jeudi, 08 décembre 2022

La une du 9 décembre 2022

Publié dans La Une
jeudi, 08 décembre 2022

Agenda du week-end

Vendredi 9 décembre
Manaly
Cela faisait un long moment que ce chanteur a donné un concert dans une salle de cabaret de la Capitale. Ce soir, Manaly et ses musiciens au grand complet vont signer leur retour. Le tube « Izay mitsikoro mokotse », ayant marqué le paysage musical de la scène locale, se retentira au grand plaisir du public. Après une petite éclipse du système de matraquage télévisuel et radiophonique, Manaly revient sur les planches. Ce soir, il enflammera à nouveau la scène du Glacier Analakely à partir de 20h, en proposant un répertoire qui va faire danser les fêtards jusqu’au bout de la nuit.
Joyce Mena Makoa
Cette artiste tamatavienne se démarque par son côté provocateur et son style de musique à l’américaine. Ces éléments lui ont permis de s’imposer dans un milieu presque exclusivement masculin. Depuis le concert « Makua Tour » qui s’est tenu au Palais des Sports, elle est aujourd’hui très active. La jeune chanteuse a récemment sorti un album qui témoigne de son envie de se faire connaître et d’aller plus loin dans le milieu du showbiz. Toujours dans cette optique, Joyce Mena Makoa multiplie les rencontres avec les noctambules et sera à l’affiche de l’Ibiza Club Antaninarenina, ce soir à partir de 21h.
Iraimbilanja
Un groupe de rock infatigable. Ces papis du rock malagasy ne lâchent pas prise. Après quelques mois de pause, le groupe remet à nouveau le couvert dans un vendredi qui s’annonce très chaleureuse. Pour cette énième soirée, Niry et sa bande promettent encore des retrouvailles exceptionnelles pour célébrer leurs années de musique électrisante. Rendez-vous est ainsi donné ce soir à partir de 19h au Plaza, Ampefiloha. Une bonne occasion pour revivre en « live » les tubes à base de rock et slow qui ont marqué l'épopée d'Iraimbilanja depuis ces quelques décennies. Citons entre autres, « Mosoara », « Tanin-dolo », « Alitara », « Tsindry mandry »,...
Festival « Zaza Rap Taiza »
Ce grand festival pour les adeptes de la musique rap bat son plein. La manifestation a démarré en grande pompe depuis mercredi avec diverses animations et des spectacles autour de la culture hip-hop. Hier, entre autres, le rappeur Sir Samuel du groupe Saian Supa Crew et Bolo qui ont enflammé le Palais des Sports à Mahamasina. Après les événements qui se tiennent à Mahamasina, le show se poursuivra avec un « After live » qui aura lieu ce soir à partir de 21h au Radisson Blu Hotel, Ambodivona. A l’animation, deux Dj de renom - à savoir Melo J et Krazy Ice. Cerise sur le gâteau, les rappeurs Youssoupha, Grodash et Busta Flex seront sur les lieux pour rencontrer les fans malagasy. A noter que le festival « Zaza Rap Taiza » ne prendra fin que demain où de nombreux rappeurs locaux et étrangers monteront sur scène pour satisfaire les amateurs de rap.
Samedi 10 décembre
Eddy Lejao & Olette
Eddy Lejao, ce chanteur originaire de Toamasina, s’est fait rare ces derniers temps dans les salles de spectacle de la Capitale. L’auteur-compositeur de « He reneso » -  de son vrai titre « Jalim-pitia » - enflammera les noctambules du quartier d’Ambohipo et ses environs pour ce grand retour sur la scène tananarivienne. Il investira les locaux du roi du « Salegy », à savoir Jao’s Pub demain à partir de 20h pour remettre au goût du jour ses anciens tubes phares, à l’instar de « Tsikim-pahoriana »,« Tsy nampoiziko » ou encore « Andefomandry ». Pour cette soirée, le chanteur partagera la scène avec Olette, une nouvelle étoile de la musique tropicale.
Lalatiana & Rija Ramanantoanina
Une dernière prestation pour cette année 2022. Le grand concert du duo Rija Ramanantoanina et Lalatiana, baptisé « Misy antony » restera à jamais gravé dans l’histoire de la musique malagasy. Lors de ce spectacle à guichet fermé, le public était venu en masse pour admirer sur scène ces deux icônes qui ne s’affichent ensemble que très rarement. Afin de répondre aux appels de ses fans qui n’ont pas pu assister à ce show, le duo a accepté faire un autre concert. Rendez-vous est donné demain au Tanàna Zoari sis à Ilafy à partir de 14h 30. Rappelons que cette salle de banquet peut accueillir 400 spectateurs. Avec un concert qui se déroulera dans un cadre tel que le « Tanàna Zoari », une chose est sûre : tous ceux qui seront présents profiteront de cette occasion pour admirer le paysage et demander leurs morceaux favoris tels que « Fitiavana mamiratra », « Antson’ny manina », « Taratasy ho anao », « Nofy »,…
Dimanche 11 décembre
Babai Lugu
Cela fait cinq ans que les fans ne les ont plus vus sur la scène de la Grande île. Sur les réseaux sociaux, le public les attendait et avait hâte de les revoir. Cette fois-ci, le rêve se concrétise : ils donneront un concert ce dimanche 11 décembre à partir de 15h au CCESCA Antanimena. Si au début, le groupe était connu sous l’appellation d’Alalà, désormais il s’est fait un nouveau nom, à savoir « Babai Lugu ». Il s’agit d’un nom de scène adopté récemment par son leader Mandratohery « Goul » Andriamihanta. Intitulé « Miray Marotady », ce concert-événement sera une occasion de faire des retrouvailles dans un voyage musical hors du temps avec les fans, mais également de montrer que le groupe n’a pas l’intention de lâcher prise. Pour cet unique rendez-vous de l’année, quelques artistes invités partageront la scène avec le quartet, à savoir Marco Klarck, Jenny Raharivola, « The Family » et Fifih. Pour les fans et curieux de voir ce groupe en œuvre, les tickets d’entrée sont disponibles sur la plateforme de billetterie « Ticketplace », ainsi que dans les boutiques Mass’in de la Capitale.
Sitraka Rakotobe

