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La une du 03 juillet 2023

Publié le dimanche, 02 juillet 2023


Une nouvelle histoire dans les annales du basketball malagasy, Mathias M’Madi l’expatrié malagasy originaire d’Antsiranana est sacré meilleur joueur de la Coupe du monde Jeunes des moins de 19 ans qui s’est déroulée à Debrecen, Hongrie.  Les Ankoay de Madagascar n’en finissent pas d’écrire leur histoire. Mathias M'Madi, en tête au vote du MVP de la compétition avec plus de 3000 voix devant le Brésilien,  Reyna Santos sur le vote du public. La compétition a pris fin hier avec une finale France-Espagne (69-73). Les Ankoay terminent la compétition avec un bilan de 2 victoires et 5 défaites en 7 matchs.  Une belle performance pour une première participation dans la compétition. La revanche tant espérée par les Ankoay face à l’équipe de l’Egypte n’a pas eu lieu, hier,  lors du dernier match de classement de l’équipe au terme de la Coupe du monde.
Lova, M’Madi et Donovan ainsi que leurs camarades  se sont inclinés lourdement par 104 - 64 à la fin du match, un remake de la finale de l’Afro basketball des moins de 18 ans. Madagascar termine ainsi à la 14ème place, sur 16 équipes engagées.  Malgré la détermination des jeunes, la fatigue a trop pesé. Les Pharaons ont pris le dessus face à une endurance physique impeccable par rapport aux Malagasy. Pour ces derniers, la non-maîtrise des gestes techniques est due à la fatigue.
Aucune adresse au panier, le repli défensif ne correspond plus face  à une défense physique et étouffante des Egyptiens qui n'ont laissé aucun panier facile.  La faille malagasy reste sur la carence des joueurs remplaçants sur le banc hormis le trio Lova, Mathias et Donovan.
E.F.

Afin de mettre en place un cadre de concertation autour de la gestion des finances publiques, une cérémonie de signature des termes de référence du cadre de partenariat entre le Gouvernement de Madagascar, représenté par le ministre de l’Economie et des Finances, Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison et ses partenaires au développement, représentés par l’ambassadrice de l’Union européenne, Isabelle Dellatre, s’est tenue la semaine dernière au ministère de l’Economie et des Finances à Antaninarenina. Ce document détaille toutes les conditions de fonctionnement et les dialogues entre la partie nationale et les partenaires dans ce domaine. La pratique de la transparence budgétaire est à renforcer à Madagascar. En effet, la transparence budgétaire est caractérisée par l’accessibilité en temps opportun, facilement compréhensible et de façon systématique de toutes les intentions, des formulations et exécutions budgétaires pour les citoyens. La transparence constitue une composante importante de la bonne gouvernance. Elle est le garant d’un développement économique plus inclusif, et d’une lutte plus efficace contre la pauvreté grâce à une meilleure utilisation des ressources publiques, en particulier pour les groupes les plus vulnérables. Ainsi, la transparence, la redevabilité, et l’amélioration de l’administration publique figurent parmi les objectifs de cette collaboration qui sont englobés par le renforcement d’un dialogue régulier, franc et constructif visant à assurer l’efficacité, la coordination et l’alignement des appuis proposés par les partenaires avec les priorités du Gouvernement en matière de réforme des finances publiques.

