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Prévenir la recrudescence de la pandémie de coronavirus à Madagascar. Face à la propagation de cette pandémie dans plusieurs pays du monde, mais particulièrement en Europe, l’Aviation civile de Madagascar a publié la semaine dernière une liste de pays depuis lesquels l’embarquement vers Madagascar n’est pas autorisé. Cette note a notamment été communiquée à toutes les compagnies aériennes disposant d’un droit de trafic sur Nosy Be, sachant qu’il est le seul aéroport ouvert dans le pays jusqu’à présent. Cependant, les passagers en provenance de Mayotte et de La Réunion ne sont pas touchés par cette restriction sauf s’ils font une correspondance. La compagnie aérienne Air Austral a par conséquent averti ses clients. « Les passagers en provenance des îles voisines de Madagascar ne sont pas concernés par cette nouvelle restriction gouvernementale. Les vols de la compagnie Air Austral prévus entre La Réunion et Nosy Be sont ainsi maintenus. Il est à noter que les passagers au départ de la France métropolitaine, en correspondance, ne peuvent donc pas être acceptés », ont annoncé les responsables au sein de la compagnie. En effet, Air Austral a repris ses vols à destination de Nosy Be depuis le 16 octobre dernier. Deux rotations ont ainsi pu être réalisées à cette date et à celle du 23 octobre dernier. Et à partir du mois prochain, elle proposera donc deux vols hebdomadaires reliant les deux îles. Un programme qui pourrait s’étoffer au fur et à mesure de l’évolution de la situation.
Rova Randria

Les ateliers du Haut Conseil pour la défense de la démocratie et de l’Etat de droit (HCDDED), au Sweety Ampefiloha, se poursuivent. Hier, le doyen de ce Conseil, Imbiki Anaclet, a axé son intervention sur la lutte contre la corruption où la volonté politique est très importante.

En collaboration avec l’Organisation internationale de la francophonie, le HCDDED organise des ateliers sur les thématiques de la démocratie, l’Etat de droit, les droits de l’homme et la bonne gouvernance. La thématique de cette semaine est la bonne gouvernance. Le doyen de ce Conseil Imbiki Anaclet a alors axé son intervention sur la lutte contre la corruption dans le milieu judiciaire.
Ce doyen a constaté que la situation économique de Madagascar est fortement affectée, à cause de la corruption, y compris dans le milieu judiciaire. Il a alors avancé des propositions de stratégie de lutte contre la corruption dans le secteur de la Justice, en prévision de la relance économique « pour l’après Covid-19 ». La justice malagasy est particulièrement touchée par la corruption et est souvent montrée du doigt.
Malgré la présence de plusieurs organes et institutions œuvrant pour la lutte contre la corruption, la situation reste alarmante. Entre 2013 et 2019, le score de Madagascar en matière de corruption n’a de cesse de s’empirer, passant de 28/100 à 24/100. Une des causes de l’échec de la lutte contre la corruption est notamment l’absence de volonté politique. La corruption se présente sous plusieurs aspects au sein de la Justice, et survient suite à plusieurs modes opératoires, soit le contact direct avec les justiciables, ou par l’intervention des rabatteurs, ou même l’envoi de cadeau sous forme de biens matériels.
Plusieurs causes sont à l’origine de cette corruption persistante au sein du système judiciaire malagasy. Face à ces différentes causes, Imbiki Anaclet a avancé quelques pistes de solutions, parmi lesquelles, l’adoption des mesures immédiates ou à court terme comme la mise en œuvre effective des circulaires concernées par la nécessité de moralisation, l’exploitation des déclarations de patrimoine, l’interdiction pour les magistrats de la même famille de travailler dans un même ressort judiciaire, procéder à une vaste campagne de lutte contre la corruption, la promotion des systèmes alternatifs (DINA, conciliation, arbitrage…) , l’ouverture de compétence du CSI et l’intégration dans les rapports annuels de certains organismes comme le HCDDED, la Médiature de la République ou le CNIDH.
Actuellement, l’opinion publique exige la transparence des répressions de la corruption par les magistrats, que les fautes commises par ces derniers soient connues publiquement et punies selon la gravité de leurs fautes. Il est donc du devoir de chacun de préserver l’intégrité de la justice, et prendre conscience que cette dernière est un « bien commun ».


