mardi, 27 décembre 2022

La une du 28 décembre 2022

Publié dans La Une


Les inscriptions aux « Global Start-up Awards 2023 » en Afrique sont officiellement ouvertes. Les start-up, les entrepreneurs et les organisations d’innovation à toutes les étapes du cycle de croissance sont désormais invités à postuler. Non seulement le concours, organisé en partenariat avec le « Global Innovation Initiative Group » (GIIG), donne aux start-up africaines une visibilité mondiale, mais il offre également des opportunités d’investissement via le « GIIG Africa Fund ». L’appel à candidatures intervient alors que les dirigeants mondiaux approchent de la mi-parcours de l’échéance de 2030 pour atteindre les 17 objectifs de développement durable (ODD) consistant à mettre fin à la pauvreté, à lutter contre les inégalités et à stopper le changement climatique.
Cependant, sept ans plus tard, les pays du monde entier sont sur la bonne voie pour n’accomplir presque aucun d’entre eux. A rappeler que les « Global Start-up Awards Africa 2021 » ont attiré l'attention mondiale sur l'innovation et l'entrepreneuriat du continent, avec 7.500 nominations ambitieuses provenant de cinquante-cinq pays. Parmi ces nominés, douze start-up africaines se sont démarquées en tant que lauréates, faisant preuve d'une ténacité et d'une clarté financière remarquables. Ces gagnants ont montré le potentiel de l'économie africaine à devenir tirée par son écosystème de start-up sans être gênée par la concurrence mondiale. Les « Global Start-up Awards » mettent en lumière ce potentiel et renforcent la confiance mondiale dans le succès de l'économie africaine .
Investisseur potentiel
« Je recommande fortement aux start-up de tous les secteurs verticaux de postuler pour le GSA Concours Afrique, car il présente aux fondateurs un large éventail d'opportunités de financement et d'investissement, comme ce fut notre cas. Mais ce qui était aussi incroyable, c'est que, même si tout le monde n'a pas été gagnant, nous avons tous quand même bénéficié d'ateliers de mentorat et de formation sur des questions telles que l'accès au marché mondial, qui constituent une autre partie du programme », argue Ryan Marincowitz, fondateur et PDG de My Health Africa, le lauréat du prix de la dernière saison pour la meilleure start-up « Health Tech » en Afrique. Une façon pour ce responsable d’expliquer le fait que ce soit une occasion idéale de contribuer à l'amélioration de la qualité de vie de nombreuses personnes à travers le continent et d'augmenter le potentiel des technologies perturbatrices pour des avantages mondiaux.
En effet, depuis son lancement en 2018, les « Africa Start-up Awards », qui font partie des « Global Start-up Awards » (GSA), ont fourni une plate-forme aux start-up à fort potentiel d’impact pour se connecter avec les investisseurs. Nous recherchons les leaders de l’innovation, les startups technologiques et les entrepreneurs qui présentent des solutions innovantes pour répondre aux demandes massives non satisfaites de l’Afrique. Les « Africa Start-up Awards » récompenseront et soutiendront les entrepreneurs et les leaders de l’écosystème de l’innovation qui ont un impact dans des domaines clés tels que l’environnement, l’économie inclusive ou encore la technologie.
Hary Rakoto