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Certains députés auraient donc usurpé leurs pairs en imitant leurs signatures, tandis que d’autres auraient tout simplement signé un document sans lire (ou comprendre ?) le texte au-dessus de leur signature. C’est ce qu’insinue le plus officiellement du monde un communiqué émis hier par sept  membres du bureau permanent (BP) de l’Assemblée nationale et frappé des armoiries de cette dernière. Pour comprendre l’histoire, cette sortie des 6 membres du BP fait suite au dépôt d’une motion de censure intervenu la veille censée comporter la signature de 105 élus de la Chambre basse. Le communiqué en question, décliné en Malagasy, est destiné à torpiller cet assaut en règle dirigé contre le Gouvernement Ntsay en soulevant, outre des vices de procédure, les deux points évoqués ci-dessus.
Après avoir fait savoir que seule la présidente de l’Assemblée nationale a le pouvoir d’authentifier les signatures (des députés), le document affirme clairement que «  des doutes subsistent quant à l’authenticité des signatures apposées dans la motion de censure » (traduction libre). En d’autres termes, il a des suspicions de falsification de signatures émanant des députés initiateurs de la motion de censure. Dans la même foulée, les signataires du  communiqué de déclarer que « beaucoup de députés (signataires de la motion, ndlr) contestent l’utilisation de leurs signatures à des fins autres que ce qui a été convenu » (traduction libre). C’est pour dire que les signataires en question ignoraient donc que ce qu’on leur a fait signer était en réalité une motion de censure.
Quoi qu’il en soit, on n’en est pas à une anecdote folklorique près dans cette actuelle législature de la Chambre basse. Pour ne citer que la plus récente, signalons celle où une élue de Tsimbazaza s’est permis de délivrer une autorisation de transport de bois précieux en guise de laissez-passer pour sa propre cargaison de palissandre. Une double usurpation car, non seulement cela n’est nullement du ressort du Législatif mais il se trouve aussi que l’intéressée s’est donc substituée au ministère de l’Environnement. D’autant plus que, à ce qu’on sache, à ce jour, toute opération sur les bois précieux (coupe, transport, exportation) demeure interdite.
Cette effervescence, frisant le coup d’Etat de Palais qui secoue Tsimbazaza, a fait réagir le Président de la République. Celui-ci, lors du Conseil des ministres de mercredi dernier, a condamné cette initiative des députés frondeurs. Sans qu’il l’ait dit expressément, Andry Nirina Rajoelina considère l’acte comme une manœuvre de déstabilisation. Histoire de brandir sans doute une certaine disposition de la Constitution, celle relative à la…. dissolution de l’Assemblée nationale. Une éventualité qui, à entendre les discussions dans les salons et ce qui se dit sur les réseaux sociaux, serait bien accueillie par la population.
La Rédaction 

