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La campagne de vaccination contre la Covid-19 a pris fin hier. Malheureusement, le dernier jour de l'administration de la première dose ne s'est pas déroulé comme prévu.  Malgré les affiches publicitaires indiquant la date du 17 juin comme dernier jour, des centres de vaccination n'ont plus été opérationnels hier. C'était le cas du vaccinodrome installé à l'hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA). Or, de longues files d'attente y ont été déjà observées très tôt le matin.  

Un rappel à l'ordre est nécessaire en cette veille de la fête de célébration du soixante-unième anniversaire du retour de l'indépendance. Visiblement, des acteurs locaux ont la velléité de passer outre les mesures sanitaires édictées par le sommet de l'Etat. A plus d'une semaine de la date du 26 juin, des affiches et annonces invitant les populations à des spectacles et des bals aux foyers sociaux circulent sur les réseaux sociaux.

 

LA UNE DU 18 JUIN 2021

Publié le jeudi, 17 juin 2021

La une du 17 juin 2021

Publié le mercredi, 16 juin 2021

Fierté nationale et dynamique de groupe

Publié le mercredi, 16 juin 2021

« Quand le sport va, le pays va ! » A la même enseigne, quand le bâtiment va, le pays avance ! Des constats vus et vérifiés mieux encore avérés ailleurs.
Le Président de la République Rajoelina accompagné de son conseiller spécial, Gérard Andriamanohisoa, premier responsable de la Cellule de pilotage technique des grands travaux auprès de la Présidence ainsi que les sociétaires de l’équipe nationale conduits par leur coach Eric Rabesadratana, effectua avant hier 15 juin une visite de constat au Stade Barea.  Juste après la réception provisoire et technique par Andriamanohisoa.
Le grand Stade de Madagasikara, « manara-penitra », le joyau du sport-roi malagasy, prend forme à 90% des travaux. Le conseiller spécial a dû donc vérifier que les lots techniques répondent réellement aux critères voulus. Pour le Chef de l’Etat, il s’agit d’une visite guidée pour constater de visu les travaux effectués. Les lots techniques du Stade, entre autres, les lumières, l’eau, la climatisation, les dispositifs contre l’incendie, la climatisation, les caméras de surveillance ont été faits selon la règle de l’art. Tous les travaux dirigés par les ingénieurs chinois respectent effectivement les normes requises, « manara-penitra ». Résultat, le Chef de l’Etat est satisfait ! A noter que la réception technique est une procédure obligatoire précédant la cérémonie inaugurale qui aura lieu incessamment. En tout cas, le Stade Barea abritera les cérémonies officielles pour la célébration du 61ème de la Fête Nationale du 26 juin dont l’incontournable défilé militaire.
Le Stade municipal de Mahamasina s’érige sur un site historique et emblématique pour la souveraineté nationale. Par le fait qu’il abrite la légendaire « Vato masina » sur laquelle Rois et Reines de Madagasikara ont été couronnés, Mahamasina revêt un caractère de dignité et de fierté nationale. A l’époque coloniale, le site servait déjà de lieu d’activités sportives, de courses de chevaux et bien d’autres attractions populaires. Dans les années 60, le régime PSD de Tsiranana construit sur le site un complexe de terrains de jeux, le Stade municipal, avec une capacité d’accueil de 10.000 personnes. En 1990, en vue des IIIèmes Jeux des Iles, le régime de Didier Ratsiraka l’agrandit pouvant accueillir 30.000 spectateurs. Et depuis, en dépit des promesses, il n’y a eu aucun changement jusqu’au moment où Rajoelina a pris les rênes du pouvoir. En vertu du « Velirano » XIII, il entreprend la rénovation d’une grande envergure répondant aux normes internationales du Stade de Mahamasina désormais baptisé « Stade Barea » pouvant accueillir 40.000 personnes.
Pour la première fois depuis le retour à l’indépendance, Madagasikara dispose d’un grand stade multifonctionnel de haut niveau respectant les prescrits de la CAF et de la FIFA. Il y en a eu déjà à Mahajanga et à Toamasina mais ils ne peuvent pas rivaliser la taille et la performance du Stade Barea.
Certainement, Stade Barea symbolise la fierté et l’unité nationale. Et la fierté et l’unité mobilisent la motivation et la motivation débouche à une dynamique de groupe qui, elle, se caractérise par la mobilisation. Et nous sommes là au cœur des stratégies gagnantes. Fierté et unité déclenchant une dynamique de groupe conditionnent le courage et l’enthousiasme, le tout gage d’une réussite.
Il nous reste qu’à espérer de récolter en retour des résultats satisfaisants grâce à ce joyau inespéré.
Ndrianaivo


