La Confédération africaine de football (CAF) a récemment publié la liste des arbitres retenus pour officier lors de la phase finale du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) 2025. Parmi les 26 arbitres centraux sélectionnés, le Malgache Andofetra Rivolala Manda Rakotojaona figure en bonne place.
Arbitre international chevronné, Andofetra Rakotojaona est bien connu sur les terrains africains et internationaux. Habitué des grandes compétitions organisées par la CAF, il a déjà officié lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), de la Ligue des Champions africaine et des Coupes de la CAF. Cette nouvelle désignation témoigne une fois de plus de la reconnaissance de ses compétences et de la qualité du sifflet malgache à l’échelle continentale.
A Antananarivo, la fabrication de meubles en bois de pin reste une activité clé pour de nombreux artisans. Cependant, ces derniers font face à de nombreux défis. Selon Hery, un vendeur et fabricant de meubles local, « les mois de novembre et décembre sont des périodes de forte affluence. Ces mois sont marqués par le bazar de Noël. De nombreux acheteurs arrivent ainsi, notamment ceux à la recherche de meubles. Une autre période de l'année où le marché est également dynamique va de juin à septembre.
Pour la deuxième fois au cours de ces deux dernières années, l'université d'Andrainjato à Fianarantsoa a été la proie d'un violent incendie. Ce dernier a éclaté vers 21h samedi dernier, et a été très lourd de conséquences, du point de vue matériel. Car outre les logements, les pertes sont énormes pour ces étudiants, qui n'ont plus, à vrai dire, que les vêtements qu'ils ont portés sur eux. Tout y était passé : des économies aux effets scolaires, en passant par les meubles. Même les certificats et autres diplômes sont partis en fumée. Seuls quelques objets ont pu être sauvés. En revanche, en dépit de la puissance destructrice des flammes, on ne déplore aucune perte en vie humaine.
Le noyau dur de l’année scolaire. La plupart des élèves vont reprendre le chemin de l’école à partir de ce jour, après deux semaines de pause à l’occasion des fêtes de Noël et de fin d’année. Certains vont retourner en classe demain, selon le calendrier des établissements. Le troisième bimestre, ou le 2ème trimestre, étant le plus ardu de l’année, puisque c’est la période pour s’attaquer au reste du programme scolaire. « Nous avons pu achever la moitié du programme scolaire durant les deux premiers bimestres. Les deux prochains bimestres seront destinés pour l’achever à 100 %, tandis que le dernier sera dédié pour les révisions et les examens », confirme H.R., directrice d’un collège privé sis à Tsimbazaza.
On attend. Et on attend. Jusqu’à quand ? L’identité du nouveau coach des Barea (A) tarde à venir.
Les Barea n’avaient plus de coach ni de sélectionneur titulaire après le départ en catastrophe de Razafindrabe Romuald alias « Roro » à la mi-novembre 2024. En effet, les échecs répétitifs lors des matches internationaux, acculé au … mur, l’entraineur national n’avait pas d’autres choix que de rendre malgré lui le tablier. C’est réellement dommage pour le sport-roi malagasy, vu la compétence technique de ce coach qui devait se séparer malheureusement de l’équipe nationale. Une chose mérite d’être soulevée : il ne suffit pas de remplacer la tête du patron du Onze national pour que les affaires du football malagasy s’améliorent.
Essentiel pour des millions de Malagasy, le riz voit ses prix s'envoler en ce début d'année 2025. Depuis plusieurs semaines, le coût du riz, qu'il soit local ou importé, ne cesse de grimper dans les épiceries d’Antananarivo. Le Makalioka est désormais vendu à 3 600 ariary le kilo, tandis que le vary gasy oscille entre 3 300 et 3 400 ariary, avec des prix atteignant 3 700 ariary pour certains types de riz de luxe. Les commerçants, que ce soit au centre-ville ou dans les quartiers périphériques, parlent déjà d'une « crise du riz », amplifiée par plusieurs facteurs, à la fois climatiques et logistiques.
L’association Projet DIHY a récemment lancé une initiative visant à collecter 1.000 euros pour soutenir les jeunes danseurs, acteurs culturels et futurs collaborateurs à Madagascar. Ce projet ambitieux a pour objectif d’offrir des opportunités à travers une programmation artistique innovante et solide, essentielle au développement culturel du pays. Rassemblant des jeunes issus de disciplines variées telles que la danse, le design et la musique, Projet DIHY se distingue par son engagement à promouvoir des projets qui allient créativité, partage et impact social.
Depuis plusieurs semaines voire des mois, Madagascar est en proie à une vague d'incendies qui ravagent forêts, savanes, et zones rurales. Sous des températures étouffantes, allant jusqu'à 37°C dans certaines Régions, les flammes se propagent à un rythme alarmant. Ces flammes sont par ailleurs attisées par une saison sèche prolongée et le changement climatique. Ces feux, visibles à l'aube sur les réseaux sociaux, témoignent d’une urgence environnementale sans précédent.
Les forêts, y compris les parcs naturels abritant une biodiversité exceptionnelle, figurent parmi les principales victimes. Bien que le bilan précis des dégâts reste à établir, les images diffusées montrent une destruction massive des écosystèmes et des moyens de subsistance.
L'année 2025 s'annonce comme une période de transformations majeures pour Madagascar, où la production et la collaboration seront au cœur des préoccupations gouvernementales. La ministre de la Communication et de la Culture et porte-parole du Gouvernement, Mara Volamiranty Donna, a souligné l'importance d'un effort collectif pour réaliser les projets ambitieux que le Gouvernement a mis en place. Elle a évoqué les défis considérables qui attendent le pays, notamment dans les domaines de la communication et de la culture, en insistant sur la nécessité d'une volonté partagée pour atteindre les objectifs fixés.