L’équipe nationale masculine de tennis a démarré de la plus belle des manières sa campagne en Coupe Davis Groupe V, disputée à Gaborone, au Botswana. En deux rencontres, les Malgaches ont signé deux succès nets et sans appel, battant successivement le Soudan et les Seychelles sur le même score de 3 à 0. Un début parfait qui propulse Madagascar parmi les sérieux prétendants à la montée en Groupe IV.
Il a fallu attendre plus d'un mois après l'horrible affaire d'empoisonnement des 32 convives d'un anniversaire à Ambohimalaza, et les explications apportées sur la chaîne nationale, hier soir, par le Général Andry Rakotondrazaka de la Gendarmerie nationale, relayé par le Chef de l'Etat en personne, Andry Rajoelina, pour que la vérité soit finalement étalée au grand jour. En effet, l'on comprend mieux maintenant le mobile de ce crime de masse : une « vengeance » à connotation passionnelle, et qui est également liée à un différend familial vieil de 9 ans, car remontant en 2016.
Renforcer l’attractivité et la sécurité d’un site historique. L’éclairage constitue un moyen pour ce faire, raison pour laquelle Filatex Energies a opté pour. Ladite entreprise citoyenne prévoit ainsi d’installer 75 lampadaires solaires avec des mâts autour du lac d’Anosy. Cette action entre dans le cadre du projet de rénovation et de valorisation de ce site emblématique de la ville d’Antananarivo.
La Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) prend une initiative majeure pour mieux organiser les activités des conducteurs de taxis-motos. Une vaste opération de terrain vient d'être lancée dans les six Arrondissements de la Capitale, marquant une étape décisive vers la structuration de cette activité qui est en pleine expansion actuellement. Cette démarche s'inscrit dans la perspective d'une future assemblée générale qui réunira les autorités municipales et les représentants des conducteurs de taxis-motos. L’objectif est de recenser les acteurs du secteur et d'établir un canal de communication officiel.
Le vent souverainiste souffle sur le continent noir, à travers des anciennes colonies françaises. Après les secousses des mouvements indépendantistes des années 50, 60 et 70, le temps des « putschs des colonels », place aux revendications fortement teintées de souverainisme. Des gestes aisément compréhensibles sinon légitimes en réponse à la récurrente attitude controversée du colonisateur qui, dans les faits, voulait à tout prix maintenir dans le sillage colonial voire du néo-colonialisme les Etats supposés être indépendants. Dans certains cas, garder sciemment une partie du territoire libéré du joug colonial dans le giron territorial de l’ancienne puissance coloniale. D’autres formes de mouvement souverainiste apparaissent aussi : le souverainisme alimentaire et financier.
De nombreuses précisions et révélations ont été faites dans la soirée d’hier lors de l’émission spéciale diffusée sur la chaîne nationale et consacrée à l’affaire d’empoisonnement lors d’une fête d’anniversaire le samedi 14 juin dernier à Ambohimalaza. Alors que l’affaire a commencé à gagner de l’ampleur en causant 32 décès jusqu’ici, le Président Andry Rajoelina a décidé de convoquer les membres du Gouvernement concernés par l’affaire. Ainsi, le ministre de la Sécurité publique, Herilala Rakotoarimanana ; le ministre délégué en charge de la Gendarmerie nationale, Andry Rakotondrazaka ; le ministre de la Santé publique, Zely Arivelo Randriamanantany, et enfin la procureure de la République près du Tribunal d’Antananarivo, Narindra Navalona Rakotoniaina ont fait face au Président de la République pour répondre aux questions de deux journalistes.
La Région d’Ambatosoa, forte de ses deux Districts Maroantsetra et Mananara- Avaratra, vit au rythme des derniers préparatifs. A la veille de l’arrivée du Président de la République accompagné de la Première Dame et de leur délégation, l’effervescence est palpable dans les rues, les quartiers, et jusque dans les institutions locales. L’accueil réservé au couple présidentiel s’annonce à la hauteur des grands rendez-vous de la République.
A Madagascar, très peu de personnes sont assurées. Le taux de couverture par assurance en général ne dépasse pas 0,7 %, alors qu’en Afrique, il est en moyenne d’environ 2 %. « Cela montre que beaucoup de Malagasy ne comprennent pas encore bien l’importance de l’assurance », explique Njaka Rahamahalivony, directeur général adjoint chargé du commercial, marketing et communication chez Assurance ARO. Cette année, cette entreprise célèbre ses 50 ans d’existence.