Réforme

Ce programme permet un partage d’information, d’expérience et un échange de vues sur l’état d’avancement des réformes et du cycle budgétaire en cours, les résultats d’études et de diagnostics tout en renforçant la confiance entre les parties, en assurant la convergence des efforts et en offrant un espace d’échange permettant l’expression des points de vue et des préoccupations de chaque institution. Avec ce partenariat, les PTF continuent leur contribution dans l’amélioration de la performance du domaine de la gestion des finances publiques du Gouvernement malagasy. D’une part, l’élaboration trimestrielle d’un tableau synthétique actualisé des appuis en cours d’exécution et en cours de préparation est importante afin de donner une vision globale des appuis et ainsi, faciliter la coordination des efforts communs. D’autre part, le partage semestriel des informations sur les appuis budgétaires prévus pour les années suivantes est primordial pour les inclure à l’avance dans le processus de budgétisation et de planification budgétaire du Gouvernement. Le Gouvernement malagasy, pour sa part, s’engage à fournir un rapport annuel de mise en œuvre du plan d’action des réformes des finances publiques, de mettre en place un système de suivi des résultats et d’ouvrir les discussions sur les finances publiques en général. Les deux parties s’engagent, par cette signature, à favoriser l'utilisation des structures nationales ou des experts nationaux pour la réalisation des objectifs, avec un appui institutionnel et un renforcement des compétences de la part des partenaires.

La rédaction


Un second concert réussi. C’est ce l’on pourrait qualifier du show effectué par le groupe JS Twins. Rappelons que son premier concert au pays qui s’est tenu l’an dernier semblait être un fiasco. La deuxième tentative était réussie, puisque c’était dans une salle bien enflammée de l’Institut français de Madagascar (IFM) que le duo a donné un concert. Dans un décor de bonne ambiance côté lumière et scénique, composé de jeunes spectateurs, même si la salle n’était pas pleine à craquer, les chanteurs ont tout de même accepté le défi et de réaliser le show.
Pour ce grand rendez-vous, les deux frères jumeaux ont choisi de faire les choses en grand. Ils ont été accompagnés par des musiciens, danseurs et choristes. Dès le lancement des premières notes, l’assistance s’est mise à danser et à fredonner les morceaux du groupe. Au total, les deux chanteurs ont joué une vingtaine de titres. En outre, c’était une occasion pour le public d’entendre sur scène leur tube intitulé « Resim-pitia » ou encore leur titre phare « Avelao ».
En tout, pour cette deuxième retrouvaille, le duo a réservé un concert digne et à la hauteur de l’attente des mélomanes malagasy. Les jumeaux Malala et Alain Mathile sont plus connus sous leurs noms de scène Jayzo et Slimjee. Et leur particularité, c’est que malgré le fait qu’ils résident en France, ils chantent couramment en langue malagasy. Pour preuve, leur premier single intitulé « Naningnenako » est écrit en malagasy dans toute sa splendeur. Une œuvre qui a été accueillie avec un tel enthousiasme au sein de la diaspora et par les mélomanes de la Grande île. D’ailleurs, plusieurs personnes qui sont venues au concert connaissaient par cœur les paroles de leurs chansons. Bref, les jumeaux ont donné le meilleur d’eux-mêmes.
Effectivement, Malala et Alain Mathile attendaient ce moment depuis longtemps, celui de rencontrer le public de la terre de leurs ancêtres. A noter que la soirée s’est poursuivie avec un concert « After show » qui s’est déroulé au Kudéta Urban Club, Anosy. Les jumeaux ont  achevé leur concert en prenant des photos avec le public. Un spectacle que ce dernier n'est pas prêt d'oublier.
Si.R

