Les personnes diabétiques sont vulnérables face à la Covid- 19 et aux autres maladies virales. Selon la statistique de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), environ 5% à 8% de la population malagasy seraient diabétiques. Ces personnes requièrent une attention particulière dans leur traitement comme le contrôle régulier auprès d'un médecin, la surveillance du taux de glycémie au moins 2 fois par jour, injection d'insuline jusqu'à 4 fois par jour ou encore suivre des séances d'éducation thérapeutique. Cependant, tous ces traitements sont coûteux voire impossibles à Madagascar puisqu'un patient devrait dépenser au moins 1 000 000 d'ariary par an.

 

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A peine la Capitale eut entamé son déconfinement, voilà que les bandits de tout acabit font parler d’eux. Gare à ceux qui circulent tôt le matin, ou le soir. Car une remarque s’impose : les agressions liées au vol à la tire refont surface dans certains quartiers de la ville. Pas plus tard qu’hier matin, aux environs de 6h, un jeune piéton, en descendant tranquillement la rue en pente et en pavé, fut agressé juste près d’un laboratoire à Faravohitra. L’agresseur qui portait un sac à dos et des chaussures particulièrement bien cirées, selon des témoins, a chargé la victime qu’il a croisée, avec un grand couteau à la lame effilée. L’objectif du bandit était de s’emparer du téléphone qui se trouvait dans une poche du pantalon du piéton. « L’agresseur n’a pas hésité à attaquer sa victime au niveau de son cou, comme ayant voulu la décapiter.

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Jeudi 3 août dernier, un ressortissant chinois et son interprète ont été arrêtés par des éléments du Commissariat du 1er Arrondissement pour affaire de corruption, mais aussi bien pire que cela.  Ce jeudi-là, des responsables au sein du ministère du Commerce à Ambohidahy, étaient venus pour porter plainte contre les personnes sus-mentionnées qui ont fait les objets d’une enquête au niveau même de ce ministère à cause de leur tentative supposée pour faire une corruption.

 

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« Mon employeur n'a pas payé les cotisations à la CNaPS depuis des années, sans que je le sache. Pourtant, il les déduit régulièrement du salaire mensuel de chaque employé. C'est seulement en déposant la fiche rose au siège de la Caisse que j'en étais au courant. Nous lui en avons parlé mais il ne voulait rien entendre, en menaçant de nous renvoyer. Actuellement, nous ne pouvons pas bénéficier des prestations de la Caisse, y compris le prêt exceptionnel », nous confie Sarindra R., employé dans une société de « call center » à Antananarivo. Comme le sien, bon nombre d'employeurs semblent indélicats quant à la protection sociale de leurs salariés. Outre le non paiement régulier des cotisations, des employeurs omettent la déclaration nominative de salaire (DNS), laquelle devrait se faire chaque trimestre.

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Si Analamanga enregistre plus de cas positifs au coronavirus depuis le début de l'épidémie, l'ex-Province de Diego-Suarez craint actuellement un regain de contaminations. Aux dernières nouvelles, la Région de Diana, qui figure parmi les zones tardivement infectées dans la Grande île, comptabilise 322 cas positifs d'après les statistiques annoncées par le Centre de commandement opérationnel (CCO) Covid-19 - Ivato. Pire encore, elle détient le taux de mortalité le plus élevé dans tout Madagascar. En quelques semaines de la propagation du virus, 16 patients y ont déjà succombé après avoir présenté le syndrome de détresse respiratoire aiguë. En parallèle, 193 cas de guérison ont été recensés. Comme dans toutes les autres Régions, les différents protocoles de traitement y sont appliqués. Quant à la Région de SAVA, jusqu'à hier, 115 porteurs du coronavirus y ont été recensés. Deux patients décédés après avoir suivi le traitement dans cette zone infectée ont été signalés. Heureusement, 68 individus infectés ont recouvré la santé, ce qui fait un total de 45 malades en cours de traitement.

 

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mercredi, 09 septembre 2020

Cette inflation !!!

