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Fin de l’épisode !

Publié le mardi, 22 mars 2022

Assisterions-nous à la fin de l’épisode de la saga « Covid-19 » ! Une triste épopée nationale voire internationale qui, de par son macabre virulence et de sa redoutable capacité de nuire, finit par terrasser les pays du monde dont évidemment Madagasikara. Vingt-quatre mois et trois jours exactement après la première annonce officielle faite par le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina, en personne, sur les ondes nationales, le 20 mars 2020, que trois personnes ont été testées positives de la Covid-19, les chiffres du bilan épidémiologique n’ont cessé de décroitre et tendent vers zéro. En tout, on ne prélève que 58 nouveaux cas dont 19 formes graves et 3 décès.

Transparence, c’est le maître- mot qui définit le souci de participation citoyenne dans l’élaboration de la loi de Finances. Dans cette optique, le ministère de l’Economie et des Finances, à travers la Direction générale des finances et des affaires générales (DGFAG), organise présentement la 4ème vague des Conférences budgétaires régionales (CBR) qui a été ouverte officiellement hier à Antsohihy et qui se tiendra en même temps à partir d’aujourd’hui jusqu’au premier avril dans toutes les Régions du pays.

« Les couleurs sont des symboles du bonheur et du renouveau. Holi est également connue sous le nom de Vasantotsav ou la Fête du printemps ». Abhay Kumar, ambassadeur de l'Inde à Madagascar, s'est exprimé ainsi le 19 mars dernier. Ceci à l'occasion de la célébration du « Holi Festival » à la résidence de l'Ambassadeur, sise à Ivandry. « Holi, le festival des couleurs, est célébré dans différentes parties de l'Inde avec faste et enthousiasme », a renchéri le diplomate.

L’après-midi de lundi 21 mars est à marquer dans les annales routières de Madagascar. A 16 heures 17 minutes de ce jour, la machine finisseuse de l’entreprise chinoise China Geoengineering Corporation (CGC) a terminé le dernier mètre de la couche finale de la chaussée sur le lot 1 de la Route nationale 44. C’était un réel événement historique pour cette portion de la route du riz (Moramanga-Vohidiala Gara).

Actuellement, un certain E. est placé en garde à vue dans les locaux de la Gendarmerie situés dans le cœur de la Capitale. Il aura à répondre de ses actes sur les assassinats barbares et inhumains de Didier Randrianandrasana(47ans) et de Jocia Hovaliany (49 ans), qui ne sont autres que l’oncle et la tante du concerné même. Car les corps sans vie et atrocement défigurés des défunts, qui sont des natifs de la Région de SAVA et ayant domicilié à La Réunion, ont été récemment découverts coincés sous un tas de blocs de rocher sur un angle d’un déblai sis à Ambohimanjanaka, quartier d’Ambohimitsinjo, Commune rurale d’Ambohimanambola.

En cavale depuis presqu’une semaine, après qu’il eut mortellement renversé le jeune Nathan (9ans) sur une portion de route à Tsarasaotra, le conducteur fugitif de la Vw Polo recherché a été finalement arrêté. La Police, qui reste encore prudente, avance que l’automobiliste de 37 ans impliqué avait été arrêté vers 5h30 du matin hier, à son domicile sis dans la localité d’Ambohidratrimo. Pour des raisons de sécurité, ni son identité, ni son statut professionnel n’a pu être encore révélé, du moins pour le moment.

