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Livre ouvert. Le directeur général de Madagascar Airlines, Thierry de Bailleul, a dévoilé hier un tournant majeur pour la compagnie aérienne, relatant les plans de l’entreprise à long terme, visant à remédier à des difficultés financières persistantes et à assurer un renouveau significatif. Les bouleversements récents chez Madagascar Airlines marquent un nouveau chapitre pour la compagnie aérienne, comme l'annonce le DG, illustrant une vision ambitieuse pour remédier aux défis financiers prégnants et insuffler un nouvel élan significatif. Le changement de direction au sein du Conseil d'administration avec l'arrivée de Mamy Rakotondraibe en tant que président marque un cap stratégique, ce qui oriente l'entreprise vers une quête assidue de rentabilité et d'efficacité opérationnelle, offrant ainsi une lueur d'espoir pour une entreprise à la recherche de renouveau. 

L’annonce vient de tomber. Il s’agira d’un grand concert d’adoration et de louange, tout en prêchant la bonne parole à travers des chants de gospel et de variété. Le public a longtemps attendu ce moment avec des têtes d’affiche de renom. L’antre du Palais des Sports de Mahamasina sera le lieu de rendez-vous qui marquera les esprits des fans de la musique évangélique. Et pour cause, l’événement « Tsy maintsy misandratra Jesosy » y rassemblera cinq artistes le 18 novembre prochain à partir de 9h. Sur scène, on retrouvera plusieurs artistes talentueux tels que Joseph d'Af, TGC (« Tanà Gospel Choir »), Rahalahy Liva, Naina Rirri Rahalahy et le groupe « Sampana Miaramilan'i Kristy » (SMK). Ils proposeront au public un voyage musical, notamment avec de la variété et des chants gospel aux couleurs bien malagasy qui ne peuvent que mettre une ambiance des plus festives, tout en restant dans le thème évangélique. 

« Nous ne sommes pas vos ennemis et vous n’êtes pas nos ennemis » ! C’est par cette déclaration que les responsables des Forces de l’ordre ont, d’emblée, tenu à balayer d’un revers de main toute tentative de provoquer un antagonisme avec la population ou les candidats à la Présidentielle. En cette période de campagne électorale, l’EMMONAT a tenu apporter quelques précisions devant la presse, au Toby Ratsimandrava, hier. 

D’après le Général William Randriamasimanana, chef d’état-major de l’EMMOFAR, la responsabilité de la sécurisation avant, pendant et après l’élection incombe entièrement aux Forces de l’ordre. « D’après des renseignements qui nous sont parvenues, on chercherait à intenter à la vie de certains candidats. Ce qui n’est pas à minimiser. Des mesures s’imposent donc », déclare ce haut gradé.

Et de poursuivre que « nous avons décidé de fournir un élément des Forces à titre de garde rapprochée pour chacun des 13 candidats, mais aussi pour sécuriser leur domicile respectif et les membres de leurs familles », a précisé le Général.

En revanche, il a expliqué que les candidats n’ont pas le droit d’emmener leur « bodyguard » dans les lieux de manifestations politiques non autorisées.

Recommandations 

Par ricochet, cet officier Général s’est adressé à ces candidats afin d’adresser quelques recommandations en cas de malaise subit survenu sur le terrain en pleine campagne électorale. Et de souligner que « vous pourrez vous en remettre aux antennes médicales des Forces Armées malagasy sur le terrain en cas de pépin ou autres problèmes de santé imprévus comme les cas d’asphyxie lié à la propagation de gaz lacrymogène ».

Il rappelle aussi que les candidats n’ont pas le droit de proférer des menaces à l’endroit des membres des Forces de l’ordre. « En cette période de campagne électorale, nous avons pris toute une série de mesures dont certaines réservées à ceux qui font leur propagande, mais aussi d’autres encore pour ceux qui font des manifestations non  autorisées », soutient ce haut responsable.

