Economie

Préserver le pouvoir d’achat des consommateurs malagasy. Avec les tensions actuelles concernant le cours du pétrole sur le marché international, la question de la révision des prix à la pompe est de nouveau sur la table. Madagascar, qu’il le veuille ou pas, est affecté directement par ces tensions. « Toutes les compagnies pétrolières opérant dans le pays se plaignent énormément, étant donné la situation.
Garantie et fonds propres sont les premiers facteurs bloquant la majeure partie des malgaches désireux d’acquérir un bien immobilier. Ce constat a été exposé, hier à Andavamamba, lors de la signature de convention entre Sipem Banque et Solidis Garantie portant sur la facilitation d’accès aux crédits immobiliers, tant pour les professionnels que pour les particuliers.
Crainte et insatisfaction. Ce sont les premières impressions qui ont poussé une partie du syndicat des douaniers à annoncer un grève qu'ils tiendront à partir de demain jusqu'au 23 octobre prochain. « Le SEMPIDOU (ou "SEndikan'ny MPIasan'ny DOUanes") informe les usagers de la douane que nos bureaux sur tout le territoire malagasy seront en grève à partir du 21 octobre 2021 à partir de 8h du matin jusqu'au 23 octobre 2021 à la même heure.
Limiter le développement des exploitations illicites de maïs. Au cours des trois dernières années, les autorités, les gestionnaires des aires protégées mais aussi les défenseurs de l’environnement ont constaté que ces exploitations illicites de maïs sont aujourd’hui la principale origine de l’intensification des feux de brousse dans les quatre coins de la Grande île mais principalement dans les parcs nationaux comme Menabe Antimena ou encore Ankarafantsika.
Consensus. Le ministre de l’Energie et des Hydrocarbures, Andry Ramaroson, accompagné de l’équipe de l’organisme Economic Development Board, de la Direction du trésor ainsi que celle de la douane, ont effectué hier une réunion avec le représentant du groupement des pétroliers, et cela dans l’objectif de sortir une solution concrète afin de maintenir le prix du carburant en son état actuel. « Nous étudierons toutes les alternatives envisageables afin de garder les tarifs tels qu’ils sont présentement, de manière à atténuer les impacts sur le quotidien des Malagasy dont la faiblesse du pouvoir d’achat qui est encore persistante », explique…
Première décision prise par le nouveau directeur général par intérim de la Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA). Le lendemain de sa cérémonie de passation, Rivo Radanielina a de suite effectué une descente à son agence à Ambatonakanga, avec Solo Andriamanampisoa, président du conseil d’administration de la JIRAMA et Andry Ramaroson, ministre de l’Energie et des Hydrocarbures. Cette descente a été pour le responsable une occasion de faire le point sur les actions à engager pour améliorer la qualité des services offerts aux clients.
Tout comme son prédécesseur Vonjy Andriamanga, Rivo Radanielina, le nouveau directeur général de la compagnie Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), passera au crible tous les contrats et factures que l'entreprise a conclus avec ses fournisseurs. « Ce n'est plus une nouvelle pour personne, la JIRAMA a encore aujourd'hui de gros problèmes financiers.

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Editorial

  • Problématique nationale ?
    La Grande île manque d’eau ! Contradictoire ! L’eau, cet élément le plus précieux parmi les quatre essentiels pour la vie, à savoir la terre, l’air, le soleil et évidemment l’eau, semblerait nous faire défaut en ces temps-ci ? Pour en devenir une problématique nationale. Le conditionnel est de rigueur. Quelque part, on doute sur la pertinence de la chose. On confond, semble-t-il, la situation naturelle du pays avec les dysfonctionnements de la compagnie nationale JIRAMA et du département de l’eau sur la gestion de cet élément indispensable à la vie. En fait, ce n’est pas l’eau qui manque, c’est la gestion rationnelle qui fait défaut. On n’est pas dans les pays du Golfe où l’océan du sable domine l’environnement ou en plein désert du Sahara où l’eau n’existe pas. Certes, il y a le grand Sud où les pluies se font rares, mais de là à dire que l’eau…

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