Une nouvelle page de l'histoire s'ouvre pour le diocèse de Morondava. Monseigneur Jean Nicolas Rakotojaona a été consacré évêque au cours d'une messe dirigée par Monseigneur Marie Fabien Raharilamboniaina, Ordinaire de ce diocèse et principal consécrateur. La cérémonie s'est tenue hier au terrain du collège Saint-Paul Namahora, Morondava. La ville a été en fête depuis le début de la semaine. Tout au long du trajet, il a été accueilli en fanfare par la population.
Mgr Jean Nicolas Rakotojaona a été nommé par le Saint-Père François comme évêque auxiliaire du diocèse de Morondava, le 19 mai dernier. Il lui attribue le siège titulaire de Dragonara. Il est le premier évêque auxiliaire de ce diocèse depuis sa création en 1955. Avant de prendre sa nouvelle responsabilité, il est le recteur du Grand Séminaire de Philosophie Saint-Paul Apôtre à Antsirabe.
Né le 18 janvier 1973 à Anosy-Avaratra, Mgr Jean Nicolas Rakotojaona est entré au Grand Séminaire de Philosophie Saint-Paul Apôtre et a poursuivi ses études de théologie au Grand Séminaire Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus. Il a été ordonné prêtre le 3 août 2002 pour le clergé d'Antananarivo.
Entre 2002-2004, il a exercé comme vicaire paroissial dans la zone d'Ihazolava et effectuait des études en vue d'une maîtrise en philosophie de la religion à l'Université catholique de Madagascar. De 2004-2006, il a été vicaire à Andohatapenaka et Ampefiloha, puis curé à Ambanidia entre 2009 et 2011.
Il a été successivement recteur du Séminaire propédeutique Victoire Rasoamanarivo, professeur de doctrine sociale de l'Église à l'Institut supérieur de technologie d'Antananarivo et de philosophie au Petit Séminaire de 2006 à 2009. Plus tard, de 2011 à 2017, il a effectué un doctorat en théologie à l'Université de Fribourg (Suisse). Après son doctorat, il a été nommé vice-recteur du Grand Séminaire de philosophie Saint-Paul Apôtre. Depuis 2018, il est recteur du même Grand Séminaire.
Anatra R.


A l’approche de la 11è édition des Jeux des îles de l’océan Indien (JIOI), dont la cérémonie d’ouverture est prévue le 25 août prochain, l’inquiétude prédomine auprès des différentes parties prenantes. En cause, les retards dans l’organisation de cet événement.
A seulement 53 jours de ce coup d’envoi, les regroupements officiels des athlètes, moment clé pour favoriser les échanges et la cohésion entre les athlètes des différentes fédérations, n’ont pas encore débuté dans leur intégralité. Cette situation pourrait nuire à l’ambiance générale et à l’enthousiasme ainsi qu’au niveau sportif intrinsèque des participants. Les fédérations concernées par les 17 disciplines retenues se débrouillent chacune dans leurs coins. La plus grande inquiétude concerne les sites sportifs qui accueilleront les épreuves.
Du Palais des Sports et de la Culture aux gymnases de Mahamasina et d’Ankorondrano, en passant par le complexe sportif de Vontovorona, les infrastructures sont à l’heure actuelle loin d’être prêtes à accueillir les différentes disciplines sportives. Alors que le Conseil des ministres du 7 juin a validé l’octroi de subventions pour le Comité d’organisation de ces Jeux, les travaux de réhabilitation qui devaient commencer depuis longtemps, semblent au point mort, suscitant ainsi des inquiétudes quant à la capacité de Madagascar à organiser l’événement dans les délais impartis.
La Ville des mille Antananarivo qui sera le théâtre de cette compétition régionale d’envergure doit-elle aussi faire face à plusieurs défis à cet instant. Des routes restent en mauvais état, les problèmes d’électricité sont quotidiens et les défis de gestion de déchets, restent à solutionner au risque de créer des désagréments aux participants et pour préserver l’image du pays hôte.
A l’heure actuelle, seules les identités de ces Jeux, notamment le slogan : « la victoire dans l’unité et la diversité », le logo, qui constitue l’emblème de la solidarité des îles de l’océan Indien, ainsi que l’hymne sont bouclés. Faut-il pourtant souligner que les enjeux vont au-delà de l’évènement même. Les Jeux des îles peuvent servir de tremplin pour d’autres opportunités, sportives, touristiques, économiques voire politiques…Il est donc impératif que toutes les parties prenantes  intensifient leurs efforts pour accélérer les préparatifs. Le temps presse. La tenue des JIOI dans le pays qui était censée être une source de fierté risque de devenir un sujet de préoccupation et de déception.  A moins de deux mois du début des Jeux des îles, la pression se fait sentir sur les épaules des organisateurs.
La rédaction