LA UNE DU 23 MARS 2022

Publié le mardi, 22 mars 2022

La une du 22 mars 2022

Publié le lundi, 21 mars 2022


Des chiffres qui invitent à la prudence. De décembre 2021 à mars 2022, 121 accidents de la circulation, ayant entraîné des blessures ou des décès, ont été recensés par la Police nationale à Antananarivo, selon un bilan général des accidents de la route dans la Capitale publié hier. Une fois encore, il apparaît que la part des deux-roues motorisés, qu’ils circulent à scooter ou à moto, est prépondérante. Sur ces accidents, 99 ont causé des blessures et 22 accidents ont entraîné des décès dont 13 des conducteurs et passagers des deux-roues motorisés, d’après le rapport de la Police.
Les lieux et les circonstances de ces accidents meurtriers impliquant les deux-roues motorisés n’ont pas été communiqués. Il est sûr cependant que certains des accidents ayant fait les gros titres et marqué l’opinion ces dernières semaines figurent dans ce décompte macabre. Pour ne citer comme exemple que l’accident récent sur la rocade reliant Tsarasaotra à Ivato au cours duquel un jeune au guidon d’une grosse cylindrée a perdu la vie, après avoir percuté un 4x4 en tentant d’esquiver un cycliste. Ou encore l’accident du côté d’Ambohitrimanjaka où un homme et une femme tous deux dans la trentaine roulant à moto ont perdu la vie la semaine dernière. Vers le by-pass, c’est un autre jeune motard de périr suite à un accident il y a quelques jours.
Code de la route à réviser
La cause ? « Le non-respect et la méconnaissance du code de la route figurent parmi les raisons des accidents », affirme la Police nationale qui dénonce, dans son bilan, « l’hypocrisie de certains usagers de la route ». Ceux-ci font mine de respecter le code de la route lorsqu’ils aperçoivent des éléments des Forces de l’ordre et bafouent cette loi une fois hors de vue. La Police nationale qui continue néanmoins d’appeler à la vigilance de tous pour éviter l’irréversible.
La vitesse est aussi souvent pointée du doigt dans les témoignages lors d’accidents de deux-roues motorisés. Des motos toujours plus puissantes, des soucis techniques, des conducteurs inexpérimentés figurent aussi dans la liste des raisons évoquées par les observateurs. Les autres usagers de la route ne sont pas totalement exclus lorsque l’on parle d’accidents de moto. Sur les forums dédiés aux motos, les conducteurs de deux-roues sont nombreux à appeler leurs pairs à être vigilants lors de la conduite d’un deux-roues et de porter de bons équipements, surtout le casque, pour parer à toute éventualité.

Lalaina A.

Toujours au beau fixe

Publié le lundi, 21 mars 2022

Qui dit que la relation entre Madagasikara et la Banque mondiale (BM) se détériore ! Des esprits mal barrés osent crier sur le toit que le torchon brûle entre l’Institution de Bretton Woods, la BM, et la Grande île. En cause, avançait-on, la mauvaise gestion des aides et prêts autour de la crise sanitaire. Négatif !
Le Conseil d’administration, l’instance suprême de décision, du Fonds monétaire international (FMI) achève la première revue de l’accord au titre de la Facilité élargie de crédit (FEC) au profit de Madagasikara et approuve le décaissement de 67,5 millions de dollars.
La décision traduit en termes réels la confiance intacte de Bretton Woods à l’endroit des autorités malagasy dans la gestion des appuis et aides que la BM accorde à l’Etat malagasy. Il faut noter que l’accord de financement de ce genre suivi tacitement d’un autre accord à savoir le décaissement, le tout décidé par le Conseil d’administration, ne s’obtient pas facilement. Il existe un long processus imposé par le FMI. Le pays postulant des financements (aides et prêts ou autres) doit présenter un dossier solide et bien ficelé. Le FMI envoie sur place des émissaires composés d’experts pour étudier les tenants et aboutissants de la demande en question. Ils vérifient le bien-fondé de la démarche du pays demandeur. En même temps, ils contrôlent la gestion des financements accordés auparavant. Ils veillent au grain de toutes les procédures de dépenses. Rien n’est laissé au hasard. Tout doit être justifié et des pièces à l’appui ! Ce n’est qu’après cette longue et tatillonne procédure que le CA, tous les rapports en main, veuille étudier le cas.
Le Conseil d’administration du FMI a achevé donc de passer en revue du Document cadre sinon le Programme économique de Madagasikara et appréciant le bien-fondé de la chose qu’il approuve le décaissement de la FEC. Une « autorisation » pour les autorités locales de pouvoir décaisser immédiatement 48,88 millions de DTS soit l’équivalent de 67,5 millions de dollars.
De par ce geste de cette Institution, ayant pour siège à Washington, d’importance capitale pour la Grande île, le pays pourra stimuler la croissance et réduire la pauvreté. Il faut dire les choses telles qu’elles sont que cet accord vient à point nommé pour Madagasikara et qu’il s’agit d’un coup de chapeau attribué à l’équipe de Rindra Hasimbelo Rabarininarison, ministre des Finances et du Budget. Soit dit en passant que les deux têtes de l’Exécutif ont dû le prendre en considération dans la décision de reconduire ou non le grand Argentier à son poste. Ceci explique cela ! A signaler que l’accord du FMI signifie le sésame à d’autres financements.
De toutes les manières, le FMI reconnait les efforts entrepris par les dirigeants en place. Des efforts de redressement du pays et de relance de l’économie nationale surtout en cette période de post ceci et de post cela. La pandémie de Covid-19 et les intempéries climatiques ont laissé des traces indélébiles, difficiles à effacer. D’autant que d’après les experts du climat, la Grande île n’est pas encore sortie de l’auberge. D’autres perturbations climatiques menacent encore le pays.
Dire que l’Institution de Bretton Woods est en froid avec Madagasikara revêt tout de même d’une affirmation gratuite. Tout reste au beau fixe !

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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