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A quand le PEM ?

Initialement prévue pour le 19 janvier, la présentation du Plan pour l’émergence de Madagasikara (PEM) a été reportée sine die. Le Chef de l’Etat, Rajoelina Andry, a voulu coïncider l’officialisation du PEM avec le second anniversaire de son accession à la magistrature suprême du pays. Au départ, le programme initial de présentation de cePEM fut programmé dans le courant du premier trimestre 2020 mais le maudit virus de la Covid-19 a tout bouleversé.

En effet, d’après le chronogramme établi, la première année du mandat (2019) a été réservée à la mise en place du régime ainsi que l’élaboration du plan sectoriel de développement au niveau de chaque Département. En deuxième étape, le plan sectoriel intégrera le Plan d’émergence national. Les contraintes et les exigences sinon les priorités imposées par la crise sanitaire dictaient leurs lois. Le reste a dû être relégué au second plan entre autres le PEM, évidemment. Toutefois, une question reste pertinente : « A quand le PEM ? ».

Durant le Conseil des ministres du 9 décembre, le Président Rajoelina sommait le Gouvernement en ce sens que chaque ministre doit remettre sa copie au plus tard le 10 janvier, date de rigueur. En début d’année, le Chef de l’Etat, ayant constaté que certains ministres n’ont pas pu honorer la date voulue, accorda un moratoire. Tout devait être bouclé impérativement avant cette seconde date butoir, le 19 janvier 2021.

Mais pour des raisons qui échappent au commun des mortels, la présentation du PEM programmée le 19 janvier a dû être encore reportée. Gageons qu’une ou des raisons majeures motiveraient le second report. Parmi les raisons, la journée du 19 janvier a été dédiée au lancement national du reboisement. C’est un motif de taille ! Dans le « Velirano », le Président Rajoelina s’engage à refaire de la Grande île une « Ile verte ». En effet, ce jour-là, le Chef de l’Etat dirigeait, en personne, les actions de reboisement dans le Sud de l’île, à Taolagnaro. Sous une pluie battante et parcourant à pied sur une distance conséquente, Andry Rajoelina tenait à honorer ses engagements.

Un aventurier dans le désert sans plan de marche précis risquera de s’égarer. Sur route, un conducteursans itinéraire fixé d’avance ira ailleurs. Un navire sans cap précis à atteindre naviguera à vue et se perdra en haute mer. Un avion sans plan précis sera victime de la déviation de Coriolis et risque d’être non repéré par le radar. Etc. Ainsi, un pays sans programme social et économique préétabli errera dans le « désert » de l’indifférence. Des dirigeants sans plan de travail qui cadre les intérêts supérieurs de la Nation sont ni moins ni plus des « aventuriers » sans scrupule qui prendront en otage le peuple tout entier. Le numéro Un du pays, Rajoelina Andry Nirina, ne transige point sur ce domaine précis. Il ne conduira jamais le pays vers l’inconnu.

A quand donc le PEM ? C’est la question. Il ne s’agit pas certainement d’un plan de type socialiste ou communiste dont le contenu sert uniquement à amuser la galerie. Mais c’est le tableau de bord utile pour la visibilité de la conduite des affaires de l’Etat.

La parole à la Justice. L’affaire du meurtre de Danil Radjan a connu dernièrement un rebondissement. Le patron d’une société de gardiennage a été placé en détention préventive à Tsiafahy en fin de semaine dernière. Un placement sous mandat de dépôt qui fait suite à un déferrement dans la journée même, consécutif à son arrestation quelques heures plus tôt.

Les membres du « Fikambanan’ny zanak’i Fianarantsoa » (FIZAFAFI) ont présenté leurs vœux à leur présidente et non moins présidente en exercice de l’Assemblée nationale Christine Razanamahasoa, ainsi qu’aux 4 sénateurs natifs de la Province de Fianarantsoa, en fin de semaine dernière. Pour cause de Covid-19, seuls les membres au sein du bureau permanent de l’association ont effectué cette présentation de vœux.

