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La pandémie du coronavirus semble devenir un véritable créneau pour le député de Toamasina, Roland Ratsiraka, afin de véhiculer sa mauvaise foi politique. Alors que ce dernier avait déjà ramé à contre – courant en incitant les habitants de la capitale du Betsimisaraka à passer outre les mesures de confinement édictées par l’Etat, le parlementaire ne cesse d’enchaîner les aberrations à chacune de ses interventions.

 

L'Arrêté N°7457/2020 du 24 mars 2020, éditant les mesures générales relatives aux dispositifs à l'Etat sanitaire, permettent aux responsables locaux de prendre des initiatives à leurs niveaux. « Quand la situation qui y prévaut l'exige la Préfecture, le District voire Arrondissement administratif  sont autorisés à prendre des initiatives pour le bien de leurs circonscriptions respectives », a fait remarquer le préfet d'Ambatondrazaka, Rahajavoloniaina Nirintsoa.

LA UNE DU 28 MAI 2020

Publié le mercredi, 27 mai 2020


Trois semaines après sa visite à Toamasina, le 07 mai plus précisément, le Président de la République est de retour dans la capitale du Betsimisaraka pour « montrer que la population de Toamasina n’est pas seule ». Il n’est plus à rappeler qu’en quelques semaines, la courbe illustrant le nombre de victimes est ascendante. Le nombre de cas n’a cessé de grimper, à cela s’ajoute ceux qui ont propagé l’épidémie dans les autres Régions. Ce qui fait que la ville portuaire compte le plus de cas positifs dans tout Madagascar.
Malgré cette situation alarmante, le Chef de l’Etat a déclaré qu’il est encore possible de maîtriser l’épidémie à condition que tout un chacun prenne ses responsabilités. « Il faut des responsables qui font preuve de fermeté et de courage dans le respect de toutes les mesures », a souligné le numéro un de l’Exécutif. Ses propos justifient, quelque part, la vague de limogeages de responsables à Toamasina à la suite d’une décision du Conseil des ministres le weekend – end dernier. Et lui d’ajouter que « nous faisons face à une guerre sanitaire. Si tout le monde accepte de respecter les mesures, nous pouvons combattre cette épidémie ».
Des stratégies à revoir
Pour lutter efficacement contre le Covid-19 et face à l’augmentation des cas à Toamasina, le Président préconise un changement de stratégie. Actuellement, le laboratoire mobile établi dans la ville effectue en moyenne une quarantaine de tests par jour. Le Chef de l’Etat propose ainsi une amélioration des méthodes de test en séparant les cas symptomatiques et ceux asymptomatiques. Pour plus de rapidité, les résultats doivent être obtenus après 48 heures.
Le Président annonce aussi un projet d’installation d’un nouveau laboratoire permanent au sein de l’hôpital « manara – penitra » à Morafeno. « La santé de la population est une priorité pour moi (…) Notre objectif est que le Covid-19 fasse le moins de victimes et de morts possibles », martèle l’homme fort du pays. Il informe que le protocole de traitement propre à Madagascar sera révélé très bientôt. Des essais cliniques dans le cadre du protocole de traitement utilisant la solution injectable à base de CVO seront aussi effectués à Antananarivo et Toamasina.
Le Président a donné consignes aux Forces de l’ordre pour contrôler rigoureusement les déplacements et stopper la délivrance d’autorisation de circuler. Il dénonce les faits de corruption tout en insistant sur la nécessité d’établir une forte discipline.
Renforcement des moyens matériels et humains
Durant son passage, le Président a remis un don de 20 véhicules 4x4 et 05 ambulances à la ville de Toamasina. 29 membres du corps médical dont 13 médecins et 14 internes sont également venus renforcer l’équipe locale. Parmi eux des médecins investigateurs pour procéder au « tracing contact », des médecins psychiatres et des biologistes.
Le numéro un de la Municipalité a remercié le Président pour sa visite qui, selon lui, est le signe que l’Etat n’oublie  pas la population du Grand port. Il n’a pas manqué de rappeler la présence du coordonnateur général du CCO national, Général Elack  et de 150 éléments des Forces de l’ordre en guise de renforts aux autorités locales. Depuis dimanche, la ville a bénéficié d’ambulances ainsi que de 80 000 doses de Covid -Organics.
La Rédaction


  