A qui profitent ces propositions absurdes ? La prise de position du politicien Roland Ratsiraka dans la lutte contre la Covid-19 suscite des interrogations. Tout porte à croire que les manœuvres de ce député sont loin de servir l’intérêt supérieur de la Nation. Après de vaines tentatives de semer le chaos à Toamasina, au moment fort de l’épidémie à Madagascar, voilà que cet ancien candidat à la présidentielle revient à la charge.
Comme à son habitude, il s’est exprimé sur les réseaux sociaux. Récemment, le numéro un du MTS a remis en question la décision de l’Etat de maintenir la fermeture de nos frontières en dépit de la levée de l’Etat d’urgence sanitaire. « Pourquoi tuer le tourisme et les échanges économique, culturel et commercial ? », affirme le parlementaire sur l’une de ses publications. Pourtant, le Président de la République était clair quant à la motivation de cette décision : la santé des malagasy prime avant tout. Roland Ratsiraka propose aussi « d’imposer des tests au départ et mettre des caméras thermiques dans les aéroports », ainsi que « de s’occuper des hôpitaux au lieu d’investir dans des stades et autres ». En d’autres termes, il continue de minimiser le danger que représente cette pandémie pour la santé publique. Voir la population être profondément affectée ou tuée par ce virus est visiblement le cadet des soucis de ce politicien. « Ce ne sont pas des touristes testés et contrôlés puis mis en quarantaine qui vont aggraver notre situation », lance – t –il encore dans la même publication.
Prétentions mal placées
Au passage, il ne manque pas de faire de l’autopromotion faisant une comparaison avec l’épidémie de peste qui a sévi dans le pays en 2017 et en affirmant quasiment avoir géré cette crise avec brio. Il souligne qu’aucune mesure de confinement n’était imposée au moment de l’épidémie de peste en 2017. Des propos des plus absurdes lorsqu’on sait que l’épidémie actuelle n’a strictement rien à voir avec la peste. Même les pays les plus développés tâtonnent encore quant à la manière de gérer ce virus d’ailleurs dénommée « nouveau coronavirus ». Les déclarations de Roland Ratsiraka ne sont rien d’autres que de  pures prétentions qui sont d’ailleurs très mal placées.
Dans nos anciennes publications, nous avons déjà évoqué le fait que l’épidémie du coronavirus est devenue un véritable créneau pour le député de Toamasina, Roland Ratsiraka afin de véhiculer sa mauvaise foi politique. L’on se remémore ainsi des propos de ce politicien déchu incitant les habitants de la capitale du Betsimisaraka à passer outre les mesures de confinement édictées par l’Etat. Le leader du parti MTS avait suggéré que le confinement n’était nécessaire qu’en cas de décès du coronavirus. Pourtant, d’aucuns n’ignorent que seules les dispositions strictes de confinement avaient permis au Grand port d’éviter une véritable hécatombe.
La Rédaction

« Absolument faux ». C’est avec ces propos que le président de la Confédération épiscopale, le Cardinal Désiré Tsarahazana, a démenti l’interprétation sur les propos du Pape François concernant l’union civile des homosexuels. Du simple citoyen aux médias, beaucoup ont mal compris cette déclaration vieille de 18 mois, mais qui est subitement apparue dans un documentaire, le 21 octobre dernier. Pour l’Archevêque de Toamasina, le souverain pontife est victime d’une manipulation médiatique. « La déclaration du Pape est instrumentalisée pour soutenir un concept que l’on veut véhiculer dans le monde », se plaint-il. Effectivement, une journaliste espagnole a demandé des conseils que le Sainteté pourrait donner aux parents qui ont des enfants à tendance homosexuelle, mais un producteur russe a seulement repris un extrait où l’évêque de Rome et chef de l’Eglise catholique parle du mariage des personnes de même sexe.
De son côté, le Père Arsène, représentant des évêques à Madagascar et ayant fait une déclaration à Fianarantsoa, a avancé que le problème se repose sur la compréhension des mots que le Pape François a mentionnés durant cette intervention. D’après lui, le souverain pontif a avancé que les homosexuels ne doivent pas être exclus de la société. Ils ont le droit de vivre dans une famille et être acceptés tels qu’ils sont. « Si un parent a un enfant homosexuel, voudra-t-elle l’abandonner ou le jeter hors de la maison ? », indique le Pape dans sa déclaration. Et d’ajouter que les homosexuels doivent être protégés par une loi puisque dans plusieurs pays du monde, ils sont victimes de violences, d’exclusion ou même emprisonnés.
Sur ce, il ne faut pas confondre « famille » et « mariage ». D’après l’évêque malagasy, le souverain pontife a fait preuve d’ouverture aux homosexuels en affirmant régulièrement qu’ils devaient être bien accueillis au sein de l’Eglise catholique. Néanmoins, il reste fermement opposé au mariage des personnes du même sexe, en accord avec le dogme de l’Eglise. Le mariage doit se faire nécessairement entre un homme et une femme, comme Dieu les a créés. Toutefois, les églises catholiques mettent en garde les organisations internationales qui font des pressions aux pays pauvres afin que ces derniers acceptent le mariage gay.
Anatra R.