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La une du 30 janvier 2021


La goutte d’eau qui fait déborder le vase ! Face aux événements du 19 janvier dernier, à Mandanivatsy, dans la Commune de Tanambao Besakay, District d’Ambatondrazaka, le Corps des eaux et forêts rattaché au ministère de l’Environnement et du Développement durable (MEDD) s’est exprimé, hier à Antsahavola dans les locaux du ministère, pour défendre ses agents et condamner ces actes barbares. « Dans l’exécution de nos fonctions mais surtout dans la lutte contre la dégradation de nos ressources naturelles, nous ne tolérerons plus les pressions faites aux techniciens des eaux et forêts. En tant qu’officier de la police judiciaire du MEDD, nous sommes totalement en droit d’effectuer des descentes pour constater les actes de défrichement et appréhender les suspects et auteurs de ces actions. Nous ne faisons qu’appliquer la loi, et tout le monde doit se plier aux réglementations. Ce qui est arrivé à nos agents et aux gendarmes à Ambatondrazaka est inacceptable. Nous condamnons toute action du même genre, non seulement pour nos agents mais surtout pour notre environnement. Madagascar est en effet dans une phase critique. Les derniers événements climatiques en témoignent. Nous ne pouvons alors plus nous permettre de laisser ces actions de destruction continuer à tout va.», a déclaré Jocelyn Elysé Rajaonarison Rakotonavalona, ingénieur principal de classe exceptionnelle au sein du Corps des eaux et forêts.
Pour rappel des faits, ces événements font suite à l’exploitation illicite d’une aire protégée. Sur réquisition de la Direction régionale de l’Environnement et du Développement durable d’Alaotra-Mangoro, la Gendarmerie de la Région a donc envoyé deux gendarmes pour accompagner les agents forestiers du MEDD dans une mission de constatation de pillage de forêts à Mandanivatsy, dans la Commune de Tanambao Besakay. A son arrivée sur les lieux, cette équipe a appréhendé deux individus. Ils les ont amenés dans la forêt pour constater ensemble les dégâts du défrichement. A leur retour au village, une foule en colère et brandissant des armes les a attendus au tournant, pour réclamer la libération des deux principaux suspects arrêtés. Exposés à une situation sans issue, les gendarmes et leurs collègues se sont pliés à la demande des villageois. Une réaction considérée comme un acte de faiblesse. Un « Zazamena », milicien payé par le village pour les protéger, a alors frappé l’un des gendarmes à coups de machette. Les autres l’ont ensuite tabassé jusqu’à ce qu’il rende l’âme. Les survivants ont été capturés puis torturés. Seule une intervention du maire a permis de les sauver.
Ces faits mettent en évidence que tous les agents forestiers mettent leur vie en péril pour protéger les ressources forestières du pays. Ce n’est pas la première fois, en effet, que ce genre de chose arrive. Mais celui-ci a eu plus d’écho que les autres. Des agressions du même genre arrivent dans les zones principalement exposées au défrichement, comme Ankarafantsika ou encore Menabe Antimena. Les responsables de la dégradation des forêts sont particulièrement virulents, armés et incontrôlables. « C’est pourquoi nous demandons à l’Etat de donner à nos 350 techniciens un cadre réglementaire bien défini pour exécuter nos fonctions mais surtout les outils nécessaires notamment des armes comme la loi le stipule. », rajoute ce responsable au niveau de l’OPJ du MEDD. Toutes les parties prenantes à différents niveaux veulent préserver les ressources du pays et éviter que ce genre de situation se reproduise encore. 
La Rédaction

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A couteaux tirés !

