Sérieusement, toi JIRAMA tu nous tiens ! A peine il y a quelques jours de la semaine dernière, nous étions amenés ici, à travers cette même colonne de l’Edito, à évoquer les « vrais problèmes » de la Compagnie nationale que voilà nous revenions à la charge pour attirer davantage l’attention de l’opinion sur, cette fois-ci, les « vraies solutions » qu’il faille adopter à l’endroit de cette entreprise nous menant la vie de calvaire tous les jours que le Bon Dieu nous offre.
Profondément conscient de la tourmente de son peuple à cause de ces délestages destructifs et ne pouvant pas rester inactif, le Chef de l’Etat Rajoelina Andry prenait une initiative courageuse, la semaine passée, afin de faire tourner les groupes électrogènes d’Ambohimanambola de sorte que l’électricité revienne à la maison, ne serait-ce que pour un temps. Il fallait apaiser les « douleurs ». Et cela, en ponctionnant le budget du département de l’Education nationale. Pourquoi ainsi ? Le MEN, en comparaison avec d’autres ministères disposent d’une surface budgétaire relativement suffisante, le pouvoir central décidait d’opérer une coupe qui ne devrait pas trop léser ce grand ministère. Chose que les autres départements ne pouvaient pas se permettre.
Suite à cette initiative quelque peu risquée, les délestages à travers les zones servies par le Réseau interconnecté d’Antananarivo (RIA) diminuent sensiblement au grand soulagement des usagers concernés.
Cependant, sauf pour le respect et les honneurs que l’on doit à votre égard Monsieur le Président, on est dans l’obligation de mettre les points sur les « i » que les mesures prises pour soulager les crises des délestages dans le RIA sont uniquement temporaires. On ne pourra pas couper durablement le budget du MEN. On ne peut sacrifier l’éducation des enfants du pays pour sauver aussi longtemps les inepties de la JIRAMA. C’est abject ! Evidemment, il s’agit des mesures « tampon », à titre provisoire. Les vrais problèmes de la JIRAMA exigent de « vraies solutions » s’inscrivant dans le long terme, dans la durée.
Etant donné que le premier vrai problème de la JIRAMA repose sur la mauvaise gouvernance financière. Logiquement, la vraie solution consiste à l’assainissement des finances de la compagnie. Les concitoyens doivent sinon ont le droit de savoir quelles sont les dispositions engagées pour remettre en selle la caisse de la compagnie. Les histoires de subventions doivent impérativement cesser. Non seulement, elles crèvent la caisse publique mais aussi elles pèsent trop lourdes sur les épaules des Malagasy qui sont, au final, doublement pénalisés dont notamment les opérateurs économiques de toute taille. C’est injuste ! Trop, c’est trop !
Le Chef de l’Etat a déjà annoncé la généralisation des installations des panneaux solaires dans plusieurs sites stratégiques de la Grande île et cela afin d’épauler les productions énergétiques provenant des installations déjà existantes d’Andekaleka, d’Ambohimanambola ou d’Antelomita. Il va falloir commencer et accélérer les travaux. Les débuts des chantiers des centrales hydroélectriques de Volobe et de Sahofika ne doivent plus trainer et bien d’autres chantiers pouvant contribuer pertinemment au besoin énergétique du pays.
En cette phase du premier semestre de l’année scolaire, le MEN a besoin réellement de son budget pour bien mettre à flots le fonctionnement de son département. La ponction ne doit pas durer !
Ndrianaivo
Les passagers du vol AF934 reliant Paris à Antananarivo ne s'attendaient pas à ce que leur trajet prenne une tournure aussi inattendue. Alors que l’appareil d’Air France avait quitté l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle dimanche matin à 10h44 (heure de Paris) avec pour destination Ivato, l'avion a effectué un demi-tour en plein ciel, revenant à Paris vers 19h45, soit près de dix heures après son décollage.
