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Guerre de thèmes !

A chacun sa couleur. Blanc ou Rouge !
A l’époque royale, en Imerina, la couleur des accoutrements jouait des symboles forts. Le ton rouge illustre le thème de la royauté. Durant les grandes manifestations publiques du grand « Kabary » au cours duquel le roi ou la reine assistait sinon dirigeait la cérémonie, il fut formellement interdit à tout  sujet de porter des vêtements de couleur rouge. L’imprudent risquait une sanction extrême car il s’agissait d’un crime de lèse-majesté. Le rouge étant le symbole de la dignité royale !
En Amérique Latine comme partout ailleurs, en Afrique par exemple, les guérilleros scandaient la couleur rouge symbolisant la dureté sinon même la cruauté de la lutte jusqu’à verser du sang. Les Che Guevara et autres leaders de luttes armées aimaient brandir cette couleur vive. Justement, il fallait interpréter aussi à travers ce « rouge », selon certains analystes, l’image de la violence, le recours aux armes, que les combattants voulaient sciemment véhiculer et brandir.
Les activistes irréductibles et animateurs de « Miara-manonja » ont choisi la couleur « rouge » pour scander la ferveur de leurs partisans. Visiblement, on veut envoyer à travers ce ton ou thème vif un message de combat intensif ou plutôt… violent où s’il le faudrait verser du sang. Quelque part, n’y aurait-il pas un appel déguisé à la violence voire une intention, de fait, à la provocation ! D’ailleurs, les discours de sensibilisation, les appels à la mobilisation lancés à partir de « Miara-manonja » s’apparentent étrangement aux préparations au combat… violent. En tout cas, les manèges des animateurs radicalisés à la solde de Bel-Air glissent naturellement ou logiquement vers les incitations à la haine et à la division, œuvres préférentielles du mal, de Satan.
Du côté du régime, les mouvements ou formations proches du pouvoir préfèrent afficher le « blanc ». Symbole de la pureté, de la paix et quelque part de la sacralité de la chose, le blanc véhicule le message de la colombe, de l’unité. Ce samedi 6 mars, les deux thèmes, blanc et rouge, s’affrontaient à distance.
Au Palais des sports Mahamasina, sous l’égide de la Présidence, une vingtaine d’associations et des groupes de chœur proches du régime en place organisèrent un grand culte d’action de grâce à l’endroit de l’Eternel. Tous vêtus de blanc, les participants dont le couple présidentiel imploraient Dieu afin qu’Il épargne le pays du danger de la division et du mal. Ceux qui ont pu prendre la parole invitaient les uns et les autres à « éviter » la tentation de la violence. Il faut vaincre le mal par le bien, par la grâce de l’amour. Ne jamais céder à la tentation de la violence ! Il faut répondre aux insultes par les bonnes paroles.
A Tanjombato, les parlementaires TIM, autorisés par la Préfecture de Police, ont rendu compte de leurs activités en leur qualité de députés. En clair, il s’agissait d’un meeting politique au cours duquel les discours portaient sur des critiques en ligne contre le régime. La couleur rouge coïncidait bien avec l’esprit de la réunion, à savoir tirer à boulets rouges les tenants du régime.
L’histoire rendra son verdict qui du « blanc » ou du « rouge » remportera la victoire auprès du peuple.
Ndrianaivo


