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Le ministère de la Communication dirigé par la ministre Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo a effectué hier à Anosy la restitution nationale de la loi sur l’accès à l’information à caractère public (LAICP). Cette loi va passer devant l’Exécutif avant d’être soumise au Parlement lors de la prochaine session ordinaire.

Cérémonie officielle hier dans les locaux du ministère de la Communication et de la Culture à Anosy. Le ministère a procédé à la restitution nationale du projet de loi axé sur l’accès à l’information à caractère public. Ce projet de loi revêt une importance particulière pour la population et les professionnels de l’information. Il garantit donc un accès à l’information à caractère public, sous réserve de certaines conditions liées au secret d’Etat ou aux droits d’autrui.
Le directeur général de la Communication par intérim, Fetra Rakotondrasoava, a tracé le parcours de cette loi. Il a expliqué que c’est le CSI ou Comité de sauvegarde de l’intégrité qui est l’initiateur dudit projet de loi depuis 2006. Mais pour de multiples raisons, ce dernier n’a pu aboutir. Il aurait fallu attendre 13 ans après pour qu’il ne soit déterré par la ministre Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo. Juriste de formation mais journaliste de profession, la ministre a fait l’engagement solennel de mener à terme la finalisation et l’adoption du projet de loi.
Le directeur des affaires juridiques auprès du ministère de la Communication et de la Culture, Onjaniaina Adolphe Rahalison, a expliqué lors de la restitution nationale que « l’accès à l’information est un droit essentiel pour tout citoyen sans exception ». Il est soumis sous le régime juridique de la gratuité, l’égalité entre les personnes physiques et morales, ansi que l’accessibilité. La demande pourrait ne pas être motivée. Il a rassuré que lors de toutes interprétations futures de la loi, cette interprétation se fera de façon favorable au droit à l’information par rapport aux autres interprétations contraires.
Respect de la parole donnée
Lors de son allocution, la ministre Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo a prouvé qu’elle est une femme de parole. Elle a donné son ferme engagement en 2019 pour l’aboutissement du projet et c’est désormais chose faite, comme c’était le cas lors de l’élaboration de la loi sur la communication médiatisée. La ministre a martelé que la loi sur l’accès à l’information à caractère public est essentielle pour le développement du pays. Elle garantit la transparence ainsi que la participation citoyenne à la gestion des affaires publiques et administratives.
Cette loi sur l’accès à l’information est essentielle pour le perfectionnement de la démocratie dans le pays. L’UNESCO a publié un rapport selon lequel 127 pays possèdent une loi de la sorte. Madagascar va adopter la sienne dans un futur proche, toujours dans l’optique de renforcer sa démocratie. D’ailleurs, cette loi va réduire le fossé qui existe entre les gouvernants et les gouvernés, a rassuré la ministre, en garantissant ainsi le développement inclusif et durable du pays à travers des informations accessibles et crédibles sur lesquelles on pas peut prendre des décisions bien fondées. Il s’agit également pour l’administration d’instaurer une culture de redevabilité et de transparence au profit des citoyens.
La Rédaction

Inédite. L’édition 2020 de l’examen pour l’obtention du Certificat d’études primaires élémentaires (CEPE) l’est. Vu la situation actuelle dans le pays à cause de la propagation du coronavirus, des mesures exceptionnelles ont été mises en place par le ministère de l’Education nationale, entre autres la distribution de cache-bouches pour chaque candidat à l’entrée de la salle d’examen et la mise disposition de kits sanitaires dans chaque centre, la duplication des convocations afin d’éviter un quelconque chantage des établissements concernant  le paiement des frais de scolarité et enfin l’autorisation spéciale pour les candidats bloqués dans les autres Régions. Ainsi, afin de limiter le rassemblement dans l’enceinte des centres d’examen et de mieux surveiller le respect des barrières sanitaires, aucun accompagnateur n’est autorisé à y entrer, tandis que les candidats ne peuvent pas sortir de l’établissement qu’une fois les épreuves terminées, c’est-à-dire à 15h 55. Sur ce, chaque candidat doit prendre le déjeuner à l’intérieur du centre, accompagné d’une personne. Ce jour, ils sont quelque 143 000 à passer les épreuves du CEPE et le concours d’entrée en classe de sixième, dans les deux ex-Provinces d’Antananarivo et Antsiranana. Environ 88 000 d’entre eux se trouvent dans la Région d’Analamanga.
Sujet élaboré selon le programme
En tant que session exceptionnelle, les épreuves du CEPE ne se dérouleront pas en même temps pour les 6 ex-Provinces de Madagascar. Ce jour sera destiné aux candidats inscrits à Antsiranana et Antananarivo, le 8 septembre pour Mahajanga et Fianarantsoa et enfin le 15 septembre pour Toliara et Toamasina. Concernant les sujets, ils ont été élaborés en rapport avec le programme scolaire réalisé dans chaque Province. En effet, cette situation est due à la suspension de l’enseignement durant la période de confinement. Certaines d’entre les Directions régionales de l’éducation nationale (DREN) ont délimité leur programme afin que les élèves aient plus de temps à consacrer pour les révisions, tandis que d’autres l’ont achevé comme il se doit.  
Le nombre de candidats au CEPE ont baissé par rapport à l’année dernière. Ils sont au nombre de 521 879, répartis dans 1 900 salles d’examen sur toute l’île.
Anatra R.

