A un mois des élections municipales, les candidats se mobilisent pour présenter leurs projets et convaincre les électeurs. Parmi eux, Harilala Ramanantsoa, candidate de la plateforme IRMAR à Tana, a organisé un meeting au gymnase couvert de Mahamasina samedi dernier. Cette rencontre a permis de mettre en avant ses ambitions pour la ville d'Antananarivo. Harilala Ramanantsoa a débuté son allocution en affirmant son souhait de « bâtir un Antananarivo à la hauteur des Tananariviens » et d’instaurer les « bons » changements.
La Fédération malagasy de pétanque a officiellement présenté, hier au siège de Telma à Andraharo, la délégation qui représentera Madagascar aux mondiaux de Dijon, en France, du 5 au 8 décembre prochains.
Composée de quatre boulistes talentueux, l’équipe malagasy est considérée comme l’une des favorites de la compétition. Elle sera dirigée par Christian « Racle »Andriantseheno (pointeur) et comprendra également les champions de Madagascar 2024 : Faratiana Rakotoniaina « Tianakely » (milieu), Jean François Rakotondrainibe "Zigle" (tireur) et Faly Andrianantenaina "Donald" (tireur). Ces joueurs ont été sélectionnés après un rassemblement de 18 candidats à Antsirabe où leur performance et aptitude à travailler en équipe ont fait la différence.
130 millions ariary ! C'était la somme mise en jeu, sinon pour être plus explicite, convoitée par les bandits ! Et tout s'est basculé dans une effroyable effusion de sang. Ces faits, ayant secoué une portion de la RN5 à Toamasina, sont survenus vers midi, hier. En effet, la tentative chez les agresseurs de voler ces millions des mains de son propriétaire, un collecteur de litchis de son état, s'est finalement très mal tournée chez les premiers.
Les conducteurs de taxi-bicyclette ont fait la grève sur la rue d’Anosibe, hier. Selon leur explication, ils ne veulent plus circuler sur les routes en pavée, selon l’organisation mise en place par la Commune urbaine d’Antananarivo, mais plutôt sur la voie rapide. Une revendication qui ne devrait pas avoir lieu, selon les usagers de la circulation.
Les défis liés à la prématurité sont au cœur des préoccupations des professionnels de santé à Madagascar. Selon une source officieuse, chaque année, environ 118.000 bébés naissent prématurément dans le pays. Et malheureusement, plus de 5.000 enfants de moins de cinq ans perdent la vie à cause des complications associées à cette naissance précoce. Ces chiffres font de Madagascar l’un des pays les plus touchés par ce phénomène.
Donald Trump revient. Un « come back » historique digne des grands aventuriers et des pionniers du pays de l’Oncle Sam. Les scores sont sans équivoque : 267 grands électeurs acquis aux causes de Trump contre 224 pour Kamala Harris. Une victoire sans appel qui reconduira le milliardaire au tempérament imprévisible et incontrôlable aux manettes des Etats-Unis, la première puissance mondiale. Trump remettra les pieds à la Maison Blanche aux grands regrets de Kamala Harris et derrière elle tout le clan des démocrates.
Le secteur de l’agriculture biologique à Madagascar se prépare à marquer sa présence sur la scène internationale en participant à la prochaine édition du « Food Ingredients Europe » (FIE), qui se tiendra à Francfort, en Allemagne, du 19 au 21 novembre. Cet événement constitue une plateforme clé pour les acteurs de l'industrie alimentaire, leur permettant de présenter des ingrédients biologiques et naturels, et de développer des partenariats à l'échelle mondiale.
Le film documentaire « Debout ! », réalisé par Felana Rajaonarivelo, a fait sensation lors de la 11ème édition de l’évènement cinématographique « Emergence Films Festival » qui s’est déroulée à Lomé, au Togo, en remportant non pas un, mais deux prix prestigieux. En effet, le jury a décerné à la réalisatrice malagasy la « Mention spéciale » et le « Coup de cœur du jury », récompensant ainsi son engagement et sa sensibilité à travers ce court métrage qui met en lumière le quotidien de quatre femmes vivant avec un handicap.
Antananarivo et ses environs se retrouvent une fois de plus plongés dans une crise aiguë d'approvisionnement en eau. Face à la vétusté du réseau de distribution et des pannes répétées, la JIRAMA, compagnie nationale d’eau et d’électricité, se voit contrainte d'instaurer des mesures radicales. Avec un déficit de production atteignant 100 000 m³ par jour, les autorités n'ont pas d'autre choix que de rationner la distribution d'eau dans la Capitale. La situation est critique : les machines fonctionnent à plein régime, mais cela ne suffit toujours pas à répondre à la demande. La production actuelle, limitée à 200 000 m³ par jour, est loin de combler les besoins quotidiens qui s’élèvent à 300 000 m³.