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Un espoir en pleine inflation. Alors que le prix du sac de ciment n’a cessé de grimper durant ces dernières années, la renaissance de l’usine Cementis pourrait changer la donne. Le Président Andry Rajoelina a procédé au lancement des travaux de construction et d’extension de cette usine de production de ciment hier à Ibity, Antsirabe.
Cette réalisation s’aligne avec le velirano n°7 du Président de la République visant  l’industrialisation de Madagascar dans une optique  d'autosuffisance et de compétitivité. Avec les investissements et les travaux d’extension qui seront désormais engagés par l’entreprise Cementis, cette usine multipliera par 5 sa production jusqu’à atteindre au moins 1 million de tonnes de ciment par an contre 180 000 tonnes auparavant.
Baisse inévitable des prix
Conformément à la vision du Président Andry Rajoelina pour la promotion de l’industrialisation, inscrite dans le Plan Emergence Madagascar, l’Etat prévoit l’implantation des industries stratégiques au niveau des 23 Régions de la Grande île, afin de produire et transformer localement tout ce dont la population malagasy a besoin au quotidien, comme le riz, l’huile alimentaire, la farine, le sucre ou le ciment. Ceci afin de renforcer la compétitivité́ de la Grande île sur le marché́ régional et continental.
« Le prix d’achat du sac de ciment CEMENTIS dans les Communes environnantes de l’usine et à Antsirabe sera d’ailleurs moins cher que le prix appliqué dans les autres Régions. Quand cette usine sera complètement opérationnelle d’ici 2025, le prix du ciment sera de 14 000 ariary. Actuellement, le prix sur le marché est de 30 000 ariary », a annoncé le Président Andry Rajoelina avant de souligner que la farine connaîtra aussi une réduction grâce à la minoterie de l’océan Indien à Toamasina.
Soutien aux industries
 L’Etat malagasy confirme sa détermination et son engagement à soutenir les investissements et les initiatives industrielles pour que Madagascar devienne un pays autosuffisant, mais aussi pour favoriser la création d’emplois et  stimuler la croissance économique du pays.
Le Chef de l’Etat ne manque pas de rappeler les mesures incitatives appliquées par l’Etat malagasy afin d’améliorer le climat des affaires qui commence déjà à porter ses fruits. Par ailleurs, le Chef de l’Etat a également annoncé que les actions au sein de cette usine de cimenterie d’Ibity sont ouvertes à tous ressortissants malagasy qui souhaitent investir dans ce domaine. Et lui d’ajouter au passage que « Cette cimenterie est une fierté malagasy d’autant plus que ce sera aussi l’usine des Malagasy. En effet, j’ai souhaité que le capital de cette usine, à la fois héritage industriel national et projet d’avenir, soit ouvert afin que tous les Malagasy, nationaux ou issus de la diaspora puissent y investir ». Un protocole d’entente dans ce sens a été signé entre le groupe Cementis et l’Etat malagasy durant la cérémonie d’hier.
S.R.