De l’orage à l’horizon. A la  moindre étincelle, l’atmosphère risque de dégénérer. Des menaces de foudres s’annoncent dans le ciel. Une ambiance délétère envenime le cadre.
Le contexte post-pandémie propulse la délinquance morale et politique. Et la menace d’un retour en vague de la Covid-19, ancienne ou nouvelle variance, n’arrange point la situation. Le tissu social désagrège. L’économie se décompose. Le pays s’appauvrit à un rythme fou. Le dérèglement climatique cause des dégâts inouïs. La situation se complique. Le Kere dans le grand Sud, sécheresse permanente, tue des hommes, des bêtes d’élevage et détruit le peu qui reste des cultures de subsistance. Bref, ce sombre tableau laissé par la pandémie et la menace pressante d’une deuxième vague donnent du fil à retordre au pouvoir et offrent un contexte propice aux activités de l’Opposition.
Le ton monte des deux côtés et se positionnent pour…  A couteaux tirés, les deux « belligérants », le pouvoir en place et l’Opposition, affûtent leurs armes. Au final, on assiste à des gesticulations de duels à étages différents.
D’abord, un duel classique entre les tenants du pouvoir (l’Exécutif) et les barons de l’Opposition. Le Gouvernement lève le bouclier et montre sa détermination à mater toute tentative de trouble sinon de déstabilisation de la part de l’Opposition. Il ne reste pas sans réaction face aux provocations du camp d’en face et se dit prêt à agir devant toute éventualité. Des consignes fermes ont été transmises aux Forces de l’ordre, par le chef du Gouvernement en personne, Ntsay Christian, afin de veiller au grain pour garantir l’ordre et la sécurité. Aucune tentative visant à saper la paix civile et contraire aux intérêts de la Nation ne sera jamais toléré. Et dans le camp de l’Opposition, principalement du RMDM, on « s’amuse » à des actes de provocation. La toile et les émissions radiophoniques du genre « miara-manonja » tirent à boulets rouges sur le régime en place. La désinformation, cette arme redoutable entre les mains des faibles, sème la pagaille. Elle vise à brouiller la bataille de telle sorte que l’opinion n’y voit plus clair. Aucune visibilité à l’horizon !  Ce fut la stratégie, le système de brouillage, apparemment efficace, adoptée par les nazis durant la Grande Guerre 39-45. A court d’arguments crédibles et sérieux, les locataires de Bel-Air sèment des rumeurs ou déforment les réalités susceptibles d’attiser des mécontentements.
Parallèlement, la bataille rangée entre les élus parlementaires éclate. Les députés IRD, proches du régime « orange », montent au créneau et dénoncent les actes « insensés » de leurs homologues de l’Opposition. Dans la ligne de mire des députés de la majorité, entre autres Fetra Rakotondrasoa (Miarinarivo) et Naivo Raholdina (Vème Arrondissement), les députés TIM dont Me Hanitra Razafimanantsoa (1er Arrondissement) et Fidèle Razarapiera (Ambatondrazaka) essuient des tirs croisés. En fait ces derniers, supposés être des porte-étendards de l’Opposition, déraillent. Lâches et menteurs, ils foncent dans un combat sans issue pour eux. Une cause perdue d’avance ! Et le comble des malheurs, ils persistent et signent dans l’erreur.
A couteaux tirés, les acteurs politiques du pouvoir et de l’Opposition se mesurent. Dans une ambiance surchauffée. Tels des chiens de faïence, ils se toisent. Mais qu’on se le dise, les tenants du pouvoir maîtrisent la situation.
Ndrianaivo

Le député Ahmad Ahmad demande à la présidente de l'Assemblée nationale Christine Razanamahasoa l'ouverture d'une enquête parlementaire sur l'exploitation des ressources minières en général et en particulier sur la filière or à Madagascar. L'annonce a été faite au cours d'une entrevue, hier au Palais de Tsimbazaza. Le président de la commission ressources stratégiques au niveau de la Chambre basse du Parlement dénonce les nombreuses informations autour des différentes affaires de trafic de richesses naturelles dans le pays. L’initiative de mettre sur pied une enquête parlementaire répond ainsi à la volonté de séparer le bon grain de l’ivraie et de mettre à jour la vérité dans ces affaires, selon le député élu à Fénérive-Est.
La demande d’ouverture d’une enquête parlementaire aurait déjà été déposée au niveau du bureau permanent, indique le député élu sous les couleurs de l'Isika rehetra miaraka amin'i Andry Rajoelina à Fénérive-Est. Il appelle d’ores et déjà ses pairs à l’Assemblée nationale à adopter, le moment venu, la proposition de résolution portant création de cette commission d’enquête. Par ailleurs, Ahmad Ahmad soutient que la commission qui devra être mise en place au cours de la session ordinaire du Parlement sera impartiale et transparente car composée notamment des différents groupes parlementaires à l'Assemblée nationale.
Pour respecter la séparation de pouvoirs, aucune enquête ne sera menée sur les faits relatifs au trafic des 73.5 kg d’or saisis en Afrique du Sud qui font déjà l’objet d’une procédure judiciaire en cours, précise toutefois, le député. Il affirme néanmoins que le rapport de la commission une fois bouclé sera remis à qui de droit, lançant ainsi une pique aux sénateurs sortants qui avaient cru bon de remettre les rapports de leurs commissions à une personne étrangère au Gouvernement.

