Le réseau continue d'opérer. Alors que l'on croit en finir avec le réseau de trafiquants de carburant frelaté à Toamasina, certains de ses membres se trouvant sous les verrous, le phénomène refait subitement surface ! Cependant, on ignore s'il existe un lien ou non avec le récent et vaste coup de filet : 24 nouvelles arrestations, ce qui équivaut donc à d’autres suspects à présenter au Parquet, si ce n'est déjà fait !
Touchons du bois ! Hier, les révélations du patron de la section de recherche criminelle (SRC) de la Gendarmerie de Fiadanana, le colonel Tahiana Ravelomanana, ont permis de savoir que ce réseau vend son carburant frelaté dans des localités situées dans le nord de Toamasina telles que Mananara-Nord, Maroantsetra ou encore Soanierana-Ivongo. L'arrestation des 24 personnes récemment impliquées dont 9 sont les présumés commanditaires, découle d'une plainte par l'Office Malgache des Hydrocarbures ou OMH auprès de ce service de la Gendarmerie. Avec ce récent développement de l'affaire, espérons que le réseau en cause a été réellement démantelé.
Après une ouverture de l'enquête, l'équipe de la SRC a ainsi effectué une descente sur place, pour surprendre le réseau de trafiquants, le 10 octobre dernier. C'était dans ces circonstances qu'elle a pu mettre la main sur le carburant frelaté et qui était saisi dans 10 habitations différentes dans les quartiers de Toamasina : 7.950 litres de gazole, 11.410 litres d'essence, 4 véhicules, 5 motos, 8 pompes, et enfin 4 camions citernes.
Concernant particulièrement ces camions citernes, les chauffeurs qui travaillent pour le compte des sociétés de transports, et qui sont en contact avec le réseau, les font garer dans la voie publique. Cette situation facilite le travail des contrebandiers afin de pomper le carburant authentiques des cuves. Par la suite, les trafiquants ajoutent du pétrole sur le gazole. Pour supprimer la teinte rouge, propre au pétrole, ils versent finalement de l'acide sulfurique là- dessus, et le tour est joué !
Hier, le patron de la SRC Fiadanana a annoncé qu'une partie des suspects avaient été auditionnés par le Parquet d'Anosy. Mais l'enquête devra reprendre encore la semaine prochaine. De fait, les 24 personnes impliquées et arrêtées à Toamasina, vendredi dernier,  ont vu leur période de garde à vue à Fiadanana se prolonger encore. Enfin, l'OMH lance un appel aux usagers afin d'être très vigilants car le carburant frelaté constitue un danger pour la distribution de ce produit dans le pays.
Franck R.