Par ailleurs, il insiste sur le fait que la place du 13 mai demeure interdite à toute manifestation et n’est accessible à aucun camp politique.

 

Franck R.

Grosse frayeur vers 11h du matin sur le chemin en pavé longeant le côté nord du magasin Victoria Plaza à Antanimena, hier. Placé sur le côté de la chaussée et dont personne semble ne rien soupçonner de quoi il s'agit, un engin explosif artisanal improvisé a explosé, faisant deux victimes. D'après un témoin oculaire, l'une d'elle est le passager d'une moto, qui était passée à l'endroit au moment de la déflagration tandis que l'autre victime est un piéton.

La une du 6 novembre 2023

Publié le dimanche, 05 novembre 2023


La Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) va déployer une mission électorale à Madagascar. L’annonce est tombée samedi dernier. En effet, à l’issue de sa réunion, le sommet extraordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté de développement de l’Afrique australe, qui s’est tenu le 4 novembre 2023, à Luanda, en Angola, a rendu public un communiqué dans lequel, d’une part, il « fait part de ses vœux de paix et de succès à la République de Madagascar et à la République démocratique du Congo car ces deux Etats membres de la SADC tiennent leurs élections en novembre et en décembre 2023 respectivement ». Et d’autre part, l’institution décisionnelle suprême de la SADC a réitéré « le soutien de la SADC par le biais du déploiement de la mission d’observation électorale de la SADC ». Les chefs d’Etat et de gouvernement de la SADC, notamment Félix Tshisekedi de la RDC, João Lourenço de l’Angola, Cyril Ramaphosa de l’Afrique du Sud, Samia Suluhu de la Tanzanie, Hakainde Hichilema de la Zambie et Emmerson Mnangagwa du Zimbabwe, viennent ainsi contredire les leaders du Collectif des candidats qui se plaisent à affirmer que l’organisation régionale va déployer une mission de médiation dans le pays et non une mission d’observation électorale. Ce serait en raison de la nature de cette mission qui serait une mission de médiation, selon eux, que le gouvernement ferait tout pour bloquer l’arrivée de celle-ci. En tout cas, cette mission semble indiquer que pour la SADC il n’y a que l’élection présidentielle qui rentre en ligne de compte et non une Transition comme souhaitée par le Collectif de candidats récalcitrants.
Aucune interférence
Cette mission fait vraisemblablement suite aux demandes de déploiement de missions d’observation électorale adressée par le Gouvernement malagasy auprès des organisations régionales et internationales, partenaires et/ou auxquelles Madagascar est membre, dès le mois de mars 2023, comme le rappelle le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué publié vendredi dernier. Outre la SADC, le département ministériel sis à Anosy informe de l’envoi de demandes aux Nations unies, à l’UA, à l’OIF,à  l’UE et au COMESA. « Toutes les organisations citées (…) ont répondu favorablement à la demande de la partie malagasy, selon les procédures qui leur sont propres, qu’il s’agisse de mission d’observation électorale ou de mission d’évaluation pré, pendant et postélectorale », note la diplomatie malagasy. Le MAE note ainsi que la mission d’experts électoraux de l’Union européenne se trouve déjà à Madagascar depuis le 11 octobre, la SADC a informé du commencement du déploiement de sa mission d’observation électorale dès le 03 novembre et les missions d’observation électorale de l’Union africaine et du COMESA arriveront incessamment. Le MAE malagasy rappelle par ailleurs qu’il n’interfère ni dans l’agenda, ni dans le travail des observateurs. « Il accueille les missions d’observation électorale et facilite l’octroi des visas », conclut le ministère.
La rédaction