Près d’un demi-millier de personnes a été verbalisé, rien que durant la première partie de la journée d’hier, pour non-respect du port du masque, infraction sanctionnée par des Travaux d’intérêt général, comme le balayage de rues, selon une source auprès des éléments des Forces de l’ordre. Ces derniers n’ont pas chômé hier. Ils ont été pleinement mobilisés dans la Région Analamanga notamment.
Suite à la levée de l’état d’urgence sanitaire dans le pays, un relâchement généralisé est constaté auprès de la population. Bon nombre de personnes ne portent plus le masque dans les rues et les endroits publics. Le port de ce masque reste pourtant obligatoire dans le pays, nonobstant la fin de l’état d’urgence étant donné que cela réduit la chaîne de transmission de la Covid-19. Pour certains visiblement, la fin de l’état d’urgence signifie la fin de la guerre contre le coronavirus qui continue pourtant de sévir dans le pays. En atteste le dernier bilan hebdomadaire concernant l’évolution de la situation épidémiologique de la Covid-19 dans le pays qui recense 158 nouvelles contaminations et 6 décès durant la semaine du 17 au 23 octobre derniers.
Face au relâchement des tananariviens, le préfet d’Antananarivo a récemment sorti un arrêté portant notamment sur le port obligatoire du masque dans la Région d’Analamanga. « Cette décision a été prise, car si le relâchement constaté actuellement se poursuit, le coronavirus reviendra avec force. Si ce virus revient, ce sera encore pire », a commenté le Général Angelo Ravelonarivo, préfet de Police d’Antananarivo. « La Capitale se distingue par son nombre élevé d’habitants par kilomètre carré. Cette forte densité favorise une transmission rapide du virus. Raison pour laquelle la décision a été prise. L’objectif est de stopper la propagation de l’épidémie et ce, afin d’éviter de nouvelles mesures drastiques comme ce qui est le cas actuellement dans plusieurs pays étrangers », prévient-il.
Les Forces de l’ordre seront ainsi fortement mobilisées cette semaine dans le cadre de la prévention contre la résurgence de la pandémie de Covid-19. La Police nationale appelle la population à la prise de conscience pour éviter les sanctions. Outre le port du masque, les gestes barrières telles que la distanciation sociale et le lavage fréquent des mains doivent être respectées. Force est pourtant de constater que ces mesures sont de moins en moins suivies, notamment dans les endroits publics et les transports en commun, en particulier, où un certain laxisme est constaté depuis quelques jours.
La Rédaction
 



Fonctionnement au ralenti en ce début d’année scolaire. La plupart des établissements publics ne disposent d’aucun budget pour assurer leur fonctionnement, du moins durant la rentrée scolaire d’hier. En fait, les subventions pour la Caisse-école (CE) destinées pour ce faire ne sont pas encore encaissées, contrairement aux attentes des responsables et au défi lancé par le ministère de l’Education nationale (MEN). « Nous n’avons ni craies ni cahiers pour servir de registres ou de journal, sans parler des matériels de nettoyage. Dans cette même période de l’année, toutes ces fournitures sont achetées quelques jours avant la rentrée pour mieux accueillir les élèves et mieux servir les enseignants », se désole un directeur d’école primaire publique (EPP) dans la Circonscription scolaire d’Antananarivo Atsimondrano. Bon nombre de ses pairs partagent ce même souci, tout en espérant l’encaissement des subventions de la CE dans un plus bref délai. Toutefois, d’autres ont pu identifier des solutions face à cet imprévu. « Nous avions pu acheter ces fournitures, lesquelles pourront couvrir nos besoins pour la première période, grâce à un budget destiné pour un autre projet. Une fois la CE débloquée, le montant emprunté sera juste remboursé », s’exprime le directeur du collège d’enseignement général (CEG) de Nanisana, dans la CISCO de Tanà ville.
Prise en main des élèves
Le premier jour de la rentrée scolaire a été destiné notamment pour la prise en main des élèves, la distribution des classes et la séance de brise-glace. « Les cours commenceront à partir de mercredi prochain, une fois que tous les élèves soient pris en main », avance notre source auprès du CEG Nanisana. C’était également le cas dans la plupart des établissements publics, hier. Une occasion pour les parents d’accompagner leurs enfants et de s’informer sur les organisations adoptées. « Nous sommes soulagés que le non paiement du droit d’inscription et de la cotisation soit maintenu, ce qui allège nos charges en ce début d’année scolaire. Nous souhaitons vivement que ces mesures annoncées par le Président de la République s’appliquent jusqu’à la fin de l’année scolaire, et pas seulement durant le premier trimestre », nous confie Emilie R., mère d’une élève inscrite à l’EPP de 67Ha Sud.
Pour sa part, le directeur général en charge de la Pédagogie (DGP) auprès du MEN rassure les parents et directeurs d’établissements. « Après la sortie de la liste des établissements et le montant de leurs subventions, les procédures d’encaissement sont actuellement en cours. En attendant, les établissements pourraient assurer leur fonctionnement avec l’aide de leurs partenaires, à l’exemple des Communes », informe le DGP Andriamiakatsilavo Raoniherijaona. Pour les enseignants non subventionnés, un autre fonds sera alloué en collaboration avec les partenaires afin de leur venir en aide. Jusqu’ici donc, le paiement de leur salaire mensuel, auparavant assuré grâce aux cotisations annuelles des parents d’élèves, reste flou. D’ailleurs, ces enseignants concernés lancent un appel de détresse à l’endroit des autorités compétentes pour voir de près leur situation…
Recueillis par Patricia Ramavonirina