Affaire « tactical Steel ». Le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) a tranché hier que le président actuel de la Confédération africaine de football (CAF), Ahmad, n’a tiré un quelconque avantage personnel dans le cadre de la transaction avec « tactical steel ». Dans sa décision, le TAS a libéré Ahmad de cette charge que lui a imputée la FIFA à travers la chambre de jugement de la  commission d’éthique. Une charge que la commission a qualifiée d’abus de pouvoir et violation du devoir de loyauté perpétrés par le président Ahmad. « Tactical steel »  est cette société française avec laquelle la CAF a passé un contrat pour l’équipement du Championnat d’Afrique des Nations 2018 au Maroc.
 Face à l’urgence étant donné que les représentants des autres équipementiers en Egypte ont annoncé leur incapacité d’honorer les commandes de la CAF, cette dernière a dû trouver dans le plus bref délai une alternative. Des voix se sont fait entendre en accusant Ahmad d’avoir profité de la situation pour remplir ses poches. Le TAS après avoir entendu l’explication du président de la CAF lors de son audition de deux jours (2 et 3 mars 2021), a rejeté l’accusation de violation du devoir de loyauté et d’abus de pouvoir. « La Formation (ndlr : jury) a libéré Ahmad de toute infraction liée aux contrats « tactical steel », note le TAS dans sa décision.
Cette affaire de « tactical steel »semble la plus grave de toutes les accusations contre Ahmad expliquant la décision de la FIFA de le suspendre de cinq années d’activité dans le domaine du football tant au niveau national qu’international. Et de l’obliger de payer une amende de CHF 200.000. Cette lourde charge non retenue, le TAS a ainsi réduit la peine infligée à Ahmad à deux ans de suspension et une amende de CHF 50.000.
Par contre Ahmad, selon le TAS, est reconnu fautif pour non comptabilisation de diverses transactions financières, acceptation de paiement en liquide, virements bancaires de bonus et indemnités sans base contractuelle ou réglementaire. Des pratiques héritées de l’ancienne présidence d’Issa Haytou que la nouvelle équipe n’était pas en mesure de rectifier à temps. D’où sa demande auprès de la FIFA des services de Fatma Samoura, Sg de l’instance mondiale de football, mais dont la prolongation du contrat n’a pas été acceptée par le comité exécutif de la CAF.
Le second point retenu par le TAS expliquant le maintien de la suspension a trait au financement d’une invitation à un pèlerinage à la Mecque en faveur de certains présidents de fédérations nationales. « Il s’agit d’une utilisation de l’argent de la CAF sans rapport direct avec le football », a mentionné la Formation du TAS dans son jugement. Mais concernant cette infraction, le communiqué du TAS précise qu’elle n’a été retenue qu’à la majorité de la Formation et non pas à l’unanimité. Ce qui veut tout simplement dire que même la Formation du TAS chargée de cet appel d’Ahmad n’était pas totalement  convaincue qu’il y avait de distribution de cadeaux et détournement de fonds contrairement.
Mais quoi qu’il en soit, la FIFA, ou plutôt certaines des têtes dirigeantes, est parvenue à ses fins en écartant Ahmad de la course pour sa propre succession. L’élection se tiendra ce vendredi à Rabat (Maroc) où les 54 présidents de fédérations africaines n’ont qu’à valider le choix de la FIFA. En effet, les trois candidats en lice ont décidé de se retirer de la course, suite à un « arrangement » fait par la FIFA, laissant ainsi un grand boulevard menant le Sud-africain Patrice Motsepe vers la présidence de la CAF.
Rata

