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Tout juste, deux questions !

Aux dernières nouvelles, on apprend que Maharante Jean de Dieu aurait été convoqué par le BIANCO. Evidemment, en pareille circonstance, le conditionnel est de rigueur jusqu’au moment où l’on a des précisions l’infirmant ou le confirmant.
Rappel des faits. L’ancien gouverneur  de Tuléar datant de l’ancien régime de feu Didier Ratsiraka et ensuite ministre de la Fonction publique et plus récemment membre du Gouvernement en charge des Postes et des Télécommunications du temps de Rajaonarimampianina, pendant quelques mois jusqu’en 2018, a eu de lourd passé dans l’exercice de ses fonctions. Des dossiers troublants relatifs à des malversations financières pèsent sur cet ancien homme fort des régimes successifs. En fait, il est accusé de détournements de deniers publics d’un montant de 5 milliards d’ariary dans une affaire de tripotage de dossier au sein de l’Autorité de régulation des technologies de la communication (ARTEC). Une autre affaire douteuse a été commise également au sein de ce même Département, celle d’un détournement financier à hauteur de 700 millions d’ariary et qui a été révélée par l’Inspection générale de l’Etat (IGE) à l’issue d’un contrôle. Des scandales financiers auxquels la Haute Cour de justice (HCJ), lahaute juridiction seule habilitée à les juger du fait du rang du supposé auteur des méfaits au moment des actes, ne peut rien faire en raison du blocage des dossiers au sein de l’Assemblée nationale. On le savait qu’ayant été écarté du Gouvernement suite au changement au sommet de l’Etat en 2019, le « monsieur » disparait dans la nature. Il est parvenu à quitter le territoire et vit en exil à l’extérieur. Et du coup, grâce à  la  magie des nébuleuses relations dans les hautes sphères qui échappe au commun des mortels, Maharante Jean de Dieu revient au pays et reçu en héros à Ivato. Il a joui le privilège d’accueil réservé à des « Very Important Person » (VIP).
Au cas où la fameuse « convocation » relayée par la presse locale et dont fait l’objet Maharante Jean de Dieu dans les locaux du BIANCO serait avérée, deux questions essentielles autour desquelles s’articulent des questions subsidiaires se posent.
Les gros bonnets impliqués dans des affaires de malversation jouissent-ils de la protection quelque part en haut lieu ? Si la réponse se hasarde dans le négatif, pourquoi un ancien dirigeant ayant des antécédents compromettants au vu de la Justice pourrait-il être reçu avec les honneurs ? Il peut rentrer librement tout comme sortir sans souci. La notion d’égalité de tous devant la loi a-t-elle encore un sens ?
La deuxième question qui suit de fil en aiguille la première « jusqu’à quand allons-nous entretenir la culture de l’impunité ? » La Haute Cour de justice reste inopérationnelle, du moins jusqu’à présent, à cause d’une nébuleuse volonté de bloquer ou d’étouffer, c’est selon, la procédure d’accusation savamment orchestrée au sein de l’Assemblée nationale. En dépit de la sonnette d’alarme tirée par la présidente de cette Institution, elle-même, l’affaire s’enlise toujours. Et il semble que ce n’est pas demain la veille afin que les choses bougent.
L’opinion attend impatiemment la suite à donner à cette « convocation », s’il en est vraiment le cas. Déjà, le BIANCO a mis un peu ou trop de temps pour réagir. On attend !
Ndrianaivo