En suivant les règles du confinement à Antananarivo et Toamasina, appliquées dès le 23 mars dernier, la délivrance des permis de conduire et cartes grises biométriques est suspendue provisoirement au niveau des 6 Centres immatriculateurs dans tout Madagascar. Selon Dieudonné Razafindrazaka, directeur général de Hephalu Mada, fournisseur en produits biométriques auprès du CIM, toutes les opérations s’effectuent en ligne et les informations sont reliées entre elles. « La base de données qui stocke l'intégralité des informations a été momentanément clôturée en raison du décret lié à l’état d’urgence sanitaire. Or, tous les CIM au niveau des Provinces dont les activités demeurent interdépendantes s’en servent pour rester opérationnels. (…) Par exemple, pour une mutation de carte grise suite à une vente ou un achat, ou encore une cession de véhicule dans la Province d’Antsiranana, les responsables doivent vérifier toutes les informations inscrites dans la base de données reliée aux autres CIM avant de passer à la délivrance du document. Or, une fois que cette forteresse d’informations est impénétrable pour la sécurité des données, aucun de ces centres ne peut pas traiter des dossiers »,  souligne-t-il. 
En outre, par rapport aux gestes de barrières sanitaires, il est impossible de réduire le nombre de dossiers à traiter avant 13 h. Pire encore, cette pratique favorise les activités malsaines des intermédiaires et rehaussent le taux de corruption. 
Le calendrier de la délivrance des cartes à modifier
Vu cette disposition prise par le ministère de l’Intérieur de la Décentralisation à travers le Centre immatriculateur de Madagascar portant sur l’interruption des opérations, le calendrier  de la délivrance des nouvelles cartes biométriques récemment établies va être automatiquement modifié. Comme il a été publié dans une note officielle en janvier dernier, les usagers disposent de 4 années pour remplacer les faux permis biométriques par les vrais. Les imprimés se terminant par 0 ont été prévus d’être traités en premier, notamment durant le premier trimestre. Malheureusement, plus de deux mois se sont déjà écoulés, et même les deux tiers des dossiers à remplacer n’ont pas été reçus à cause des mesures de confinement. Il est à noter qu’environ 500 000 imprimés devraient être régularisés dans tout Madagascar. 
K.R.



Malgré le titre pompeux de certaines agences de presse internationale, il n’y a pas eu de cadavres ramassés dans la capitale de la Région Atsinanana, Toamasina. Des cadavres auraient été ramassés ces derniers jours dans les rues de Toamasina, sans qu’on ne connaisse les causes de ces décès, indiquent en effet des dépêches, publiées sur les sites web de ces agences de presse connues. Ces agences laissent entre autres entendre que l’envoi de renforts de militaires et de médecins à Toamasina auraient un lien avec ces corps retrouvés dans les rues…Il faut souligner d’emblée que les éléments des Forces de l’ordre, tout comme les médecins déployés à Toamasina, seront chargés de maintenir l’ordre et de faire appliquer les mesures sanitaires ordonnées par le pouvoir central. La distribution du  tambavy CVO pourrait également faire partie des attributions de ces éléments des Forces de l’ordre.
En outre, il est utile de souligner la mauvaise foi de ces dépêches. En effet, des propos du porte-parole du Centre de commandement opérationnel – Covid-19 ont été sortis de leur contexte par l’auteur de la dépêche pour étayer son propos. Dans les propos attribués au Professeur Hanta Marie Danielle Vololontiana, la doyenne de la Faculté de médecine de l’université d’Antananarivo parlait notamment de la comptabilisation des morts du coronavirus à Madagascar et en particulier, les patients positifs au coronavirus, mais morts d’une autre pathologie. Des propos qui ont été repris par les agences de presse en question pour étayer leurs articles.
En tout cas, aucun cadavre n’a été ramassé dans les rues de Toamasina. Faire un amalgame entre les personnes ayant perdu connaissance pour diverses raisons et retrouvées inconscientes dans les rues, et des décès de personnes atteintes de coronavirus est totalement déplacé de la part de ces agences. Officiellement, seuls deux patients sont morts du coronavirus à Madagascar, tous recensés à Toamasina. Il est vrai qu’une crainte d’une flambée de l’épidémie se fait sentir sur le territoire, toutefois les affirmations de ces médias laissent perplexes. La question est de savoir quel est l’objectif de ces agences de presse ou plutôt de leurs correspondants à Madagascar ? Un rappel à l’ordre de la part des autorités compétentes pour des cas de désinformation flagrants tels que celui-ci serait compréhensible, si certains détracteurs du pouvoir crieraient eux encore une fois à l’atteinte à la liberté d’expression à Madagascar…