Selon les informations de sources officielles, cette décision de faire revenir l’avion en France aurait été prise pour des raisons de sécurité, en lien avec la situation géopolitique au Proche-Orient et par mesure de précaution. Ladite compagnie aérienne aurait choisi de modifier le plan de vol de certains de ses appareils, étant entendu que la sécurité de ses passagers et de ses équipages est son « impératif absolu ».
En effet, le vol AF934 n’est pas un cas isolé. Air France a également annulé ou redirigé d'autres trajets long-courriers ce même jour. Le vol Paris-Nairobi (AF814) a également été contraint de revenir à Paris, tandis que le vol AF648, à destination de La Réunion, a connu un important retard. Un ou des vols vers la France auraient changé d’itinéraire.
En tout cas, le demi-tour de l'avion à destination d'Antananarivo a soulevé des questions parmi les observateurs locaux. Sur les réseaux sociaux et dans certaines sphères informées, les rumeurs et spéculations sont allées bon train. Certains ont même évoqué une possible menace de tirs de missiles en lien avec les conflits actuels comme étant à l'origine de ce demi-tour. Cette hypothèse est d'autant plus alimentée par le fait qu'un vol Air France avait survolé l’Irak le 1er octobre dernier, au moment où l’Iran procédait à des frappes de missiles dans la région.
Pourtant, le vol Paris-Antananarivo et les autres citées n'empruntent visiblement pas les zones aériennes directement touchées par les conflits actuels. La compagnie n'a pas encore livré de précisions sur la nature exacte des risques pris encourus, ce qui laisse planer un certain flou autour de la décision de faire demi-tour et des redirections. Si la mesure a été expliquée comme une précaution liée à la « sécurité », le nombre d’avions touchés laisse penser que la compagnie a peut-être détecté un risque voire un danger potentiel plus présent et plus large, ce qui justifierait ainsi une prudence accrue.
La Rédaction
Le salaire minimum à Madagascar est un sujet de préoccupation croissant dans le paysage économique actuel. Selon Marc Boulnois, docteur en économie à l'université d'Ottawa et expert en négociations collectives, ce sujet revêt une importance capitale dans le cadre des discussions entre syndicats, représentants des travailleurs et employeurs. Bien qu'il soit fixé chaque année, l'application effective de ce salaire minimum se heurte à de nombreux obstacles. Le salaire minimum, qui devrait garantir un revenu décent aux travailleurs, est en réalité compliqué par la prévalence du secteur informel dans l'économie malagasy. Une part de la population active n'évolue pas dans le cadre formel, rendant la mise en œuvre du salaire minimum difficile. "Bien que l'inspection du travail ait pour mission de s'assurer du respect de ces normes, la majorité des contrôles se concentre sur les entreprises formelles," explique-t-il. Chaque année, des négociations ont lieu pour réévaluer ce salaire. "Mon étude vise à analyser si le salaire minimum actuel permet de couvrir les besoins fondamentaux des travailleurs, conformément aux objectifs légaux," précise-t-il. Cela soulève des questions sur l'efficacité du salaire minimum en tant qu'outil de protection des travailleurs et d'encouragement à l'emploi décent.
Convention
Depuis 1960, Madagascar a ratifié plusieurs conventions internationales intégrant des normes dans son code du travail. Cependant, la véritable interrogation demeure : cette intégration se traduit-elle par une application réelle et efficace ? "Les conventions récentes sur les conditions de travail doivent être prises en compte dans le nouveau code du travail actuellement en validation," ajoute le docteur. Historiquement, le salaire minimum variait selon les régions, mais depuis la fin des années 1970, un tarif uniforme a été instauré pour l’ensemble des secteurs. Le cadre légal stipule que le Gouvernement, après consultation du Conseil national du travail (CNT), doit fixer le salaire minimum. "Depuis 2000, des négociations préalables entre employeurs et syndicats sont devenues la norme, bien que ce processus ne soit pas formellement reconnu," souligne-t-il. Des événements récents illustrent cette dynamique. En 2019, le Président a fixé unilatéralement le salaire minimum à 200 000 ariary, une mesure bien accueillie par la population. En 2022, il a proposé de l’augmenter à 250 000 ariary, une hausse substantielle issue de négociations avec les employeurs. "Pour faciliter cette augmentation, un mécanisme de subvention a été mis en place via la CNAPS," rappelle-t-il. Au niveau des entreprises, notamment celles employant plus de dix salariés, l'existence de délégués du personnel et de comités d'entreprise est désormais une exigence. "Un cadre de référence tel que le salaire minimum est essentiel pour prévenir des pratiques de concurrence déloyale et garantir une échelle salariale harmonisée au sein des secteurs," conclut Marc Boulnois.
