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La Une du 100625

Une victoire convaincante pour les Congolais, un avertissement pour les Malagasy.

La République démocratique du Congo a nettement dominé Madagascar lors d’un match amical de préparation, s’imposant sur le score de 3 buts à 1, ce dimanche 8 juin 2025, au Stade de la Source à Orléans (France). Un match amical qui entre dans le cadre de la fenêtre FIFA de ce mois de juin en vue d’une préparation de l’équipe pour la qualification à la coupe du Monde.

Les Léopards de Sébastien Desabre ont su faire parler leur réalisme offensif, tandis que les Barea de Corentin Martins ont affiché de trop nombreuses fragilités défensives.

 

La portion du Pk 80+100 de la  RN2 qui passe à la hauteur de la localité d'Ankarefo, District de Moramanga, a été le théâtre d'un drame ayant endeuillé le lycée catholique de Sabotsy Namehana, vers midi hier. Un minibus Mercedes Sprinter qui transportait 18 de ses élèves, sur le point de se rendre à Fénérive-Est pour un voyage d'études, s'est renversé, du fait d'une imprudence du chauffeur, selon des sources. Bilan : une jeune élève a été tuée, et deux autres ont été blessées. D'après une source, les victimes ont été comprimées par la masse du véhicule. Il a fallu désincarcérer la jeune femme qui a perdu la vie sous le siège. Elles ont été évacuées à l'hôpital de Moramanga, tout comme les autres étudiants du minibus qui sont légèrement touchés, selon toujours des sources.

 

La Pentecôte a été célébrée partout à Madagascar. Chacun a choisi sa manière de marquer cette fête. Certains ont organisé des activités, d'autres sont restés à la maison, et beaucoup d'autres ont continué à travailler. Le dimanche, beaucoup de gens sont allés à l’église. La messe de Pentecôte a rassemblé de nombreux fidèles. Il y avait des chants, des prières et une ambiance calme et joyeuse. A Manarintsoa-Namehana, les membres de l’association « Mpanazava sy Tily » ont préparé une fête appelée « Garden Party ». Il s’agit d’une activité qu’ils effectuent souvent durant la fête de Pâques, la Pentecôte et la Fête nationale. « Le "Garden Party" une tradition pour nous », explique Faniry Bam, un membre. 

 

Une avancée majeure. La mission humanitaire menée à Madagascar par une délégation conduite par le Dr Djéa Saravane, expert international reconnu en troubles du spectre de l’autisme (TSA) et en prise en charge de la douleur, a porté ses fruits. Parmi les résultats figurent la formation d’une dizaine de médecins et d’une quinzaine de paramédicaux sur la compréhension des TSA et des troubles en neuro-développement ou encore sur l’approche du soin somatique spécifique chez les personnes autistes. Un centre de diagnostic sera également mis en place cette année même, selon les informations recueillies. « Le centre facilitera la prise en charge pluri-professionnel et multidisciplinaire des autistes. Des médecins et professionnels paramédicaux référents s’en assureront. Mais avant cela, ils bénéficieront d’une série de formations », informe le Dr Saravane.

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Drapeau et hymne national 

L’emblème national, témoin de l’indépendance et de la souveraineté du pays, doit plus que jamais trôner là où il mérite. L’heure du respect de la dignité de Madagasikara sonne. Le pays s’apprête à fêter le 65ème anniversaire de l’accession sinon du retour à l’indépendance de la Grande île. 

Le 26 juin 1960, Madagasikara accède à l’autodétermination de son avenir. Le statut de Colonie française s’achève pour de bon et devient de plein droit la République Malagasy. A noter que deux ans auparavant, en 1958, la Grande île arborait déjà le titre de République mais ce n’est que le 26 juin 1960 que les pleins pouvoirs de l’indépendance ont été octroyés du moins sur le … papier. Oui, « sur le papier » car le désormais « ancienne puissance coloniale » persistait dans les parages et planait toujours sur nos têtes. Il a fallu attendre 12 ans, en 1972, que le « divorce » soit consommé. Date à laquelle de nouveaux « Accords de coopération » ont été actés. En fait, les termes des Accords de coopération  de 1960 ont fait l’objet de révision. Et encore … !

