dimanche, 20 octobre 2024

Décevante vérité !


Du pareil au même. C’est décevant ! A l’Assemblée nationale, le renouveau tant attendu et vivement escompté n’a pas eu lieu. Sitôt élus, à peine ils entrent en fonction, seconde session ordinaire de la cuvée 2024, les parlementaires jettent leurs voiles et brandissent les serres et les griffes de fauves et de prédateurs sans foi ni loi. Très vite, les travées de l’Hémicycle se transforment en jungle où règne la loi du plus fort. Une triste réalité ! Une décevante vérité !
Durant la pré-campagne, au moment de la campagne proprement dite, les candidats officiellement retenus pour la législative du 29 mai, s’étaient présentés à travers les affiches placardées partout comme de petits anges au sourire finalement commercial. Une fois élus, ils ont vite fait tomber leur masque et montré leur vrai visage de … voraces, de … cupides et de… sans scrupules. Et ce, toute tendance confondue ! On n’a eu droit qu’à des appâts, qu’à des leurres ! Décevante vérité !
Quand on ose fermer la porte principale aux journalistes, du moins à certains d’entre eux, on laisse certainement entrer par la porte d’à-côté les démons de la voracité, de la cupidité et de la corruption. Quand on chasse la presse, loin des oreilles et des yeux indiscrets, et qu’on joue avec l’opacité, on finit par bannir la transparence. Les réunions « à huis clos » font les siennes. Et on connait la suite. Quand on fait planer subtilement la menace de la motion, une épée de Damoclès, sur la tête de l’Exécutif pour obtenir gain de cause, on suit le même tracé, la triste voie, des précédentes législatures. Décevant constat peut-être mais c’est la triste réalité. Une décevante vérité !
Quand on convoque, à huis clos, le Grand argentier, loin des indésirables hommes et femmes de la presse, on redoute fortement qu’il soit question des avantages en nature, hors norme, dont entre autres les véhicules tout terrain, les fameux 4X4. Et Tsimbazaza s’empresse de déclarer à tous ceux qui veulent les entendre  que « les députés vont payer de leurs poches ». Mais de qui se moque-t-on ! On connait la chanson. On a déjà entendu les refrains. Après seulement quelque mois, quand les choses se tassent et après des à « huis clos », par silence, ce sera la caisse publique qui se chargera des paiements. C’est toujours comme ça ! D’ailleurs, pourquoi les parlementaires devraient-ils se sacrifier alors que les membres de l’Exécutif mènent un train de vie de pacha ? Matière à réflexion !
En fait, qu’est-ce qu’elle a de différence cette mandature en cours à celles des autres précédentes tant décriées de par leurs agissements qui frisent l’effronterie. On se moque de la difficulté chronique, des conditions de vie vulnérables et précaires de la grande majorité de la population malagasy. L’esprit du sacrifice et la notion d’austérité leur manquent cruellement. Après eux le déluge !
Qu’attend-on de cette législature (2024-2029) ? Le doute plane. L’effectivité de la lutte contre la corruption et l’éradication de l’impunité ainsi que la retouche des avantages statutaires dépendent étroitement de l’engagement citoyen des parlementaires. Autrement, il faudrait envisager la fermeture des portes de la HCJ qui, depuis la mise à flots de ses services, n’ont jamais fonctionné normalement.
Ndrianaivo

Publié dans Editorial


Le Groupement des forces spéciales d’intervention (GFSI), rattaché à la direction de la sécurité présidentielle, fête sa première année d’existence. Une cérémonie militaire à la hauteur de cet anniversaire a été organisée, samedi dernier à Iavoloha, en présence du Président Andry Rajoelina. Le chef de l’Etat s’est vu remettre des brevets de prestige au même titre que d’autres responsables des Forces armées, à savoir le ministre des Forces armées, le Général de corps d’armée Sahivelo Lala Monja Delphin, ainsi que le ministre délégué chargé de la Gendarmerie nationale, le Général de corps d’armée Rakotondrazaka Andriantsarafara Andriamitovy. Les officiers ayant contribué à la formation du GFSI ont également reçu leur brevet de mérite pour leur engagement.
Les éléments des forces spéciales Apinga ont, pour leur part, reçu leurs brevets après avoir surmonté un parcours exigeant. La formation s’est déclinée en trois étapes à savoir une formation d’aguerrissement commando de trois semaines au CNEC Ambatolaona, un entraînement de trois mois à Tampoketsa et au CNEC Ambatolaona, la formation spécialisée de quatre mois dans les centres militaires de Cap Diego et de Langaina, ainsi qu’à l’étranger. Les soldats y ont appris, entre autres, à combattre seuls en terrain hostile. Ces éléments ont été recrutés au sein des forces terrestres, maritimes et aériennes pour intégrer le GFSI, une unité d’élite dédiée à la défense des institutions et de la souveraineté nationale.
La cérémonie s’est achevée par la remise du fanion de la section de commandement et des quatre escouades d’actions spéciales, ainsi que l’inauguration d’une nouvelle infrastructure dénommée « Camp Sud ». Le Président Andry Rajoelina a félicité les soldats du GFSI tout en soulignant l’importance d’adapter les stratégies aux nouvelles menaces qui pèsent sur la sécurité dans le pays telles que les enlèvements et les pillages de ressources nationales perpétrés par des réseaux criminels. « Nous devons être prêts à démanteler ces réseaux mafieux et garantir la sécurité de notre Nation », a affirmé le chef de l’Etat.
La Rédaction

