La ville soigne son image ! Conformément aux engagements pris par le PDS Harilala Ramanantsoa, les réfections des « points noirs » sur les rues de la Capitale sont en marche.
A peine débarquée dans la ville des Mille en tant que Présidente de la délégation spéciale (PDS), Harilala Ramanantsoa s’est engagée à réparer les rues, du moins les points noirs, de la Capitale et ce malgré la situation précaire de la caisse de la Commune. Pour traduire en actes les promesses, la nouvelle PDS a fait des pieds et des mains pour se donner les moyens matériels nécessaires. Elle a réussi à « rameuter » les partenaires potentiels privés ou publics de façon à ce que ces derniers s’investissent. Le département des Travaux publics, partant à la mobilisation de tous, offre ses services et à la CUA d’organiser les travaux. Les axes créant des désagréments et provoquant des mécontentements des usagers font l’objet des réparations urgentes. Vu l’approche imminente de la saison des pluies, les réfections sont prévues ne pas franchir au-delà de deux mois. Et pour ne pas perturber la fluidité de la circulation, l’essentiel des travaux se passe la nuit.
Depuis lundi, les travaux se sont accélérés au rythme soutenu. Les axes prioritaires concernent les axes menant vers le croisement Betongolo jusqu’à Andravoahangy Ambony, d’Ampasika jusqu’à Anosipatrana et à Ankorondrano Ibis jusqu’au rond-point La City, Ivandry. Et également, sur les axes Antsakaviro vers Bel Air et à Isotry. En gros, il s’agit des tronçons qui constituent la galère quotidienne des usagers. En fait, ces points noirs sont les principales causes des bouchons créant des difficultés de la circulation au grand dam des usagers devant rejoindre les lieux de travail ou des établissements scolaires.
La présidente de la délégation spéciale de la Commune urbaine d’Antananarivo, la première responsable qui supervise l’organisation des travaux, sollicite la collaboration citoyenne de la population à respecter strictement les consignes affichées sur terrain entre autres les déviations obligatoires. Egalement, la libération des parkings concernés par les chantiers des travaux.
La réfection des rues de la Capitale qui se trouvent dans un état piteux avancé devient par la force de la conjoncture en enjeu politique de premier plan. Les voies de circulation d’Antananarivo de par leur état dégradé en permanence tordent le cou de tous les dirigeants de la ville. Une source de préoccupation des élus à laquelle ils peinent à trouver des solutions pérennes. La population de la Capitale, en perpétuelle croissance, surtout le jour, provoquant l’augmentation des flux de mouvements, contraste avec les rues étroites dont la chance d’agrandissement des chaussées s’avère nulle. Le plan d’urbanisme en vigueur date de l’époque coloniale. Jusque-là, aucun régime qui s’était succédé n’a pas pu envisager toute possibilité d’élargissement notamment dans le centre de la ville et aussi sur les hauteurs (Andravoahangy Ambony, Ambondrona, Anjohy, La Haute-ville, etc.). C’est pour tout dire qu’on est là en face d’un problème complexe. Le pouvoir en place tente de résoudre la situation. Deux axes ont été mis en chantier. D’abord, la réutilisation des voies ferrées existantes en mettant en œuvre le tramway urbain. Les infrastructures sont déjà prêtes, il fallait attendre le règlement de certains points. Ensuite, l’usage des câbles téléphériques. Une issue très importante, il va falloir compléter les travaux.
Ndrianaivo
En marge de sa participation au 19ème sommet de la Francophonie à Paris, la semaine dernière, le Président Andry Rajoelina a accordé une interview au journal français « Le Figaro » publié dans son édition d’hier. Le chef de l’Etat malagasy a abordé plusieurs sujets liés à la coopération avec la France ainsi que d’autres sujets épineux comme les îles éparses. D’ailleurs, le journaliste du Figaro a interrogé le Président sur la souveraineté des îles éparses qui constitue un « point de contentieux avec la France ».
D’emblée, le Président de déclarer que « pour ses îles, on aimerait avoir une issue heureuse, comme ça a été le cas pour l’archipel des Chagos, restitué à Maurice par le Royaume Uni ». Sur cette lancée, le chef de l’Etat relance les perspectives de dialogue entre Madagascar et la France. Et d’indiquer que « nous souhaitons, nous aussi, une restitution mais dans un cadre concerté (…). Il y a des pourparlers, une commission mixte est en place, mais nous sommes toujours dans l’attente ». Le Président de réitérer que ces îles, situées à seulement quelques kilomètres des côtes du pays, sont « malgaches ».