Publié dans Economie


Sauf changement de dernière minute, il ne devrait y avoir de Conseil des ministres ce jour. La dernière réunion hebdomadaire de l’Exécutif s’est donc déroulée le 21 décembre dernier. Le compte-rendu de ce 43è Conseil des ministres de l’année 2022 rapporte entre autres décisions, le limogeage du directeur général de l’Institut national de la Statistique (INSTAT) après plusieurs mois sur la corde raide entre lui et le personnel. Le Conseil des ministres a abrogé sa nomination.
L’ex- DG de l’INSTAT est le dernier d’une longue liste d’environ 450 hauts commis de l’Etat qui ont été remerciés ou limogés, c’est selon, durant les douze derniers mois. Dans la liste des hauts fonctionnaires de l’Etat, dont les nominations ont été abrogées en Conseil des ministres, figure notamment l’abrogation de la nomination de l’ancien ministre des Affaires étrangères. Nommé en mars dernier à la tête du ministère sis à Anosy, Richard Randriamandrato, a été limogé mi-septembre dernier sur décision du Président de la République Andry Rajoelina. Il lui est reproché d’avoir pris seul la décision de vote en faveur de la résolution de l’ONU condamnant « les annexions illégales de la Russie en Ukraine », alors que la Grande île a toujours revendiqué faire partie des pays « non alignés ».
Un gouverneur a également prié de prendre la porte durant cette année. Suite à des soupçons de harcèlement sexuel, le gouverneur de la Région Alaotra-Mangoro a en effet été limogé en Conseil des ministres. Dans cette Région, un directeur régional de la Santé publique avait également créé un scandale relatif à un enregistrement téléphonique qui a fini par l’emporter. Des directeurs généraux ont aussi dû remettre leurs tabliers dans le courant de l’année. Pour ne citer à titre d’exemple que deux DG du ministère des Affaires étrangères. Pareil, le Conseil des ministres avait également limogé le DG du Centre Régional des Œuvres universitaires d’Antananarivo (CROUA) dans un contexte à l’époque de difficultés au sein de cet organe rattaché au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
A ce jeu des limogeages, des départements tels que le ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation ou encore le ministère de l’Aménagement du territoire et de services fonciers raflent la plus grande part avec chacune plusieurs dizaines de limogeage cette année. Notons qu’à la suite de l’abrogation de leur nomination, nombre d’entre ces hauts fonctionnaires se retrouvent affectés à d’autres missions. D’autres au contraire disparaissent littéralement du tableau. Par ailleurs, il est utile de noter que les abrogations signifient bien souvent de nouvelles nominations. Les Conseils de ministre de l’année comptent autant de nouvelles nominations que de limogeages.
La Rédaction

 

Publié dans Politique
mardi, 27 décembre 2022

Qu’on se le dise !

Etes-vous candidat ou pas ? Jouons carte blanche ! Assez de faire des gesticulations ici et là. Des déclarations politiques fracassantes aux allures de propagande supposant que vous êtes un postulant pour le futur locataire d’Iavoloha ne riment pas avec l’éthique d’un futur homme d’Etat. En tout cas, il ne faut pas avoir peur ni honte de s’afficher.
Siteny Andrianasoloniaiko, éventuel candidat à la prochaine élection présidentielle n’est plus un secret. En fait, c’est un secret de polichinelle ! Une équipe bien rodée et bien répartie travaille sous terrain. Certains notables du pays font discrètement des descentes sur terrain à travers le territoire national. Ils ratissent Région par Région et font passer un message portant le choix sur le président de la Confédération africaine du Judo (CAJ) à la prochaine élection de 2023.
A la guerre comme à la guerre. Soit ! Mais faisons de bonne guerre. Laissons tomber le voile. Ceux ou celles qui désirent descendre dans l’arène politique doivent avoir le cran de se montrer publiquement et faire savoir clairement l’objectif visé. Vous voulez être candidat à la prochaine élection ? Aucun problème ! Avouez-le publiquement de manière à ce que tout le monde le sache sans détour et qu’on puisse vous apprécier correctement. N’ayez pas peur des jugements ou des critiques des autres. Les gesticulations en vue d’un objectif caché ou dissimulé voire inavoué n’est pas honnête politiquement parlant.
On n’est plus sans savoir que 2023 sera une année électorale. Une année de vérité pour les uns et les autres acteurs politiques du pays. Une année où le verdict des urnes sera implacable et irréversible. Pour ceux ou celles qui portent encore la veste politique de la majorité au pouvoir et que par concours de circonstance, ils ont l’intention de se présenter sous d’autres couleurs pour concurrencer sa famille politique, ayez la gentillesse et l’honnêteté de vous débarrasser de votre étiquette pour endosser le vôtre.
Il n’est pas question qu’un parlementaire issu de la majorité, élu sous les couleurs  Orange, à titre d’exemple, sillonne le pays de bout en bout en vue de préparer son terrain pour la campagne électorale. Une campagne sinon une propagande politique contre l’actuel locataire d’Iavoloha qui sera évidemment candidat à sa propre succession.
On ne peut pas concevoir d’assister à un match de foot où certains joueurs … jouent à découvert tandis que d’autres le visage caché ou voilé. Et surtout quand les joueurs au visage couvert se livrent à des placages par derrière ou d’autres obscénités footballistiquement dit par des langages provocateurs ou des tacles foulant aux pieds la règle du jeu. Certainement, l’arbitre fait appliquer la loi ou la discipline. Il lui arrive même de brandir le carton rouge ou de siffler l’arrêt du jeu, le temps de faire expulser du terrain les joueurs non réglementaires ou indésirables.
Qu’on se le dise ! Monsieur le président du Judo africain, si vous voulez endosser le manteau de candidat à la prochaine élection présidentielle, faites-vous savoir et veuillez annoncer publiquement votre vive intention. Et soyez honnête de vous  présentez par vos propres couleurs. S’il le faudra, veuillez présenter votre démission à la grande famille IRD. Que les choses soient claires  et qu’on se le dise !