Publié dans Politique



La célébration du 35e anniversaire de l’association Akamasoa s’est tenue hier au stade Akamasoa d’Andralanitra, marquant un moment de reconnaissance pour l’engagement constant de Père Pedro Opeka envers les plus démunis de Madagascar. Ce grand rassemblement a vu la présence du Président de la République Andry Rajoelina et de son épouse, Mialy Rajoelina ce qui témoigne une nouvelle fois de leur proximité avec l’association et son fondateur.
Depuis plus de dix ans, le couple présidentiel célèbre régulièrement Noël aux côtés de la communauté d’Akamasoa, un lien fort qui dépasse les cadres du pouvoir. Cette année encore, la présence du Président Rajoelina à cet événement symbolique renforce l’étroite collaboration qu’il entretient avec Père Pedro pour soutenir les familles malgaches les plus vulnérables.
Père Pedro, arrivé à Madagascar en 1970, a créé l’association Akamasoa après avoir été confronté à la misère des habitants vivant de la décharge d’Andralanitra. En 35 ans, près de 40 000 personnes ont été prises en charge par l’association, bénéficiant d’un soutien éducatif et matériel pour améliorer leur situation. « Le rêve initial s’est partiellement réalisé », a déclaré le Père Pedro lors de cette célébration, soulignant les progrès accomplis grâce à l’engagement et aux efforts de la communauté.
Un élément important de cette journée a été la reconnaissance publique, par Père Pedro, de la détermination du Président Rajoelina à combattre la pauvreté. Lors d’une interview accordée à des journalistes étrangers, le fondateur d’Akamasoa a exprimé sa confiance dans les actions entreprises par le chef de l’Etat malgache. « Je vois que le Président Rajoelina est sensible  », a-t-il affirmé, soulignant que le Président écoute activement ses propositions et mobilise ses ministres pour les mettre en œuvre. Père Pedro perçoit un espoir tangible de réduction de la pauvreté à Madagascar, notamment grâce à la coopération entre l’Etat et des initiatives comme Akamasoa.
Le Président Rajoelina, quant à lui, a salué les accomplissements de Père Pedro, rappelant les distinctions internationales qu’il a reçues, notamment le Prix de la paix en 2023. Il a aussi encouragé tous les acteurs, qu’ils soient politiciens, entrepreneurs ou organisations non gouvernementales, à continuer de soutenir l’œuvre de l’association. Le Président a assuré que le Gouvernement resterait un allié d’Akamasoa dans ses efforts pour transformer la vie des Malgaches les plus démunis.
Lalaina A.



Publié dans Politique

Le paysage numérique malagasy s'apprête à connaître un bouleversement significatif avec le lancement officiel de Keska, une plateforme innovante qui va transformer notre manière de consommer et de valoriser les créations numériques. Fruit de plusieurs années de travail acharné, Keska est l'œuvre de Matthieu Rabehaja et de son équipe dévouée, et se positionne comme un projet phare sous le parrainage du ministère du Développement numérique, des Postes et des Télécommunications (MNDPT).

Keska n'est pas simplement une nouvelle plateforme. Elle s'inscrit également dans la continuité des réussites de Matthieu Rabehaja, déjà reconnu pour avoir révolutionné l'industrie des jeux vidéo en Afrique avec des créations 100 % malagasy telles que Gazkar, Dahalo et Transmada. L’ambition de Keska est claire : devenir un acteur incontournable de la transformation numérique en Afrique, en mettant avant tout en lumière les talents locaux. La plateforme prévoit de lancer plus de 300 contenus en 2024, incluant plus de 50 jeux vidéo et applications, 200 films, ainsi que plus de 1.000 œuvres du Répertoire de la création française. En devenant le premier store de contenu numérique indépendant en Afrique, Keska se présente comme une alternative aux géants du secteur, tout en valorisant la richesse créative et culturelle du continent. Cet audacieux projet repose sur une conviction forte : il est temps de repenser les modèles de distribution afin d'accroître l'autonomie des productions africaines. Keska offrira aux développeurs, réalisateurs et créateurs d'œuvres numériques un espace où leurs créations pourront atteindre une audience internationale, sans subir les contraintes habituelles des plateformes traditionnelles.