Appui sous différentes formes
Concernant la coopération entre la France et les pays africains, le chef de l’Etat malagasy a été questionné concernant une éventuelle proximité avec la mouvance dite « panafricaniste ». Le Président Andry Rajoelina a ainsi affirmé que « la France a suscité beaucoup d’attentes des populations des pays anciennement colonisés ». Il ne manque pas de relever la recrudescence de mouvement de contestation contre la France et ses dirigeants ces derniers temps en Afrique. Le chef de l’Etat malagasy n’a pas hésité à souligner que « la France a un rôle à jouer pour le développement de la zone francophone ».
Pour Madagascar, l’appui du gouvernement français – en termes de savoir-faire en l’occurrence – est attendu dans les secteurs prioritaires comme l’agriculture ou l’énergie. « Mais je pense que les priorités de la France sont différentes aujourd’hui et c’est ça qu’il faut améliorer », constate – t – il. Andry Rajoelina a saisi cette occasion pour réitérer son plaidoyer en faveur de la lutte contre l’insécurité alimentaire, un combat tout aussi urgent que les autres conflits mondiaux.
Recueillis par Sandra R.
Condamnés à la victoire ou presque. Madagascar affronte la Gambie au Maroc ce jour dans le cadre du troisième match de qualification à la Coupe d'Afrique des Nations 2025. Un match « à domicile » qui se tiendra au stade Larbi Zaouli de Casablanca, à 17h heure de Madagascar. Elle retrouvera ce même adversaire la semaine prochaine, pour la quatrième journée de ces mêmes éliminatoires, cette fois-ci à l’extérieur » lors d’un match qui se déroulera au stade Al Abdi d’El Jadida toujours au Maroc. Les deux rencontres seront diffusées sur la chaîne nationale TVM.
Actuellement derniers du groupe A, avec un point en deux rencontres, les Barea doivent absolument remporter leurs deux prochains matchs, à commencer par celui de ce jour, pour maintenir leurs chances de qualification. Le sélectionneur malgache, Romuald Rakotondrabe, n’a accordé aucune interview avant le match lors de la séance de travail d’hier. En revanche, le capitaine de l’équipe nationale, Ibrahim Amada, a rassuré que tous les joueurs se portent bien. « On aurait bien aimé jouer devant notre public, mais nous n’avons rien à craindre. La Gambie est une équipe très athlétique et plus physique que nous, mais j’espère que notre entraîneur et le staff technique savent déjà quoi faire pour mettre en place des stratégies afin de les contrer », a-t-il souligné.
« La Gambie est une belle équipe. Ils n’ont pas gagné, mais ils ont obtenu de bons résultats avec des joueurs évoluant dans de bons clubs et de bonnes divisions. Ce sont des adversaires redoutables, mais nous savons que nous sommes assez armés pour décrocher quelque chose. L’objectif de ce rassemblement est de récolter le maximum de points pour rester en course. Nous savons que nous pouvons être à la hauteur. Notre principal but est de gagner ce vendredi, et nous verrons comment aborder le match de lundi », explique Clément Couturier, milieu de terrain des Barea.
Rappelons que Romuald Rakotondrabe a appelé deux nouveaux joueurs, Jean-Pierre Morgan et Davidson Gueguen, pour renforcer l'équipe. Même s'il n'est pas certain qu'ils joueront, cela représente une opportunité pour eux de découvrir l'expérience d'une sélection nationale et les défis des éliminatoires de la CAN.
Parmi les 25 joueurs convoqués, seul Carolus Andriamahitsinoro n’a pas encore répondu à l’appel au moment où nous mettons sous presse cet article. La situation reste délicate pour Madagascar, qui espère que les Comores, actuellement avec deux points, ne parviendront pas à s'imposer face à la Tunisie, ce qui offrirait une chance de qualification.
La Rédaction
La population se plaint chaque jour du non-respect du cahier des charges perpétré par les taxis-be exerçant dans la Commune urbaine d'Antananarivo et ses périphéries. Les passagers se plaignent chaque jour de différents problèmes : parcours à mi-chemin, surplus dans le tarif, transfert des passagers, non-respect des heures de travail.