Le groupement des acteurs dans l’Education physique et sportive (EPS) à Madagascar sort de son silence, suite à la décision gouvernementale sur l’épreuve concernée à l’examen du baccalauréat et au Brevet d’études du premier cycle (BEPC). Un décret sorti du conseil de Gouvernement le 26 août dernier. Pour la valorisation de l’EPS et du diplôme d’Etat à la place qu’ils méritent, l’association des acteurs dans l’EPS composés de profs d’EPS, du personnel administratif, des formateurs de profs d’EPS, les syndicats des profs, les associations des profs, les responsables des examens d’EPS, la fédération d’éducation physique, implore le Chef de l’Etat  pour pallier ce problème dans les meilleurs délais. Le Président de la République malagasy vient d’être sacré champion de l’éducation physique de qualité en Afrique lors de la réunion interministérielle pour la mise en place du Plan d’action Kazan en 2019.

Quatre raisons ont été avancées expliquant l’annulation de cette épreuve durant les deux examens officiels après la réunion du 29 août : les élèves manquent d’entraînement à cause du confinement. Il y aussi le risque d’expansion de la pandémie au niveau scolaire durant les épreuves collectives, et la superposition des dates des examens écrits et ainsi que l’interdiction des manifestations sportives annoncée par le Président de la République.

Ferme quant à la protection de son statut d’enseignant et le rôle sacré de l’éducation, le groupement des acteurs d’EPS réagit. Ces acteurs ne peuvent pas rester insensibles et apportent des rectifications sur les points susmentionnés.

« Chaque candidat était préparé qu’il y aura un examen d’EPS à la fin de l’année scolaire et le sujet d’examen lui a été donné d’avance pour qu’il puisse se préparer dans une condition optimale. Cela fait partie de l’éducation car elle est faite pour non seulement physique mais aussi psychologique et sociale. Pas seulement pour des bonifications. L’EPS est une matière comme tout autre. Effectivement, on peut  tenir l’épreuve tout en respectant les mesures sanitaires. Chaque acteur a déjà étudié toutes les manières possibles pour respecter la distanciation », selon un communiqué.
 
Sur les soucis des dates, le ministère de tutelle a déjà ajourné toutes celles prévues pour les examens. Ainsi, cela ne devrait  pas poser de problème sur la date d’examen d’EPS. Les convocations des candidats sont déjà disponibles en attendant cette date. Les acteurs aspirent donc à un dialogue avec le ministère concerné.
Recueillis par E.F.



