Impraticable depuis des années. La route nationale n° 23 (RN 23) reliant Mahanoro et Marolambo fait actuellement l’objet de travaux de réhabilitation d’envergure. Cela fait partie de la concrétisation des promesses présidentielles, à en croire le ministre des Travaux publics (MTP), Jerry Hatrefindrazana. « Marolambo était isolé depuis des années à cause de l’état catastrophique, voire l’inaccessibilité de la RN 23. Ainsi, la réouverture de la route constitue une priorité pour désenclaver ce District », précise le ministre de tutelle. Un tronçon de plus de 80 km est actuellement ouvert à la circulation, dont 40 km déjà terrassés, sortant ce District de la Région d’Atsinanana de son isolement. « Cette route nationale sera accessible aux véhicules d’ici 3 à 4 mois. Les travaux, assurés par une entreprise compétente, avancent », ajoute le numéro un du MTP. Outre le terrassement, la mise en place de structures pérennes pour éviter une éventuelle coupure de la route durant la saison des pluies figure parmi les travaux en cours. La construction de radiers ou encore un système d’évacuation d’eau en font partie. Des tronçons de route seront bétonnés, d’autres bitumés et certains en pavé, selon l’état et le type du sol. Les travaux de remise en état préalable vont toucher 132 km de route.
Deux semaines de trajet
Un salut pour les riverains et les usagers. La réhabilitation effective de la RN 23 soulage les habitants de Mahanoro et de Marolambo. Ils pourront prochainement acheminer les produits agricoles, notamment le girofle, le café, la banane, le litchi et le poivre. Ils pourront également se déplacer plus facilement d’une localité à une autre, en développant leurs activités. « Auparavant, il nous a fallu deux semaines pour aller à Mahanoro depuis Marolambo, à cause de l’état piteux de la route, surtout du côté d’Ambinanindrano et d’Ambodivoangy. Les patinages et les pannes y sont courants à cause des chaussées boueuses et glissantes. Les transporteurs ne cessent de s’en plaindre, pour au final jeter l’éponge. Avec les travaux entrepris et l’ouverture d’un tronçon conséquent, l’axe Ambinanindrano - Mahanoro se fait désormais en un jour ou deux », nous confie un usager. « Auparavant, aucun taxi-brousse ne dessert cet axe à cause de son inaccessibilité. Du coup, on s’est déplacé à moto avec un tarif d’un million d’ariary aller-retour. Les frais de transport des marchandises étant de 1.500 ariary le kg. Mais cette époque est désormais révolue avec la réhabilitation de la route. Les tarifs seront revus à la baisse », ajoute une riveraine, ravie du désenclavement en marche.
Pour information, bon nombre d’entreprises ont renoncé au chantier d’envergure et complexe de la RN 23 à cause de divers obstacles, que ce soit technique, logistique ou autres. L’entreprise MAGIC s’en charge depuis septembre dernier jusqu’à l’année prochaine…
Recueillis par Patricia Ramavonirina

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mardi, 13 décembre 2022

La une du 14 décembre 2022

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 Vers le milieu de la matinée, samedi dernier, un homme de 45 ans fut arrêté par la Brigade criminelle ou BC4 pour meurtre à Andohalo. Le suspect en cause est gardien de parking de son état. Et il aura à répondre de ses actes, de pas n'importe quel crime, car on parle même de sauvagerie, devant les enquêteurs. Les faits. Un cas d'homicide avait été constaté vers 21h dans la nuit du 9 décembre dernier, rue Justin Rajoro, à Andohalo. En effet, un passant ou ce citoyen lambda, lorsqu'il fut surpris par la nuit, a décidé de dormir dans ce parking. Il ne pouvait plus continuer son chemin jusqu'à Itaosy où il a envisagé participer à une veillée mortuaire. Manque de pot pour lui, ce gardien de parking l'avait aperçu à l'endroit et l'y avait chassé. Mais le passant a refusé de bouger d'un iota. Rapidement, il y eut une escalade verbale entre les deux hommes jusqu'à ce que les choses s'envenimaient franchement. Les protagonistes en étaient même venus aux mains. Devant cette tournure, le passant victime s'était efforcé de prendre la fuite. Mais cela n'a pas empêché encore le gardien de pourchasser sa victime. Et les deux hommes ont continué encore à se bagarrer dont l'issue était finalement fatale pour le passant, qui avait reçu des coups au niveau du visage. Tôt le lendemain, vers 5h du matin, les agents de police du commissariat du 2e Arrondissement ont découvert le corps sans vie de la victime.
 Du coup, les policiers ont avisé la Brigade criminelle d’Anosy. A un constat, les traits de la victime étaient méconnaissables. De fait, la Police a ouvert une enquête. C'était dans ces circonstances que le suspect a pu être démasqué. De toute façon, des agents de sécurité du périmètre ont apporté leur témoignage. L'un de ces derniers a affirmé avoir vu le gardien de parking souillé de sang mais dont on ignore justement comment et pourquoi. La Brigade criminelle a arrêté le suspect à son lieu de travail, le jour même où le meurtre avait été signalé. Plus tard, et durant son interrogatoire, le gardien en cause a fait l'aveu. Il raconte avoir roué de coups la victime à l'aide d'une clé qu'il a fixée sur son poing, et jusqu'à ce que mort s'ensuive. A voir de plus près le cas du présumé assassin, ce dernier n'est pas vraiment étranger des services de Police et de la Justice. Il a déjà purgé une peine à Antanimora. Et il a gagné la sinistre réputation d'homme brutal aux yeux des riverains à Andohalo. Il devra être déféré au Parquet ce jour.
Franck R.

