Les députés et les sénateurs entament depuis mardi la seconde session ordinaire. Conformément à l’esprit et la lettre de la Loi fondamentale dans son Article 75 qui stipule en substance : l’Assemblée Nationale se réunit de plein droit en deux sessions ordinaire par an. La première commence le premier mardi du mois de mai et la seconde le troisième mardi du mois d’octobre. Et la seconde session est consacrée principalement à l’adoption de la Loi des Finances pour l’exercice budgétaire de l’année qui suit. Par analogie du texte, l’Article 75 s’applique aussi aux sénateurs.
Serait-il trop demandé d’attendre de nos parlementaires de primer entre tous pendant toute la durée de cette seconde session ordinaire des actes citoyens. En cette session ordinaire, nous entendons par actes citoyens « que les députés et sénateurs se consacrent aux discussions et aux débats préservant les intérêts supérieurs de la Nation. » Par conséquent, que les débats ayant cours aux petits calculs d’intérêts individuels ou partisans contraires à l’esprit d’un citoyen responsable soient bannis de cette auguste Assemblée. En effet, « être citoyen suppose un sens de responsabilité envers le peuple et la Nation toute entière ». D’ailleurs, l’essence même d’être un député réside dans le fait d’être le « représentant du peuple » (Solombavambahoaka). C’est une mission sacrée ! L’écharpe frappée aux couleurs nationales que chaque parlementaire arbore fièrement à toute cérémonie officielle et solennelle traduit en soi de façon légitime la lourde responsabilité nationale que chaque député et sénateur porte sur leurs épaules.
A chaque début de mandature, les parlementaires se laissent tenter de se livrer à des débats futiles. Apparemment, ils oublient déjà le caractère sacré de leur mission en mettant en avant certains profits personnels au détriment des intérêts de base du pays. Observateurs et concitoyens avertis craignent que les députés nouvellement élus s’adonnent à des séances de débat, à huis clos, loin des oreilles et des yeux indiscrets, exit la presse indésirable, relatif aux avantages en nature entre autres le véhicule tout-terrain (4X4). Certains vont défendre corps et âme la « cause ». D’autres vont brandir le vieux principe basé sur les … droits acquis ! Mais, les droits acquis ne peuvent pas s’asseoir sur la réalité dictée par les contraintes budgétaires en particulier. Devrait-on rappeler que le pays, la très grande majorité de la population, végète dans des conditions de vie misérable. On est non plus pauvres mais misérables. Trop c’est trop de faire supporter le pays des avantages exorbitants de ces élus. On peut aller loin. On aimerait entendre de la bouche des députés le débat sur la restriction budgétaire et cela au nom de la politique d’austérité. Que tout le monde se serre la ceinture ! C’est un thème digne de la grandeur d’âme des parlementaires.
On peut aussi débattre sur la question de la lutte contre la corruption. Le CSI par le biais du Comité ad hoc est en train de boucler l’échafaudage d’une Nouvelle Stratégie de la lutte nationale contre la corruption, N-SNLCC, les parlementaires doivent contribuer à rendre effective cette « lutte » sacrée. L’Assemblée nationale doit cesser d’être partie prenante de la source de blocage à la lutte contre la corruption. Par ailleurs, les tablettes et les mallettes doivent disparaitre totalement des travées de Tsimbazaza.
Ndrianaivo
Deux nouveaux ambassadeurs présentent leurs lettres de créance à Iavoloha.
Le Président de la République de Madagascar, Andry Rajoelina, a reçu hier deux nouveaux ambassadeurs qui ont présenté leurs lettres de créance. Cette cérémonie a eu lieu à Iavoloha, la résidence officielle du Président. Les ambassadeurs en question sont M. Alberto Vecchi, représentant de la République d'Italie, et M. Emmanuel Hategeka, représentant de la République du Rwanda. La présentation des lettres de créance a pour objectif principal de renforcer les relations diplomatiques entre Madagascar et ces deux pays. Le Chef de l’Etat a exprimé son engagement à travailler en étroite collaboration avec ces nouveaux ambassadeurs pour promouvoir des échanges constructifs. Un des domaines prioritaires identifiés pour la coopération est l'agriculture. Des discussions sont attendues sur les changements nécessaires dans ce secteur vital pour le développement économique de Madagascar. La promotion du tourisme est également un aspect crucial de la coopération. Madagascar, avec sa biodiversité unique et ses paysages diversifiés, présente un potentiel énorme. Les ambassadeurs travailleront à développer des stratégies pour attirer davantage de visiteurs, ce qui pourrait avoir un impact positif sur l'économie locale. Enfin, les infrastructures ont été mentionnées comme un domaine clé pour la collaboration. Des projets d'amélioration des infrastructures sont nécessaires pour soutenir le développement durable de Madagascar.