 Procédures accélérées. Les responsables du ministère des Nouvelles villes sont descendus à Imerintsiatosika, hier, afin d’enclencher les préliminaires pour définir les tracés de la nouvelle ville  « Tanamasoandro ». Le feu vert pour l’accélération des appels d’offres pour la concrétisation de cette promesse présidentielle vient récemment d’être validé en Conseil des ministres. Raison pour laquelle les autorités compétentes ont enclenché les prospections depuis hier. « Pour le moment, nous sommes en étude pour l’établissement de 240 logements qui fera office de liaison entre Antananarivo et la nouvelle ville qui sera érigée en grande partie à Imerintsiatosika sur un terrain d’une surface totale de 980 ha », explique Michael Angelo Zasy, vice-ministre en charge des Nouvelles villes. Cette surface de 980 ha est constituée en grande partie de terrain domanial public mais des parcelles privées sont aussi compris dans le lot des tracés. Une commission d’évaluation est en cours d’élaboration afin de déterminer les détails des indemnisations des propriétaires privés des terrains concernés par le projet ainsi que les personnes qui sont touchées de près ou de loin par les impacts de l’érection de « Tanamasoandro ». « Nous ne sommes pas contre le projet. Mais il nous faut des informations suffisantes pour éclaircir les démarches à suivre, notamment dans le domaine foncier », explique une habitante de la zone où s’implantera prochainement les quartiers ministériels du projet. Une façon pour cette habitante d’avancer que l’implantation du projet présidentiel sur le site ne pose aucun problème pour la population.
Contrairement à Ambohitrimanjaka. Si des vagues de contestation ont été entendues sur le premier choix du Gouvernement, la population d’Imerintsiatosika est, pour sa part, curieuse de découvrir le changement qu’apportera le projet malgré le fait que le lieu soit déjà peuplé. Des maisons d’habitation sont aperçues sur la colline, mais l’endroit est déjà une propriété privée. La réalisation du projet « Tanamasoandro » implique la construction de routes en plus de l’assainissement des lieux. La future construction sera installée sur le terrain de reboisement encore couverte de jeunes plants d’arbres. « Le projet de construction des nouvelles villes est estimé à une capacité d’accueil de 50.000 logements en tout. Ces logements seront installés entre autres à Bongatsara, Anosy Avaratra et bien évidemment à Ivato où les immeubles sont déjà sur le point d’être livrés pour la première vague. Pour les autorités, il s’agit surtout de faire profiter du projet à tous les malagasy. », rajoute le vice-ministre des Nouvelles villes. De cette manière, ce responsable annonce que tous peuvent prétendre acquérir ces logements car il ne s’agira pas tout simplement de logement social ou de logement de grand standing. Une mixité des couches sera alors mise en place pour ne léser personne dans la mesure où le projet ambitionne d’être un symbole de développement. 

Hary Rakoto



La Direction régionale de l’Aménagement du territoire et des Travaux publics, l’Autorité pour la protection contre les inondations de la plainte d’Antananarivo et les représentants des Communes concernées ont effectué une descente d’urgence sur le site du pont d’Ampasika hier. Une descente dont l’objectif a été de constater visu l’état des lieux. Sur place en effet, depuis quelque temps, il a été constaté que des mineurs artisans ont extrait du sable situé sous cet ouvrage reliant la Capitale à la Commune d’Itaosy. L’extraction de sable à 50 mètres en amont et en aval d’un pont est pourtant une pratique interdite par les textes en vigueur dans le pays. Le tarissement du fleuve de l’Ikopa ne permettant pas à leurs petites barges de circuler sur le fleuve pour récupérer du sable, les mineurs ont choisi le chemin le plus court en déterrant le sable situé sous le pont d’Ampasika. « Une véritable fosse a été creusée sur les appuis de ce pont. Cela risque d’avoir des conséquences importantes sur le pont », déplore notamment un technicien au niveau du ministère de l’Aménagement du territoire et des Travaux publics. « C’est catastrophique », dit-il. A terme, si cette extraction illégale se poursuit, la défaillance du pont serait à craindre avec ce que cela pourrait coûter en termes de conséquences économiques pour l’Etat et les usagers. « L’extraction du sable autour des piles de l’ouvrage engendre une perte de la capacité portante de la structure et menace sa stabilité », précise-t-on. Et ce, d’autant que les gravillons et les rochers constituant l’enrochement autour de ces piliers ne sont plus correctement en place en raison des agissements de ces mineurs de sable illégaux.