Publié dans Société
mardi, 22 octobre 2024

Tsimbina


Sans crier gare ni tambour battant, le programme « Tsimbina » fait son bonhomme de chemin. Il  continue sur sa trajectoire, sans faire trop de bruit ni tam-tam, pour aller à la rencontre des populations vulnérables vivant dans la précarité. Le programme « Tsimbina » s’inscrit dans l’accompagnement des gens des couches populaires de manière à ce qu’elles puissent tenir debout face aux caprices souvent intenables de la misère. Une action visant à renforcer la résilience du pays.  Soutenu par la Banque mondiale, « Tsimbina » ambitionne de contribuer aux efforts de redressement de la Nation.
Le lancement des opérations « Tosika Fameno » ou « Tsimbina » entre dans le cadre de la réponse globale du Gouvernement malagasy aux impacts collatéraux de la crise sanitaire, la pandémie de Covid- 19 à partir de 2020 jusqu’en début de 2022. En effet, il fallait soutenir par des aides en nature les couches populaires les plus vulnérables et parallèlement consolider les bases pour mieux asseoir la résilience auprès de la population. C’est une exigence voulue par l’état de nécessité nationale décrété par le Gouvernement. La pandémie écartée, du moins en général, les tenants du pouvoir avec le concours des soutiens matériels des bailleurs dont la Banque mondiale se trouvent dans l’obligation  de continuer l’assistance en moyens matériels la population en situation de précarité.
Le département en charge de la population et de la solidarité nationale, au nom du Gouvernement  s’occupe des actions sur terrain. Un calendrier de dispatching national par Région est établi. Tout récemment, la Région de Vakinankaratra a été le théâtre de la distribution. Une somme modique, pour certains peut-être, de 150. 000 ariary a été perçue par chaque ménage bénéficiaire pour le District d’Antsirabe. Dans la Commune d’Ambohibary – Sambaina 4. 296 ménages ont été ciblés et 2. 558 à Ambatolampy. Ces familles défavorisées éprouvent la plus grande difficulté à surmonter les effets  dévastateurs de la misère. En fait, il y avait eu déjà un premier paiement. Le deuxième s’effectuait ce vendredi dernier. En somme, dans la Commune d’Ambohibary, 12. 139 personnes au total ont bénéficié du programme « Tsimbina » contre 7. 962 à Ambatolampy.
Aurélie Razafinjato, la ministre de la Population et de la Solidarité nationale supervisait la distribution dans cette Région de Vakinankaratra. Et à chaque déplacement, la ministre ne manquait pas de rappeler que cette aide financière n’a pas été conçue pour suppléer aux efforts individuels de chacun à améliorer directement leur condition de vie. Il ne s’agit que d’un coup de pouce. Le feu Amiral Didier Ratsiraka l’avait bien dit dans son « Boky Mena » : « Nous avons besoin des aides (de l’extérieur) pour nous aider à se débarrasser des aides ». Ce fut une belle parole mais qui, malheureusement, n’avait pas été suivie d’actes concrets.
Un proverbe japonais dit que « Si tu veux aider un pêcheur, offre lui une canne à pêche au lieu d’un poisson ». Le grand Roi Andrianampoinimerina n’a jamais donné du manioc ou de riz à ses sujets, il leur a offert d’une bêche et les encourage à travailler. Ainsi, le programme « Tsimbina » vise à accompagner les concitoyens en difficulté mais ce programme ne remplacera jamais les efforts de chacun à améliorer leur condition de vie.
Ndrianaivo

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La série de lobbyings menée par le Président Andry Rajoelina afin d’attirer les investisseurs étrangers à Madagascar commence à porter ses fruits. En effet, une délégation de China Communication, Construction Company dirigée par son président directeur général Wong Tongzhou est dans nos murs et a pris part à une réunion de travail avec le Président de la République hier au Palais d’Iavoloha. Une réunion qui intervient à un mois après sa rencontre avec les responsables de ce géant de la construction en marge du forum de la coopération Chine – Afrique (FOCAQ) à Beijing au mois d’août dernier.
D’emblée, le PDG du groupe fait part de son enthousiasme à « concrétiser les projets qui sont chers au Président dans le cadre de la Politique générale de l’Etat ». Plusieurs sujets importants, dont la construction de la Route du Soleil, une route de 2 000 km reliant Antsiranana et Taolagnaro et traversant la partie orientale de l'île, ont été évoqués au cours de la réunion qui a duré près de deux heures. Il s’agit d’un projet majeur qui permettra d’améliorer, de faciliter et d’accélérer la circulation des personnes, des biens et des équipements. Ce projet libérera également de nombreux villages de l'isolement et conduira à un développement harmonieux et égalitaire pour toutes les Régions, en particulier celles touchées par ce projet.
Le rétablissement du réseau ferroviaire a également été au cœur des discussions. « Il est nécessaire de relancer les lignes ferroviaires notamment pour le transport des marchandises stratégiques et dangereuses. Un exemple en est le pétrole. Il y a aussi des charges lourdes transportées par les camions qui endommagent les routes. Les chemins de fer peuvent également être utilisés comme moyen d’attirer les touristes locaux qu’internationaux », selon le chef de l’Etat.
Energie
L'un des projets importants discutés lors de cette réunion concerne également le domaine de la production d'énergies renouvelables, notamment les centrales hydroélectriques. Outre les projets signés avec d'autres partenaires étrangers, il en reste encore beaucoup que le Gouvernement souhaite structurer et mettre en œuvre rapidement. Le Président a souligné que Madagascar a produit jusqu'à présent 600 mégawatts d'électricité alors que les besoins s’élèvent à 1 800 mégawatts. La production d’énergie sur l’île doit donc être triplée.
Dans son discours, le Président a indiqué que « aujourd'hui, on subventionne la JIRAMA, la société d'Etat qui produit de l'électricité à hauteur de 250 millions de dollars. (…) Donc nous voulons, aujourd'hui, avec votre contribution, investir massivement dans l'énergie renouvelable, les barrages hydroélectriques ». Une manière pour le numéro un du pays de solliciter l’accompagnement et l’expérience de ce groupe dans la résolution des problèmes d’énergie à Madagascar.
A noter que le groupe CCCC n’est pas nouveau en matière d’infrastructure à Madagascar. Ses filiales China Road and Bridge Corporation (CRBC) et China Harbour Engineering Company (CHEC) sont les artisans de la construction de la RN5A (Ambilobe – Vohémar), ou encore de la voie rapide reliant Ivato à Ambohitrimanjaka.
Nikki Razaf