Edgard Razafindravahy en mission à Madagascar. Le secrétaire général de la Commission de l’océan Indien (COI), Edgard Razafindravahy, est actuellement à Antananarivo, la Capitale de Madagascar. Cette visite est marquée par la tenue d'une importante rencontre sur la paix et la sécurité au Carlton hier. Cette mission à Antananarivo représente la première visite d'Edgard Razafindravahy sur son île natale depuis son accession au poste de secrétaire général. Avant de rejoindre la COI, il a occupé le poste de ministre de l'Industrialisation, du Commerce et de la Consommation. Son expérience en tant que ministre lui confère une connaissance approfondie des enjeux économiques et sociaux de la région. Edgard Razafindravahy a été nommé secrétaire général de la COI, devenant ainsi le dixième à occuper ce poste. Il a succédé à Vêlayoudom Marimoutou. Sa nomination a été validée lors d'une session extraordinaire du Conseil des ministres de la COI, qui s'est tenue le 15 juillet dernier. Cette décision a été prise sur proposition du Président de Madagascar. La rencontre au Carlton est considérée comme cruciale pour aborder les questions de paix et de sécurité dans l'océan Indien. La COI, en tant qu'organisation régionale, joue un rôle essentiel dans la promotion de la coopération et de la stabilité au sein des pays membres. Les discussions qui auront lieu durant cette rencontre devraient permettre de renforcer les relations entre les Etats membres et d'identifier des solutions aux défis communs.
Remise de la copie figurée des lettres de créance de Khazamula Lawrence Chabane, nouvel ambassadeur de la République d'Afrique du Sud à Madagascar. Hier, La ministre des Affaires étrangères, Rafaravavitafika Rasata, a reçu une copie figurée des lettres de créance du nouvel ambassadeur de la République d'Afrique du Sud à Madagascar. Cette rencontre s'inscrit dans le cadre du renforcement des relations bilatérales entre Madagascar et l'Afrique du Sud. Les relations diplomatiques entre Madagascar et l'Afrique du Sud ont été établies officiellement le 27 janvier 1992. Depuis cette date, un partenariat solide a été développé, permettant aux deux pays de collaborer sur divers fronts. La coopération a été marquée par des échanges réguliers et des initiatives communes. Lors de cette réunion, plusieurs points clés de la coopération bilatérale ont été abordés, notamment des moyens de renforcer les échanges économiques et culturels et les enjeux régionaux incluant la sécurité et le développement durable. Les discussions ont également porté sur les initiatives à l'échelle internationale qui pourraient bénéficier aux deux nations. Avant cette nomination à Madagascar, le nouvel ambassadeur a occupé plusieurs postes de direction au sein du Département des relations internationales et de la coopération, notamment en tant que directeur Afrique australe. De plus, il a également servi en tant que Troisième secrétaire à l'Ambassade d'Afrique du Sud à Cuba, enrichissant ainsi son expertise en relations internationales.
Le raphia malagasy à l’honneur au salon Magic Sourcing à New York
Le salon Magic Sourcing, qui s'est tenu à New York du 22 au 24 septembre 2024, a permis de mettre en avant l’artisanat malagasy. Le ministère des Affaires étrangères de Madagascar a soutenu cette initiative en offrant une plateforme aux Ateliers Feel Good, qui ont su représenter le pays avec brio. Ces ateliers se sont distingués lors de cet événement en exposant des créations qui révèlent le talent des artisans malagasy. Ces derniers travaillent avec des matériaux naturels, notamment le raphia, pour fabriquer des pièces uniques. Ces créations sont destinées à des maisons de mode et de décoration de renom à l’échelle internationale. La participation au salon Magic Sourcing vise plusieurs objectifs. D'une part, il s'agit de valoriser l’excellence du savoir-faire traditionnel malagasy. D'autre part, elle permet de promouvoir une économie durable et éthique. Les Ateliers Feel Good s'engagent activement dans l’autonomisation des femmes et le développement local, contribuant ainsi à une dynamique positive pour les communautés. Des initiatives sont mises en place pour fournir des opportunités aux femmes artisans. En plus, le soutien à l'artisanat local contribue à la croissance économique de Madagascar.