Règne de l’informel

Publié le lundi, 31 août 2020

Naina Andriatsitohaina et son équipe sont laborieusement à pied d’œuvre. La tâche s’avère difficile voire complexe. Redonner le blason d’une ville, celle d’Antananarivo, s’apparente à un parcours du combattant. Les décennies de laisser-aller donnent du fil à retordre à n’importe quel élu ou nommé à la tête de la cité. L’informel tue le formel. L’anarchie assassine l’ordre établi et pénalise l’économie. Et le bordel chasse l’harmonie et mène vers l’infernal !
En fait l’informel, synonyme d’anarchie, d’indiscipline, de désordre ou de bordel, règne en maître  absolu dans la ville. A Antananarivo, on ne s’y retrouve plus ! Et comble de l’ironie, parmi d’autres Capitales du continent noir, Antananarivo peut se vanter de disposer pour le besoin de son service deux Polices, la Police municipale et la Police nationale assumant, à peu près, les mêmes attributions à savoir le maintien de l’ordre, de la discipline et la lutte contre l’insécurité. Et les contribuables paient fort. Seulement voilà, la Ville des Mille patauge dans l’anarchie. Les immondices et les saletés de tout genre se déversent partout et polluent dangereusement l’atmosphère.  Naturellement, Antananarivo décroche le podium des Capitales les plus sales d’Afrique, du monde.
Les marchés n’ont pas de limites. Ils envahissent sauvagement les trottoirs et les chaussées. Les piétons ne savent plus sur quel pied danser ou à quel lieu poser les … pattes. Des marchands  sans repères ni reproches qui s’installent n’importe où. Ils ne paient ni impôts ni taxes et sans aucune patente, pourtant ces « sauvages » plutôt ces « hors-la-loi » imposent leur bordel à tel point que la Ville des Mille remplit bel et bien les critères définissant le contour de la jungle.
L’insécurité en plein cœur de la ville, au marché, comme dans les quartiers périphériques qui plonge la Capitale dans le noir de la tourmente et favorise tous les actes de banditisme souvent armés. L’état de délabrement avancé des rues complique la tâche.
La misère vécue au quotidien déchire le cœur des âmes sensibles. Le locataire de l’Hôtel de Ville et son équipe, soutenus par des gens de bonne volonté, font de leur mieux mais le mal a déjà pris une racine en profondeur qu’il reste beaucoup trop à faire !
Certainement, le staff du nouveau maire ne chôme pas. Il ne baisse pas les bras et s’attèle à relever le défi en dépit de l’énormité de la tâche qui attend. Naina Andriantsitohaina s’attaque, contre vents et marées, à toutes les irrégularités commises durant les décennies de bordel héritées des différents responsables successifs à la Mairie.
Le patrimoine de la Capitale, victime de la voracité de certains élus, est bradé ou loué à des prix dérisoires. Il a fallu que la nouvelle équipe prenne des mesures sévères pour tout récupérer.  Les gros bonnets de l’ancien régime de la CUA tentent le tout pour le tout de jeter des bâtons dans les roues de la caravane orange mais ils ne pourront point y faire obstacle car le rouleau compresseur est définitivement en marche.
Dans le royaume de l’infernal, l’informel dans tous ses états est roi ! Propice à des  activités économiques qui échappent au filet du fisc, il handicape la trésorerie de la Commune et par extension celle de l’Etat.

La Haute Cour constitutionnelle a déclaré conforme à la Constitution la loi n°2020-006 portant modification de certaines dispositions de la loi n°2016-029 du 24 août 2016 portant Code de la communication médiatisée. Une décision dans laquelle la plus haute instance judiciaire du pays maintient l’interdiction de publication des informations non autorisée décidées lors d’une séance à huis clos. Des séances que les parlementaires ne pourront toutefois plus organiser comme bon leur semble.
Dans la décision rendue publique hier, les juges constitutionnels ont en effet fixé le régime juridique des séances à huis clos. Dans un de ses considérants, la HCC dit en effet qu’une séance à huis clos organisée au sein d’une des deux Chambres du Parlement « ne pourrait être utilisée que dans des circonstances exceptionnelles, comme advenant le cas où la sécurité de l’Etat serait compromise ; qu’en conséquence, le droit à l’information dans le domaine parlementaire demeure le principe et les restrictions l’exception ».
La HCC considère par ailleurs « qu’interdire, de manière générale et sans autre précision, la publication des rapports ou tout autres documents tenus ou établis au sein des Institutions de la République n’est pas conforme à la Constitution et aux Instruments internationaux » et soulève ainsi la nécessité d’extirper ces termes de la loi en question.
Cette décision de la HCC sonne comme un recadrage à l’endroit des parlementaires. Nonobstant des doléances des journalistes ou encore de la société civile, sénateurs et députés avaient adopté définitivement le projet de loi portant modification du code de la communication médiatisée il y a quelques mois, en y apportant des amendements dont le plus important est le maintien des dispositions de l’article 19 du code de la communication.
Dans ledit amendement, les parlementaires verrouillent de plus bel la publication des débats à huis  clos, des rapports ou tout autre documents tenus ou établis au sein des institutions de la République, alors que le ministère de la Communication et de la Culture, dans son projet de texte portant modification avait abrogé cette disposition qui ne va pas dans le sens de la transparence et de l’accès à l’information.
Au-delà d’être une victoire pour la transparence, la décision de la HCC est accueillie comme un bol d’air frais par les journalistes. L’abrogation des dispositions interdisant la publication des informations non autorisées décidées lors d’une séance à huis clos est en effet une bataille de longue haleine menée par les gens des médias à Madagascar, depuis l’adoption du code de la communication médiatisée sous l’ancien régime.
Le Mouvement pour la liberté d’expression en avait fait un de ses chevaux de bataille. Les journalistes de la Grande île ont également milité pour l’abrogation de cette interdiction lors des consultations menées par le MCC dans le cadre de l’élaboration de l’avant-projet de loi portant modification de certaines dispositions de la loi n°2016-029 du 24 août 2016 portant Code de la communication médiatisée. L’actuelle ministre de la Communication, Lalatiana Andriatongarivo, figurant parmi les têtes de proue de ce collectif de journalistes s’était engagée à défendre l’abrogation de cette disposition devant le Gouvernement et les parlementaires, a donc fini par voir son abnégation payer.
La Rédaction