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Madagascar a signé et ratifié la plupart des instruments internationaux relatifs à la protection des droits humains. Dans le cadre de la célébration de la Journée internationale des droits de l’Homme, ainsi que la campagne annuelle internationale  « 16 jours d’activisme pour la lutte contre la violence à l'égard des femmes, des filles et des personnes vulnérables », la Commission nationale indépendante des droits de l’Homme (CNIDH Madagascar) organise une exposition et une sensibilisation au parvis de l’hôtel de ville sis à Analakely. Une trentaine de tableaux y sont exposés. Ces œuvres montrent les conventions relatives aux droits humains. Sur place, les visiteurs peuvent aussi déposer des plaintes. D’après la vice-présidente de cette organisation, Andrianalivelo Prisca, son département reçoit au moins 100 plaintes par an concernant le non-respect des droits humains. La majorité d’entre elles sont relatives à des conflits fonciers, viennent ensuite les violences domestiques et l’exploitation des mineurs.
En tant que service de protection, la CNIDH effectue régulièrement des sensibilisations au niveau de la communauté afin d’éviter les conflits. En novembre dernier, un atelier d'éducation et de sensibilisation aux droits humains et particulièrement aux droits des personnes atteintes de l'albinisme (PAA) s'est tenu à Amboasary-Atsimo. Cet atelier avait comme objectif de faire connaître les droits fondamentaux de chacun, et notamment ceux des PAA, tant aux titulaires qu'aux obligataires de droits de la Région.
En rappel, la CNIDH a apporté ses points de vue lors du dialogue politique sur les entreprises et les droits de l’Homme, à l’occasion de la conférence régionale des pays de l’Afrique australe qui se tient à Maputo (Mozambique) cette semaine. Une réelle dualité entre la recherche de profit et le respect des droits humains a été soulevée dans de nombreux pays d'Afrique, dont Madagascar. La mise en œuvre d’un plan d’action à l’échelle nationale, harmonisant les droits humains avec les activités industrielles et commerciales ainsi que les exploitations des ressources naturelles, trouve de ce fait une saisissante pertinence. Les mauvaises pratiques entrepreneuriales sont mises sur la sellette. En revanche, les rôles des institutions nationales - à l’instar de la CNIDH, lesquels consistent à placer la dignité humaine au cœur des activités économiques, ont été développés.

Anatra R.

Publié dans Société


Sur le parcours du golf international du Rova à Andakana, Jean Baptiste Ramarozatovo s'est adjugé du titre de champion de Madagascar Pros 2022 , hier,  jeudi 8 décembre à l'issue des trois tours. A la fin, il a rendu une dernière carte de 69 à un coup d’avance du champion 2021  Johary Raveloarison et de Roalahy Emmanuel (76).
Les deux hommes étaient au coude- à- coude du début jusqu’à la fin. Dès le trou 1, Johary commence par un drive magnifiquement placé, et se rapproche aisément du green pour putter. Jean Baptiste, quant à lui, place sa balle un peu trop à gauche, puis un peu trop à droite avant de finir dans le bunker.
Les deux joueurs se rendaient coup pour coup, avec un score serré presque toute la journée. Les spectateurs n’ont pas voulu rater une seule miette de ce duel historique, et ont suivi le trio de tête tout le long du parcours. Le suspense était au rendez-vous jusqu’au dernier trou entre les deux hommes de tête. Au terme des 9 premiers trous, Jean Baptiste menait d’un point, à 35 contre 36.
C’est au retour que Jean Baptiste creuse l’écart. Après être passé au green du 13, il a une avance de 5 points. Mais Johary ne se laisse pas faire et tentera le tout pour le tout. Il enchaîne le jeu parfait jusqu’au 18, mais malheureusement ça ne suffira pas.