Contrairement aux pratiques établies depuis des décennies, les députés devront, cette fois-ci, contribuer à l’achat de leurs véhicules. L’information a été confiée par des sources au sein de l’hémicycle de Tsimbazaza.
En effet, la deuxième session ordinaire du Parlement a démarré à la Chambre basse avec, comme point focal, la discussion sur la Loi des Finances. Mais en marge de ce débat, une autre question occupe les esprits : celle des véhicules 4x4 pour les députés. En effet, comme à chaque mandature, la dotation des véhicules tout-terrain pour les élus refait surface. Depuis l’époque du Premier ministre feu Francisque Ravony, qui avait généreusement offert des véhicules tout-terrain aux députés pour calmer les tensions, cette tradition est devenue presque un droit non écrit. Chaque nouvelle législature semble y avoir pris goût.
L’argument qui revient sur les députés : ce ne sont pas des fonctionnaires ordinaires. Ils exercent un mandat d’une durée limitée, avec des responsabilités multiples et une forte exigence de proximité avec leurs électeurs, surtout dans un pays aussi vaste et géographiquement complexe que Madagascar. Les routes de certaines circonscriptions rurales sont souvent difficiles d'accès, et des véhicules tout-terrain sont indispensables pour assurer leur mission de représentation et de suivi des actions sur le terrain. Dans ce contexte, l’acquisition de véhicules adaptés relève moins du luxe que d'une nécessité logistique.
La nouveauté de cette législature est que les députés devraient participer financièrement à l’achat de ces 4x4, selon nos sources. Certains pourront voir cela comme une mesure d’austérité ou une tentative de réduire les avantages perçus comme excessifs. Toutefois, cette participation financière est le signe d’une évolution positive. En demandant aux élus de contribuer, l’Etat instaure une forme de responsabilité partagée. En effet, une partie de l’indemnité compensatrice de transport sera prélevée pour aider à couvrir les frais, tandis que l’Etat servira de garant pour faciliter l’opération.
Cette mesure, loin de diminuer le statut des députés, renforcerait leur engagement. Il s'agit de montrer qu'ils sont prêts à investir dans leurs outils de travail et partager la charge des dépenses publiques dans un contexte où l'Etat doit gérer avec parcimonie les ressources financières. Cette démarche peut en outre contribuer à améliorer l'image des élus dans l’opinion publique, souvent critiquée pour des avantages perçus comme disproportionnés.
La Rédaction
Hier, au village Zoari situé à Ilafy, la chanteuse Lalatiana et ses musiciens ont livré une répétition exceptionnelle, marquant ainsi un moment fort pour ses fans. Cet événement, très attendu, s'inscrit dans le cadre du retour de la célèbre artiste malagasy sur sa terre natale. Pour célébrer ce retour, Mi’Ritsoka production a décidé de mettre Lalatiana à l'honneur, offrant aux mélomanes une occasion unique de la retrouver sur scène. Ce dimanche, à partir de 15 heures, la grande dame du jazz malagasy se produira sur la prestigieuse scène du Palais des Sports de Mahamasina pour un concert nostalgique inoubliable. Mi’Ritsoka, la maison de production, a promis un spectacle à la hauteur des attentes. « Le concert se tiendra au Palais des Sports Mahamasina. Pour le bon déroulement, nous avons décidé de n’utiliser que la moitié de la grande salle. Ainsi, nous avons mis les bouchées doubles pour garantir un concert spectaculaire et grandiose », a déclaré le premier responsable Mi’Ritsoka Production. Pour cette occasion, Lalatiana sera accompagnée de plus de 12 musiciens et de trois choristes, promettant ainsi une performance riche en émotions. Dans un message à ses fans, la chanteuse a précisé : « Ce sera le seul grand concert que je donnerai au public malagasy cette année. Je ne souhaite pas dévoiler tous les détails concernant le déroulement ou la durée du concert, mais je peux assurer que ce sera un moment spécial. Nous nous engageons à donner le meilleur de nous-mêmes pour ravir le public », annonce la chanteuse
Renom
Lalatiana, véritable figure emblématique de la musique malagasy, n'a plus besoin d'être présentée au grand public. Avec une carrière impressionnante qui s'étend sur plus de trois décennies, la chanteuse a su conquérir le cœur de nombreuses générations grâce à ses nombreux succès intemporels. Ses chansons, souvent chantées en chœur lors de fêtes amicales et familiales, continuent de résonner dans les esprits, témoignant de l'impact durable de son art. Les amateurs de karaoke ne manquent jamais d’ailleurs de réclamer ses titres cultes, que ce soit lors de soirées entre amis ou dans des événements festifs. Malgré sa résidence actuelle en France, Lalatiana demeure une figure centrale de la culture musicale malagasy. Avec déjà six albums à son actif, Lalatiana est la voix qui a bercé les oreilles des fans des années 80 et 90 à Madagascar. Ce concert promet de raviver les souvenirs et de séduire une fois de plus son public, fidèle à son style romantique et à sa voix chaleureuse. La simplicité et l'émotion qui émanent de sa musique continuent de toucher les âmes, faisant d'elle une artiste d’exception.