Il y a une semaine, le talon de bagages du Président de la République, Andry Rajoelina, en déplacement en Autriche, a été pris en photo et partagé sur les réseaux sociaux. L’enquête menée par les autorités a permis d’identifier le photographe indélicat et son audition. L’appareil utilisé ainsi qu’une marque banale ont mené les enquêteurs sur l’incriminé.  Celui-ci n’est autre qu’un chauffeur au sein d’une des représentations de Madagascar en France et était parmi les personnes ayant accueilli la délégation présidentielle durant le transit à Paris. Lors de son enquête, la question du talon de bagages n’est qu’une infime des informations que celui-ci a partagé avec son entourage. En effet, il a également dévoilé des renseignements sensibles qui pourraient nuire à la sécurité du Président de la République et de sa famille, entre autres, le déplacement de ce dernier et ses proches et son lieu d’hébergement.
Depuis, le chauffeur incriminé a été rapatrié au pays. Gardé à vue dans un bureau de la Gendarmerie nationale à qui est confiée l’enquête, il a donné les noms des individus bénéficiaires de ces informations sensibles. Il s’agit d’un groupe composé par des proches et d’autres individus en contact en permanence avec lui.
Des membres de ce groupe sont actuellement en garde à vue au Toby Ratsimandrava, selon une source proche de l’enquête. Ils sont une dizaine à subir l’enquête des fins limiers de la Gendarmerie nationale et leur sort connu à la fin de cette semaine au plus tard, d’après les informations recueillies. C’est seulement lors du déferrement de leurs dossiers au Parquet qu’on saura un peu plus sur la qualification de leur inculpation. Mais pour les observateurs, il est fort probable que l’atteinte à la sûreté de  l’Etat figure en haut lieu des actes retenus contre ces personnes. Du moins, pour le chauffeur qui a violé le secret professionnel et de surcroît concernant le Président de la République.
La Rédaction




Sandiren Ramasamy, ce Mauricien de 45 ans était dans nos murs depuis le 4 août dernier. Son objectif aurait été de convoler en juste noce avec une Malgache dont il a fait la connaissance sur les réseaux sociaux. Mais depuis le 15 août dernier, ses proches restés à Maurice ont commencé à s’inquiéter vivement. En cause, ce bodybuilder doublé d’un propriétaire d’une salle de sport à Curepipe à Maurice, n’a plus donné aucun signe de lui. Plus grave, l’on approche de la date du 3 septembre où le quadragénaire est censé rentrer à Maurice, alors que le concerné reste obstinément introuvable. Face à cela, l’inquiétude de la sœur ainsi qu’un neveu de Sandiren est telle qu’ils multiplient actuellement les démarches afin de le retrouver dans la Grande île. «Nous espérons de tout cœur qu’on le retrouve. Nous demandons à quiconque le croise à Madagascar de bien vouloir contacter l’Ambassade de Maurice», a fait savoir un proche de Sandiren R. dans les colonnes d’un quotidien de l’île sœur.
Et raison de plus pour s’inquiéter, l’homme a perdu toutes ses affaires dans la Grande île. Et que la perte de ses objets personnels constituent davantage un obstacle pour son voyage du retour, c’est-à-dire le ramener dans son pays. Pire, son état de santé n’est pas du tout bon. Ces proches du porté disparu affirment que la nouvelle concernant l’état de Sandiren serait alarmante. Certaines personnes résidant dans la Grande île auraient rapporté à la famille du porté disparu que ce dernier se serait déplacé d’un endroit à l’autre sur l’île, et qu’il souffrirait diablement. 
Mais la liste des mésaventures que le Mauricien serait en train de subir actuellement n’est pas exhaustive. Le Mauricien s’était confié à l’homme,  qui a posté la photo et son triste sort sur Facebook, qu’il a été arnaqué et qu’on lui a pris toutes ses affaires, selon toujours un membre de la famille du concerné dans ce journal mauricien. Pour couronner le tout, Sandiren n’a pas du tout accepté ce que l’internaute, voulant l’aider, lui a proposé de se présenter au poste de police.
Recueillis par F.R


