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Il n'y a rien de plus dur pour un parent que de perdre un enfant. Que ce soit quelques jours après sa naissance ou quelques années après, la douleur est toujours intense. Un drame terrible qui marque à jamais une vie de famille. La vie des artistes populaires n'est pas tout le temps un voyage musical. Parfois, elle peut aussi virer au cauchemar. Dimanche dernier, c'est sur le réseau social Facebook que la chanteuse, Flash B ou Anne Randrianirina de son vrai nom, interprète du tube « Fausse jokera », a fait part d'une bien triste nouvelle à ses fans. Elle vient effectivement de perdre son bébé âgé seulement de 14 mois.
Selon la chanteuse, cela faisait depuis presque un mois que son petit trésor était malade. « Au début, les médecins ont affirmé que l'enfant avait été atteint d’une petite fièvre et ses parents l’ont traité avec les remèdes prescrits. Cependant, après quelques jours de traitement, l’état de santé de l'enfant ne s'est pas du tout amélioré, et il semble qu'il y avait une tumeur dans sa gorge. Par conséquent, le petit refusait de manger alors qu’il avait toujours faim. Il vomissait toute la nourriture qu'on lui mettait dans la bouche », pleure l’artiste. D’après toujours les informations données par Flash B, l'odeur des matières fécales de l'enfant était également insupportable. C’est à ce moment-là qu’après avoir mené de nombreuses recherches, ses parents ont réalisé que leur bébé avait été victime d’un incident suspect, et qu'il pourrait s'agir d'un empoisonnement fait par des personnes mal intentionnées. « Nous sommes retournés chez le médecin, et c'est à partir de là que nous avons découvert que l'enfant avait peut-être été infecté par le « Voankanina », une maladie ou empoissonnement causée par quelqu'un à travers la nourriture qu'il avait mangée », raconte Flash B. Selon le récit de Flash B, son fils est tombé très malade durant un mois environ. Souriante et  radieuse, la chanteuse avait dévoilé son ventre arrondi pour la première fois le début de l’année 2022 et semblait prête à redonner la vie. Mais le destin en a voulu autrement.
Carrière
Juste âgé de 27 ans, Anne Flaccida Randrianirina doit faire face à la pire épreuve qui puisse arriver pour un parent. Mais la petite blindée est prête à prendre en main son avenir. Rappelons que la belle Flash B a fait un royaume de la musique, avec son tube « Fausse Joker diffusé sur les ondes des radios locaux depuis l'année 2018. Elle continue actuellement à faire fondre le cœur des jeunes et férus de la musique « Tropical ». En 2018, alors qu'elle n'avait que 22 ans, elle a fait craquer les spectateurs lors de la sortie de son premier tube « Fausse Joker ». Le succès de ses premiers tubes l’a persuadée de faire des tournées dans différentes Provinces. Elle sera sollicitée par la suite pour quelques featurings. Aujourd’hui,  avec une dizaine de  chansons colorées comme de l’afro beat, dance hall et tropical, ses morceaux ne quittent jamais la bouche des Malagasy. Si Flash B ne s’est fait connaître qu’avec cette chanson, elle est tombée dans l’univers musical depuis sa naissance, car il y a 27 ans, elle a vu le jour dans le studio de son père. Flash B est la petite nièce de Din Rotsaka. Quant à son père, il fait partie des musiciens du Grand maître Tianjama et de Vaiavy Chila. Sa particularité,  Flash B écrit et compose elle-même ses titres. Parmi ces derniers, on peut citer « Machiro », « Awitr  ymatosy», « Bandy  tsisypassy ». En outre, Flash B a également réalisé un « featuring » intitulé « Laisse parler les jaloux » avec le chanteur congolais J Love. Pour cette année, l’artiste prévoit un grand projet pour satisfaire ses admirateurs.
Sitraka Rakotobe