 

Aujourd’hui, le « Mining Business Center » (MBC) d’Ivato accueille la Journée mondiale de l’Artisanat (JMA), orchestrée par le ministère du Tourisme et de l’Artisanat (MTA) et le Centre national de l'artisanat malagasy (CENAM). L’événement met en lumière la richesse culturelle et l’impact économique d’un secteur qui emploie près de 20 % de la population active (plus de 2 millions de personnes) et contribue à environ 10 % du produit intérieur brut (PIB) national. Avec 750 demandes reçues pour une carte professionnelle d’artisan, le ministère a lancé le traitement : 400 cartes seront attribuées dans la première vague, bien que seules 30 soient remises symboliquement ce jour, un choix jugé peu représentatif par plusieurs acteurs du domaine. 

 

Grandiose. C’est ce l’on pourrait qualifier du show effectué par Rossy et son équipe, hier. C’était dans un stade d’Antsonjombe bien enflammé que le chanteur a donné un concert. Dans un décor de bonne ambiance côté lumière, scénique, composé de différentes générations, en majorité de jeunes gens, que Rossy et ses camarades de scène ont accepté le défi et de faire le show. Après plusieurs années de silence radio, l’un des événements les plus populaires, baptisé « Tapôlaka Glady », initié par le chanteur Rossy, a fait un retour triomphal. Un événement qui a marqué durablement la scène artistique locale.  

 

A la tribune du 3e Sommet des Nations Unies sur l’Océan (UNOC 3), qui s’est tenu hier à Nice, le Président de la République de Madagascar, Andry Rajoelina, a livré un discours offensif et tourné vers l’action. Face aux Chefs d’Etat et de Gouvernement du monde entier, il a porté la voix des Malgaches et, au-delà, celle de toute la région indianocéanique.

« L’Océan nous unit et nous lie », a-t-il déclaré en introduction, rappelant que Madagascar, plus grande île du continent africain, se trouve au cœur de l’Indianocéanie – une zone où la mer est à la fois un mode de vie et une richesse à préserver. Pour le Président malgache, il ne s’agit pas simplement d’alerter. « Nous ne venons pas ici pour observer, ni pour commenter. Nous venons pour agir. », a-t-il souligné. 

 

Le renforcement des ouvrages vulnérables sur la nationale 2 Antananarivo-Toamasina est en cours. Le marché attribué à l’entreprise privée MMI ne connaît aucun problème. L’intervention concerne treize ponts de façon à permettre le passage des convois exceptionnels pesant chacun plusieurs dizaines de tonnes. Ce, suite à la réquisition de la Direction des études et des normes (DEN) au sein du ministère des Travaux publics, en date du 13 mai dernier.

 

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Fil infos

  • Sommet sur l’Océan à Nice - Madagascar en première ligne pour défendre les intérêts de l’Indianocéanie
  • Route Antananarivo-Toamasina - Renforcement des ouvrages vulnérables
  • Akamasoa - Une école inaugurée par les Présidents malgache et slovène  
  • Fuite d’informations  - La CENI condamne la convocation de son 1er vice-président par la cybercriminalité  
  • Centre Akamasoa - La Présidente de la Slovénie rend hommage au Père Pedro
  • Sahara marocain - " L’initiative du Maroc soutenue par le Royaume- Uni"
  • Visite d’Etat - La Slovénie veut être un partenaire actif de Madagascar
  • Fête de l’indépendance - Le Président appelle les citoyens à hisser le drapeau national  
  • Campagne de dénigrement - Deux ministres dans le viseur d’un député
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Editorial

  • Drapeau et hymne national 
    L’emblème national, témoin de l’indépendance et de la souveraineté du pays, doit plus que jamais trôner là où il mérite. L’heure du respect de la dignité de Madagasikara sonne. Le pays s’apprête à fêter le 65ème anniversaire de l’accession sinon du retour à l’indépendance de la Grande île. Le 26 juin 1960, Madagasikara accède à l’autodétermination de son avenir. Le statut de Colonie française s’achève pour de bon et devient de plein droit la République Malagasy. A noter que deux ans auparavant, en 1958, la Grande île arborait déjà le titre de République mais ce n’est que le 26 juin 1960 que les pleins pouvoirs de l’indépendance ont été octroyés du moins sur le … papier. Oui, « sur le papier » car le désormais « ancienne puissance coloniale » persistait dans les parages et planait toujours sur nos têtes. Il a fallu attendre 12 ans, en 1972, que le…

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