Si.R
L’ONG française Zazakely Sambatra, engagée à Madagascar depuis plus de 20 ans, entame un tournant significatif en devenant « Génération Mada ». Ce changement de nom, selon son directeur général, Julian Beck, symbolise une aspiration renouvelée et une volonté d’élargir l’impact de ses actions en faveur de la jeunesse malagasy. A l'origine, Zazakely Sambatra, signifiant « petits enfants heureux », s'était concentrée sur le programme KETSA, qui offrait un accompagnement holistique aux jeunes jusqu'à ce qu'ils atteignent leurs aspirations professionnelles. Cependant, le directeur de Génération Mada souligne que ce modèle, bien qu'efficace, ne suffisait pas à enrayer la spirale de la pauvreté et la vulnérabilité qui touche encore de nombreux enfants à Madagascar. « Au lieu de mettre des pansements sur des plaies, nous devons apprendre aux enfants à marcher », déclare-t-il, affirmant l'importance de préparer la future génération malagasy à prendre les rênes de leur pays. Ce changement de nom et de stratégie s'inscrit dans un contexte plus large. Madagascar, avec plus de 50 % de sa population âgée de moins de 25 ans, fait face à des défis considérables. « La population devrait doubler à l'horizon 2050 », précise Julian Beck, soulignant l'urgence d'interventions efficaces. Dans un pays où les infrastructures et les compétences de l'Etat peinent à soutenir un développement équilibré et inclusif, la mission de Génération Mada devient ainsi cruciale.
Innovation pédagogique
L'ONG propose désormais des innovations pédagogiques reconnues internationalement et s'engage avec diverses structures éducatives qu'elles soient publiques, privées ou associatives. En se basant sur des critères de vulnérabilité, Génération Mada s'efforce d'inclure tous ceux qui souhaitent bénéficier de ses programmes, sans se mêler de politique ou de religion. Notre responsable insiste ainsi sur le fait que « nous voulons inspirer, pas seulement intervenir à commencer par devenir nous-mêmes des acteurs du changement », et que chaque jeune qui bénéficie de ces programmes a le potentiel de devenir un agent de changement dans sa communauté. Le rebranding à Génération Mada représente également un appel à la connexion et la solidarité entre les jeunes du Sud et ceux du Nord. Dans un monde confronté à des crises telles que le changement climatique et les conflits, l’ONG voit Madagascar comme un microcosme des défis globaux. Reflétant une vision optimiste et pragmatique des interventions sociales. Un aspect essentiel de cette démarche est le désir de collaboration. Julian Beck souligne que, dans un contexte où il est souvent difficile de lever des fonds, l'ONG cherche à créer des synergies plutôt que de se battre pour des ressources. « Nous voulons partager nos connaissances sans condition », précise-t-il, insistant sur l'importance d'unir les efforts pour générer un impact significatif.