L'un des illustres personnages du karaté malagasy est de passage dans le pays. Sensei Ramanitrandrasana est arrivé à Madagascar depuis hier, et son programme sera très chargé. C'est le karatéka le plus haut gradé du pays : ceinture noire 10eme dan avec ses 60 ans de pratique. Il soufflera ses 86 bougies cette année.
 Deux jours de stage, suivi d'un grand open de karaté baptisé « Open Ramanitrandrasana  », seront organisés en son nom à la fin de semaine.
Ledit stage aura lieu au Palais des sports de Mahamasina à partir de demain jeudi 27 avril et le vendredi 28 avril de 6h30 à 8h30. « La formation est ouverte à toutes les catégories d’âge et de grade à condition que l’intéressé soit affilié à un club légal », selon le comité d’organisation dirigé par sensei Rakotonirina Marcel.
Un open en kumité et kata sera au programme pour les seniors Dames et Hommes le 29 avril prochain durant la «  Coupe René Ramanitrandrasana ». Pour les jeunes, la formule sera différente car la catégorie de poids ne sera pas prise en compte.
La participation de tous les clubs actifs de la Capitale est vivement souhaitée. « C’est une grande fierté d’avoir sensei Ramanitrandrasana parmi nous, donc autant en profiter», poursuit Rakotonirina Marcel.
 Eiichi Miyazato, fondateur du style Goju Ryu Karaté, en 1957, a ensuite désigné Hanshi René Ramanitrandrasana comme représentant officiel de cette école pour la France en 1998. Le Malagasy a également reçu la même responsabilité de la part du bureau central du Jundokan en 2011 pour Madagascar.
Hanshi René Ramanitrandrasana n'a cessé de pratiquer le karaté depuis bientôt presque 60 ans, plus précisément depuis 1964. Il a été l'un des pionniers du karaté à Madagascar avec maître Ratafy.

 


Des milliers de tonnes de pomme de terre avariée s’entassent à Manandona, faute de collecte. Pareillement du côté de la localité de Tsarahonenana- Sahanivotry où la production en abondance des fruits et légumes tels que les pommes et l’ail peinent à trouver preneurs et pourrissent sur place. Le contexte de l’état des infrastructures routières dans la Région du Vakinankaratra, surtout au niveau de la localité d’Antsirabe II, chamboule toute la chaîne de valeur de la filière agricole dans cette Région. Les producteurs subissent de plein fouet les impacts de la situation. « Les périodes de récolte pour cette année touchent presque à leurs fins. Pour le moment, peu de collecteurs daignent descendre dans notre Région à cause de l’état des routes. On ne sait plus quoi faire des récoltes. Sans parler des pertes considérables que nous enregistrons tant pour le stockage que pour les frais divers » s’attriste Stanislas Rakotonindriana, producteur. Une façon pour cet agriculteur de la Région du Vakinankaratra d’alerter les autorités compétentes quant à la situation à risque des acteurs de cette filière dans le contexte actuel. « Rares sont les collecteurs qui arrivent jusque chez nous à cause de l’état de délabrement avancé de nos chemins de campagne et même d’une partie des routes nationales. Ceux qui viennent imposent des prix d’achat dérisoires. Des prix qui sont loin de nous convenir dans la mesure où ils correspondent à peine aux deux tiers de nos investissements dans la production » explique Rolland Claude, paysan producteur dans la localité de Sahanivotry, Antsirabe II. Selon lui, ces collecteurs proposent un prix d’achat de trois cent cinquante ariary par kilogramme de pomme de terre alors qu’en temps normal ce prix est fixé à environ cinq cents ariary pour que les producteurs puissent rentrer dans leur frais.
Tendance spéculative
Ce prix de trois cents ariary correspond au produit de premier choix que les consommateurs finaux d’Analamanga achètent à près de cinq fois le prix de départ. Les producteurs qui proposent aussi des produits de second et troisième choix sont ainsi obligés de vendre ces derniers à des prix infimes de moins de deux cents ariary le kilo. « Pour ma part, j’investis un peu plus de trois cent mille ariary en semences, engrais chimique et produits de traitement, sans compter la main d’œuvre. À raison de mille cinq cents ariary le kilo de la semence. Avec le prix d’achat qu’on nous impose en ce moment, la totalité de ma production revient à seulement un peu moins de deux cent mille ariary alors qu’en temps normal cela me rapporte environ cinq cent mille ariary pour la récolte », rajoute Stanislas Rakotonindriana. Plus de vingt tonnes de pomme de terre par jour sont récoltées à Manandona présentement. Des produits frais qui ne peuvent attendre longtemps avant d’être commercialisés. Des producteurs d’Antanifotsy, Antsirabe I et II, Betafo et Faratsiho sont aussi dans le même contexte. Pour rappel, la production nationale de la pomme de terre est principalement concentrée dans la seule Région de Vakinankaratra (90 à 95 % de la production nationale). Le rendement moyen de la Région est d’environ six tonnes à l’hectare mais ce rendement varie en fonction de la saison de culture et de la fertilisation. Les débouchés sont généralement Antananarivo dans les grands marchés de la ville, Toamasina, la Région du sud du pays, les marchés de ville d’Antsirabe où les consommateurs et collecteurs achètent directement le produit. Les consommateurs de la Capitale, eux, subissent de plein fouet cette tendance à la spéculation infligée par les opportunistes.
La rédaction