De toutes les couleurs, les réactions épidermiques sur la toile en font voir. Les polémiques enflent autour du jaune et du blanc, les couleurs emblématiques de l’Eglise catholique romaine (ECAR), et de l’orange, la couleur symbolique du parti majoritaire à Madagascar.
Au centre des discussions à n’en plus finir les kits gracieusement offerts par le couple présidentiel en guise de sa contribution à l’organisation de la dixième édition des Journées mondiales de la Jeunesse (JMJ) qui se déroulera à Antsirabe du 30 août au 4 septembre.
La couleur orange est dominante sur ces dons. Du coup, les interprétations fusent de partout. Les farouches défenseurs de la laïcité de l’Etat sont parmi les fervents dénigreurs de l’initiative. Leurs critiques ont leur raison d’être.
Les retrouvailles catholiques se tiendront en cette année précédant la période électorale de 2023. Environ 30 000 fidèles seront attendus dans la capitale du Vakinankaratra pour ce rendez-vous d’envergure. L’on lit à travers ces dons du couple présidentiel une arrière-pensée politique. « On ne peut pas faire abstraction de la politique. La politique est omniprésente », a bien explicité le philosophe français Jean-Paul Sartre.
Dans un pays où près de la moitié de la population a moins de 18 ans, les yeux sont rivés sur cette frange importante de la structure démographique d’autant plus que l’ECAR compte plus de croyants que d’autres confessions religieuses.
L’ECAR à Madagascar serait sur le point d’imploser à cause de la divergence de vues sur ces dons orangés, selon les mauvaises langues. Elles font croire que l’imposition de ces kits créerait des dissensions chez les catholiques.
Une telle supputation ne fait pas sourciller les cultivés qui savent le fonctionnement de l’ECAR dont la stabilité séculaire repose sur le pouvoir papal à l’origine même des JMJ. Hier même, les représentants des autorités catholiques à Madagascar ont dû apporter des précisions nécessaires quant à la position de l’Eglise vis-à-vis des dons présidentiels.
Sur le principe, aucune disposition légale n’interdit le couple présidentiel de faire don à une organisation religieuse. De plus, le même couple présidentiel est habitué à faire ce genre de don si l’on ne cite que l’association humanitaire Akamasoa, une autre entité d’obédience catholique. Seulement la loi en vigueur s’oppose au mélange de la gestion des affaires publiques à celle des choses religieuses.
Comme le dit l’adage populaire, tout bon chrétien ne refuse jamais les dons. Un grand nom du christianisme à Madagascar a dit un jour que les offrandes des fidèles se prenaient sans hésitation, quelle que soit la provenance de l’argent. Dieu seul juge de la droiture ou non du donateur.
Selon les représentants de l’ECAR, l’Eglise n’a pas de problème avec les lots reçus qui seront distribués le moment venu. En effet, tout changement de posture serait fantaisiste. En outre, tout revirement va l’encontre de l’enseignement de l’Evangile qui préconise de dire oui ou non et de s’en tenir jusqu’au bout car la versatilité émane du Mal.
Initiées par le pape Jean-Paul II en 1985, les JMJ constituent un événement à destination des jeunes dont l’éducation est l’une des préoccupations majeures de l’Eglise. Les couleurs des kits à distribuer lors de cet événement font seulement bouger la toile et ne doivent en rien ébranler la foi en Christ, la pierre angulaire de l’Eglise.
M.R.

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Météo - Le froid persiste cette semaine


Le temps typiquement hivernal est de retour. Depuis hier, un vent de Sud-est s'est installé progressivement sur la côte Est de Madagascar. Des pluies faibles locales ont déjà touché les littoraux centre Est, Nord-est et Sud-est du pays et se sont étendues sous forme de crachins locaux sur le versant Est des hautes terres. En effet, les vents alizéens dirigent le temps sur la Grande île jusqu’à jeudi, mais ils deviendront faibles vers la fin de la semaine. D’après les informations partagées par la Direction générale de la météorologie (DGM) sise à Ampandrianomby, des pluies faibles et intermittentes gagneront les côtes Nord-est, Centre Est et Sud-est du pays jusqu’à vendredi. Celles-ci s’étendront sous forme de crachins locaux sur le versant Est des hautes terres. Le ciel sera donc en général nuageux à couvert avec des crachins locaux matinaux sur les hautes terres centrales. Le retour d’un temps généralement ensoleillé sera attendu vers samedi sur la majeure partie de l’île. Quant aux températures, les valeurs maximales connaîtront une baisse progressive mais devenant significatives vers le jeudi sur le versant Est des hautes terres et près de la côte Est. Les températures minimales varieront de 9 à 21° Celsius, tandis que les valeurs maximales oscilleront de 20° à 34° Celsius.
Par ailleurs, des houles australes de 3 à 3,5 mètres se manifesteront encore le long de la côte Sud (entre Morombe et Taolagnaro) jusqu’à demain. Effectivement, le phénomène des houles restera d’actualité près de la côte Sud-est d’ici jeudi prochain avec l’arrivée des houles orientales. Les usagers en mer sont ainsi priés de se conformer aux prescriptions émises par les autorités locales. La sortie en mer est déconseillée.
Trois jours dans le froid
Selon le prévisionniste au sein de Météo Malagasy à Ampandrianomby, Nomenjanahary Mamy Andriamirado, les températures connaîtront en général une baisse progressive sur les hautes terres et les littoraux Est du pays à partir de cet après-midi. Dans les autres Régions, elles resteront quasi stationnaires. Particulièrement en cette matinée, un vent du Sud-est s'installera progressivement sur la côte Est de Madagascar. Par conséquent, des pluies faibles et intermittentes toucheront Antalaha et Analanjirofo. Quelques averses locales sont encore attendues à Taolagnaro et la côte d'Atsimo-Atsinanana. Le temps sera généralement nuageux sur les hautes terres. Le soleil brillera largement ailleurs. Et cet après-midi, des pluies faibles et intermittentes sont encore prévues sur Antalaha et Analanjirofo. Elles s’étendront ensuite  sur la Région d’Atsinanana. Des averses locales tomberont toujours sur Taolagnaro et les littoraux sud de la Région d’Atsimo-Atsinanana. Ailleurs, le soleil prédominera largement. Demain, des pluies faibles et intermittentes seront toujours attendues sur les côtes Nord-est, Centre-est et Sud-est de l'île. Un temps nuageux avec des crachins locaux marquera la journée sur le versant Est des hautes terres. Le reste sera généralement ensoleillé dans les autres parties du pays. Jeudi prochain, un temps typiquement hivernal sera de retour. Des pluies faibles et intermittentes se manifesteront de nouveau sur les littoraux Est. Celles-ci s'étendront sur la partie Est des hautes terres sous forme de crachins locaux.
Recueillis par K.R.


