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Tom Rochet Nambinina est le nouveau chouchou du public malagasy sur le petit écran de la télé  crochet « The Voice ». Plus connu dans le chant, Tom Rochet était aussi déjà connu dans sa région Belfortain grâce à ses performances en athlétisme. En effet, il a été le champion de France de 60m en salle dans la catégorie cadet en 2017. Il a pratiqué l’athlétisme à l’âge de 6ans et cela fait 14 ans qu’il sillonne les pistes d’athlétisme. C’est un habitué des grandes compétitions. D’origine malagasy, le demi-finaliste de The Voice, spécialiste de sprint, a montré son souhait de porter les couleurs de l’équipe nationale malagasy d’athlétisme. « Oui si l’occasion se présente, pourquoi pas ? Ça me tente », a-t-il répondu à un journaliste d’un quotidien de la Capitale lors d’un entretien. Et d’ajouter : « C’est un honneur pour moi de représenter Madagascar, c’est mon pays natal et j’ai déjà discuté de ce sujet avec mes parents ». 

L’épisode après-Lama semble être riche en rebondissements à propos de l’industrie du kidnapping au pays. Car en marge de l’élimination de ce dangereux bandit et de son frère mercredi dernier dans la Capitale, la Gendarmerie a également procédé à une vague d’arrestations, soit une vingtaine de suspects au total. Parmi ces derniers figurent un gendarme de première classe en exercice et une femme incriminée de complicité. Déférés au Parquet d’Anosy samedi dernier, ce membre des Forces de l’ordre avait été placé en détention provisoire à la prison de Tsiafahy, tandis que son co-accusée l’est à Antanimora.

Il n'était pas un simple musicien, et ceux qui l'ont côtoyé peuvent l'affirmer. Il était surtout un père, un frère, un confident avec qui l'on peut compter, surtout avec ses conseils - que ce soit concernant la musique ou la vie en général. La disparition de Sefo Nonoh ou Nirina Bruno Ramamonjison vendredi dernier a donc été comme un coup de tonnerre au cœur des fans, des artistes mais surtout des familles. Ce bassiste connu pour son grand cœur, en donnant toujours le meilleur de lui-même à chaque apparition - que ce soit en studio ou sur scène, nous a soudainement quittés à l'âge de 53 ans.

Comme en mai 1972, la chute de l’ex-président, ou l’amiral Didier Ratsiraka a été occasionnée par une révolte populaire se déroulant essentiellement sur la Place du 13 Mai à Analakely. A l’époque, la grève générale illimitée fut orchestrée  par les Forces vives ou le « Hery velona Rasalama » à la tête desquelles se trouvait le professeur Zafy Albert,  et a duré plusieurs mois après son éclatement en juin 1991, sans oublier bien sûr le carnage du 10 août à Iavoloha. Après cet épisode sanglant, il y eut l’installation, d’abord d’un Gouvernement transitoire, enfin l’écartement définitif de l’amiral  du pouvoir lors des élections de décembre 1992…

19 mars 2020-17 mai 2020. Après presque 2 mois de l'annonce officielle de la première contamination au coronavirus, Madagascar enregistre son premier décès. Kasoana Roger, un homme âgé de 59 ans et diabétique, testé positif au Covid-19, a succombé dans la soirée du samedi dernier aux alentours de 22 heures au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Morafeno, Toamasina. 

Des véhicules arrivent à franchir les dizaines de contrôle des Forces de l'ordre et les barrages sanitaires sur les routes nationales. Après la suspension des autorisations spéciales pour les trois Régions concernées par la propagation des cas contacts de Covid-19 et le renforcement des contrôles au niveau des routes nationales, beaucoup de personnes parviennent encore à sortir et à entrer  dans la ville d'Antananarivo et de Toamasina, ainsi que  dans les autres Régions comme Vakinankaratra. A preuve,  le dernier statistique communiqué, hier, par le Centre de commandement opérationnel Covid-19 ( CCO ).

Mission délicate et sublime

Publié le dimanche, 17 mai 2020

En décembre 1993, l'assemblée générale des Nations unies a adopté « La journée mondiale de la liberté de presse ». Un vote emblématique qui, en principe, tourna la page d'une longue et pénible histoire que traversait la presse dans le monde. La journée du 3 mai a été prise chaque année pour la célébrer. Pour cette année, « Journalisme sans crainte ni complaisance » a été le thème choisi. 

L’emblème de la Grande île risque de disparaître. A l’occasion de la Journée des espèces menancées, célébrée le troisième vendredi du mois de mai, l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a rapporté que « 1 865 espèces de Madagascar sont menacées, et les lémuriens sont les principaux concernés actuellement ». Ces petits singes sont aujourd’hui en grand danger. Les pressions qu’ils subissent sont encore importantes. « Mais la principale origine de cette menace reste la destruction de leur habitat naturel. Entre la coupe illicite, les feux de brousse et la carbonisation, sans oublier le braconnage, ces animaux ne savent plus où se réfugier.

Pris d’assaut. Les masques de protection chirurgicaux FFP2 connaissent une pénurie sur le marché mondial. Dans le contexte actuel où le coronavirus ne cesse de se propager, plusieurs pays se tournent vers l’utilisation des masques de protection en tissu en guise d’alternative. Les entreprises franches et textiles malagasy ont ainsi saisi cette opportunité afin d’écouler leurs produits. Dorénavant, Madagascar devient un pays exportateur de cache-bouches. « Dix entreprises ont déjà déposé leur demande d’autorisation auprès du ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat.

 

Deux mois jour pour jour après la découverte des premiers cas de contamination au coronavirus sur le territoire malagasy, le Président de la République Andry Rajoelina a effectué une adresse à la Nation hier dans la soirée. L’occasion pour lui notamment de faire le point sur l’évolution de la pandémie. Et lui de se réjouir d’emblée du respect des mesures durant le premier mois d’arrivée du virus à Madagascar, ainsi que l’application des premières mesures de restriction de déplacement, ayant permis de circonscrire relativement l’épidémie. 

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Editorial

  • Visite d’Etat
    Le pays s’apprête à accueillir une visite d’Etat. Dans une ambiance effervescente, la Grande île se prépare à recevoir sur le sol malagasy, en visite d’Etat, le Président français Emmanuel Macron le 23 avril. Ce sera le 5ème voyage officiel d’un Chef d’Etat français à Madagasikara mais il s’agit cette fois-ci d’une visite d’Etat. On entend par « visite d’Etat, un voyage officiel d’un Chef d’Etat souverain dans un pays souverain suite à l’invitation officielle du Chef d’Etat d’un pays souverain. C’est le plus haut niveau protocolaire d’un voyage officiel qu’effectue un Chef d’Etat à l’extérieur. Selon le protocole français en matière de visite ou voyage du Chef d’Etat, il existe trois sortes de voyage : le voyage officiel (d’Etat éventuellement), le voyage de travail et le voyage privé. Le général de Gaulle effectua un voyage officiel à Madagasikara en 1958. Il ne s’agissait pas d’une visite d’Etat du fait…

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