Publié dans Editorial


Il s’est enfui avec la recette de la station-service Shell où il travaille à Arivonimamo, soit un montant de 22 millions ariary, sans parler de ses dettes personnelles.Il, c’est Hajason Andry Andriarimanana dit Andry, ou encore Haja, ce jeune pompiste de 19 ans dont on n’a pas vu trace de lui, depuis. En réalité, il a dû reprendre son travail, son binôme et lui, lundi dernier, car le concerné a obtenu un congé le week-end de Noël dernier, selon une responsable de cette station-service.
Le suspect aurait pu profiter de la situation pour voler cette somme puisqu’il n’y avait pas eu une comptabilité ou arrêt de compte, le week-end dernier à l’endroit. Néanmoins, la Police soumet actuellement un autre suspect à un interrogatoire, le deuxième serait en cavale. En cause, des témoins affirment avoir vu ces deux derniers en compagnie de Haja, dimanche dernier. Du coup, les enquêteurs, pour peaufiner leur recherche, sont donc dans le devoir d’attendre à ce que le second suspect soit entre leurs mains. Le problème, c’est que les versions de ces suspects sont tellement différentes.
Nul n’a su ce que ce jeune pompiste était capable de faire. Il a d’abord travaillé dans une société de communication avant qu’il n’intègre la station Shell, il y a un an de cela. « C’est un jeune issu d’une famille modeste où la mère vend des articles de friperie. Récemment, Haja m’a demandé de le loger dans les locaux de la station lorsque c’est son tour de travail sous prétexte que ses parents lui soutirent son argent à la maison. J’ai accepté sa proposition. Or, voilà ce qu’il m’a fait», explique notre interlocutrice. A cette dernière d’ajouter encore que cela fait maintenant la deuxième fois qu’elle s’est fait voler de cette façon. En effet, un autre pompiste qui était sous son autorité lui a volé 20 millions d’ariary. Enfin, ce dernier doit rembourser cette somme à petit échelon, et même si cela va prendre des décennies jusqu’à ce qu’il honore définitivement sa dette.
Franck R.