Il n’y a pas eu de miracle. Comme lors des précédentes annonces,  le forcing pour entrer sur la place du 13 Mai annoncé par le Collectif de dix candidats n’a pas eu lieu. Les quelques manifestants qui avaient répondu à l’appel de ces candidats récalcitrants à aller vers l’élection présidentielle et pro-Transition n’ont même pas pu se rassembler sur la place du 13 Mai à Analakely.
Les Forces de l’ordre, déployées massivement, avaient reçu l’ordre d’empêcher tout regroupement dans le cadre de cette  manifestation interdite car n’ayant pas obtenue d’autorisation. Et ce, contrairement au carnaval tenu par les partisans du candidat Andry Rajoelina qui ont défilé dans d’autres quartiers vêtus d’Orange, couleur de son parti. Cette manifestation est autorisée car elle rentre dans le cadre de la campagne électorale.
En tout cas, les attroupements des partisans du Collectif de candidats ont ainsi été dispersés bien avant d’atteindre la place du 13 Mai dans le centre-ville de la Capitale au niveau des quelques points de ralliement annoncés par les organisateurs de la manifestation. Des grenades lacrymogènes ont été tirées par les Forces de sécurité. Des barrages faits de pneus et de moellons ont été érigés par des partisans du Collectif sur certaines routes. Mais ceux-ci ont été libérés assez rapidement par les Forces de l’ordre.
Bilan des manifestations, une dizaine de personnes ont été interpellées et d’autres blessées aussi bien du côté des Forces de l’ordre que des manifestants. Il n’y a eu aucune perte en vie humaine, souligne le préfet de Police d’Antananarivo, manifestement au grand dam de l’Opposition qui en a fait l’annonce sur ses réseaux sociaux.
Après avoir tourné en rond dans la Capitale et sa périphérie, après avoir organisé deux meetings contrastés au Coliseum, le Collectif joue  actuellement son va-tout, dans son objectif d’ « entraver la tenue de l’élection présidentielle » et de « renverser le Gouvernement », selon leurs termes même. Au bord de l’essoufflement ces derniers jours, il ne reste plus à cette Opposition que l’option du forcing et de la provocation pour tenter d’obtenir gain de cause.
La rédaction



Magique ! La journée d’hier était spéciale pour le candidat Andry Rajoelina. En effet, le prétendant à la magistrature suprême du pays a choisi cette 27ème journée de campagne électorale pour venir à la rencontre de la population d’Antsirabe. La ville d’eau, lieu de naissance du candidat numéro 3. Ce dernier a été accueilli comme il se doit par une foule survoltée et prête à en découdre malgré la pluie battante. Cette grande déconvenue météorologique n’avait pas eu raison de l’enthousiasme et de l’amour de la population pour le candidat numéro 3 qui était accompagné de son épouse et de sa fille unique, Ilona. Le stade manara – penitra vélodrome d’Antsirabe était plein comme un œuf du début jusqu’à la fin du meeting. La population était même déçue à l’idée du départ du candidat au terme de la rencontre. Ce fut presque avec regret que la foule a laissé partir le Président sortant.
« Cette journée est marquée à jamais dans mon cœur. Vous m’avez montré votre amour et je partage le même sentiment. Je reviendrai, dès que je serai élu pour faire un arrosage avec la population d’Antsirabe et apporter encore plus de développement », a promis Andry Rajoelina.  Il n’a pas manqué de rappeler les réalisations à Antsirabe depuis le début de son mandat à savoir la construction d’écoles, d’une université ou encore d’un centre de formation professionnelle pour les jeunes. A cela s’ajoute la distribution de titres verts au profit des agriculteurs. Andry Rajoelina envisage encore des projets tous aussi innovants pour la population locale. Cette dernière a scellé un « Velirano » avec le candidat afin de lui attribuer un maximum de voix lors du premier tour de la présidentielle le 16 novembre prochain.
Rendez-vous manqué à Mahanoro
Plus tôt dans la matinée, Andry Rajoelina devait rallier Mahanoro pour un meeting avec la population. A cause de la météo, l’hélicoptère qui transportait l’équipe de campagne a dû faire demi-tour. Néanmoins, le candidat a tenu à s’entretenir par visio – conférence avec la population déjà venue en masse au stade manara – penitra de Mahanoro. La déception se lisait sur les visages des habitants. Malgré ce rendez-vous manqué, les citoyens ont confié que cela n’enlève en rien leur amour pour Andry Rajoelina. « Nous espérons le voir une autre fois. Nous allons quand même voter pour lui quoi qu’il en soit », soutient une mère de famille. Ce n’est donc que partie remise.
Durant la journée de samedi, le candidat Andry Rajoelina a visité 4 Districts à savoir Ampanihy, Bekily, Beloha et Betioky dans la partie Sud du pays. Comme à chacun de ses déplacements, il était accueilli par une foule en liesse et totalement acquise à sa cause.  La population a célébré les réalisations du candidat durant son premier mandat tout en espérant un nouveau mandat avec lui afin de poursuivre les projets de développement. Le candidat numéro 3 poursuivra sa tournée de campagne ce jour et sillonnera d’autres Régions de la Grande île.
La Rédaction