Quelques jours après le braquage d'un grossiste de boissons, ayant pignon sur rue aux 67ha sud, survenu vers 11h du matin lundi dernier, l’affaire connaît un rebondissement. Cette fois-ci, c'est la victime elle-même qui donne sa version des faits. "Ce n'était pas une tentative mais un acte consommé. Le bandit m'a volé la somme de 3,4 millions d’ariary prévue être versée à la banque et que j'ai mis dans deux sachets en superposition", déclare M., le grossiste visé.
Mais revenons aux faits. Ce dernier a marché tranquillement jusqu'au carrefour menant à la Poste via “ Ny Havana” lorsqu'un homme d'âge mûr l'a abordé par l'arrière pour dire de lui remettre gentiment le sachet contenant l'argent. "J'ai cru encore à une farce de l'une des personnes que je connais dans le coin car l’inconnu semblait chercher à s’emparer doucement du sachet que j’avais en main. Donne-le moi, m’avait dit le quidam.  L’objet a été tiraillé entre nous deux car je n’ai pas voulu me laisser faire. Mais un autre inconnu a braqué un revolver sur ma tête. J’ai dû passer rapidement le sachet plein de liquidités au bandit, un homme âgé ou presque, de crainte que son acolyte me tire dessus. J’ai bien vu qu’il s’agit d’un pistolet automatique et j’ai pris peur », continue notre interlocuteur.
Mais sur place, les faits se sont enchaînés avec une si grande rapidité. Car pendant que les agresseurs étaient encore en train de dévaliser le grossiste, le 4X4 pick-up de la Police a surgi brusquement au coin de rue et était déjà arrivé à la hauteur des bandits et de la victime. « Je ne m’étais pas attendu à ce que le véhicule des Forces de l’ordre, ayant reçu l’alerte, était arrivé si rapidement. Ils étaient 5 à vouloir procéder à l’arrestation de mes agresseurs », poursuit encore le grossiste.
Profitant du chaos et de la surprise occasionnée par l’intervention de la Police, le bandit plus âgé a détalé comme un lapin, emportant dans sa fuite le butin. Entre-temps, son acolyte, celui qui a menacé le grossiste avec un revolver, a tiré sur les policiers qui l’ont pourchassé. Quelques mètres plus loin, il y eut des détonations. Le grossiste a cru que la Police a fini par éliminer ses agresseurs. Or, ce n’était que l’un d’eux qui était tombé sous les balles des Forces de l’ordre. Plus tard, le commerçant a fait une déposition de ce qu’il a vécu à la Brigade criminelle à Anosy.
Franck R.