Publié dans Société



116.928 dollars à rembourser, soit plus de 490 millions d’ariary. Ce montant fait partie des subventions non éligibles identifiées par le Fonds mondial dans son nouveau modèle de financement (NMF 2), de 2019 et 2020, attribué au Secrétariat exécutif du Comité national de lutte contre le SIDA (SE-CNLS). En fait, ce bailleur international intervenant dans le domaine de la santé exige le remboursement de ces dépenses non conformes. Le Président Andry Rajoelina était ferme lors du Conseil des ministres en date du 21 décembre dernier, en exigeant le remboursement de la totalité de cette somme par les auteurs de ces dépenses inéligibles. Pour leur part, les responsables auprès dudit Comité démentent toute suspicion de détournement. « Nous ne pouvons débloquer une somme du NMF à la Banque que pour mettre en œuvre des activités. Cela requiert des pièces justificatives. L’existence de financement non éligible s’explique plutôt par un vice de procédures et par l’insuffisance ou l’absence de pièces justificatives, à l’exemple de factures, double ou triple signatures, autorisations, etc., pour certaines activités », avance Jasminah Rasoanarivo, secrétaire exécutif (SE) par intérim du CNLS depuis 2021. « D’ailleurs, un agent fiscal rattaché au Fonds mondial est implanté dans notre bureau, outre les inspections régulières effectuées par ce bailleur tous les 6 mois », ajoute ce responsable. C’était hier lors d’une rencontre avec la presse à Ampefiloha.
Suspension du financement si…
La mise en œuvre des programmes financés par le Fonds mondial requiert un co-financement de l’Etat à hauteur de 15 à 20 %. Ainsi, c’est l’Etat qui devrait rembourser les subventions non éligibles, à en croire les responsables auprès du SE-CNLS. « Le Fonds mondial pourrait suspendre son financement si jamais l’Etat n’honore pas sa part. De plus, cela handicape la réalisation des programmes et activités », craint le SE par intérim dudit Comité. Pourtant, le financement de ce principal bailleur assure les activités de lutte contre la tuberculose, le paludisme et le VIH-SIDA, sans parler de la prise en charge médicale des patients. Celle-ci se fait gratuitement depuis des années, grâce aux médicaments et autres consommables requis.
Quant à l’investigation ordonnée par le Président de la République, les responsables au sein du SE- CNLS se disent coopératifs. « La saisine de l’Inspection générale de l’Etat (IGE) n’est pas une source de peur ou danger pour nous. Des audits et inspections se font régulièrement au sein de notre établissement. Notre problème c’est plutôt l’utilisation du terme "corruption par certains médias sur cette affaire, laquelle ternit encore une fois l’image du Comité au sein de notre bailleur », se désole Hendry Rakotoaritsoa, responsable du contrôle interne auprès du Comité. Pour information, cette entité rattachée à la Présidence a bénéficié d’un financement de 12 millions de dollars dans le NMF 3 pour la mise en œuvre de 3 programmes. Les subventions du NMF 2 s’élevaient à 7 millions de dollars.
Recueillis par Patricia Ramavonirina




Publié dans Société


Vers 1h du matin hier, le bâtiment abritant la Société internationale de tabac malagasy (SITAM) a été le théâtre d’un incendie. Bien que l’ensemble des locaux n’en ait pas souffert, car seule une partie de ces derniers a été dévastée, en revanche, le stock de tabac dans le magasin a brûlé entièrement, du moins selon le gouverneur de la Région Boeny. Pour le moment, aucune information n’a filtré pour tenter de savoir l’origine du sinistre, l’enquête n’étant encore qu’à ses débuts. D’autant plus que les différents responsables sont avares d’informations pour avancer quoi que ce soit encore.
Sans doute, la destruction totale a pu être évitée grâce à la structure interne, sinon au dispositif anti-incendie de la SITAM. « Le problème, c’est que trois heures après de cette lutte acharnée au cours de laquelle les sapeurs de la Commune urbaine de Mahajanga étaient aussi de la partie, les réserves d’eau de SITAM ont été épuisées. Ce qui fait que le risque d’une récidive a été réel du fait de foyers de feu qui couvaient au sein même du stock de tabac », explique le gouverneur.
Enfin, il a alors fallu aux entités responsables prendre rapidement la solution pour mâter ces foyers de feu. Aussi, le gouvernorat, les pompiers et les Forces de l’ordre se sont donné la main pour circonscrire les flammes qui ont été maîtrisées définitivement vers le milieu de la journée, hier. Notons que les activités économiques de quatre Régions dont le Boeny, la Sofia, le Menabe et le Vakinankaratra si l’on ne parle que de SACIMEM, dépendent étroitement de la production de la SITAM.
Il y a quelques mois de cela, la plus importante société de pêche de Mahajanga a été également dévastée par un incendie. Ce qui porte de lourds préjudices pour l’économie de cette ville, sinon de la région entière.
Franck R. 