La surprise de Roalahy
Alors que l’attention de l’assistance était de se focaliser sur les deux hommes de tête, Emmanuel Roalahy a créé la surprise en s’émergeant du lot au terme du troisième tour.
Alors que tout le monde a misé sur Fanomezantsoa Randrianasolo depuis le tour 1 pour la  troisième place,  Emmanuel était loin d’avoir dit son dernier mot. Sa persévérance finira par payer en effet, puisque Fano va subir la malchance lors du tour 3, en faisant un +6.
« Ce sera difficile d’aller chercher les deux premiers, je cherche plutôt à sécuriser la troisième place », a-t-il avancé à mi-parcours de ce troisième tour. En jouant avec sérénité,  il a atteint son objectif en rendant une carte de 73 – 72 – 76 durant les trois tours.
Ony Marchand, l’unique dame de la compétition, a pu glisser à la 27e position du classement général sur les 35 finalistes à l’issue du tour 2. Notons que 64 golfeurs ont pris le départ au tour 1.
Après les professionnels, les amateurs entreront en lice ce jour pour trois jours de spectacle à Andakana.
Elias Fanomezantsoa



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Suite aux manifestations violentes qui se sont produites à l’Ecole normale supérieure (ENS) d’Ampefiloha et ayant blessé une dizaine de personnes dont des passants et des éléments des Forces de l’ordre, l’université l’Antananarivo a suspendu momentanément toutes les activités au sein de cet établissement.
En effet, en plus des jets de pierres à l’aveugle venant de l’intérieur du campus, ayant endommagé des voitures et cassé quelques pare-brises, tous les enseignes aux alentours ont fermé leurs boutiques. L’alliance française de Tananarive (AFT) et le Centre médical Hasiniaina ont aussi fait de même.
Afin de garantir l’ordre public, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, par l’intermédiaire de la Présidence de l’université d’Antananarivo, a adressé une note auprès de l’ENS, laquelle se lit comme suit : « N’ayant pas été prévenu des manifestations de soi-disant étudiants et afin de préserver l’ordre public, j’ordonne la fermeture de l’ENS à partir de ce mercredi 7 décembre jusqu’à nouvel ordre ». Dans cette même lettre, il a aussi réclamé la liste des fauteurs de trouble qui ont initié cette manifestation. D’ailleurs, ces derniers n’ont même pas reçu une autorisation de manifester. Ils passeront ainsi devant le Conseil de discipline au sein de l’université d’Antananarivo.
Il est à rappeler que malgré la réponse favorable du ministère de l'Education nationale afin de recruter le nombre maximal d’enseignants sortant de l’ENS, quelques étudiants ont décidé de continuer et d’amplifier leur action. Les étudiants en licence ou LAPEN sont les plus remontés. Ils estiment que les 200 recrutés ne sont pas suffisants.
Avec un tel état d’esprit, il est normal que le niveau d’éducation de nos enfants se retrouve dans un état lamentable.
Nikki Razaf







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Editorial

  • Soit !
    On y est. C’est officiel, la société nationale d’eau et d’électricité, la JIRAMA, Jiro sy Rano Malagasy, a son directeur général, Ron Weiss. Laissé vacant durant au moins trois ans, le poste de DG trouve enfin son titulaire. Israélien de nationalité, ingénieur de formation sortant d’un Institut supérieur de Tel-Aviv, Ron Weiss n’est pas un novice dans la gestion des ressources énergétiques. Ayant dirigé pendant 27 ans la société d’énergie de son pays (Israël Electric Company) et 6 ans à la tête du Rwanda Energy Group, Ron Weiss est un aguerri des situations difficiles et compliquées.La JIRAMA n’est pas à sa première tentative de recourir au service des expatriés sinon des experts étrangers, afin de voler à son secours. Jusqu’à présent, les tentatives n’ont pas donné les résultats escomptés. En effet, entre 2005 et 2009, à l’époque du régime TIM de Marc Ravalomanana, dans le cadre du contrat avec Lahmeyer…

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