Une célébration pas comme les autres. La Journée internationale de la femme (JIF) a été fêtée autrement cette année, avec les restrictions sanitaires liées au coronavirus. La descente de la Première dame dans les Chefs-lieux de province était une occasion d’aller à la rencontre des femmes et de soutenir leurs activités génératrices de revenus. A cela s’ajoute une série de reboisements, selon les besoins et le climat de chaque Région. Mialy Rajoelina a tenu un discours d’une dizaine de minutes, diffusé dans la matinée d’hier à la TVM et la RNM, adressé spécialement à la gent féminine.
« En cette journée internationale des Droits de la femme, j’aimerais partager ma gratitude à ces femmes autonomes, résilientes, qui ont su créer un environnement sain pour le développement durable de notre pays et de notre planète. Nous, les femmes, sommes sensibles, mais nous faisons également preuve de force. Nous avons cette capacité de rebondir, de nous redresser, sans jamais rester à terre quelles que soient nos épreuves. C’est ainsi que nous sommes conçues. Nous n’avons rien à envier aux hommes ! Bien sûr, ils sont notre complémentaire. Nous avons cette force de caractère, laquelle nous permet de réussir n’importe quoi, n’importe où dans ce monde. Il ne tient qu’à nous d’aller la chercher », déclare la Première dame.
Notre corps nous appartient…
Les femmes face aux grands défis. La pauvreté, la sécheresse, les violences, la maltraitance, etc., en font partie. Les femmes ont un rôle à jouer pour y faire face, à en croire Mialy Rajoelina. La Première dame a, d’un autre côté, parlé de la culture dans certaines Régions, laquelle impose que « le prestige d’une épouse se mesure au nombre d’enfants. Nous les femmes, nous estimons que notre valeur ne se limite pas à cela. Notre bien-être est aussi important et notre épanouissement personnel ne devrait pas être mis de côté au profit des diktats et des mœurs de la société. Notre corps nous appartient. Nous seules avons le droit de choisir et de décider ce qui est mieux pour nous, pour notre santé, et tout ce qui touche à notre intégrité physique. D’ailleurs, les structures de planning familial existent pour assurer aux femmes ce droit de choisir », s’est-elle adressée aux femmes. « Je dis avec un grand OUI qu’une femme peut s’épanouir au-delà de son rôle d’épouse et de mère », a-t-elle souligné.
L’éducation, une arme contre la violence
Des avancées dans la lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants. La Première dame s’y est engagée depuis 2009. Depuis, la promulgation de la loi y afférente a été une étape franchie. « Toute personne est passible de prison s’il violente une autre, que ce soit un homme, un père, un frère, un mari, un chef de tribu, un voisin. La création d’une chaîne pénale indépendante a été mise en place pour faciliter le traitement de chaque dossier. Plaidons ensemble, unissons nos voix pour mettre fin à ce cauchemar. Un centre spécialisé a été mis en place pour accompagner les victimes », informe-t-elle. Toutefois, Mialy Rajoelina reste convaincue que l’éducation reste la meilleure arme contre la violence. Il faudrait ainsi éduquer les enfants et les jeunes à dire non à la violence ainsi que rallier chaque famille et tous les parents à cette lutte. « Je continuerai à plaider pour un futur égalitaire où les hommes et les femmes travaillent main dans la main. Je ne cesserai d’inciter tout un chacun à prôner l’autonomisation économique des femmes. C’est la voie vers l’égalité des êtres humains. C’est la voie de la lutte contre la pauvreté. C’est la voie pour une croissance économique inclusive », s’est-elle engagée. La Première dame a, par ailleurs, rappelé la chance qu’elle a eu de rencontrer des femmes exceptionnelles, issues de divers secteurs d’activité dont l’agroalimentaire, l’apiculture, les produits halieutiques, l’artisanat. « Messieurs, mon cher époux ainsi que mes fils chéris, à qui j’adresse également ce message : la femme donne beaucoup et peut encore donner plus. Votre soutien, votre affection, vos petites attentions, votre amour nous sont très importants. Je le sais : je suis une femme, je suis une épouse, je suis une maman », a-t-elle conclu.