L'équipe nationale de football à savoir les Barea locaux quitteront le pays demain mercredi 24 août, s'il n'y a pas de changement, pour rejoindre Gaborone, la capitale botswanaise. Madagascar défiera son hôte pour le deuxième tour et décisif pour la qualification au Championnat d'Afrique des Nations (CHAN) d'Algérie comptant pour le match aller.
D'après Romuald  Rakotondrabe, dit "Rôrô ", coach des Barea B, «ils prendront le vol de mercredi à 3h matin ». Contrairement au déplacement de l'équipe lors de la Cosafa Cup en Afrique du Sud, toute la délégation prendra le même avion.
Le sélectionneur des joueurs locaux n'a pas changé d'équipe malgré la réduction de son effectif après le forfait de quelques joueurs blessés et engagés avec les U23 en vue de la qualification de la CAN.
 Le match face au Botswana est prévu le samedi 27 août au stade Obed Chilume, à Francistown, ville située à plus de 400 km au Nord de Gaborone, la capitale botswanaise. Le match retour, pour sa part, devrait avoir lieu au stade Barea de Mahamasina le vendredi 2 septembre.
Rappelons que le Botswana a décroché sa qualification dans cette étape face à l'Estwani pour la manche retour du 2e tour des qualifications au CHAN 2023. Les Botswanais ont arraché le nul 2-2. Ils se qualifient ainsi pour le prochain tour. Au match aller, les deux équipes ont fait match nul 0-0 au Botswana.
E.F.