Les prix sur les étals sont hors de portée. Au marché, la mère de famille peine à remplir le quart de son panier.  La fébrile bourse de la grande majorité des malagasy supporte mal le poids de l'inflation qui tend à s'alourdir au fil du temps. Les prix des produits de nécessité quotidienne, genre PPN, ne cessent de grimper. Les tomates, les fruits et légumes (oignons, carottes, salades, etc.), les brèdes et autres menues recettes du bas peuple échappent totalement des possibilités du pouvoir d'achat des gens. Sans omettre de signaler le coût exorbitant des loyers auquel sont confrontés les nouveaux pauvres de la classe moyenne. Evidemment, les dirigeants de l'Etat font le meilleur d'eux-mêmes de ce qu'ils peuvent faire selon la disponibilité de l'Etat. Les « Tosika Fameno » ou autres initiatives louables arrivent toujours à point nommé. Cependant, il faut reconnaître que ce sont des actes ponctuels, les tenants du pouvoir public vont devoir trouver les voies et les moyens pour maîtriser de façon permanente cette inflation qui tue à petit feu le bas peuple.

 

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mercredi, 09 septembre 2020

Les cinq merveilles de Madagascar

Madagascar, la plus vieille île du monde, a tous les atouts pour susciter l’émerveillement. Appelé « Huitième continent » par beaucoup de scientifiques, le pays est aussi la plus vieille île du monde. Celle-ci abrite une biodiversité unique au monde. Elle possède d’immenses ressources aquatiques et marines. Son sous-sol regorge de richesses inestimables.

 

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Une enveloppe de 50 milliards d’ariary. Treize semaines après son lancement officiel, le financement « Miarina » initié par le Président de la République a débloqué jusqu’à ce jour environ 19 milliards d’ariary. Ce crédit à taux bonifié et garanti par le fonds « Fihariana » a soutenu 329 entreprises réparties sur dix-neuf régions de Madagascar.  En moyenne, les débiteurs empruntent 58 millions d’ariary. Mais les besoins de financement varient en fonction de la taille des entreprises. Les sociétés de petite taille contractent à hauteur de 10 millions d’ariary tandis que celle de grande taille arrivent jusqu’à 300 millions d’ariary. En tout cas, le financement est destiné aux entreprises formelles réalisant au maximum un chiffre d’affaires de 5 milliards d’ariary », rapporte Zafindravaka Valérie, secrétaire exécutif de « Fihariana », hier, au Nexta Andranomena.

Publié dans Politique

Les clients de la JIRAMA sont aujourd'hui au bord de l'explosion. Ces derniers mois, les abonnés de la société d'eau et d'électricité ont multiplié les mauvaises expériences sur les services fournis. Actuellement, ces expériences finissent par exaspérer les clients de la JIRAMA. La dernière en date est celle de la mutation de conduite au niveau du rond-point de la Rocade Est à Nanisana. Les responsables ont annoncé une coupure de seulement une journée. Pourtant, des usagers dans plus de trente quartiers de la Capitale ont subi des problèmes d'approvisionnement en eau pendant plus de trois jours. Jusqu'à aujourd'hui, ces problèmes continuent encore dans les quartiers comme Analamahitsy, Ambohitrarahaba ou encore Ivandry.

Publié dans Politique

4503 ariary. C’est la valeur de 1 euro selon le cours de la Banky foiben’i Madagasikara (BFM) hier. Cette dévaluation continue de la monnaie nationale depuis le début de la pandémie inquiète la population dans la mesure où des économistes ont avancé une éventuelle hausse du taux d’inflation. Pourtant, ce n’est pas le cas selon la BFM.

 

Publié dans Politique
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Editorial

  • D’utilité publique
     Est reconnu « Service d’utilité publique » (SUP) par l’Etat tout organisme (ONG), une entité qui se met au service des intérêts basiques quotidiens des gens. Exemples : le service de la voirie, les caisses de la Trésorerie publique, les banques, les Postes et Télécommunications (téléphonie mobile), les transports en commun, la compagnie nationale d’eau et d’électricité, etc. Leurs manquements répétés créent des désagréments notables voire fâcheux au bon déroulement du train-train de la vie des usagers, en particulier, de la population en général. L’Etat veille au bon fonctionnement des services reconnus d’utilité publique.Vingt inspecteurs et contrôleurs semenciers émargés au sein du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE) ont prêté serment près du Tribunal de première instance (TPI) à Anosy le week-end dernier. Issus des sept Régions dont Alaotra-Mangoro, Analanjirofo, Atsimo-Andrefana, Vakinankaratra, Boeny, SAVA et DIANA, les nouveaux sortants œuvreront tout droit à l’amélioration de la production des semences…

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