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Comme à son habitude à chaque déplacement en dehors de Madagascar, le Président Rajoelina aime rencontrer ses compatriotes basés loin de leur pays natal. Un exercice  effectué au Maroc, en France  et à New York, hier c’était au tour des Malagasy de Washington DC de bénéficier le dialogue avec le chef de l’Etat malagasy et son épouse, Mialy Rajoelina, ainsi que la délégation présidentielle au grand complet. La rencontre s’est déroulée dans une résidence privée appartenant à un ressortissant malagasy de Washington DC.
Le Président Rajoelina a mis au parfum ses compatriotes sur la réalité  du pays. « Madagascar se trouve certes dans la difficulté mais nous n’avons pas le droit de baisser les bras. J’ai fait le pari de sortir notre pays dans la situation dans laquelle il se trouve depuis des années et je compte le relever et ce  malgré l’ampleur du chantier. Je me suis engagé et je suis prêt à me sacrifier pour cela », a annoncé d’emblée Andry Rajoelina. Lui qui a énuméré les travaux réalisés et à réaliser pour faire de Madagascar un pays émergent et indépendant économiquement. Le Président a cité par exemple le  lancement des travaux de la première autoroute de Madagascar le 3 décembre dernier. Contrairement aux autres pays africains qui ont les leurs depuis des années, Madagascar n’aura pas sa première autoroute que plus de 60 ans après son indépendance. Le Président de la République a défendu la raison d’être de cette infrastructure routière qui relie le Grand port de l’Est à la Capitale de Madagascar. Concernant l’indépendance économique, Andry Rajoelina a affirmé que la crise, née de la pandémie ou de la guerre en Ukraine, a peu affecté les pays qui produisent localement les besoins de leur population. « Cela conforte notre vision de créer des industries pour freiner l’importation. La semaine dernière, nous avons conclu un accord avec les investisseurs mauriciens propriétaires de la chaine de cimenterie CEMENTIS pour l’extension de la cimenterie d’Ibity (Antsirabe) afin d’augmenter la capacité de production d’un million de tonnes dans deux ans. Le but est d’inonder à bas prix le marché local. L’Etat a consenti des avantages fiscaux et douaniers à la réalisation de cette extension », explique le Président de la République.  Il a également mentionné dans son intervention le partenariat conclu avec une société espagnole pour la mise en place de deux unités sucrières, à Vatomandry et Morondava, avec comme principal objectif la production sur place des besoins de Madagascar.
Par la suite, le Président Rajoelina a expliqué également son slogan de l’Etat proche de la population. Cela se traduit par la construction des hôpitaux publics, 29 depuis deux ans, des 15 universités réalisées depuis son accession au pouvoir ainsi que  les 4 800 salles de classe éparpillées dans tout Madagascar.
Il s’est plié ensuite à la séance des questions- réponses avec ses hôtes. Durant laquelle tous les sujets brûlants actuels du pays ont été survolés, notamment le problème de la JIRAMA et les solutions envisagées par le régime d’Andry Rajoelina.
Dans l’après- midi d’hier, le Président Rajoelina a reçu successivement le vice-président de la Banque mondiale en charge de l’Afrique de l’Est et australe ainsi que le vice-président de la Banque africaine de développement.
La rédaction