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Accélérer la transition énergétique. C’est en ce sens qu’un atelier consacré à la promotion de la cuisson propre s’est tenu, hier à l’hôtel Carlton Anosy. Cet événement a rassemblé divers acteurs gouvernementaux, organisations internationales et représentants du secteur privé pour aborder la transition vers des solutions de cuisson moins polluantes et plus durables. En effet, en 2022, seuls 36 % des ménages avaient accès à l'électricité, et la grande majorité de la population dépend encore de la biomasse pour la cuisson, notamment le bois et le charbon. Ces pratiques contribuent à la déforestation et à la pollution de l'air intérieur, entraînant des effets néfastes sur la santé, en particulier chez les femmes et les enfants. Selon les données partagées lors de l'atelier, la Pollution de l'air intérieur (PAI) cause plus de 21 000 décès par an dans le pays. L’atelier a également été l'occasion de lancer officiellement la Madagascar Clean Cooking Initiative (MCCI). Cette initiative, qui regroupe 48 entités privées réparties dans 13 Régions, ambitionne de jouer un rôle clé dans la transition énergétique du pays en promouvant des technologies de cuisson propres, telles que les foyers améliorés, le biogaz, ou encore le bioéthanol.
Technologie verte
Marie-Louise Schmidt, présidente de MCCI et directrice de Biokasikara Energy SARL, a expliqué : « Investir dans les solutions de cuisson propre, c'est protéger notre environnement tout en renforçant l'économie locale ». Une façon pour cette responsable de souligner l'importance de la collaboration entre les différents acteurs pour accélérer cette transition. Les représentants du ministère de l'Energie et des Hydrocarbures ont, pour leur part, insisté sur l’importance de soutenir le secteur privé dans cette initiative : « Le sous-secteur de la cuisson propre mérite plus d'attention. Il est essentiel que nous soutenions les entreprises privées pour qu’elles puissent proposer des solutions accessibles à un coût abordable». Au-delà des discussions techniques, cet atelier a permis d'établir un cadre de collaboration entre les agences gouvernementales, les partenaires techniques et financiers, ainsi que le secteur privé. L'objectif est d’intégrer les recommandations formulées lors de cet événement dans l’élaboration de la Politique nationale de cuisson propre, qui devrait offrir un cadre concret pour promouvoir ces technologies dans l’ensemble du pays. La nécessité de cette transition est pressante, car la déforestation continue d'avancer à un rythme inquiétant, avec 25 % des forêts malgaches menacées d'ici 2030. Ainsi, le passage à des pratiques de cuisson plus propres pourrait contribuer à freiner cette dégradation tout en améliorant la qualité de vie des Malagasy.
Hary Rakoto

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Depuis dimanche dernier, on n'a plus reçu aucune nouvelle d'un ultra-léger motorisé ou ULM de type Hydrofly Savannah, qui a décollé de l'île de Nosy Be pour mettre le cap sur Mayotte. Selon les quotidiens de Mayotte, les radars de contrôle aériens n'arrivent plus maintenant à localiser la position de l'appareil alors qu'il est censé survoler le canal de Mozambique pour mettre ensuite le cap sur l'île au Lagon où ce mini-hydravion était prévu atterrir vers le milieu de l'après-midi, dimanche dernier. Aucun contact n'a pu être non plus établi avec ses deux pilotes, et non moins instructeurs répondant respectivement aux noms de Karim Amroussi et Khalid Kaab. C'est ce premier qui était aux commandes de l'appareil appartenant à l'Hydrofly Mayotte, selon des sources à Mayotte. Pour l'heure, on ignore totalement ce que sont devenus les deux pilotes, qui sont également les propriétaires. Les professionnels qui travaillent avec eux sont surtout incrédules devant ce qui se passe tant les portés disparus sont toutefois réputés pour être des pilotes expérimentés.