La Rédaction


L’affaire a démarré par une récente publication sur Facebook par un internaute. Actuellement, il a eu maille à partir avec les services de  cybercriminalité du pays à la suite d’une annonce, ou plutôt de son communiqué qu’il a diffusé sur les réseaux sociaux, précisément en date du lundi dernier. Le suspect est donc incriminé pour escroquerie. Dans sa publication, le suspect prétendait être en mesure d’aider ceux qui ont perdu leurs permis de conduire ou autres cartes grises, et donc de les remplacer, surtout en cette période de confinement. Car le concerné l’a d’ailleurs précisé sur sa page Facebook.  Et comme le gage supposé de sa bonne foi, il a demandé à tous ceux qui sont intéressés par son service de le contacter par MP sur les réseaux sociaux. Du coup, le « centre immatriculateur » d’Ambohidahy, qui se sent particulièrement arnaqué, a réagi. Dans leur plainte, les responsables en son sein ont  alerté un service  de cybercriminalité de la place.

Il n’a pas fallu longtemps pour les enquêteurs de la cybercriminalité d’avoir les indices nécessaires pour identifier assez rapidement  le suspect. Depuis hier même, sa photo   circule déjà sur Facebook, histoire de mettre les différents services de recherche  des Forces de l’ordre, mais aussi le public au parfum de l’affaire.  A n’en pas douter, et en attendant confirmation, le public a affaire à un rabatteur ou « mpanera », qui a l’habitude de racoler sinon proposer ses prestations, déjà  « douteuses » auprès des personnes, qui doivent régler leurs formalités au « centre immatriculateur » d’Ambohidahy. De toute façon, c’est ce service qui est ici le plaignant dans cette affaire. L’affaire a surtout un relent d’arnaque du fait que le « centre immatriculateur » n’a procédé à aucune délivrance de permis, ni de carte grise depuis la proclamation par le Président de l’état d’urgence sanitaire, pour cause justement de la pandémie de Covid-19 au pays, il y a de cela près de deux mois. Affaire à suivre.
Franck R.
 

A la croisée

Publié le mardi, 26 mai 2020

La cinquième quinzaine du confinement tire déjà à sa fin d’ici quelques jours. Le Gouvernement se prononcera sur la suite à réserver de cette mesure tant décriée, le confinement, mais  vitale pour la survie de la population. Ainsi que les nouvelles consignes que le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina  donnera aux concitoyens. Une chose semble certaine, compte tenu de l’évolution inquiétante de la pandémie dans l’ensemble du territoire national, ce ne sera pour demain ni pour le lendemain la veille du déconfinement. La tâche n’est pas de tout repos mais en tant Chef de la magistrature suprême de la Nation, il lui incombe de droit et la tâche de décider ce qui est utile pour le bien de tous et de ce qui est nécessaire pour les intérêts majeurs du peuple.
Le pays se trouve à la croisée des chemins. Il n’y a pas trente-six directions auxquelles il faut choisir pour dénicher la meilleure voie qui mène sûrement vers la porte de sortie. Au fait, deux options uniquement s’offrent devant : le chemin de la réussite ou celui de l’impasse. Les dirigeants du pays en général et le Président en particulier sont appelés à choisir parmi les deux avec discernement et vigilance.
Evidemment, sur le point du croisement, le chemin qui conduit vers la réussite s’impose. Mais attention, un bon itinéraire n’est pas exempt d’embûches et de pièges ou encore d’embuscades. Si le chemin de l’impasse se résume par la solution de facilité, du moindre effort et de l’anarchie, la voie qui mène sûrement vers la porte de sortie n’est pas du tout repos. Certes, il s’agit d’un choix difficile à traduire en actes mais le prix à payer en vaut la chandelle.
Sans doute, le Président Rajoelina optera, comme il l’a déjà fait auparavant, pour la bonne voie, celle de la réussite. Discipline et sacrifice sont la clé incontournable pour y aboutir. Bien entendu, le chemin à faire sera long et difficile.
Au stade où nous en sommes,  il faut d’abord se débarrasser de ce « hôte indésirable » et menaçant, le Covid-19. Et le court chemin pour y  parvenir passe par le respect strict des mesures qui s’imposent à savoir le confinement, le port de masque à bouche/nez,  le geste barrière et se laver les mains en permanence. Des fois, les gens se trompent en choisissant la voie de la facilité et de l’anarchie. On évite la discipline et le sacrifice. Or que si l’on veut repousser et vaincre, dans les meilleurs délais, cet ennemi invisible et redoutable, nous n’avons qu’une seule option : le respect total des consignes. C’est là que le bât blesse !
Il faut avoir en conscience qu’à travers le chemin de la réussite, un autre combat aussi âpre que rude nous attend après le Covid-19 à savoir la dure bataille pour le redressement moral de la population et surtout la relance économique du pays. Un sacré combat qui nécessite de gros efforts et d’immenses sacrifices de tous. Nous ne sommes pas tous sans savoir que le pays se trouve, en ce moment précis, coincé dans une situation de mauvaise passe. La participation et la solidarité de tous les concitoyens sont les bienvenues.
A la croisée des chemins, un tournant décisif pour l’avenir du pays.
Ndrianaivo