Carinah Mamilalaina
Le cinéma malagasy s'apprête à vibrer au rythme de « Disco Afrika », le premier long métrage de Luck Razanajaona, qui sera projeté pour la première fois dans les salles locales à partir de ce mois de novembre. Pour cette première tant attendue, les plus chanceux ont pu découvrir le film vendredi dernier à Toamasina, au Cinepax à Antananarivo, suivi d'une autre projection au Canal Olympia, encore dans la capitale, le 15 novembre prochain.
A travers le récit poignant de Kwame, un jeune homme de 20 ans qui survit dans les mines clandestines de saphir, « Disco Afrika » aborde des thèmes majeurs tels que la corruption et les défis sociaux auxquels Madagascar est confronté. Suite à un événement inattendu, Kwame est contraint de retourner dans sa ville natale, où il retrouve sa mère et d'anciens amis, mais fait également face à la corruption insidieuse qui gangrène son pays. Ce film captivant promet une immersion dans la réalité malagasy, tout en captivant le public par son rythme et son authenticité.
Le parcours de « Disco Afrika » est déjà marqué par un impressionnant succès. Le film a été projeté dans au moins 17 festivals à travers le monde, illustrant ainsi l'intérêt croissant pour le cinéma malagasy sur la scène internationale. Récemment, il a été en lice dans la catégorie « long métrage » lors de la 18e édition du « Africa Film Festival » au Pays-Bas, où il a attiré l'attention du public et des critiques. Parmi ses distinctions, « Disco Afrika » a remporté le Prix du jury au prestigieux « Afrika Film Festival de Köln », en Allemagne, ainsi que le Prix Acerca de la coopération espagnole au Festival du cinéma africain de Tarifa et Tanger. Ces récompenses soulignent non seulement la qualité artistique du film, mais également son impact culturel, en ouvrant le dialogue sur des réalités parfois difficiles de la vie à Madagascar.
Luck Razanajaona, à travers cette œuvre, s'inscrit dans la lignée des cinéastes qui utilisent leur art pour aborder des problématiques sociétales majeures, tout en offrant un divertissement de qualité. Avec « Disco Afrika », il parvient à allier réflexion et divertissement, offrant ainsi une œuvre qui mérite d'être vue et discutée. Les projections de « Disco Afrika » dans les salles malagasy représentent une opportunité rare pour le public local de découvrir un film qui non seulement divertit, mais éclaire également sur des réalités souvent négligées.
Si.R
Plus de 500.000 personnes ont été relogées dans des villages dignes. L’association humanitaire « Akamasoa », fondée par le père Pedro Opeka, a pu faire cet exploit en 35 années d’existence. Plusieurs milliers de personnes se trouvant dans une situation de précarité ont pu se redresser grâce au soutien de ce père visionnaire. Ces derniers temps, Akamasoa réorientent ses habitants dans le monde rural, à travers la promotion de l’agriculture et de l’élevage. « Le village Akamasoa, près d’Ankazobe, dispose de 600 hectares de terres cultivables. Une partie a été donnée par l’Etat, et nous avons acheté une autre. Les habitants y pratiquent l’agriculture et l’élevage », confirme le père Pedro. « Nous encourageons les habitants à retourner et se réconcilier avec la terre et la nature afin de guérir leurs âmes, souillés en milieu urbain (…) », ajoute le fondateur de ladite association. D’ailleurs, celle-ci soutient une centaine de familles à rentrer chez eux, dans la campagne, et ce, chaque année. Il n’y a plus de place pour les accueillir dans les centres, selon les informations recueillies.