L’Etat malagasy se retrouve donc obligé aujourd’hui de suivre de près la situation sur ce pont et de procéder à des travaux de réhabilitation afin de renforcer les appuis de l’ouvrage. En parallèle, des mesures sont annoncées pour éviter que les abords du pont ne soient plus exploités. Des sanctions sont annoncées contre les mineurs artisans qui seraient encore tentés d’extraire du sable sur cette partie du fleuve. Une coopération plus forte entre les Communes concernées et les Forces de l’ordre est également souhaitée par les techniciens. La Direction régionale de l’Aménagement du territoire et des Travaux publics Analamanga lance par ailleurs un appel aux maires de la Région devant d’éventuels faits de dégradation des enrochements autour des ponts. En effet, avec le tarissement des cours d’eau, les enrochements autour de ces ouvrages sont facilement accessibles actuellement pour de simples quidams.

La Rédaction


A Behoririka sévissent des malfaiteurs dangereux opérant par bande, notamment dans le pourtour du lac ! Cette situation est bien connue des habitants de la Capitale. Mais quand un chauffeur de taxi agit en complicité avec un gang, ça dépasse vraiment les bornes. Or, c’est ce qui s’est passé au cours du week-end dernier où une mère de famille, commerçante de son état, s’est fait voler de son million d’ariary, somme prévue à un achat. De plus, la scène s’est déroulée en plein jour et sous les yeux des passants, complètement médusés. Non seulement, la victime a été forcée d’indiquer son compte sur Mobile Banking, mais les assaillants l’avaient embarquée de force dans un taxi qui attendait dans le secteur. Evidemment, le conducteur, dans la voiture, était de mèche avec les voleurs.
Le mode opératoire de ces bandits, au nombre de six, et qui étaient équipés d’objets tranchants, dépasse l’entendement, du moins selon la dame. Elle raconte qu’un agresseur l’avait accostée comme si les deux se connaissent depuis des lustres. Le voyou a donc feint d’entourer la dame de ses bras pendant qu’il brandissait un couteau qu’il pointait, de manière persuasive et discrète, sur le ventre de la victime. Comme cette dernière a donné l’alerte, un second larron a surgi d’un coin de rue pour embarquer de force la femme dans ce taxi où tous les complices des deux attendaient déjà. « C’est là qu’ils m’ont forcée de leur fournir mon compte M’vola. Comme j’ai résisté, ils m’ont menacée avec leurs couteaux », relate la victime.
Une fois que les assaillants ont eu ce qu’ils ont cherché, ils ont conduit la femme en taxi jusque dans un quartier voisin où les bandits l’avaient abandonnée sur place. Pour elle, le chauffeur de taxi était sûrement dans le coup. Et que des gens le connaissent mais qu’ils n’osent pas réagir pour secourir la victime. Actuellement, l’enquête poursuit son cours pour tenter au moins d’identifier le véhicule. La balle est donc dans le camp de cette dame pour donner tous les renseignements nécessaires touchant aussi bien ce taxi que le reste, c’est-à-dire toute la filière.
F.R