Publié dans Politique


La soirée à ne pas manquer sous aucun prétexte. Après les précédents succès de l’événement « Golden Hour » en 2019 et 2020 et malgré l’annulation de l’édition 2021 suite à la crise sanitaire liée à la Covid-19, Eventia, la station de radio RDJ, en collaboration avec Gold, ont décidé de remettre le couvert. Encore une fois, l’un des événements phares pour la Nuit de la Saint- Sylvestre se tiendra à la salle plénière du Centre de conférence international (CCI) sis à Ivato. Il s’agit de « Golden Hour », un événement programmant divers animations musicales et activités dédiées à tout public et à tous ceux qui aiment passer une soirée chic et conviviale. Le rendez-vous est donné pour ce samedi 31 décembre à partir de 20 h. Ainsi, cette salle sera aménagée pour accueillir une grande fête d’envergure. L’objectif étant de clôturer l’année 2022 en beauté et d’accueillir 2023 dans la joie et l’allégresse. Une grande soirée qui se place sous le signe de la bonne humeur, rien que ça !
C’est autour d’un grand buffet gastronomique à volonté, concocté par Mioty Soa, que les invités seront accueillis. En outre, l’animation sera orchestrée par Album Music. Toute la nuit sera axée sur la musicalité et l’exaltation, où la danse et les chants s’entremêleront aux cocktails dinatoires réalisés par un traiteur de renom. Ainsi, Eventia, connu pour son professionnalisme dans l’organisation évènementielle, propose de nouveau « Golden Hour »  qui sera encore sans doute à la hauteur des attentes du public. Après le passage d’Album Music, les Dj Jaytaxx et Shinchan feront voyager le public à travers les meilleurs chansons rétro et hit parades du moment à partir  de 23h jusqu’à l’aube. Les responsables veulent également surprendre le public avec un décor soigné et des prestations de qualité. En outre, d’autres surprises attendront les invités. Pour ceux qui désirent assister pour la première fois à cette soirée chic et explosive, les responsables leur conseillent de faire une réservation sur la plateforme en ligne « ticketplace.io ». Une bouteille de whisky sera offerte pour une réservation de table à partir de 10 personnes.
Sitraka Rakotobe

Publié dans Culture

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Editorial

  • Soit !
    On y est. C’est officiel, la société nationale d’eau et d’électricité, la JIRAMA, Jiro sy Rano Malagasy, a son directeur général, Ron Weiss. Laissé vacant durant au moins trois ans, le poste de DG trouve enfin son titulaire. Israélien de nationalité, ingénieur de formation sortant d’un Institut supérieur de Tel-Aviv, Ron Weiss n’est pas un novice dans la gestion des ressources énergétiques. Ayant dirigé pendant 27 ans la société d’énergie de son pays (Israël Electric Company) et 6 ans à la tête du Rwanda Energy Group, Ron Weiss est un aguerri des situations difficiles et compliquées.La JIRAMA n’est pas à sa première tentative de recourir au service des expatriés sinon des experts étrangers, afin de voler à son secours. Jusqu’à présent, les tentatives n’ont pas donné les résultats escomptés. En effet, entre 2005 et 2009, à l’époque du régime TIM de Marc Ravalomanana, dans le cadre du contrat avec Lahmeyer…

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