En 54 années de présence à Madagascar, le Père Pedro témoigne de l’importance du « fihavanana » et du « fahamarinana ». « J’ai vu de mes propres yeux la solidarité et le partage dans les années 70. Akamasoa prône ces valeurs. Madagascar ne peut être sauvé que si ses habitants s’entraident (…) », confirme le missionnaire lazariste, menant un combat permanent contre la pauvreté.
INVISO réaffirme son engagement
Des dons concrets pour un impact durable. L’INVISO Group, à travers son organisation non gouvernementale (ONG), confirme son engagement aux côtés d’Akamasoa, en cette célébration des 35 ans de l’association. Parmi les dons qu’elle a offerts, le 1er novembre dernier à Andralanitra, figurent des semences pour le village Akamasoa à Ankazobe ainsi qu’un motoculteur avec gru pour faciliter les travaux agricoles. « Pour nous, ces dons sont des graines d’espoir semées dans le terreau de la solidarité. Ils symbolisent notre engagement indéfectible aux côtés d’Akamasoa », déclare Shaima Ismael-Mohaboubaly, présidente de l'ONG INVISO. « Les semences pourront contribuer à l’autosuffisance alimentaire du centre. Aussi, nous envisageons un partenariat avec les deux centres sités à Antananarivo et Fianarantsoa, à travers l’appui aux paysans pour élargir leurs activités agricoles et pour l’achat de leurs produits. L’esprit "j’ai planté, j’ai vendu et j’ai gagné mon propre argent" sera ainsi développé dans chacun d’entre eux », souligne Danil Ismael, président-directeur général d’INVISO Group.
Outre les intrants agricoles, ledit groupe a également remis des vêtements aux locataires d’Akamasoa afin de préserver la dignité des plus vulnérables. A cela s’ajoutent des citernes pour faciliter l’accès à l’eau potable ainsi que des savons ménagers pour une meilleure hygiène. Du « Koba Fenosoa », pour une alimentation équilibrée, et des paires de « Kiranyl », idéales pour les activités en extérieur ou par temps humide, ont aussi fait partie des donations…
P.R.
Le ministre de la Jeunesse et des Sports Marson Moustapha Abdulah réaffirme son ouverture à toutes les fédérations sportives. Pas plus tard que cette semaine, le locataire de la Place Goulette a sillonné toutes les sites de compétition de la Capitale pour manifester son intention particulière aux sportifs malagasy.
Le ministre Moustapha est venu soutenir et honorer la Fédération malgache de Jiu-jitsu et le club Guerreros Team lors de combat international K1, Jiu-Jitsu, Pancrace, Grappling tenu au gymnase couvert de Mahamasina, en compagnie du président de la commission de la jeunesse et des sports au niveau national. A l'Assemblée, on a vu le député Andry Ratsivahiny, accompagné des directeurs au sein du ministère. Durant sa présence, il a échangé avec les athlètes malagasy.
Une compétition qui a été totalement réussie en termes de préparation. Il a profité de ce temps pour échanger avec les responsables de la fédération et les jeunes participants sur place. Le ministre a déclaré que le ministère de la Jeunesse et des Sports est prêt et ouvert à coopérer avec la fédération sans exception.
Il n’a pas manqué l’occasion de féliciter tous ceux qui ont remporté de médaille et encourage le maintien de la sécurité dans l’organisation.
Dans ce contexte, le ministre a envoyé des représentants à Ivato pour accueillir en fanfare les jeunes motards sacrés champions d’Afrique, pour honorer l’exploit de ces jeunes qui ont bien rehaussé l’honneur du pays à travers leur discipline.
Les jeunes pilotes malgaches ont marqué les esprits lors de leur deuxième participation au MX of African Nations à Marrakech. Le duo Jeremy Rakotoarimanana (15 ans) et Sincère Leung Yen (14 ans) a remporté la médaille d'or en MX 125 cc, devançant de justesse l'équipe marocaine. L'Afrique du Sud a terminé troisième.