Voulant balayer d'un revers de la main, du moins par supposition,  la thèse d'une erreur humaine, ces professionnels de la navigation aérienne penchent plutôt sur un autre motif, cette fois météorologique pour tenter de comprendre la raison de la disparition de l'ULM.
Car,  l’appareil, en dépit de sa robustesse, a pu subir des avaries, peut-être à cause des vents violents. Toutefois, aucune hypothèse ne peut être avancée avec certitude, puisque depuis 15h dimanche, plus aucun signal n’a été enregistré, et qu'aucune alerte n’a été émise par l’équipage concernant d’éventuels problèmes, selon un journal de l'île française voisine.
Déploiement des moyens de recherche
Depuis, le Cross, une organisation de sauvetage et de surveillance basée à La Réunion, a déclenché les recherches pour retrouver l'ULM, les pilotes et des éventuelles traces. Du point de vue matériel, un avion militaire de type CASA a été dépêché sur place. A cet appareil s'ajoute un avion de l’aéroclub de Mayotte, qui a également pris part aux recherches. L'aéronef survolait la zone en quête de survivants ou d’indices. Entrecoupées par l'alternance de la poursuite et les interruptions,  les recherches n'ont toutefois donné aucun résultat, du moins durant les journées du dimanche et lundi derniers.
Hier, en milieu de journée, l’avion militaire CASA est rentré à La Réunion, interrompant les recherches officielles, qui se sont révélées vaines. L’avion de l’aéroclub de Mayotte, lui, continue à survoler la zone, dans l’espoir de retrouver les survivants ou des morceaux de l’ULM afin de comprendre ce qui a bien pu se passer.
Les recherches officielles seraient donc interrompues, mais les proches des deux pilotes gardent toujours l'espoir de les retrouver vivants.  Cependant, il règne un certain scepticisme  car les portés disparus ont déjà passé deux nuits dans le canal de Mozambique. Qu'est-il donc arrivé à l'ULM et ses pilotes ? C'est la question que les professionnels ne manquent pas de poser à Mayotte. Dans ses colonnes, une autre chroniqueuse d'un journal de Mayotte n'hésite pas à qualifier Karim Amroussi de pilote expérimenté et passionné pour acheter ce petit ULM hydravion.
Recueillis par F.R.



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Lors de la XXe édition du colloque sur le VIH de l’océan Indien, Mialy Rajoelina a livré un discours résolument tourné vers l’avenir. Face à un auditoire rassemblant des acteurs de la santé, des Partenaires techniques et financiers (PTF), et des délégations des îles voisines, au Centre de conférence international d’Ivato, la Première dame de Madagascar a mis en lumière l’importance d’une lutte collective et régionale contre le VIH/SIDA.
Elle a salué les efforts des médecins, des chercheurs et des Partenaires techniques et financiers (PTF), rappelant que le combat contre cette maladie repose avant tout sur une collaboration efficace. A Madagascar, près de 74 000 personnes vivent avec le VIH, mais seuls 20 000 cas sont officiellement recensés. « Derrière ces chiffres se cachent des vies humaines et des familles », rappelle Mialy Rajoelina , qui donc a insisté sur la nécessité de renforcer les dépistages. Et elle d’expliquer en effet que beaucoup de personnes ignorent leur statut sérologique et continuent de transmettre le virus sans le savoir.
Plus encore, elle a appelé à une ouverture d’esprit collective, notamment sur les questions de prévention. « Ce n’est pas un sujet honteux, c’est une nécessité », a-t-elle martelé. Pour la Première dame, il est primordial d’encourager les discussions franches sur la sexualité, aussi bien à la maison qu’à l’école, afin de briser les tabous. Elle a insisté sur le rôle crucial des parents et des établissements scolaires, qui doivent être des lieux de transmission de savoir, sans réserve.
Mialy Rajoelina a également mis l’accent sur l’importance de lutter contre la stigmatisation des personnes vivant avec le VIH. « La peur et l’ignorance alimentent encore la stigmatisation », a-t-elle déploré, avant de lancer un message d’espoir aux personnes touchées : « Vous n’êtes pas seuls dans cette lutte ».
S’adressant enfin aux jeunes, elle les a exhortés à prendre leurs propres décisions concernant leur santé et à se protéger. « Votre corps vous appartient. Ne laissez jamais personne décider à votre place », a-t-elle conclu, rappelant que chaque choix compte pour l’avenir de la société.
Cette prise de parole, empreinte de sensibilité et de fermeté, résonne comme un appel à la responsabilité collective et à la solidarité. En joignant leurs forces, Mialy Rajoelina est convaincue que Madagascar et la région peuvent freiner la progression du VIH/SIDA. « Nous avons le pouvoir d’agir et le moment d’agir c’est maintenant. Ensemble nous pouvons changer des vies, ensemble nous pouvons sauver des vies », dit-elle, en concluant son discours.
Lalaina A.