Jusqu'à présent, personne n'a réussi à percer le mystère à propos de la mort d'un petit garçon de deux ans à Ambatosoratra, District d'Ambatondrazaka. Son corps fut retrouvé sur un plan d'eau de la Région, le 27 juin dernier. Si bien qu'il serait encore trop tôt de dire qu'il s'agissait d'un infanticide ou bien d'un accident. Pour le moment, il y a un suspect dans l'affaire. Il s'agit d'une inconnue qui est actuellement placée en garde à vue dans les bureaux de la Gendarmerie. Cette femme est celle qui a passé la soirée du 25 juin dernier chez les parents du petit garçon. La dame en cause n'était pas la seule à venir chez cette famille car elle était en compagnie de son ami, selon l'information. Et justement, ce dernier serait celui que les gendarmes recherchent actuellement.

Mais après l'éclatement de l'affaire, les proches de la victime ont repéré la femme suspecte à Antokazo, Manakambahiny Est et l'y ont arrêtée avant de la conduire à la gendarmerie.

« La seule chose qu'on puisse dire sur cette affaire, c'est qu'un suspect est actuellement placé en garde à vue. Et que la Gendarmerie cherche encore une autre personne. A part cela, tout relève du secret de l'enquête », a noté une source auprès d'une unité de la Gendarmerie régionale. En attendant que les enquêteurs tiennent une piste, toute une zone d'ombre plane encore sur cette triste affaire. Car la question qui se pose c'est de savoir qu'est-ce qui aurait dû se passer dans ce foyer durant les festivités du soir du 25 juin dernier, au point que les parents du petit garçon semblaient n'être pas en mesure de voir ce que ce dernier a fait, encore moins leurs invités d'un soir.

Franck R.

La une du 01 juillet 2023

Publié le vendredi, 30 juin 2023


Les jeunes Ankoay s'inclinent 60-72 face aux Sud-Coréens, lors de leur premier match de classement  dans cette Coupe du monde de basketball U19 à Debrecen, Hongrie.
Malgré une bonne phase de jeu, collectivité et agressivité, les Ankoay battent de l’aile et la finition reste fébrile.
Les Coréens exploitent les mains actives malagasy en faute et creusent l’écart avec les lancers francs avant la pause. Les Ankoay offensivement portés par  Donovan Rakotonanahary (13points), Mathias M'Madi (12 points) et Lovasoa Andriatsarafara (12 points) semblent en difficulté pour retrouver leur envol.
 Le trio retrouve son tandem mais ne profite pas totalement du jeu des Coréens qui jouent en dehors de la zone, sans intérieur.
Avec un engagement physique plus performant, les jeunes Ankoay n’arrivent pas à retrouver leur confiance en soi devant le panier avec des pertes de balle excessives. Dans l'autre camp, l’adresse au panier profite aux Sud-Coréens pour sanctionner les Ankoay.
Après le troisième quart-temps, Madagascar continue de courir après le score face à la Corée du Sud (44-55). L’écart de 5 paniers a été maintenu jusqu’au bout de la rencontre.
Il reste encore un dernier match pour les Ankoay pour se relancer. Un dernier match de classement que les protégés de coach Mémé auront ce samedi 1er juillet à 18 h, face au pays hôte de la compétition, la Hongrie, qui s'est inclinée,  hier, face à la Chine 76-66.
L’Espagne tombeur de l’Argentine (85- 47), la Turquie vainqueur (97-73) contre  le Canada, Etats-Unis, les  bourreaux du Japon (105-61) et la France vainqueur de la Serbie ont validé leurs tickets pour les demi-finales.
Elias Fanomezantsoa

 

Holà !