Dès la fin de l'après-midi, la majorité des transporteurs disparaissent de la ligne, et ce malgré le fait que des centaines de passagers sont bloqués au niveau des arrêts de bus, sans parler de l’insécurité qui règne dans la soirée. Ceux qui habitent loin sont les plus lésés. Soit ils paient le double du tarif, soit ils rentrent à pied. D'ailleurs, la plupart d’entre eux sont déjà traqués par les aide-chauffeurs. « Je prends toujours la même ligne tous les jours et les transporteurs me font des insultes, une fois que je rentre dans le bus », se plaint une passagère.
Afin d’assurer la sécurité des citoyens, des mesures ont été prises à l’encontre des chauffeurs de bus qui ne respectent pas le cahier des charges. La surveillance exercée par la Commune urbaine d'Antananarivo se poursuit à travers la Direction des transports et de la mobilité urbaine (DTMU), en collaboration avec la Police nationale. Une décision qui a satisfait la population. « Nous souhaitons que la CUA surveille les lignes 137, 172, 187 et F qui sont parmi les contrevenantes. La population souffre tellement dans la matinée ou en fin de soirée. D'autant plus que la plupart des pointeurs au niveau des arrêts de bus sont des gens corrompus », raconte un passager.
Effectivement, bon nombre de taxis-be dictent leurs lois. Ils ne font que bon leur semble. Dernièrement, des chauffeurs d’autobus la ligne 154 reliant la ville avec Tanjombato ont fait une grève au niveau du terminus. Ils refusent de faire la contre-visite de leurs véhicules, en craignant que ceux-ci soient déclarés « inaptes ». En effet, la majorité des bus circulant dans la capitale sont dans un mauvais état : des chaises abîmées, des feux qui ne marchent plus, sans parler des vitres latérales et du non-confort à l’intérieur du véhicule. Malgré les multiples avertissements de la Commune et des forces de l'ordre, rien n'a changé pour les transporteurs. Chaque jour, plusieurs chauffeurs voient leurs papiers confisqués tandis que des véhicules sont mis en fourrière. Cependant, la gabegie au niveau des autobus est loin de s’arrêter.
La plupart des conducteurs de taxi-be n'honorent pas leurs responsabilités, notamment les horaires de travail, le respect des arrêts de bus,... Cependant, le transport en commun est un service d’utilité publique.
Anatra R.
Dans le cadre de ses ambitions de développement urbain et de redynamisation de l’image d’Antananarivo, l’Etat malagasy a récemment dévoilé un projet innovant qui promet de transformer le paysage de la capitale. Il s’agit de la création du « Lac Iarivo », un site inspiré du parc Miami de Toamasina. Prévu pour être inauguré en juin 2025, ce projet s'inscrit dans une dynamique de renouveau qui vise à répondre aux besoins croissants de loisirs et d'espaces publics pour les habitants de la ville.
En effet, Antananarivo, avec sa densité de population et son urbanisation rapide, souffre d'un manque d'espaces verts et de zones de loisirs accessibles. Des sites comme le Lac Anosy ou Ambohijatovo, bien que populaires, sont souvent saturés lors des événements et peinent à répondre à la demande croissante de la population. Ce nouveau projet représente donc une réponse directe à un besoin social légitime, tout en visant à rehausser l’attractivité touristique de la ville des mille.
Par ailleurs, le choix de l’emplacement - stratégiquement situé au nord de la ville, sur la route de l'Aéroport international d’Ivato - permet aussi de capter l’attention des visiteurs et des délégations étrangères, notamment lors du Sommet de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC), prévu en août 2025. Ce projet prévoit la création d’un parc thématique qui inclura des aires de repos, des animations, ainsi que des options de restauration. En plus d'améliorer la qualité de vie dans la capitale, le « Lac Iarivo » est également prometteur en termes de création d’emplois. La réalisation de cette infrastructure nécessitera des compétences variées, allant des architectes aux ouvriers du bâtiment, en passant par les professionnels du secteur privé. Conscient des enjeux environnementaux que soulève un tel projet, le Président de la République, Andry Rajoelina a insisté sur la nécessité de mener des études approfondies sur les impacts environnementaux et sociaux avant le début des travaux. Cela illustre une volonté de s’aligner avec les normatives internationales en matière de développement durable, un aspect essentiel pour garantir l'acceptabilité du projet par les riverains et la préservation des écosystèmes locaux.