En MX2, Madagascar a obtenu la deuxième place, derrière le Maroc et devant l'Ouganda. Madagascar a montré une belle performance, terminant au pied du podium en MX Lite et cinquième en 65 cc. Avec dix pilotes engagés cette année, Madagascar affirme sa place sur la scène africaine du motocross.
Elias Fanomezantsoa
La Première dame, Mialy Rajoelina, a lancé officiellement la Caravane médicale « Faradoboka » pour l’année 2024, en collaboration avec le ministère de la Santé publique, celui de la Sécurité publique et divers partenaires. Cette 30ème caravane a quitté la capitale ce samedi 2 novembre. Elle va parcourir plus de 2.150 km vers le grand Sud après avoir visité cinq Régions de l’Est. Elle offrira des services médicaux gratuits dans cinq Districts : Antsirabe, Ambalavao, Sakaraha, Toliara et Antanimeva. Les services incluront des consultations, des dépistages, des chirurgies et des soins adaptés à la malnutrition chronique. La caravane mènera également des campagnes de sensibilisation sur la vaccination, la planification familiale, ainsi que la prévention des maladies transmissibles et non transmissibles, tout en promouvant la lutte contre la violence basée sur le genre.
Le ministre de la Santé publique, Zely Randriamanantany, a précisé que le but de la Caravane médicale est de valoriser le capital humain conformément à la vision du Président de la République. Elle vise à réduire les inégalités d'accès aux soins de santé de qualité pour les populations les plus vulnérables en milieu rural. Ce projet est l'une des initiatives phares de la Première dame, affirmant son engagement en faveur d'un accès équitable à la santé pour tous.
Cette initiative est fortement soutenue par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et des partenaires techniques. Le Dr Laurent Musango, représentant de l'OMS à Madagascar, a expliqué que l'objectif principal est d'offrir des soins de proximité à la population. De nombreux services, tels que le dépistage des maladies transmissibles et non transmissibles, les soins dentaires, la santé maternelle et infantile et autres, sont proposés sans que les gens aient besoin de se déplacer. Cette caravane répond également à l'objectif de couverture universelle de la santé, auquel Madagascar adhère. Elle permet de mutualiser les risques et les ressources entre le Gouvernement, les partenaires techniques et financiers, la société civile et des associations comme l'association Fitia.
E.F.
Quatre culturistes malagasy participeront aux Mondiaux des Maldives qui se dérouleront du 5 au 11 novembre. La délégation a quitté le pays ce samedi 2 novembre à 2h du matin. Après l’équipe nationale de billard, c’est au tour des bodybuilders malagasy de représenter la Grande île dans une compétition internationale, sans le soutien du ministère.
Sa parole contre la sienne. Pas plus tard que le 23 octobre dernier, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Marson Mustapha Abdullah, a précisé que le ministère n’appuiera que les athlètes susceptibles de remporter des médailles aux échéances internationales.
Du rififi au sein de l'église luthérienne (FLM) malgache à Strasbourg. Là, deux jeunes femmes, également malgaches, portent plainte pour viol supposé contre le chef de chœur de ladite église de cette ville de l'Hexagone. Notons au passage que cette plainte a été formulée en 2021. Et actuellement, les deux victimes ont respectivement 22 et 32 ans. Ce qui convainc alors qu'à l'époque, l’une des plaignantes étaient encore mineures.
A l’occasion de la fête de la Toussaint, de nombreuses familles ont rendu hommage aux défunts en déposant des fleurs sur le tombeau familial. Contrairement à d’autres fêtes commerciales comme la Saint-Valentin et la fête des mères, la Toussaint et Halloween sont les plus célébrées dans la Grande île. On remarque d’une part les embouteillages interminables jusqu’en fin de soirée et de l’autre, les nombreux vendeurs de fleurs. Tous les coins de rue sont occupés par ces derniers, de même que les rues menant vers la sortie de la Capitale comme By Pass ou Ambohitrarahaba.