La Rédaction




Chose promise, chose due. 192 Fokontany ainsi que les « Tsena Mora » des deuxième, quatrième et sixième Arrondissements de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) ont été approvisionnés en « Vary Tsinjo », hier. C’est le bilan fourni par le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA). Grâce à la collaboration de diverses entités telles que le Gouvernorat, les autorités régionales d’Analamanga, les Fokontany, les responsables de marché, les « Tsena Mora », ce type de riz à 25 % de brisures est déjà commercialisé dans différents quartiers comme Isotry, Andohatapenaka, Manarintsoa, Antohamadinika, Soarano, Isoraka, Ambalavao-Isotry. Selon le ministère, cette statistique concerne uniquement le premier jour de distribution car l’approvisionnement se poursuit encore afin de couvrir le grand Tana. « Nous essayons de faire le maximum pour que les 984 épiceries concernées vendent du "Vary Tsinjo" dans les plus brefs délais », ajoute un responsable.
Pour rappel, l’importation du riz importé par le « State Procurement of Madagascar » (SPM) est une stratégie de réponse face à la hausse de prix du riz local. Cela permet de préserver le pouvoir d’achat de la population et assurer la diversification des produits sur le marché. Comme il a été décrété en Conseil des ministres, ce riz est proposé à 1 500 ariary le kilo. Chaque foyer a droit à 5 kilos lors de l’achat pour éviter les spéculations. Outre les 7 000 tonnes de riz réceptionné par le Président de la République Andry Rajoelina à Tamatave, 8 500 tonnes de ce même produit est prévu arriver en cette fin du mois.
Solange Heriniaina




Mode de vie, nourriture, habillement, coiffure, musique, us et coutumes. Toutes les richesses culturelles de la Région d’Androy sont mises en exergue à la grande cour de l’Office de la radio et télévision de Madagascar (ORTM), Anosy, depuis hier et pendant deux jours. Ceci à travers l’évènement baptisé « Mbetoa heke », traduit littéralement par « viens voir ». Sa tenue résulte du partenariat entre le ministère de la Communication et de la Culture (MCC) avec l’association SAIRY (Solidarité des artistes issus de la Région d’Androy). Cette manifestation vise à présenter et valoriser la culture tandroy et ses richesses. Pour ce faire, divers stands exposent les produits spécifiques et le savoir-faire de cette partie sud de Madagascar, que ce soient des produits vestimentaires, alimentaires ou autres. A cela s’ajoutent les us et coutumes, privilégiant la famille et l’union. Aussi, plusieurs artistes originaires de la Région font des prestations sur la scène dédiée à leur honneur, au grand plaisir des visiteurs. D’ailleurs, l’entrée y est gratuite.
Promotion de la diversité culturelle
« La méconnaissance des cultures des différentes Régions favorise l’écart entre les Malagasy. Il est du devoir du ministère de soutenir ce genre d’évènement pour y remédier. D’ailleurs, "Mbetoa Heke" n’est qu’un début », déclare Lalatiana Andriatongarivo, ministre de la Communication et de la Culture (MCC). C’était lors de l’ouverture officielle de l’évènement, dans la matinée d’hier. D’ailleurs, le ministre de tutelle s’est coiffée et habillée comme les femmes tandroy et a prononcé son discours avec le dialecte local. « Les Tandroy disposent de richesses culturelles considérables. De plus, les artistes locaux ont su faire connaître Madagascar au niveau mondial, à travers leurs œuvres et compositions », souligne le numéro un du MCC.
Dans son programme « Iray ihany isika », axé sur la promotion de la diversité culturelle, le ministère de tutelle compte organiser régulièrement ce genre d’évènement. Le but étant de promouvoir les spécificités culturelles de chaque Région de l’île.
Patricia Ramavonirina