Tsikarok’alika (nage libre), gana mandro ka samy manao izay saim-pantany (cannes prenant leur bain : chacun fait ce qui lui convient)… Les expressions malagasy qui rendent compte que la seule règle du jeu valable à propos d’une circonstance de l’absence de règle sont nombreuses. Free style, dit la jeunesse branchée.
La précampagne électorale à Madagascar se déroule de la sorte. La loi du pays est muette à son sujet. Les politiciens désirant participer aux prochaines courses s’inventent ainsi à leur convenance des artifices pour tenter d’attirer ou influencer l’opinion du citoyen. Le contexte est en effet propice à la production de « fait divers qui fait diversion ».
La circulation sur les réseaux sociaux du résultat d’un sondage sur l’intention de vote des six provinces de l’île à huit mois du premier tour du scrutin présidentiel suivant le calendrier proposé par l’agence électorale (CENI) retient l’attention entre autres diableries politiques. Le résultat est présenté sous forme de géographie électorale. Trois politiciens jugés « favoris » y sont alignés.
A la lumière du résultat du soi-disant sondage d’opinion, l’un d’entre eux surclasse de loin les deux autres concurrents. Le sondage attribue même au « meilleur candidat » la victoire au premier tour. Le vainqueur est réputé pour ses suspectes liaisons avec des hommes d’affaires russes telles que commentées par la presse occidentale.
La méthode de propagande communiste, reconnue aux pays de l’ancien bloc socialiste sous l’influence russe, se laisse lire facilement derrière la donnée iconographique. Tous les coups sont permis à l’ère des technologies dont l’avancée et la manipulation, l’apanage d’une minorité de techniciens courtisés et bien traités, légitiment davantage la softpower des outils de propagande.
L’on parle de socioconstructivisme en politique ou reconstruction idéologique à l’ère des technologies. Même les Etats-Unis, l’antre de la démocratie occidentale, se rendent vulnérables aux effets de l’ingérence étrangère en période électorale. La controversée victoire de l’ex- leader Donald Trump le confirme. Les démocraties fragiles comme celles en Afrique, y compris Madagascar, ne sont jamais à l’abri des attaques sur fond de violence symbolique.
Jusqu’à preuve du contraire, le sondage bidon et encore moins son résultat n’ont rien de scientifique du tout, même s’ils auraient bien pu être l’œuvre de fins mathématiciens-statisticiens sans éthique. Certes, la présence d’experts en la matière dans les équipes des candidats est une pratique familière. Tout calcul politique n’est jamais exempté de calcul mathématique.
Au plan de la recherche, le résultat du sondage que l’on fait propager en ligne est dépourvu de preuve et de validité scientifiques. La base d’échantillonnage, la période ainsi que les sites d’enquête et la méthodologie utilisée sont non déterminés. Sans ces paramètres élémentaires, une recherche n’est qu’une pure fiction et son résultat ne peut avoir ni utilité ni pertinence sociale que de la manipulation d’idée.
L’intention derrière la publication du résultat du sondage fictif est évidente : influencer les électeurs au profit d’un seul candidat. Cette méthode a un nom : la subversion numérique. Mais ce type de subversion pourrait se transformer en actes de violence généralisée si sa tactique électorialiste venait à être remise en cause pour diverses raisons. Les auteurs du sondage y préparent déjà l’opinion générale. C’est cela la violence symbolique évoquée plus haut.
« Certains politiciens ne font que profiter de la pauvreté des gens. Quand on examine de plus près, la raison pour laquelle ils font de la politique est d’obtenir rapidement de l’argent et de la richesse, des postes bien rémunérés et de l’honneur », cite au passage le message de l’assemblée générale de la commission épiscopale Justice et Paix du 18 au 21 avril dernier.
M.R.

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LA UNE DU 25 AVRIL 2023

L’équipe féminine du Mb2All domine la compétition. Si ces joueuses N1A dames sont sacrées championnes à la coupe de la ligue de Vakinankaratra, finale de la phase Aller du sommet national, les U16 filles ratent le coche en perdant sur un demi-panier (41-42) au « Toby », Ratsimandrava, lors de la finale du Section Tanà-ville. Pour la formation du Dr Jean Claude Rakotomalala, président du club, la relève est là. 

L'accès définitif à la terre et la régularisation au niveau administratif représentent un calvaire pour une grande partie des Malagasy. Actuellement, 80 % de la population ne sont pas propriétaires de leur terre légalement. Afin de remédier à cette injustice, 1.390.000 certificats fonciers (CF) seront octroyés à tous ceux qui désirent sécuriser leur terrain dans 14 Régions d'ici la fin de l'année.

Face à l'adversité, il faut prendre le taureau par les cornes. En effet, la Commune d'Ambohimanambola a décidé d'instaurer un couvre-feu afin d'endiguer les vagues d'insécurité qui règnent sur les lieux.

Depuis ces derniers temps, l'insécurité ne cesse de gangréner cette partie de la ville. De nombreuses plaintes ont été reçues par les autorités sur des agressions et des vols en tout genre.

Finalement, l’Etat décide de prendre la bête par les cornes ! Décidé à franchir le Rubicon quitte à créer des vagues, le régime Orange sous la conduite du Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina prend des mesures courageuses et cela pour améliorer les conditions d’existence des concitoyens et d’offrir des opportunités pour la relance du pays.

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Editorial

  • Vive Dar es Salaam !
    La ville portuaire sur la côte est de Tanzanie, Dar-es-Salaam, a abrité le Sommet de tous les espoirs. Madagasikara participa activement à la Rencontre. Tanzanie, le pays de Julius Nyerere, née de la fusion de Tanganyika et de Zanzibar en 1964, donnant face à l’océan Indien est un pays de l’Afrique de l’Est. D’une superficie, presque le double de la Grande île, de 950.000 km2 de même d’une population de 67 578 209, plus de deux fois celle de Madagasikara, la Tanzanie est un grand pays de l’Afrique de l’Est. Il partage la Sous-région avec la Grande île. Les 27 et 28 janvier 2025 s’est tenue à Dar-es-Salaam l’assise de l’ « Africa Energy Summit ». Il s’agit d’une action globale entrant dans le cadre de la « Mission 300 » dont l’ambition principale consiste à réussir « l’accès universel des 300 millions africains à l’énergie d’ici l’an 2030 ».…

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