Optimisme. C’est à travers cet état d’esprit que les professionnels du tourisme ont reçu les dernières études sur l’évaluation de leur secteur, effectuée par le ministère en charge. En effet, les observations au sein du ministère du Tourisme avancent que près de 49 % des arrivées internationales sur le dernier trimestre sont constituées de voyageurs à vocation touristique. De plus, s’ils n’étaient que 6.741 voyageurs arrivés d’ailleurs au début de l’année, au mois de mai dernier, les autorités ont compté un peu plus de 18.000. Et un mois plus tard, les voyageurs internationaux ont augmenté pour en arriver à 22.028. A ce jour, l’ensemble des dessertes vers Madagascar est rétabli, à l’exception de l’Afrique du Sud et de la Turquie, a-t-on indiqué. Au vu de ces données, le ministère du Tourisme souligne que les activités touristiques sont dans une phase de redémarrage et un accroissement des arrivées, alors que nous sommes déjà en mi-période de la haute saison. Certes, des chiffres peu élogieux en comparaison aux statistiques établies aux îles et pays voisins. Mais cela affiche déjà un certain élan d’optimisme sur la croissance constante des chiffres enregistrés. Et quand on sait que presque la moitié de ces voyageurs viennent à Madagascar pour faire du tourisme, cela présage déjà des performances plus ou moins notables pour la haute saison touristique en cours. D’ailleurs, la majorité de ces nouveaux arrivants déclarent rester plus de quatre semaines dans la Grande île. Ce qui représente une rentrée de devises supplémentaires dans le secteur du tourisme, de l’hôtellerie et de la restauration.
Sauver les meubles
Pour les opérateurs de ce secteur, il s’agit surtout de sauver les meubles pour cette saison en cours car on ne pourra réellement parler de relance que l’année prochaine. Là où toutes les contraintes et barrières seront écartées. Inutile de mentionner que c’est le secteur économique le plus sinistré par la persistance de la crise sanitaire liée à la pandémie de coronavirus. A cet effet, le tourisme essaie de vivre sous assistance respiratoire. A ne mentionner que les emplois en péril tout le long de la chaîne de valeur, 44.000 emplois directs et plus de 300.000 emplois indirects sont affectés. D’ailleurs, à ce propos, la Confédération du tourisme indiquait plus de 1.900 milliards d’ariary de perte pour les opérateurs touristiques, rien que durant la première année de crise. Un trou qui sera difficile à combler sans une relance réellement effective car les métiers gravitant autour du tourisme contribuaient jusqu’à 15 % du Produit intérieur brut (PIB) avant l’apparition de la Covid-19. Et la relance n’est pas encore au rendez-vous. Cependant, en vue de la diversification des offres touristiques, diverses manifestations sportives et culturelles seront organisées. Pour cette année, l’organisation d’un festival de kitesurf avec plusieurs proriders, ainsi que qu’une compétition internationale de trail sont entre autres prévues. A noter que le ministère de tutelle se concerte régulièrement avec les groupements professionnels du tourisme et les compagnies aériennes. C’est ainsi que diverses actions sont déployées pour renforcer les actions de promotion de la destination Madagascar.
Hary Rakoto



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La Une du 22 août 2022

Dans le cadre de la préparation des Barea en vue de la rencontre avec le Botswana, les protégés de Rôrô ont effectué hier, dimanche, un match amical avec le CFFA, représentant de  Madagascar à la ligue des champions d'Afrique. Les Barea CHAN se sont rattrapés sur une belle victoire en s’imposant 2 buts à rien au stade « manara-penitra » d'Ambohidratrimo. 

Le bâtiment de l’entreprise PECHEXPORT a été le théâtre d’un incendie dévastateur vers 1h du matin, samedi dernier à Mahajanga. Les ravages occasionnés par les flammes étaient tels qu’il ne reste pratiquement plus rien dans cette entreprise, l’ensemble des équipements, installations et autres infrastructures ayant été détruit à 100%. Du coup, ce sinistre a fait perdre à ses 460 salariés leurs emplois auxquels dépendent près de 3 000 familles. Parmi ces employés devenus désormais des chômeurs, 300 sont des marins tandis que les 160 restants font partie du personnel qui travaille au siège même de la société. Cette dernière se spécialise dans le traitement de tout ce qu’on peut exporter : crevettes, thons, etc. 

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Editorial

  • Adieu … !
    Adieu l’Amérique aux poches ouvertes ! Adieu l’Amérique au grand cœur ! Bonjour à l’Amérique aux américains ! Salut à l’ « America first » ! L’USAID ferme ses portes. Le 47 ème Président des Etats-Unis d’Amérique, Donald Trump, s’apprête à signer, sitôt après la cérémonie officielle d’investiture, le décret portant sur la mise en arrêt définitif de l’ « United States Agency for the International Development » (USAID), Agence des Etats-Unis pour le Développement International. Donald Trump mit à exécution l’une de ses promesses électorales phares. Le milliardaire croit dur comme fer que les Etats-Unis n’ont plus vocation à soutenir les « autres ». Il faut désormais se concentrer sur des actes, en interne ou en externe, propres à produire des intérêts aux américains. Fini les œuvres de philanthropie ! L’USAID, créé le 3 novembre 1961 sous l’impulsion du président démocrate John Fitzgerald Kennedy dont le siège social se…

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