Hary Rakoto
Drame au sein d'un couple, mardi soir dernier à Toliara. Une jeune femme répondant au nom de Sandra Hortencia Raharinirina, cette ex-résidente de la Commune de Mitsinjo, à Toliara II, a été assassinée de coups de couteau dans un appartement sis dans un quartier de la cité du soleil. A l'index comme le suspect dans ce meurtre, un policier stagiaire en service au commissariat de Betania, et qui n'est autre que le compagnon de la victime, selon une source policière. Ce dernier est actuellement introuvable après qu'il a pris la fuite, sitôt après le meurtre. Ce mardi-là, précisément vers 21h30, la Police fut informée sur le fait que son élément stagiaire, venait d'assassiner son amie. Mais avant que les choses ne se tournent très mal ainsi, du moins pour la victime, les voisins de quartier du couple, ont affirmé l'avoir entendu se disputer violemment, du moins dans des vifs échanges verbaux. Puis, les riverains s'étonnaient du silence suspect en provenance de la maison des protagonistes. Et là, stupeur chez certains riverains en constatant une fenêtre de la maison laissée ouverte alors que la porte principale, elle, est restée verrouillée, depuis l'intérieur, selon une source. Ce qui laisse supposer que le suspect, actuellement recherché par la Police, mais aussi la Gendarmerie, se serait échappé à travers cette fenêtre. En attendant, l'enquête se poursuit tandis que les proches de la victime ont porté plainte pour homicide volontaire.
Franck R.
Ce dixième mois de l’année, promet d'être joyeux avec les nouvelles offres dans le secteur de l'électroménager. A l’instar de la société « Baolai » sise à Analakely, Soarano et Bazar Be Toamasina, fidèle à sa renommée, elle est toujours à la pointe de la technologie. Dans cette optique, elle offre un large panel de possibilités au citoyen lambda. « Nous avons maintenant une nouvelle Télé Led de 12 volts ( 19 – 22 et 24 pouces) qui peut fonctionner avec une batterie (sans courant). Sans oublier, les subwoofer et les micro. Une remise conséquente est déjà effective sur nos écrans plats de marque « Jeyoo », disponible entre 17 et 98 pouces (avec une garantie de 12 mois). Les détails sont à découvrir sur le site web, la page facebook : baolai ou au 033 37 188 88 (heures de bureau) », d'après un responsable.
D’autres articles y sont déjà disponibles comme les Smart tv et télé led ( Hisense et Toshiba) - Laser Tv ( disponible jusqu' à 120 pouces ) : avec une garantie de 1 an, les friteuses et four multi - fonction, les réfrigérateurs, les panneaux solaires mono et polycristalline, les cuisinières à gaz et électrique, les lave - vaisselles, les congélateurs ( froid actif après le délestage), les synthétiseurs, les machines à laver smart wi-fi, les climatiseurs, les machines à café à capsule, les mini – chaînes, les tables de mixage, etc. Avec du high- tech, au design tendance de chez Baolai, le quotidien du citoyen lambda sera haut en couleur.
Rendez-vous au Palais des Sports de Mahamasina les 2 et 3 novembre prochains pour vivre le tournoi de basketball 3x3 Alleyhoop, 6ème édition, organisé par la Team RDJ. Vu le nom de l’organisation, l’ambiance s’annonce déjà démentielle pour les amoureux de la balle au panier. La présentation de l’événement a eu lieu hier au Lab Orange Gare Soarano.
Après un semblant d'accalmie, le phénomène lié à la contrebande de gazole frelaté refait subitement surface à Toamasina, ces jours-ci. Et il a fallu que la Section de recherche criminelle de la Gendarmerie ou SRC de Fiadanana, dans la Capitale s'est déplacée jusque dans la cité portuaire de l'Est où elle est rejointe par la CRGN, pour diligenter une enquête, avant que le pot aux roses ne soit révélé au grand-jour. L'investigation menée sur place par la SRC Fiadanana, a permis de procéder à une assez importante saisie des dizaines de milliers de litres de ce carburant frelaté à Toamasina, au cours de la semaine dernière.
Disparaître pendant quelque temps et resurgir après deux semaines. Les rabatteurs ou « facilitateurs » au niveau de nombreux bureaux administratifs sont de retour actuellement. En effet, après les mesures prises par l’Etat de renforcer la surveillance de ses locaux à l’aide de caméra de surveillance ou la mise en place de clôtures, notamment au Palais de justice situé à Anosy, l’activité de ces « chasseurs » de citoyens ayant affaire avec l’administration n’a faibli qu’un petit moment. « L’application stricte des contrôles a permis aux usagers qui ont des papiers administratifs à régler de jouir d’un environnement sain.