 


Les clubs qui évoluent en championnat national, division Pro league, se trouvent dans une situation de plus en plus désagréable vu l’arrêt de la compétition depuis le début du confinement à cause de la Pandémie de Covid-19. Comme les îles sœurs, l’Etat malagasy a aussi décrété l’arrêt de toute activité sportive dans le pays à cause de l’urgence sanitaire.
Presque la moitié des clubs qui évoluent en division Elite et deuxième division nationale n’ont pas caché leur  difficulté financière. Bien entendu, cela aura beaucoup d’impacts sur les résultats.
Pour la Pro league, il est difficile d’arrêter la saison et d’offrir le trophée à mi-parcours. Rappelons qu’il reste 7 journées alors que la CNaPS Sport Itasy (33 points), Cosfa (31 points) et Ajesaia (30 points) sont à égalité des points mais Fosa Juniors (30 points) et Elgeco Plus (26 points) ne sont pas loin du compte. Rien n’est encore décidé dans le championnat. Jouer les matchs restants à huis clos sera aussi calamiteux pour ces clubs qui n’ont pas assez de revenu. En effet, lors d’un déplacement, un club dépense au minimum 8 millions d’ariary d’après un dirigeant.
Dans la Grande île, le nombre d’équipe sponsorisée se compte sur le bout des doigts, la plupart dépend des particuliers qui ont des moyens financiers. Effectivement, la survie du club en dépend de la possibilité du président du club et de son partenaire. Comme le football est depuis devenu une affaire d’Etat, la seule issue pour sortir de cette situation et évoluer le niveau du football à Madagascar d’un cran serait d’intégrer massivement la participation des entreprises par le biais de loi ou de décret imposé par l’Etat.
Elias Fanomezantsoa





La campagne de vanille vient d’être lancée à Ambanja. Et les paysans peinent à trouver des preneurs de leurs produits. En effet, les collecteurs proposent le kilo de la vanille à 20 000 ariary alors que les paysans fixent leur prix à 300 000 ariary. Les deux parties ont commencé le marchandage. Au final, les collecteurs ont monté leur prix à 50 000 ariary tandis que l’autre partie a baissé son prix à 220 000 ariary. Vu la rigidité entre l’offre et la demande, l’échange n’a pas a eu lieu. Les photos ont rapidement circulé sur les réseaux sociaux concernant cette situation, lundi dernier. « Pour le moment, tout le marché fonctionne selon la loi de l’offre et de la demande entre ces deux entités. Aucune disposition règlementaire ne stipule la fixation du prix pour les paysans et les collecteurs. Afin de rémédier aux profiteurs, le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat a établi un prix plancher lors de la précédente campagne. Le prix de référence minimum à l’exportation s’élève à 350 dollars par kilo, tandis que le prix sur le marché local pour la vanille préparée est fixé à 900 000 ariary le kilo. Nous étudions actuellement le prix pour les paysans et les collecteurs pour que toutes les parties prennates tirent profit de cet or vert dans tout le circuit de distribution », explique un membre du groupement des exportateurs de vanille à Madagascar.
Selon un responsable auprès du ministère de tutelle, un tel abus peut être dénoncé auprès des organismes rattachés dans les Régions. Rappelons que la campagne précédente s’est avérée morose pour les opérateurs. Non seulement, la pandémie a touché de plein fouet l’exportation à cause du ralentissement de l’économie mondial, mais le prix du produit a baissé considérablement. La recette issue de ce produit phare de Madagascar était réduite de 50 %. Ainsi, les opérateurs craignent que la même situation se reproduise, surtout en ce contexte de crise sanitaire.
Solange Heriniaina


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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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