Alerte. Depuis vendredi dernier, le nombre des personnes suspectées d’être porteuses du coronavirus s’est accru. Quelques médecins en milieu hospitalier à Antananarivo et également en province ont confirmé cette information. D’ailleurs, le Professeur Rakotovao Hanitrala Jean Louis, ministre de la Santé publique a annoncé en fin de la semaine dernière qu’effectivement une hausse de contamination est enregistrée. Une raison qui a amené les autorités sanitaires malagasy à reprendre la distribution gratuite du Covid-Organics (CVO).
Au niveau des grands établissements sanitaires à Antananarivo notamment à Anosiala, Andohatapenaka, et encore moins à l’hôpital Befelatanana, différentes sources ont affirmé que le nombre des patients suspects avoisinent les 70% avec un risque de taux de positivité aux analyses en laboratoires estimé à 50%. Quant à l’Hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA), les mesures de sécurité sanitaires restent renforcées. « Comme dans tout autre établissement sanitaire, des patients de la Covid-19 sont pris en charge à l’HJRA. Et suivant les mesures de sécurité sanitaires, nous n’autorisons pas les visites jusqu’à nouvel ordre. Il faut tenir compte du fait que le virus circule toujours », a expliqué le Professeur Rakoto Alson Aimée Olivat, directeur du Centre Hospitalier Universitaire Joseph Ravoahangy Andrianavalona (CHU-JRA) joint au téléphone hier. Comme les autres Régions, Boeny est aussi en effervescence. Quelques hauts responsables locaux figurent actuellement dans la liste des personnes positives au coronavirus. Une réunion du comité de vigilance a même eu lieu mais aucune décision importante, en dehors du renforcement des gestes barrières, n’a été prise.  A la date d’hier, cette localité a comptabilisé 10 nouvelles contaminations et un décès au cours des dernières 24 heures faisant un total de 55 patients en cours de traitement. L’Atsinanana, de son côté, commence vraiment à recenser des cas positifs après la remise à zéro du compteur. « Il existait une période durant laquelle aucun cas confirmé n’a été découvert. Actuellement, le tableau se complète petit à petit.  Certes, nous ne sommes pas encore au stade de rebondissement. Par contre, au menu journalier, les centres hospitaliers universitaires recensent moins d’une dizaine de cas. Faut-il savoir aussi que les patients viennent juste pour une consultation mais une fois testés, leur contamination est avérée au PCR », a révélé une source locale. Dans la partie Nord de la Grande île, le cas de Nosy Be est surveillé de près.
12 mois de lutte
Certes, seules les analyses en laboratoire peuvent attester la présence du virus mais cette situation sanitaire actuelle amène à croire que la Covid-19 frappe de nouveau. Rappelons-nous que cela fait 12 mois que cette épidémie a sévi dans tout le territoire du pays. Le Gouvernement malagasy a commencé à restreindre le déplacement et d’autres activités non-essentielles à partir du mois de mars 2020. Etant donné l’atteinte du PIC en juillet dernier, l’ouverture partielle des frontières aériennes a été effective à Nosy Be le mois d’octobre. Sans oublier la levée de l’état d’urgence sanitaire. Malheureusement, après un répit d’environ 6 mois sans alerte rouge, le virus revient. Les dernières statistiques, plus précisément du 20 au 26 février derniers en témoignent avec trois nouveaux décès liés au coronavirus signalés dont 2 à Analamanga. A cela s’ajoutent 324 nouveaux porteurs du virus sur les 2 449 tests PCR réalisés par les laboratoires d’analyses et les tests GèneXperts et 247 patients guéris. Il y a donc une semaine, 312 personnes sont encore en traitement dont 29 formes graves.
 L’Afrique resserre la vis
Après plusieurs périodes d'allègement des restrictions, la Covid-19 et ses nouvelles souches ont obligé plusieurs pays à resserrer la vis au niveau des frontières et des voyages. Sur le continent africain, le Maroc continue par exemple de restreindre un peu plus l'accès au Royaume, avec vingt pays désormais concernés.  Faisant suite à la recrudescence des cas de contamination à nouvelles variantes de la Covid-19, l'Algérie et l'Egypte se sont ajoutés à la Belgique ou la Suisse entre autres dans une liste de désormais 20 pays. Les vols passagers sont interdits, jusqu'au 21 mars au moins. L'état d'urgence au Maroc a été prolongé jusqu'au 10 avril. A Maurice, les écoles et les universités sont fermées pour une semaine après la découverte d’un nouveau foyer de propagation.  Le ciel est fermé aux passagers en provenance de l’étranger. Les départs vers l’île sœur sont suspendus, mais celui opéré hier vers La Réunion par Air Mauritius a été maintenu. Les rassemblements religieux y sont déconseillés et la Fête nationale ce vendredi sera restreinte.  A l’exception, Seychelles va rouvrir fin mars leurs frontières à tous les visiteurs, vaccinés ou pas, sauf ceux en provenance d’Afrique du Sud, pour qui les restrictions s’appliquent toujours.
LR.


Femmes autonomes et résilientes dans un environnement sain pour le développement durable. Suivant cette thématique de la Journée de la femme 2021 à Madagascar, trois jours de séances axées au changement climatique ont été organisés dans la ville d'Antsiranana, la semaine dernière. Initiées par les Nations unies, avec la contribution du ministère de l'Environnement et du Développement durable et celui de la Population, de la Protection Sociale et de la Promotion de la femme, des actions de sensibilisation autour des mesures quotidiennes a_ prendre face au changement climatique et la violence basée sur le genre (VBG) ont été programmées à cette occasion.

 

Le Nord-ouest du pays a été durement frappé par la dépression qui a pris naissance dans le Canal de Mozambique, la semaine dernière. Cette Région a été donc tellement secouée par cette perturbation que celle-ci a fait des victimes. C’est le cas samedi dernier lorsqu’une grande pirogue transportant 8 pêcheurs a sombré dans l’embouchure de Soalala. Deux pêcheurs ont été avalés par la forte houle. Si le corps de l’un d’eux a été retrouvé samedi même, celui d’un autre ne le fut qu’hier matin. Seuls donc six sont indemnes après l’accident.