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mardi, 13 décembre 2022

Méprise de l’Histoire

Alain Foka dit un jour et aime le répéter à chaque début de son émission-phare « Archives d’Afrique » « Un pays sans Histoire est une Nation sans âme ! ». Journaliste producteur de RFI qu’il est, le Camerounais Alain Foka se consacre pendant au moins quatre décennies à donner la parole aux Africains, dirigeants et simples citoyens. A travers ses recherches et ses productions, on croit comprendre que la méprise de l’Histoire d’un pays ou du continent, de ses dirigeants et de son peuple est une faute lourde.
Hery Rajaonarimampianina, ancien Président de la République (2014-2019), devait rappeler tout récemment « Il faut savoir tirer la leçon du passé ». Opposant farouche ou partisan inconditionnel de son régime HVM (2014 – 2018), il fallait reconnaitre qu’il a su se remettre en cause et admettre certaines erreurs de son mandat. Quelqu’un qui a eu un parcours académique sinon un cursus intellectuel comme tel sait toujours se situer, se ressaisir dans sa vie et notamment savoir tirer la leçon du passé.
Un membre influent du Gouvernement Ntsay et tenant en main de fer un département-clé, déplore à travers la publication sur sa page Facebook que des gens s’acharnent contre Rajoelina, le Chef de l’Etat, pourtant il a effectué nombre de réalisations et le peuple dans sa majorité en est reconnaissant. Et de fil en aiguille, personne ne pourra jamais le renverser.
Tenir un tel langage, traduit la méprise de l’Histoire ! Tous les dirigeants à la magistrature suprême qui se sont succédé à la tête du pays ayant pu réaliser des actes concrets ont subi à peu près le même sort : chassés du pouvoir. Réélus et acclamés partout mais ils ont dû sortir par la petite porte. Pourquoi ! Ils n’ont pas tous daigné tirer la leçon du passé ! De feu Tsiranana à Rajaonarimampianina, dans le même panier, ils finissent tous sous la trappe.
Le Président Philibert Tsiranana ne s’attendait guère qu’un jour le Vahoaka allait le chasser du pouvoir. Il ne se souciait guère d’un revirement fatal de la situation. Tsiranana croyait dur comme fer que les Malagasy, en grande majorité inscrite au registre du PSD, ne soient pas capables de le renverser un jour. Tellement, à chaque déplacement à Tanà ou ailleurs il se faisait acclamer. Treize Mai 72 ne figurait jamais dans la perspective de son agenda.
Didier Ratsiraka, un chef militaire respecté et craint, élu et réélu à plusieurs reprises, ovationné à chaque apparition publique, dut abandonner en catastrophe, par deux fois, son fauteuil doré.
Albert Zafy, l’homme au chapeau de paille, jouit de l’estime auprès du petit peuple, fut écarté par sa propre majorité à l’Assemblée nationale.
Ravalomanana Marc, tout puissant magnat du lait, très riche opérateur économique, adulé par ses partisans « Dada » a dû quitter dare-dare le pouvoir.
Rajaonarimampianina, candidat à sa propre succession dut se contenter de huit pourcent et des miettes. Fait inédit.
En dénominateur commun, ces anciens du pouvoir éblouis par les ovations et acclamations font fi de ce qu’est réellement ce Malagasy et semblent ignorer la leçon du passé. Il faut tenir bien compte que « Aleo halan’andriana (mpanjaka) toy zay halam-bahoaka ». A bon entendeur !
La méprise de l’Histoire réserve à tout moment  une mauvaise surprise. Gare aux imprudents !
Ndrianaivo



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Les événements culturels ne manquent pas dans la Capitale. Après le passage du grand Festival « Zaza Rap Taiza », un autre événement se prépare déjà à faire son entrée. Il s’agit de la deuxième édition du Festival international « Kolontsaina Maroloko » qui se déroulera les 15 et 16 décembre à Ankatso.
En effet, la première édition qui s’est tenue à l’esplanade de l’université les 16 et 17 décembre 2021 a connu un grand succès avec plus de 10.000 visiteurs. Ainsi, les responsables ont décidé d’organiser cette nouvelle édition. Pour ce faire, diverses manifestations gratuites se tiendront à Ankatso durant ces deux jours de festivité. Diverses activités culturelles seront prévues telles que des stands d’exposition, des conférences scientifiques axées sur le volet culturel, des prestations artistiques comme la danse et le dessin, des démonstrations ainsi que d’autres animations ouvertes au grand public. Le public et les festivaliers pourront également s’attendre à des concerts musicaux animés par des grands noms de la scène malagasy, à l’instar du rappeur Doubl’Enn qui entamera un concert gratuit à l’esplanade d’Ankatso demain à partir de 15h. En outre, Jaojoby - le roi du « salegy », les chanteurs TSD et Tsota seront également de la partie. Selon les organisateurs, le festival international « « Kolontsaina Maroloko » est conçue afin de faciliter les échanges et d’encourager la cohésion de tous les étudiants au sein de l’université d’Antananarivo. Aussi, cet évènement est une plateforme d’expression artistique qui valorise la diversité culturelle dans le campus.
Envergure
Pour cette deuxième édition, la plupart des participants seront des étudiants issus de toutes les Facultés, Ecoles ou Associations qui existent dans cette université. Aussi, ce festival rassemblera des étudiants malagasy venant de toutes les Régions de Madagascar ainsi que des universitaires ayant d’autres nationalités. « Il est nécessaire de noter que cet évènement est à but non lucratif, d’où l’implication et la participation à titre de bénévolat de ces étudiants. En créant une optique à partir du slogan de l’évènement : « Kolontsaina Maroloko, Kolontsaina Mampandroso », force est d’admettre que ce projet joue un rôle important dans la mise en valeur de la diversité culturelle, tout en sachant que la culture est un facteur primordial qui favorise le développement et occupe une place considérable dans l’essor de l’économie », indique le communiqué. « Kolontsaina Maroloko » contribue également à la promotion des talents estudiantins en leur donnant une plateforme d’expression artistique. A travers ce projet, la Direction de l’office des sports et de la culture met en valeur le concept malagasy « fampihavanana » et encourage la création d’un lien social au sein de la population universitaire.
Si.R