Depuis l’annonce des résultats du Prix Paritana 2023, après l’exposition de Madame Zo, la première artiste malagasy à exposer ses œuvres dans le nouveau bâtiment de la Fondation H, sis à Ambatomena, est la vice-lauréate de la 7ème édition, Arilala Ophélia Ralamboson. Elle a ouvert officiellement son exposition baptisée « Balade mentale », samedi dernier. Il s’agit de sa première manifestation personnelle qui est une invitation à pénétrer dans le cerveau humain et à en explorer les tréfonds. « Présentée sous la forme d'un labyrinthe évoquant le cheminement de l'esprit, cette installation se compose d'un ensemble de pièces textiles de 60 mètres de longueur, d'un masque modelé à partir de pièces métalliques et d'un miroir. Le labyrinthe en tissu est l'œuvre centrale de l'exposition, immergeant le visiteur dans un univers abstrait. Les pièces en tissu sont découpées pour marquer les ruptures, les changements, les incohérences. Puis, elles sont rassemblées par des coutures fermées, suggérant les continuités entre les états d'âme, ou parfois ouvertes pour rappeler les cicatrices qui ont du mal à guérir », a annoncé l’artiste.
A la fois tangible et abstrait, le tracé est sinueux. Les motifs et dessins sont réalisés de manière intuitive et aléatoire. Le « bloc painting », une technique d'impression traditionnelle visant à reproduire en série des motifs pré-dessinés et gravés sur du bois, utilisés comme tampons, vient intégrer la répétitivité des motifs dans l'œuvre. Les visiteurs pourront également apercevoir un masque qui  symbolise les artifices, une façade que l'on se crée pour cacher une part d'ombre, un camouflage des insécurités, une parure (factice) pour s'intégrer (plus facilement) dans une société. « Le masque est en métal, une matière robuste mais qui rouille. J’ai orné de fausses perles et caché l'oxydation du métal avec de la peinture noire. Dans l'exposition, il est placé juste sous le miroir, face au visiteur, de manière à le soumettre à un choix : regarder devant lui, et s'arrêter sur le confort de porter métaphoriquement le masque, ou relever la tête et se regarder dans le miroir. Ce dernier, placé en hauteur, face au sol, a un double effet. Le premier effet étant la confrontation, l'affrontement avec soi-même, et le second représente un aspect plus gratifiant, à savoir la satisfaction de se voir et de se retrouver », communique-t-elle.
Pour couronner le tout, cette installation imaginée par Arilala Ophélia Ralamboson est accompagnée d'une musique conçue pour l’art de la thérapie, composée par la musicienne Môta Soa, et d'un texte poétique écrit par l'auteur Elie Ramanankavana. Le poème est découpé en sept extraits répartis dans l'espace, lesquels se lisent dans l'ordre choisi par le visiteur en fonction de son parcours. Cette exposition est à voir à la Fondation H jusqu’au 25 novembre.
Si.R