 

Inclu dans l’aire protégée de la montagne d’Ambre. Le lac Mahery, dans la Commune de Sakaramy, Antsiranana II, a été choisi pour un reboisement de bambous et de raphia, pour débuter la célébration de la Journée internationale de la femme (JIF). Des centaines de femmes conduites par la Première dame, Mialy Rajoelina y ont participé. L’épouse du Premier ministre, la présidente de l’Assemblée nationale ainsi que les femmes membres du Gouvernement et  les épouses des ministres ou encore les femmes députées étaient au rendez-vous, sans parler des représentants des partenaires techniques et financiers. « Le lac Mahery maintient le service écosystémique de la ville d’Antsiranana.

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Journée des combattantes

8 mars, jour-J ! « Journée internationale de la femme » ce jour. Journée de l'année spécialement dédiée aux réflexions, sinon à la mise pour la énième fois sur le plateau du débat relatif aux droits fondamentaux du genre féminin. L'ONU, Organisation des Nations unies, adopte en Assemblée générale en 1977 une résolution historique reconnaissant la date de 8 mars comme étant une Journée mondiale de la femme. Et que tous les pays membres épris de liberté et respectant les droits humains, notamment ceux de la femme ont le devoir voire l'obligation de consacrer ce jour-là à une réflexion approfondie et à organiser ainsi des manifestations officielles se rapportant sur les droits de la femme. Madagasikara tient, tous les ans, à rendre hommage à cette journée hautement symbolique.

 

Le ministère de l’Economie et des Finances a revu à la fin de la semaine dernière l’exécution budgétaire en 2020. Celle du quatrième trimestre 2020 s’est déroulée la semaine dernière au Plan, Anosy. L’évènement a vu la présence de différents acteurs économiques, notamment la société civile, le secteur privé, les techniciens au niveau des institutions et des ministères. Les partenaires techniques et financiers (PTF) y ont participé par visio-conférence. « Au niveau des dépenses liées à la Covid-19, 18 % du budget alloué ont été consacrés à la lutte contre la pandémie et 82 % ont été classés parmi les dépenses extérieures.

Pour les prochaines vacances pascales. La promotion du tourisme local se poursuit. Après le franc succès d’une première édition en novembre 2020, le Salon des bons-plans tourisme ou « Tsenaben’ny fizahan-tany » se renouvelle pour une deuxième édition encore plus innovante, du 10 au 12 mars prochain, toujours au Jardin d’Antaninarenina. Organisé par le ministère des Transports, du Tourisme et de la Météorologie (MTTM), avec la gestion opérationnelle de l’Office national du tourisme de Madagascar (ONTM), ce salon veut aider tous les Malagasy, habitués ou non à voyager, dans la recherche de leur prochaine destination de découverte.

Fil infos

  • Spoliateurs fonciers à Antananarivo - Un réseau de faussaires démantelé 
  • « Zéro faim » - 3,5 millions d’euros pour la sécurité alimentaire
  • Opposition malgache - Une machine à saboter !
  • Ambatondrazaka - 53 maires d’Alaotra- Mangoro officiellement installés
  • Cité d’Andavamamba - Offrir aux familles un cadre de vie décent
  • Prison d’Antanimora - Le ministre de la Justice ordonne la fermeture de « Maputo »
  • Insécurité à Madagascar - Les députés cogitent avec l’Exécutif
  • Exécution de maire Rasazy Narindra - Que justice soit faite !
  • Lutte contre la malnutrition - L’engagement de Madagascar pèse sur la balance
  • Eglise catholique apostolique romaine - L'état de santé du pape François inquiète

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Editorial

  • Relance en cours !
    L’élan de relance se dessine à l’horizon. En dépit des difficultés qui freinent le démarrage effectif et en puissance, la situation économique du pays fait signe d’une certaine vitalité. Selon la dernière présentation de la note de conjoncture économique de Madagasikara, la Banque mondiale fait état d’une croissance mais laquelle croissance reste encore faible et inégale. Une croissance mitigée ! La productivité demeure faible et même en recul. Trois travailleurs malagasy ne valent qu’un travailleur selon la moyenne africaine.

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