Publié dans Politique

A quelques heures du début tant attendu du concours « Miss Earth 2024 » qui se déroulera aux Philippines à partir du 23 octobre, Madagascar sera fièrement représenté par Hendry Tsiky Andriambolatiana. Désignée « Miss île de Madagascar 2025 » il y a à peine quelques semaines, Hendry Tsiky nage déjà dans les eaux de la compétition internationale, apportant avec elle l’espoir et le soutien de tout un pays.

Le concours « Miss Earth », qui met l'accent sur la sensibilisation à la protection de l'environnement et le développement durable, est l'une des plateformes de beauté les plus prestigieuses au monde. Cette année, les organisateurs s'attendent à une participation riche et variée de candidates venant de divers pays, chacune d'entre elles ayant pour mission de promouvoir des causes environnementales significatives. Dans le cadre de cet événement, la compétition « Miss People’s Choice » sera également un point culminant. Les fans et supporters de la beauté et de la nature peuvent commencer à voter pour leur candidate préférée sur la plateforme Eventista. Le processus de vote est déjà ouvert, permettant aux passionnés de soutenir Hendry Tsiky Andriambolatiana dans sa quête pour décrocher une place au sein du top 20 des finalistes.

Il est à noter que la candidate ayant recueilli le plus de voix obtiendra une place automatique dans ce groupe tant convoité. Hendry Tsiky, qui a su capter l’attention par son engagement et sa passion pour les questions environnementales, représente non seulement Madagascar, mais apporte aussi un message fort de responsabilité écologique. Ses admirateurs et compatriotes sont encouragés à soutenir sa candidature par le biais de votes massifs, afin de maximiser ses chances d’accéder aux phases avancées de ce concours prestigieux. La compétition promet d'être riche en émotions et en découvertes, et Hendry Tsiky porte avec elle les espoirs d'une Grande île qui se bat pour la préservation de ses ressources naturelles et la sensibilisation à l'importance de l'écologie. Le concours se déroulera jusqu'à la phase finale, et les regards seront rivés sur cette belle ambassadrice de Madagascar, prête à faire briller les couleurs de son pays sur la scène internationale. Les supporters sont ainsi invités à se mobiliser et à voter pour soutenir son chemin vers la victoire et la reconnaissance mondiale. Avec une telle détermination et une noble cause derrière elle, Hendry Tsiky Andriambolatiana pourrait bien devenir une figure emblématique du concours Miss Earth, apportant une nouvelle dimension à la beauté et à l'engagement pour notre planète.

Si.R

Publié dans Culture

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Editorial

  • COP 29, enjeu et défis !
    La 29 ème édition de la Conférence des parties (COP), Conference of Parties, ouvre ses portes ce lundi à Bakou, Azerbaïdjan, sur les bords de la mer Caspienne.Simon Stiell, le patron de l’ONU – Climat, lors de son discours d’ouverture a bien voulu tirer au clair la situation de cette « énième » Rencontre sous l’égide de l’ONU – Climat : « il est temps de montrer que la Conférence mondiale n’est pas au point mort ». En fait, c’est l’enjeu de taille ! Depuis l’Accord de Paris en 2015 au cours duquel les grands pays industriels, les plus grands pollueurs, s’engageaient à payer 100 milliards de dollars par an afin d’aider les pays en développement à se remettre des dégâts dus au réchauffement climatique lequel réchauffement résulte de l’émission « sauvage » des gaz à effet de serre sur l’atmosphère de la planète Terre. Depuis cet Accord (COP 21),…

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