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Le phénomène lié aux violences conjugales semble être subitement en recrudescence, un peu partout dans le pays. Souvent, ce sont les épouses qui paient le plus lourd tribut de cette situation au point que certaines ont même failli perdre la vie dans des circonstances parfois tragiques. Vers le début de cette semaine, une mère de famille a dû être évacuée puis hospitalisée en ville, précisément à l’HJRA. Pendant trois jours, elle n’a toujours pas émergé de son coma après que son mari l’a battue sans ménagement pour un motif qui échappe au commun des mortels.
Le week-end dernier, l’opinion avait été horrifiée après qu’un jeune chef de famille de 27 ans d’Ambohitrarahaba a tenté de tuer sa femme en l’égorgeant et son enfant de 2 ans en le dépeçant et en l’éventrant, avant qu’il ne mette lui-même fin à sa propre existence. La mère de famille a failli également disparaître à jamais si les membres du fokonolona n’étaient pas arrivés assez rapidement. Le geste suicidaire et plein de violence, sinon de folie meurtrière chez le père de famille, aurait été à la fois d’ordre psychique et professionnel. Il n’aurait dû pas supporter la pression morale liée à sa dispute avec son employeur qu’il a préféré voir les siens mourir avec lui.
Une ou deux semaines de cela, le comportement destructeur d’un autre chef de famille, domicilié à Ankofafa à Fianarantsoa, a ouvert cette sombre série montrant des gestes de folie et de brutalité de la part de certains maris envers leurs femmes. Mais à la différence que l’habitant d’Ankofafa, dans sa colère folle contre son épouse, il a préféré dynamiter sa maison plutôt que de s’en prendre physiquement à elle. Mais pour un peu, le résultat a frôlé la catastrophe et on peut dire que la dame l’avait quand même échappé belle. En cause, l’homme qui avait pourtant l’habitude de telle prise de bec avec sa conjointe aurait été excédé par les vifs échanges verbaux qu’il a eus avec sa femme.
Le 2 octobre dernier, un spectacle similaire s’est poursuivi, mais qui s’est déroulé cette fois-ci à Nanisana. Là, un mari colérique a mis le feu à sa maison à la suite d’une violente dispute avec sa femme. Le comble pour cet homme, c’est qu’outre le fait que le drame a failli ruiner sa femme, la maison ne lui appartiendrait pas, mais plutôt à ses beaux-parents. Et comme un malheur ne vient jamais seul, une maison voisine de celle du couple en cause avait été également touchée par l’incendie.
Franck R.







La vigueur de la reprise économique du Maroc se confirme. Après la Banque mondiale, la semaine dernière, qui a révisé à la hausse la projection de croissance de l’économie nationale pour l’année 2021 (de 4,2% à 5,3%), c’est au tour du Fonds monétaire international, l’autre institution de Bretton Woods, de rehausser son taux de croissance prévisionnel pour le Royaume.
 
Dans son rapport intitulé «World Economic Outlook», rendu public ce mardi 12 octobre 2021, le FMI s’attend désormais à ce que le taux de croissance du Maroc pour l’année 2021 atteigne 5,7%. C’est 1,3 points de plus que le taux prévisionnel pronostiqué en avril dernier par les équipes du FMI.
 
Comme ce fut le cas pour la Banque mondiale, les statistiques du FMI montrent que le Maroc devrait afficher le taux de croissance le plus vigoureux des pays de la région MENA. Le Maroc fait mieux en particulier que l’Egypte (3,3%), la Tunisie (3%), l’Algérie (3,4%), les Emirats arabes unis (2,2%), ainsi que la Jordanie (2%).

 
L’institution de Bretton Woods souligne, en outre, que le chômage devrait grimper à 12% en 2021 avant de légèrement reculer à 11,5% l’an prochain. L’indice des prix à la consommation restera stable et se situera respectivement à 1,4% en 2021 et 1,2% en 2022, selon les mêmes projections.
 