Nikki Razaf
Le top départ est lancé. A l'issue de la première journée d'hier, la hiérarchie est bien respectée. Les trois Malgaches favorites de la course sont en tête du classement provisoire. Trois golfeuses malgaches ont conclu la première journée dans le top 5. En haut du tableau, Ony Marchand mène la danse, devant Kim Maroa et Angela Levy, la Réunionnaise, qui glisse à la troisième place. L’invitée de marque, la Coréenne Adonia Kim, se trouve au pied du podium provisoirement. Une autre Malgache, Valery Viard, complète le top 5.
En résumé de la première journée, le tournoi a commencé en beauté avec les premières séries de départ. Un mélange de concentration et d’élégance a marqué cette journée exceptionnelle.
Les anciennes professionnelles ont tout de même respecté leur statut. Elles n’ont pas ménagé leurs efforts. On peut en déduire que la première journée n’a pas été de tout repos. Le deuxième tour réserve également son lot de surprises.
L’Américaine Sarah Lottering occupe la 15e position, tandis que la Mauricienne, Goorwappa Vimla, est classée 18e au provisoire.
« Stay tuned » pour plus de moments forts. Une belle journée de golf se termine avec des sourires. On se retrouve ce jour, avec encore plus de bons moments de golf sur le green. Les golfeuses prendront le départ selon le classement de la première journée à partir de 7 h ce matin.
E.F.
Le salon de l'auto a ouvert ses portes hier à Ivato pour sa quatorzième édition, marquant le retour de cet événement incontournable après plusieurs mois d'attente. Organisé au Centre de conférence international à Ivato (CCI), le salon se déroule jusqu'au 13 octobre et est placé sous le thème de la "mobilité et durabilité". Ce thème est particulièrement en phase avec les préoccupations environnementales actuelles, et les organisateurs, notamment le Groupement des concessionnaires automobiles de Madagascar (GCAM), espèrent que cette édition stimulera le marché local de l’automobile. Les membres du GCAM ont souligné lors de l’ouverture que le secteur stagne depuis quelques années, avec des ventes annuelles oscillant entre 3 500 et 4 000 unités, principalement à cause de la prédominance des véhicules d’occasion sur le marché. "Nous avons besoin de renforcer les ventes de voitures neuves pour répondre à la demande croissante de véhicules plus respectueux de l’environnement", a-t-il précisé. Le salon représente ainsi une occasion pour les concessionnaires d’exposer leurs dernières innovations et de promouvoir des véhicules plus verts.
Electrique embryonnaire
En plus de la vente de voitures neuves, la transition vers la mobilité verte est au cœur des discussions cette année. Des modèles de voitures électriques et hybrides y sont présentés, bien que ce segment soit encore embryonnaire à Madagascar. L’enjeu, selon les experts, est d’inciter les consommateurs à se tourner vers des options plus durables. Le ministère de l’Environnement soutient cette démarche, comme l’a expliqué Rivosoa Rabenandrianina, directeur général du développement durable : "Passer au vert est désormais une nécessité pour lutter contre la pollution atmosphérique croissante". Malgré les coûts élevés des véhicules écologiques, les bénéfices à long terme sur la santé publique et l’environnement sont mis en avant comme des arguments clés. Le salon espère également sensibiliser le public à la modernisation et à la gestion durable des ressources naturelles, tout en favorisant l’industrialisation verte dans le secteur automobile. Les visiteurs, quant à eux, profitent des nombreux stands pour découvrir les dernières tendances et innovations dans l’automobile, dans un contexte où les enjeux environnementaux et économiques sont devenus des priorités.
Vendredi 11 octobre
Tolotra, Nary, Ony, Erick Rason
Dans un cadre habituellement tranquille et une atmosphère apaisante, Tolotra, Nary, Erick Rason et Ony se réuniront pour offrir quelques heures de pure musique. Ils régaleront les abonnés du Piment Café à Behoririka avec un concert prometteur et truffé de surprises. Ces artistes, bien connus du public tananarivien, sont actuellement de véritables stars. Qu’ils se produisent en solo, en duo, en trio ou en medley, ces cinq musiciens talentueux s'engagent à donner le meilleur d’eux-mêmes à travers un répertoire unique qui sait captiver l’audience. Cette soirée promet d’être inoubliable, avec une programmation riche en talents et en diversité musicale. Tolotra, Ony, Nary et Erick Rason, véritables maîtres de la musique, feront vibrer l’assistance à travers leurs mélodies variées, apportant un immense plaisir aux noctambules de la capitale.