Les vols internationaux à destination de Nosy Be vont reprendre dans un mois, jour pour jour, notamment pour soutenir la reprise du tourisme dans cette partie du pays. Toutefois, afin de pouvoir ouvrir de nouveau, l’aéroport de Nosy Be devra se conformer au protocole sanitaire mis en vigueur dans le monde entier. Ravinala Airports, gestionnaire de l’aéroport, est donc aujourd’hui en pleine préparation pour que Nosy Be se conforme aux normes fixées par l’Aviation civile de Madagascar (ACM) et l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). Il travaille ainsi en étroite collaboration avec le ministère des Transports, du Tourisme et de la Météorologie, sans oublier les entités touristiques et aéroportuaires de la Région pour la mise en place d’un protocole sanitaire, tel que l’installation d’une caméra thermique et d’auvents pour accueillir les passagers qui se feront dépister.

Toutefois, cette préparation ne se limite pas seulement aux infrastructures aéroportuaires mais concerne également celles hospitalières. Le concessionnaire a en effet décidé d’appuyer matériellement l’hôpital de Nosy Be pour qu’il puisse accueillir les malades. Ainsi, le directeur général de Ravinala Airports lui a remis lors du week-end dernier deux respirateurs et dix-sept concentrateurs ainsi que leurs consommables en vue du renforcement de sa capacité en prévoyance de la réouverture des vols internationaux. Les dons ont été acheminés par un vol spécial affrêté par la « Mission Aviation Fellowship » (MAF), via son Cessna Caravan. Cette action s’inscrit dans l’engagement citoyen et responsable de Ravinala Airports auprès des Municipalités où sont implantés les aéroports dont elle assure la gestion.

Pour Antananarivo, en rajout du respect des gestes barrières, notamment le port du masque, la distanciation physique d’un mètre, Ravinala Airports s’est aussi doté d’autres équipements, entre autres une machine servant aux dépistages virologiques. « 20 minutes seulement suffiront pour obtenir les résultats », précisent les responsables. Des caméras thermiques et des parois en plexiglass sont aussi en cours d’installation aux différents comptoirs où il existe une interaction entre chaque agent et passager dans le nouveau terminal. 

Rova Randria


Bonne nouvelle pour la compagnie. Tsaradia va reprendre ses activités à partir d’aujourd’hui comme l’a annoncé le Président de la République, Andry Rajoelina, le 23 août dernier, à propos des nouvelles mesures appliquées pour les prochains jours. Pour cette première vague de vols, la filiale domestique d’Air Madagascar desservira ainsi deux destinations, à savoir Antsiranana et Nosy Be. Les vols seront continus, d’après les explications fournies. Toutefois, le nombre de destinations augmentera au fur et à mesure, surtout que la compagnie a le droit de desservir Toliara, Morondava, Taolagnaro, Toamasina, Sainte-Marie, Sambava mais aussi Maroantsetra et Mahajanga. Dans tous les cas, ces vols se feront dans le respect du protocole sanitaire en vigueur. « Suivant les dispositions sanitaires exceptionnelles mises en place par les autorités, tous les passagers des vols de Tsaradia devront obligatoirement porter un masque et respecter la distanciation sociale. Des gels hydroalcooliques seront également mis à la disposition des voyageurs. Avant d’entrer dans l’appareil, ils devront se soumettre à la prise de la température et passer dans un tunnel désinfectant au départ et à l'arrivée d'Antananarivo », a expliqué un responsable au niveau de la compagnie. Tout le personnel sera attentif au respect de ces dispositions, notamment pour éviter la propagation de la pandémie de coronavirus dans les différentes Régions, sachant que la Capitale reste l’épicentre du virus.