La une du 27 octobre 2020

Publié le lundi, 26 octobre 2020

Un évènement tant désiré par le Chef de l’Etat malagasy et qui se concrétise. Lui-même a fait le déplacement à l’île Maurice lors des 10e JIOI de Maurice, à la tête d’une grande délégation, composée du ministre des Sports et de la Jeunesse malagasy ainsi que du président du Comité olympique national malagasy, pour faire un lobbying sur la candidature de Madagascar pour l’organisation de l’édition de 2023. Mais faute d’un dossier déposé en dehors de la date limite, c’était les Maldives qui l’ont remportée. Malgré cela, la Grande île se portait toujours candidat en plan B et reste en bonne position pour l’accueillir.

De loin, certains diront un bombardement ! Samedi dernier vers midi, cette scène apocalyptique s’observait depuis un temple sis du côté d’Andavamamba où un énorme panache de fumée noire s’élevait dans le ciel. Là, c’était un groupe de maisonnettes, soit 65,  en majorité construites en bois, qui a ainsi subitement pris feu à Manarintsoa-Isotry. Bien que l’on ne déplore aucune perte en vie humaine, le bilan est assez lourd : deux personnes ont été blessées, mais leur vie n’est pas en danger. Elles ont fait une chute au cours de leur fuite, et à un moment où l’alerte au feu a provoqué une énorme bousculade dans le secteur. Et malheureusement, les ravages occasionnés par le feu ont jeté 700 autres qui sont issues de 145 familles dans la rue, faute d’abris. Pour l’instant, les pertes n’ont pas été encore évaluées. 

Retour sur les bancs de l’école. L’année scolaire 2020-2021 pour les élèves inscrits dans les établissements publics commencera ce jour. Toutefois, elle a déjà commencé depuis le mois de septembre pour la majorité des établissements privés, lesquels ont consacré ces quelques semaines pour le rattrapage du programme non achevé l’année dernière. En ce jour J de la rentrée scolaire, les établissements publics s’apprêtent à accueillir les élèves, d’autant plus que le personnel administratif et les enseignants s’en sont préparés depuis des jours. D’habitude, la première semaine sera consacrée pour la brise- glace ainsi que pour l’organisation interne dans chaque classe. Rappelons que la première période de cette année scolaire se fera entre le 26 octobre et le 18 décembre, soit 2 mois et quelques, suivie par les vacances de Noël du 19 décembre au 3 janvier.

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Editorial

  • A vos marques !
    Par Délibération n° 056 / CENI / D du 16 avril 2024 portant arrêtage et publication de la liste des candidats pour les élections législatives du 29 mai prochain, la CENI rend finalement publique la liste définitive des candidats retenus. Au total, on compte 473 candidats admis à concourir pour les 163 sièges prévus à l’Assemblée nationale.Comme il fallait s’y attendre, la mouvance présidentielle IRMAR est la seule plateforme ayant pu couvrir le territoire national de candidats pour le scrutin de 29 mai. Dans certaines Circonscriptions, il n’y a que des prétendants sous la bannière Orange. Ce qui présuppose une victoire déjà acquise. Quant aux autres formations politiques de l’Opposition (« Firaisan-kina » et « Kaolektifa »), elles peinent à couvrir le territoire. Elles ont dû se contenter de ne se présenter que dans certaines Régions. Le paiement de la caution est y pour beaucoup ! Tandis que les « …

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