A noter qu’au niveau mondial, l’institution internationale a légèrement abaissé ses projections de croissance, tablant désormais sur 5,9 % cette année et 4,9 % en 2022, tout en relevant la persistance à court terme des répercussions de la pandémie et ses effets divergents.
Source : le360.ma

Les tristes faits suivants sont survenus à Ambato-Boeny, lundi dernier. Une fille de 12 ans a succombé à la suite d’un viol en réunion dont elle était victime. Pire, les auteurs du forfait l’avaient entraînée dans leur maison où son corps avait été par la suite retrouvé. « C’était la voisine de quartier de l’un de ces suspects qui ont fait en premier la découverte macabre de la petite. En voulant emprunter un balai chez le locataire, grande fut à la fois sa surprise et son horreur en voyant le cadavre de la petite gisant au sol à l’intérieur », commente une source d’information de la région. 

 

La pauvreté seule n’engendre pas la malnutrition. Dans le Vakinankaratra, l’une des Régions le plus productives en matière agricole, le taux de malnutrition infantile reste élevé. Nombreux facteurs expliquent cette hausse dans ladite Région. Le manque d’hygiène et d’assainissement se conjuguent avec l’impossibilité d’accès à la nourriture et le manque de communication, de sensibilisation pour influencer les comportements en matière de nutrition et santé à la population locale.

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Gâtés pourris !

A l'approche de la deuxième session ordinaire du Parlement, les attentions se focalisent et s'orientent vers Tsimbazaza et par analogie à Anosikely. D'après les dispositions de la Loi fondamentale et selon l'esprit de l'Art. 75, les deux Chambres du Parlement (Assemblée nationale et Sénat) se réunissent chaque année de plein droit deux fois en session ordinaire, la première le deuxième mardi du mois de mai et la seconde le troisième mardi du mois d'octobre.

19 Industries du savon utilisant les bondillons, dont 12 regroupées au sein du Collectif des bondillonneurs, entament une campagne actuellement contre la hausse de 20% de la taxe douanière. Cette taxe de 20% voulue par le Syndicat des Industries de Madagascar (SIM) dans la Loi de finances initiale PLFI 2022. Le directeur commercial de Savon Seim, Salim Dramsy, membre de ce Collectif, nous a accordé un entretien pour donner son avis.

Dans le cadre du projet « Ressources éducatives », l’association Opération Bokiko organise plusieurs ateliers d’écriture et de création pour les élèves de la classe primaire ainsi que les collégiens. La première session a débuté hier et ce jusqu’au qu’au 16 octobre dans la Région Analamanga. Ces ateliers seront animés par les jeunes auteurs, illustrateurs de l’association,entre autres Andréa Razafi (jeune auteure et scénariste), Fitah Ran (illustratrice), Andie  Rakotonirainy (jeune auteure), Farash ou Josette Aline Rasoafara (jeune auteure et experte en plaidoirie) et Yannick Tojonantenaina Andrianambonisoa (photographe, vidéaste et jeune auteur).

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JIRAMA - Le directeur général limogé 

Vonjy Andriamanga vient d’être dépourvu de toutes ses fonctions auprès de la Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), et ce depuis hier, suite au dernier Conseil des ministres. Par constatation, ce limogeage serait le résultat notamment de nombreuses insubordinations au cours des derniers mois. Le Président de la République, Andry Rajoelina, lui-même, l’a rappelé à l’ordre à diverses reprises.

C'est la nouvelle que les opérateurs du tourisme notamment attendaient avec impatience, depuis plusieurs semaines. Hier, à l'issue du Conseil des ministres, l'Etat malagasy a annoncé la réouverture « progressive » des frontières aériennes de et vers Madagascar. Selon le compte rendu du rapport de la réunion des ministres, la Grande île a déjà obtenu de l'Organisation de l'aviation civile internationale cette réouverture de son ciel. Cependant, pour se protéger de la propagation de la Covid-19 et de ses variants, cette réouverture se fera de manière « progressive ».

 

L'affaire concernant le braquage de la BNI, située à Andohan'Ilakaka, a évolué. Aux dernières nouvelles, six personnes, suspectées d'être les auteurs, sont actuellement placées en garde à vue.  Suite aux investigations et enquête menées par la brigade de la compagnie de Gendarmerie Ilakaka avec l'appui technique de la section de recherche de la Circonscription de la Gendarmerie nationale (CIRGN) Fianarantsoa et l'équipe cynophile BRS Ambalamanakana, trois individus sont arrêtés et retenus à la brigade.

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Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

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