Publié le vendredi, 30 juin 2023


Que les puériles hostilités cessent ! Proches ou opposants au régime, sympathisants ou détracteurs, il est temps de passer aux choses sérieuses. Ni les flagorneries des gens de la Cour, ni les cris de haine sinon de la jalousie ne feront jamais avancer le pays. Holà !
Larousse définit, en substance, le mot « Holà » par un « appel à arrêter ou à cesser quelque chose ». En effet, il va falloir mettre le holà à tous ces verbiages insensés qui ne riment à rien à certaines choses de constructif, de mûr ! La récréation est terminée ! Les enfantillages de petits gosses dans la cour tirent à sa fin.
Des fois, certains acteurs politiques des deux camps semblent oublier ou ignorer qu’ils sont tous citoyens de l’un des pays les plus pauvres du monde. Il y a des débats plus urgents et plus prioritaires que les bla-bla de… pâquerettes. Jusque-là, nous n’avons pas eu droit à des débats contradictoires sur la manière de conduire les affaires nationales. Aucun programme de société ni un plan de redressement en contre-pied avec l’IEM ou tout au plus en contre partie avec les XIII Points du « Velirano » n’émerge. Faudrait-on rappeler que « l’anti-Rajoelina », motivé par la haine ou la jalousie, n’est pas du tout un Programme de société ni un Plan de sauvetage. Tout juste un cri de détresse de quelqu’un qui ne maîtrise pas les minima de la technique de la nage mais qui s’aventure à plonger en plein océan. Une bêtise d’adulte inconscient et irresponsable !
Avoir choisi de devenir citoyen d’une telle ou telle nation ne peut pas être assimilé à une bourde ou à une erreur quelconque. C’est un choix que le concerné doit tout simplement assumer et… basta ! Le Code nationalité de 1945, de l’époque coloniale, n’entre plus en vigueur dès lors que le pays accède à l’indépendance. Et même, certaines lois ou encore un certain code de conduite valables en début du retour à la souveraineté nationale tombent, de soi, en désuétude cinquante ou soixante ans plus tard. Tout simplement en raison de commodité ou d’évolution des réalités. Le Code la route des années 40 ou 60 n’est plus d’actualité aux années 2000. Tout change et tout évolue ! A chacun de suivre sensément et intelligemment le cours de l’Histoire. Certains adages populaires d’antan ne s’adaptent plus au mode de vie du temps présent. Le « Mora mora » de nos Ancêtres ne cadre plus avec les exigences d’aujourd’hui. Et ainsi de suite !
L’heure de la prise de conscience a déjà sonné depuis belle lurette. La mobilisation nationale pour la relance de l’économie a pris trop de retard. En cause, nos débats stériles et nos comportements d’enfants gâtés à la longueur de l’année. Au Gouvernement, il faut retrousser les manches et descendre sur terrain et travailler de concert avec les forces vives de la Nation. Au Parlement, il incombe aux élus de mettre le holà à des gestes non conformes à l’éthique d’un homme ou d’une femme intègre sinon à des attitudes contraires aux intérêts supérieurs de la Nation.
Les échéances électorales approchent à grand pas. Le peuple a hâte d’être mis au parfum quelle solution les postulants à la magistrature suprême du pays lui soumettent-ils ?
Ndrianaivo



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Editorial

  • Royalement !  
    Tapis rouge avec les honneurs à l’aéroport international Ravinala Airports à Ivato ! Tapis rouge avec le summum de la préséance protocolaire au Palais d’Etat d’Iavoloha. Le Chef de l’Etat français Emmanuel Macron et son épouse, en visite d’Etat sur le sol malagasy, ont été reçus royalement par le pas-tout entier. Le couple présidentiel français a été accueilli à l’aéroport par Premier ministre, chef de Gouvernement, Ntsay Christian. Immédiatement, le cortège présidentiel se dirige vers le Palais d’Etat d’Iavoloha où le Maître des céans Rajoelina Andry Nirina et son épouse l’attend.

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