Catalyseur

Au-delà de son rôle dans le secteur créatif, le lancement de Keska s’annonce comme un catalyseur pour l’écosystème numérique local. Les initiateurs du projet ambitionnent de créer des emplois, de former de nouveaux talents et de stimuler l'entrepreneuriat au sein de la Région. Keska pourrait ainsi devenir un moteur essentiel pour développer une économie numérique prospère, enrichissant aussi bien la culture et l’économie locale. La vision de Keska s'étend également à l'émergence d'un écosystème numérique dynamique à Madagascar. La plateforme cherche à attirer des investisseurs et à établir des partenariats fructueux avec le secteur privé, ainsi que des acteurs publics désireux d'accompagner cette transformation. En favorisant l'accès aux créations locales, Keska aspire à inspirer d'autres projets novateurs, tout en contribuant au développement durable du secteur numérique. La plateforme sera officiellement accessible à partir du 26 octobre 2024 à 18h sur PC et téléphone mobile. Keska s'annonce comme le début d'une nouvelle ère pour la distribution numérique en Afrique, ouvrant ainsi de nombreuses opportunités pour les créateurs et les consommateurs. Les yeux de Madagascar et du continent africain seront sans doute rivés sur cet événement prometteur.

Si.R

Publié dans Culture


L'Urunani du Burundi et le Nairobi Thunder du Kenya seront les deux premiers du classement qui représenteront le groupe A lors de la prochaine phase de qualification, dont le coup d'envoi est prévu pour le 12 novembre. Malgré ses bons débuts dans la compétition, avec deux victoires contre l’équipe hôte et les Seychellois, l’équipe malgache de la Gendarmerie nationale basketball club (GNBC) n’ira pas à l'Elite 16 à l’issue de la Road to BAL (Basketball Africa League), qui a pris fin hier à Bahika, en Tanzanie. L’équipe malagasy s’est lourdement inclinée sur le score éloquent de 56-112 au tableau de la fin du match.
La dernière journée des éliminatoires du groupe D de la Division Est s'annonçait pourtant passionnante, puisque quatre équipes (Urunani, GNBC, Nairobi C. Thunder et JKT) se disputaient deux places pour l'Elite 16. Urunani mène le classement avec huit points grâce à un sans-faute avec quatre victoires. Une victoire d’hier leur aurait permis de rester invaincus dans leur quête.
Alors que NCT et GNBC étaient à égalité avec cinq points après un ratio identique de 2-1, le premier prenant l'avantage à la différence de points. Cependant, grâce à sa victoire lors du dernier match, les Kenyans prennent la deuxième place avec 7 points, contre 5 points pour les « bérets noirs », qui terminent la compétition à la troisième place.
Les hommes de Lova Raharidera sont bien conscients du défi que représentent les Burundais, mais restent optimistes. L'équipe a perdu son avant-dernier match 96-60 contre le NCT, samedi, après un parcours parfait de 2-0. Un résultat que Solonirina Ndranto a attribué à une mauvaise manipulation du ballon.
« Pour le match d’hier, nous avons fait de notre mieux. C'est une équipe très forte, nous nous sommes battus, mais la fatigue pesait sur les joueurs alors que c’était le match capital après la défaite de samedi. Nos adversaires étaient plus forts que nous », a déclaré Ndranto.
Les hôtes de JKT sont quatrièmes avec quatre points, après avoir enregistré leur première victoire samedi contre Beau Vallon Heat, qui a terminé la compétition sans victoire (0-4). Le match d'ouverture s’est tenu à 16 heures (EAT), opposant Urunani, champion du Burundi invaincu, aux Malgaches de la GNBC, tandis que Nairobi City Thunder (NCT) accueillait le JKT dans le dernier match de la compétition.
Elias Fanomezantsoa

Publié dans Sport


L'opération menée par les services de Police dont la brigade des stupéfiants, en vue de réprimer et sanctionner les utilisateurs de produits narcotiques, a été couronnée de succès dans la ville de Mahajanga. La prise s'est soldée par l'arrestation de trois suspects dont un Mauricien, mais aussi par la saisie de quelque 124  rouleaux de marijuana. Les faits remontent jeudi dernier, d'abord au village touristique où une perquisition du domicile du ressortissant mauricien en cause, se traduit par la saisie de 26 rouleaux de marijuana. Cependant, son sort reste encore incertain, la Police n'ayant pas communiqué la décision prise à son encontre, à l'issue de l'enquête, laquelle la Police a qualifié de spéciale. Et celle-ci n'a pas précisé si la drogue était prévue pour son usage personnel, ou bien à d'autres fins plus sombres, du moins dans le pire des cas. Car en comparaison, le sort qui est réservé aux passeurs et autres trafiquants malagasy arrêtés à l'île Maurice, n'est pas souvent commode.
Parallèlement à cela, deux autres suspects, cette fois de nationalité malgache, ont été aussi arrêtés pour trafic de stupéfiants dans le quartier d'Antanambao, SOTEMA. Ces présumés dealers ont été surpris avec 98 rouleaux, soit l'équivalent des contenus de trois gros sacs de jute. Mais là, à la différence du suspect mauricien, les deux présumés dealers majungais avait été placés sous mandat de dépôt, et ce, en attendant leur prochaine comparution.