Tests PCR

La présentation d’un certificat de test PCR négatif datant de moins de 72 heures est également obligatoire. Ce dispositif a notamment généré quelques polémiques sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Certains internautes se plaignent en effet sur le fait que Tsaradia leur fait payer le test PCR. «Nous devons payer 100 000 ariary supplémentaires pour effectuer le test PCR obligatoire, alors que nous avons déjà le prix du billet à payer », ronchonne un internaute. Pourtant, le même concept est aujourd’hui utilisé dans tous les pays du monde en marge des mesures de sécurité sanitaire. Afin de pouvoir voyager avec un vol Air France par exemple, les passagers doivent également débourser de leur poche les frais pour effectuer le même test. Et le prix dépasse de loin les 100 000 ariary. Cependant, en appliquant cette mesure, Tsaradia ne fait que se conformer aux exigences de l’Etat. « Nous avons décidé de faciliter à nos passagers l’obtention de leur certificat de test PCR, d’où l’obligation de payer les 100 000 ariary. Mais cette somme ne rentrera en aucun cas dans les caisses de la compagnie, mais plutôt dans celles de l’Etat », précise la Direction générale de la compagnie.
 
Certaines personnes ne tiennent pas en compte que Tsaradia est aussi en difficulté financière. La compagnie a cessé toutes activités depuis plus de cinq mois. Néanmoins, elle a essayé de maintenir tous les emplois afin de préserver ses collaborateurs et leurs familles. Il faudrait prendre en compte tous ces points avant tout.

Rova Randria

La une du 01 septembre 2020

Publié le lundi, 31 août 2020

Après sa victoire face à Chambly (0-3), le Paris FC a enchaîné au stade Charléty en battant le Valenciennes FC (1-0) grâce à un très joli but de Gaëtan Laura en début de seconde période. Une victoire méritée tant les Parisiens se sont procuré des occasions de but. Un début de saison idéal qui permet au Paris FC d’entamer sereinement la trêve internationale.

 

Deuxième ajournement. Le concours d'entrée en classe de seconde pour l'enseignement général et en première année pour l'enseignement technique au sein de l'école de l'Armée nationale (SEMIPI) vient à nouveau d'être reporté. Prévue se tenir d'abord au mois d'août et ensuite le 21 septembre, la session aura finalement lieu du 28 septembre au 7 octobre prochain auprès des Régiments militaires (RM) 1, 2, 3, 4, 5, 7 ainsi qu'au 2/RM5 Taolagnaro et 3/RM5 Morondava. Selon le communiqué de l'Etat-major de l'Armée en date du 27 août dernier, ce report d'une semaine s'explique par l'ajournement de l'examen du BEPC, lequel se tiendra du 21 au 25 septembre prochain.

Fil infos

  • Lutte contre la famine et les fléaux climatiques - Le Président Rajoelina plaide pour une hausse des financements
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  • Président Andry Rajoelina - Début d’une série d’inaugurations dans l’Anôsy
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  • Course pour Tsimbazaza - Une vingtaine de députés renoncent à un nouveau mandat
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Editorial

  • Constat accablant
    Lors de son périple qui devait l’amener à Amboasary-Atsimo et de retour pour rallier Taolagnaro, le Chef de l’Etat Rajoelina a eu droit à une douche froide qui l’a irrité. En effet, le numéro un du pays se mit en colère en constatant de visu des dysfonctionnements et des négligences des agents locaux en liaison avec des responsables à l’étage supérieur. Rajoelina s’insurge du fait que des responsables au niveau des Fokontany snobent carrément des consignes et instructions qu’il avait bien voulues transmettre lors de ses passages précédents notamment concernant le carnet biométrique pour chaque famille. L’Etat misait beaucoup sur l’usage à bon escient de cet instrument que chaque famille membre de la communauté (Fokontany) doit obligatoirement avoir en possession. Le père ou la mère de famille, selon le cas, est censé disposer et le garder soigneusement ce précieux outil. D’abord, on doit le remplir soigneusement avec l’aide des responsables…

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