Une initiative de « Inona ny Vaovao ». Ce quotidien du groupe de presse SMC a sélectionné trois femmes qui ont su se démarquer en 2020, à partir des actions sociales qu’elles ont menées malgré la crise de la Covid- 19. En considérant plusieurs critères, trois femmes sont sorties du lot dont Mialy Rajoelina, Première Dame et présidente de l’association Fitia. Julia Mickaelle Rasolofonoroniaina alias Mishah, à la tête de l’association « Force féminine d’aide mutuelle » (FFAM), et Masy Goulamaly, députée élue à Tsihombe, constituent les 2 autres personnalités féminines dans le volet social de l’année 2020. « Ces femmes ont mené plusieurs actions sociales et humanitaires, non seulement au sein de leurs localités mais aussi dans plusieurs villes et villages de l’île durant l’année 2020. La crise sanitaire et ses impacts multisectoriels ne les ont pas empêchées de se mobiliser. Au contraire, elles ont tenu à venir en aide à leurs compatriotes en détresse », fait part Tiana Rakoto, directeur de publication dudit quotidien national d’information.
Des mères de famille modèles
Mialy Rajoelina ne cesse de donner l’exemple en tant que Première Dame, à travers les actions sociales qu’elle mène à travers l’association Fitia. Des centaines de familles vulnérables de la Capitale et dans le Sud, touchées par le « Kere » en ont bénéficié. Elle a également été au chevet des victimes de violence, notamment les mineures, dont les cas se sont multipliés en 2020. Quant à Julia Mickaelle Rasolofonoroniaina, alias Mishah, son association a entrepris plusieurs actions sociales durant la crise sanitaire. Dès le début de la pandémie, ce leader citoyen a enchaîné la distribution de masques dans son quartier et dans d’autres localités. Les personnes défavorisées ont été servies grâce à l’engagement et la dévotion de cette mère de famille modèle. Pour sa part, la députée de Tsihombe en la personne de Masy Goulamaly s’est fortement mobilisée pour apporter de l’aide à ses compatriotes. La population du Sud, victime de l’insécurité alimentaire liée à la sécheresse, en fait partie.
Ces femmes méritantes du volet social se ressemblent dans le fait qu’elles n’attendent rien en retour de leurs actions sociales. Aussi, elles donnent l’exemple et sont considérées comme des mères de famille modèles. Pour tout cela, « Inona no Vaovao », avec l’appui de ses partenaires, décernera prochainement un trophée à chacune d’entre elles. A suivre !
Recueillis par Patricia Ramavonirina



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Editorial

  • Vème Sommet !
    Clôture du Vème Sommet de la COI ! Effectivement, la cinquième édition de la rencontre au Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement des îles sœurs indianocéanie dans le cadre de la COI au CCI – Ivato s’est tenue le 24 avril dernier. Dois-je rappeler que c’est le troisième Sommet à Madagasikara après celui du 16 mars 1991 et du 27 juillet 2005. Le premier Sommet de la COI a eu lieu à Antananarivo le 16 mars 1991. A peine quelque mois seulement avant la crise politique qui devait déboucher, après une « longue grève », vers la chute de l’Amiral Didier Ratsiraka. Le second à Saint-Denis de La Réunion (France), le 3 décembre 1999. Le troisième à Antananarivo le 27 juillet 2005. Et le 4ème Sommet avant celui d’aujourd’hui, à Moroni en 2014.

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