Franck R.

Publié dans Société

Une issue. La valorisation énergétique des déchets en constitue une pour les pays comme Madagascar, lesquels connaissent encore des problèmes d’accès à l’électricité et à d’autres sources d’énergie, dont les combustibles propres. A cela s’ajoutent les problèmes de gestion des déchets, affectant la santé publique et environnementale. La Commission de l’océan Indien, à travers son projet « TWENex », mise sur la transformation du secteur des déchets vers une gestion durable de cette chaîne de valeur et la production d’énergie. Pour la Grande île, le projet soutient et promeut des technologies localement adaptées pour la production de combustibles biologiques alternatifs, fabriqués à partir de résidus de biomasse urbains, agricoles et agroalimentaires. Outre ceux pédagogiques, deux laboratoires vivants sont actuellement en place, l’un à Alakamisy-Fenoarivo et l’autre à Toamasina. Apparemment, les déchets peuvent être une source de revenus pour la population, à condition que celle-ci soit rassurée et éduquée sur les solutions novatrices de gestion et de valorisation.

Fermentation méthanique et alcoolique
A Madagascar, le projet « TWENex » est mis en œuvre par AIDES Développement et le Centre national de recherche industrielle et technologique (CNRIT). Ces porteurs de projets se chargent de la recherche appliquée sur des technologies déployées, tout en contribuant à leur transfert vers les opérateurs publics et privés. Concrètement, la valorisation énergétique des déchets se concentre sur l’utilisation des technologies de fermentation méthanique et alcoolique. La première fermentation, mise en œuvre dans le laboratoire vivant d’Alakamisy-Fenoarivo, produit du biogaz et du « biotsar », des combustibles propres. « Nous collaborons étroitement avec les paysans pour la collecte des déchets. Ils ont été sensibilisés au préalable sur le tri et reçoivent de l’engrais contre les déchets qu’ils rapportent », avance Ernest Tsikel’Iankina, enseignant-chercheur auprès du CNRIT. Le laboratoire vivant à Toamasina produit, quant à lui, du bioéthanol, et ce, à partir des déchets de litchis. Ces derniers sont riches en sucre et en amidon, ce qui favorise la fermentation alcoolique.
 
Des produits tangibles dans un mois
Les premiers résultats attendus en fin novembre. Les laboratoires vivants du projet « TWENex » auront leurs propres produits dans un mois, selon les informations recueillies. « L’usine de Fenoarivo dispose d’une capacité de production journalière de 20 à 25 m3 de biogaz ainsi que de 250 à 300 kg de briquettes de charbon. Ces produits seront proposés à un prix plus accessible par rapport aux combustibles déjà sur le marché actuel », lance notre source au sein du CNRIT. Quant à l’usine à Toamasina, la capacité de production étant de 120 litres de bioéthanol par jour, pouvant couvrir jusqu’à 100 ménages. Dans un premier temps, les produits seront utilisés par quelques ménages et des employés de l’entreprise partenaire. Mais une fois mis au point, un nombre plus large de bénéficiaires pourrait en avoir accès. Par ailleurs, le projet inclut la formation des étudiants issus de l’Ecole polytechnique de l’Université d’Antananarivo, ceux de Mahajanga et ceux de Fianarantsoa. Ces étudiants bénéficieront d’un soutien technique et technologique pour leurs projets…
P.R.

Publié dans Société

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Editorial

  • Ateliermania !
    Table-ronde par ici. Journées de réflexion par là. Atelier de validation par ailleurs. Il n’y a pas un mois ou un trimestre de l’année sans qu’on organise des réunions de petits groupes pour tel ou tel sujet sinon thème particulier. Et les responsables, les organisateurs, s’apprêtent à tous les coups, à la fin des travaux, à conclure devant la presse les résultats positifs des séances de travail.En cinq décennies, sans compter les dix ans et plus de la Première République, les ateliers de travail s’étaient tous terminés par des résultats encourageants sinon concluants. Aucune de ces séances de travail ne s’était soldée par des résultats négatifs. Mais, durant ces cinquante ans de travaux positifs, le pays ne fait que reculer jusqu’à aboutir en ce moment en l’état d’un Etat le plus pauvre du monde. Quelle contradiction ! Après ces centaines voire ces milliers travaux d’ateliers portant sur des sujets ou…

A bout portant

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