 Aucun décès à déplorer. A la date du 15 juin dernier, la Direction du Programme de vaccination élargie (DPEV) auprès du ministère de la Santé publique (Mnsanp) a écoulé 156.520 doses de Covidshield, la version indienne d’AstraZeneca. Elles ont permis à immuniser contre la Covid-19, plus précisément 147.959 personnes dans tout Madagascar. Sur les 250.000 doses reçues à travers l’initiative Covax et qui sont particulièrement destinées à la première administration, les vaccinodromes respectifs disposent encore un total de 93.480 doses. D’après toujours les informations communiquées par le ministère de la Santé publique, 176 personnes qui se sont présentées pour se faire vacciner ont développé un événement médical indésirable soit un taux de 0,12%. 172 d’entre elles ont présenté des Manifestations post-vaccinales indésirables mineures (MAPI), c’est-à-dire des effets fâcheux qui se produisent à la suite de l'administration du vaccin et n’ayant pas nécessairement de lien causal avec la vaccination. Elles sont caractérisées par des fièvres ou encore des réactions au point d'injection. A cela s’ajoutent quatre individus immunisés qui ont manifesté des événements indésirables plus graves encore par exemple l’hospitalisation d’un bénéficiaire à l’HJRA suite à un gonflement des yeux après une injection anti-Covid-19. En ce qui concerne le décès suspect d’un médecin à Fianarantsoa, 24 heures après l’administration de la première dose, les autorités sanitaires malagasy ont bien confirmé que le résultat de l’autopsie n’a révélé aucun lien avec le vaccin.
Vers la destruction de doses restantes
La réticence de la population malagasy observée au cours des premières semaines de la vaccination ciblée a été flagrante que les autorités sanitaires ont décidé d’ouvrir la campagne vaccinale à toutes les personnes de plus de 18 ans. Si la première dose a  été au départ réservée aux agents de santé, Forces de l’ordre, personnes diabétiques, des travailleurs sociaux et d’autres personnes vulnérables, depuis quelques semaines, elle a été ouverte au grand public dont le secteur privé, les acteurs du tourisme, les personnalités publiques.  Par conséquent, les demandes se sont accrus ayant amené à la multiplication des vaccinodromes.  Pour Antananarivo, à part l’Hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA), CSS Tsaralalàna, Camp militaire Ampahibe, Amadia Faravohitra, il existe de nouveaux sites de vaccination créés. Ce sont notamment les cliniques des Nations unies Andraharo, le stade Malacam Antanimena, l’Esplanade Ankatso, l’Ecole Polyclinique Vontovorona, Théâtre de verdure d'Analamahitsy, 67Ha près de l’Eglise Salema, à Ambohimanarina dans la Commune Anosisoa. Et même les OSTIE et autres structures de santé ont rejoint le mouvement. En périphérie, les Centres de Santé de Base niveau II ont même administré la première dose. Il en est de même pour les structures de santé en région.  En outre, même si la date de l’arrivée de la deuxième dose destinée à la vaccination de rappel contre la Covid-19 n’a pas été communiquée, il faut savoir que toutes les personnes ayant reçu la première dose ont été appelées à se présenter deux mois après leur première inoculation. C’est-à-dire que si la campagne vaccinale a débuté le 10 mai dernier, l’administration de la deuxième vague doit débuter vers mi-juillet. Ce qui suppose la fin de l’administration de la première dose ce jour car la date de péremption des vaccins arrive à échéance. Les doses restantes vont être ainsi détruites et jetées à partir de demain. Et ce sont les Centres de vaccination qui vont s’en charger.
KR.


Pari réussi pour les organisateurs. Un mois après son lancement, l’eFIM, la version en ligne de la Foire internationale de Madagascar (FIM) enregistre déjà plus de 25 000 visiteurs issus des quatre coins du globe. « En effet, grâce à la nouvelle technologie, nous pouvons aujourd’hui établir une cartographie des visiteurs internationaux de notre plateforme. Nous savons que des acteurs économiques de l’Allemagne, du Canada, des Comores, de Maurice ou encore de Dubaï et de Singapour sont passés par l’eFIM. En tout, une quinzaine de pays sont concernés. Une prouesse absolument inédite et inégalée par n’importe quel événement économique à Madagascar et dans la région indianocéanique », se réjouit Michel D. Ramiaramanana, président du comité d’organisation de la FIM, en dressant un bilan provisoire de l’eFIM.
Cet intérêt porté à l’égard de la plateforme de la FIM l’a ainsi poussé à élargir ses horizons et à devenir une plateforme multilingue. Pour conforter la structure et le positionnement international de l’eFIM, la plateforme numérique et traduite en huit langues à savoir l’Allemand, l’Anglais, le Chinois, l’Espagnol, le Français, l’Italien, le Malagasy, le Portugais, proposant ainsi des perspectives et des ouvertures sur de nombreux marchés. Cet engouement des visiteurs contribue ainsi à l’objectif de « Madagascar ouvert au monde ». « De plus, la tendance exportatrice reste le fondement d’une économie de l’émergence, tout en favorisant le maintien voire le renforcement de l’ariary face aux devises étrangères », rajoute ce responsable.
Rétablir la balance du commerce extérieur en faveur de Madagascar reste actuellement un objectif macroéconomique à atteindre.
Rova Randria

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Editorial

  • Rêve brisé ! 
    Rajaonarimampianina Hery, l’ancien Chef d’Etat, risque de voir partir en fumée son rêve de devenir président de la Commission de l’Union africaine. Un poste prestigieux ayant rang de Chef de Gouvernement voire Chef d’Etat selon les circonstances et les cas de figure. Cette Commission est l’organe exécutif de l’Union africaine. Elle est chargée de la mise en œuvre de la politique générale de l’UA arrêtée au niveau de l’assemblée générale, l’instance suprême de l’Union africaine. Le président de la Commission dirige et coordonne les actions des commissaires de l’UA. Il est responsable devant l’assemblée générale présidée de façon tournante par le Chef d’Etat ou du Gouvernement d’un pays membre. La présidence de la Commission est assurée de façon tournante également mais au niveau de chaque sous-région. Le prochain mandat de président de Commission à partir du début de 2025 revient à l’Afrique de l’Est. Et Madagasikara figure en pole position…

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