Publié dans Culture


Le 12 décembre dernier, deux femmes de 42 et 43 ans étaient arrêtées par la Police économique à leur lieu de travail au laboratoire LA2M à Androhibe. Motif : à l’époque, ces deux ex-employées de l’institut d’hygiène à Analakely sont incriminées de faux et usage de faux, sinon de fraude pour délivrer et surtout vendre à ceux qui en ont besoin des faux certificats de négativité lors de test PCR Covid-19.
Cette situation honteuse voire scandaleuse  remonte à 2021, c’est-à-dire au plus fort moment des contaminations à grande échelle de la pandémie de Covid, non seulement dans le monde mais surtout aussi dans le pays. D’après une investigation de ce service de Police, le soupçon a commencé à peser sur les deux femmes en cause lorsque des personnes ont fait des va-et-vient dans leurs bureaux. Les manèges des concernées n’auraient pas échappé à leurs supérieurs hiérarchiques et ont fini par éveiller leur soupçon. Effectivement, elles seraient les artisans de la délivrance de ces faux certificats, à l’époque. En poussant un peu plus l’enquête, la Police économique découvre alors qu’elles les vendaient surtout à des ressortissants étrangers. Ces derniers se sont vus proposer un certificat à 250 000 ariary. Et pour couronner le tout, ces deux femmes en cause qui ont intégré le LA2M en mai 2021, possèdent également des faux cachets administratifs pour les utiliser dans cette fraude. Enfin, les faux certificats portaient leurs signatures.
Il n’était pas étonnant que la tentation de recourir au faux était grande à l’époque car  seuls ces certificats de négativité, étaient considérés comme des passeports pour accéder dans les services d’administration publics ou privés à l’époque. Et il est vrai que la rigueur du confinement pour Covid était telle que c’étaient les étrangers, et pas forcément les touristes mais aussi des fonctionnaires au sein des organismes internationaux, qui ont souffert le plus pour quitter ou débarquer notamment dans la Grande-île. Mais il n’y a pas que les entrées ou sorties au pays. Car après ces étrangers, les salariés du pays avaient également besoin de ces certificats de test de négativité en PCR pour pouvoir continuer à travailler, donc rejoindre le plus rapidement possible leurs lieux de travail. Enfin, il est inutile de dire que la majorité des employeurs ont exigé ce genre de certificat pour autoriser leurs employés à retourner à leurs postes.
Franck R.
 

Publié dans Politique

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Editorial

  • Soit !
    On y est. C’est officiel, la société nationale d’eau et d’électricité, la JIRAMA, Jiro sy Rano Malagasy, a son directeur général, Ron Weiss. Laissé vacant durant au moins trois ans, le poste de DG trouve enfin son titulaire. Israélien de nationalité, ingénieur de formation sortant d’un Institut supérieur de Tel-Aviv, Ron Weiss n’est pas un novice dans la gestion des ressources énergétiques. Ayant dirigé pendant 27 ans la société d’énergie de son pays (Israël Electric Company) et 6 ans à la tête du Rwanda Energy Group, Ron Weiss est un aguerri des situations difficiles et compliquées.La JIRAMA n’est pas à sa première tentative de recourir au service des expatriés sinon des experts étrangers, afin de voler à son secours. Jusqu’à présent, les tentatives n’ont pas donné les résultats escomptés. En effet, entre 2005 et 2009, à l’époque du régime TIM de Marc Ravalomanana, dans le cadre du contrat avec Lahmeyer…

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