Redonner le sourire à des milliers d’enfants des rues. C’est l’ambition à travers la création du « Village des sourires » à Merimandroso, dans la Commune d’Ivato, au bénéfice de plusieurs centaines d’enfants des rues de la capitale. En plus du logis, ces derniers auront accès aux soins, à l’éducation et à des activités sportives. En outre, des cours et une formation professionnelle leur seront également donnés afin qu’ils puissent avoir l’opportunité de trouver du travail plus tard et être autonomes financièrement. La construction de ce village est l’initiative de l’association 2.400 Sourires. Cette dernière a été fondée par Romain et Séverine Lagache il y a trois ans. Son objectif consiste à changer la vie de 2.400 enfants des rues. A l’époque, ce chiffre symbolique a été tiré des statistiques du Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) et a été repris pour former le nom de ladite association. « Grâce à cette association, l’avenir s’annonce plus prometteur pour 2.400 enfants des rues à Madagascar. Ce projet offre à ces enfants la possibilité de grandir, d’apprendre et de rêver, en leur offrant un véritable village où ils pourront enfin trouver la sécurité, l’amour et l’espoir », selon les responsables.
Le projet, prévu être opérationnel d’ici 2025, permettra d’accueillir jusqu’à 250 enfants dans des conditions adaptées à leurs besoins au début. Chaque enfant se verra offrir une chance de se reconstruire, avec un foyer sécurisé, une alimentation adéquate et des soins médicaux essentiels. De plus, une chapelle sera érigée pour les messes et l’éducation religieuse de ces enfants. Depuis l’année dernière, la cantine, le local technique, la pouponnière, mais aussi une première partie du hall des sourires sont déjà bâtis. « Les travaux avancent. La construction du "Village des sourires" continue sans relâche. Notre équipe sur le terrain chemine, brique après brique, pierre après pierre pour qu'un jour nos Sourires puissent avoir un vrai foyer », ont-ils renchéri.
Rôle important des bénévoles et des partenaires
Au-delà de l’engagement des fondateurs et de leur équipe, l’association 2.400 Sourires bénéficie également du soutien précieux de bénévoles venus de l’étranger comme ESC Sans Frontières. Leur dévouement inlassable permet de concrétiser ce projet et d’offrir un avenir meilleur à ces enfants qui méritent une chance de s’épanouir. L’initiative de 2.400 Sourires a récemment été honorée par la visite de la ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Vavitsara Rahantanirina Gabriella, le 2 novembre dernier. Sa présence a témoigné de la reconnaissance officielle de ce projet qui vise à apporter un véritable changement dans la vie de ces enfants vulnérables. Enfin, l’association ne se contente pas de transformer la vie de ces enfants. Son rôle s’inscrit également dans une démarche de préservation de l’environnement. Avec la création d’une école forestière au sein du village, jusqu’à 100.000 arbres seront plantés chaque année, contribuant à préparer un avenir durable pour ces enfants, ainsi que pour sauvegarder la planète.
Nikki Razaf

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Editorial

  • Visite d’Etat
    Le pays s’apprête à accueillir une visite d’Etat. Dans une ambiance effervescente, la Grande île se prépare à recevoir sur le sol malagasy, en visite d’Etat, le Président français Emmanuel Macron le 23 avril. Ce sera le 5ème voyage officiel d’un Chef d’Etat français à Madagasikara mais il s’agit cette fois-ci d’une visite d’Etat. On entend par « visite d’Etat, un voyage officiel d’un Chef d’Etat souverain dans un pays souverain suite à l’invitation officielle du Chef d’Etat d’un pays souverain. C’est le plus haut niveau protocolaire d’un voyage officiel qu’effectue un Chef d’Etat à l’extérieur. Selon le protocole français en matière de visite ou voyage du Chef d’Etat, il existe trois sortes de voyage : le voyage officiel (d’Etat éventuellement), le voyage de travail et le voyage privé. Le général de Gaulle effectua un voyage officiel à Madagasikara en 1958. Il ne s’agissait pas d’une visite d’Etat du fait…

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