Oladad
Chaque vendredi soir, l’hôtel-restaurant Le Glacier, situé à Analakely, se transforme en une véritable scène musicale, accueillant des artistes, DJ ou groupes de renom. Cette fois-ci, c'est le groupe Oladad qui a été choisi pour animer la soirée. Originaires de la Province de Fianarantsoa, ces garçons promettent de mettre le feu aux poudres dès 21h. Avec les Oladad aux platines, la soirée s'annonce explosive du côté de l’avenue de l’Indépendance. Leurs morceaux classiques comme « Sesily », « Agnao » ou encore « Mamo koa ny agny » vont assurément enflammer les habitués des lieux et créer une ambiance festive inoubliable.
Basta Lion
Ce soir, à partir de 21 heures, la scène du restaurant les Cygnes situé à Ivato accueillera l’un des précurseurs de la musique urbaine, Basta Lion. Les amateurs de hip hop, reggae et ragga dance hall sont impatients de vivre une soirée explosive. Avec des tubes emblématiques tels que « Akomba lahy », « Anaconda » et « Colombian », le public ne manquera pas d’entonner en chœur ces hits, créant une ambiance euphorique jusqu'à minuit. Préparez-vous à ressentir de bonnes vibrations, tout en admirant les spectaculaires danseuses qui enflammeront la scène comme de véritables déesses.
« Worship Night »
Ce soir, Le Pavé, situé à Antaninarenina, accueillera un événement très attendu par les passionnés de musique gospel. Baptisée « Worship Night », cette soirée dédiée à l'adoration et à la louange mettra en lumière trois groupes ou chanteurs de gospel les plus célèbres de Madagascar : Tana Gospel Choir (TGC), Henika et Lovatiana. Rendez-vous est fixé ce vendredi à partir de 18h pour un grand moment musical qui promet d'être inoubliable. Bien que ces formations aient déjà animé des scènes plus intimes, notamment dans des églises et des foyers, ce concert représente une occasion unique de se rassembler autour de la foi en Jésus-Christ grâce à la musique gospel. « Worship Night » s'annonce comme un événement inspirant, porteur d'espoir et de réconfort spirituel, accessible à tous, que l’on soit chrétien ou non.
Samedi 12 octobre
Tann Faya
Rassembler les passionnés de musique urbaine ! La salle de l'Ardoise, sise à Analamahitsy, s'apprête à relever un défi captivant en proposant un concert placé sous le signe des racines culturelles. Demain à partir de 14 heures, cet événement mettra à l’honneur l'un des artistes les plus appréciés de la jeune génération : le talentueux Tann Faya. Le chanteur promet un spectacle pétillant en interprétant ses plus grands succès, notamment des titres comme « Aiza moa no hisy fitiavana tsy hisy olana », « Akoholahim-bohitra », « Andro vao » et le très populaire « Ozona 2.0 », actuellement en tête dans le hit-parade des ondes tananariviennes. Ne manquez pas cette occasion exceptionnelle !
Dimanche 13 octobre
Rheg
Le groupe Rheg s'apprête à enflammer la scène et à séduire les passionnés de « hard rock » de la capitale. Après quelques mois d'absence sur scène, Rheg Rakotonirina et ses complices sont enfin prêts à réaliser un concert en solo. Grâce à Oto Prod By Reg, cet événement mettra en avant « Rheg The Gang », un autre grand rendez-vous dédié aux aficionados de la musique métal. Ce dimanche, le petit Palais des Sports de Mahamasina accueillera ce spectacle à partir de 15 heures. Au programme, une soirée intense avec des sons variés issus des genres « Metal », « Heavy metal » et « Hardcore ». Plus de trois heures de riffs de guitares électriques promettent de résonner dans les oreilles des spectateurs. Les amateurs de musique à fort volume pourront ainsi apprécier « Rheg The Gang » dans toute sa puissance.
Si.R
Toutes les conditions sont réunies pour faire de la première édition du tournoi international Indian ocean Ladies Cup une compétition d’envergure. La compétition se déroulera les 10, 11 et 12 octobre prochains. Le premier coup sera donné aujourd'hui à 6h du matin sur le parcours du plus prestigieux green de Madagascar, l’International Golf du Rova Andakana, Ambohidratrimo.
C’est un tournoi conçu par des femmes et pour des femmes, mais qui ne sera pas des moindres, avec pour ambition de faire rayonner le golf féminin à travers le monde.