il, la situation naturelle du pays avec les dysfonctionnements de la compagnie nationale JIRAMA et du département de l’eau sur la gestion de cet élément indispensable à la vie. En fait, ce n’est pas l’eau qui manque, c’est la gestion rationnelle qui fait défaut. On n’est pas dans les pays du Golfe où l’océan du sable domine l’environnement ou en plein désert du Sahara où l’eau n’existe pas. Certes, il y a le grand Sud où les pluies se font rares, mais de là à dire que l’eau…

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