Nos archives web
Super User

Super User

Pour la deuxième fois au cours de ces deux dernières années, l'université d'Andrainjato à Fianarantsoa a été la proie d'un violent incendie. Ce dernier a éclaté vers 21h samedi dernier, et a été très lourd de conséquences, du point de vue matériel. Car outre les logements, les pertes sont énormes pour ces étudiants, qui n'ont plus, à vrai dire, que les vêtements qu'ils ont portés sur eux. Tout y était passé : des économies aux effets scolaires, en passant par les meubles. Même les certificats et autres diplômes sont partis en fumée. Seuls quelques objets ont pu être sauvés. En revanche, en dépit de la puissance destructrice des flammes, on ne déplore aucune perte en vie humaine.

 

Le noyau dur de l’année scolaire. La plupart des élèves vont reprendre le chemin de l’école à partir de ce jour, après deux semaines de pause à l’occasion des fêtes de Noël et de fin d’année. Certains vont retourner en classe demain, selon le calendrier des établissements. Le troisième bimestre, ou le 2ème trimestre, étant le plus ardu de l’année, puisque c’est la période pour s’attaquer au reste du programme scolaire. « Nous avons pu achever la moitié du programme scolaire durant les deux premiers bimestres. Les deux prochains bimestres seront destinés pour l’achever à 100 %, tandis que le dernier sera dédié pour les révisions et les examens », confirme H.R., directrice d’un collège privé sis à Tsimbazaza. 

 

%PM, %05 %969 %2025 %22:%Jan

Le suspense perdure !

On attend. Et on attend. Jusqu’à quand ? L’identité du nouveau coach des Barea (A) tarde à venir. 

Les Barea n’avaient plus de coach ni de sélectionneur titulaire après le départ en catastrophe de Razafindrabe Romuald alias « Roro » à la mi-novembre 2024. En effet, les échecs répétitifs lors des matches internationaux, acculé au … mur, l’entraineur national n’avait pas d’autres choix que de rendre malgré lui le tablier. C’est réellement dommage pour le sport-roi malagasy, vu la compétence technique de ce coach qui devait se séparer malheureusement de l’équipe nationale. Une chose mérite d’être soulevée : il ne suffit pas de remplacer la tête du patron du Onze national pour que les affaires du football malagasy s’améliorent.

Essentiel pour des millions de Malagasy, le riz voit ses prix s'envoler en ce début d'année 2025. Depuis plusieurs semaines, le coût du riz, qu'il soit local ou importé, ne cesse de grimper dans les épiceries d’Antananarivo. Le Makalioka est désormais vendu à 3 600 ariary le kilo, tandis que le vary gasy oscille entre 3 300 et 3 400 ariary, avec des prix atteignant 3 700 ariary pour certains types de riz de luxe. Les commerçants, que ce soit au centre-ville ou dans les quartiers périphériques, parlent déjà d'une « crise du riz », amplifiée par plusieurs facteurs, à la fois climatiques et logistiques.

L’association Projet DIHY a récemment lancé une initiative visant à collecter 1.000 euros pour soutenir les jeunes danseurs, acteurs culturels et futurs collaborateurs à Madagascar. Ce projet ambitieux a pour objectif d’offrir des opportunités à travers une programmation artistique innovante et solide, essentielle au développement culturel du pays. Rassemblant des jeunes issus de disciplines variées telles que la danse, le design et la musique, Projet DIHY se distingue par son engagement à promouvoir des projets qui allient créativité, partage et impact social. 

 

Depuis plusieurs semaines voire des mois, Madagascar est en proie à une vague d'incendies qui ravagent forêts, savanes, et zones rurales. Sous des températures étouffantes, allant jusqu'à 37°C dans certaines Régions, les flammes se propagent à un rythme alarmant. Ces flammes sont par ailleurs attisées par une saison sèche prolongée et le changement climatique. Ces feux, visibles à l'aube sur les réseaux sociaux, témoignent d’une urgence environnementale sans précédent.

Les forêts, y compris les parcs naturels abritant une biodiversité exceptionnelle, figurent parmi les principales victimes. Bien que le bilan précis des dégâts reste à établir, les images diffusées montrent une destruction massive des écosystèmes et des moyens de subsistance. 

 

L'année 2025 s'annonce comme une période de transformations majeures pour Madagascar, où la production et la collaboration seront au cœur des préoccupations gouvernementales. La ministre de la Communication et de la Culture et porte-parole du Gouvernement, Mara Volamiranty Donna, a souligné l'importance d'un effort collectif pour réaliser les projets ambitieux que le Gouvernement a mis en place. Elle a évoqué les défis considérables qui attendent le pays, notamment dans les domaines de la communication et de la culture, en insistant sur la nécessité d'une volonté partagée pour atteindre les objectifs fixés.

%PM, %05 %963 %2025 %22:%Jan

LA UNE du 06/01/25

%PM, %03 %009 %2025 %23:%Jan

La une du 4 janvier 2025

%PM, %03 %960 %2025 %22:%Jan

La continuité


Renouveau dans la durée ! On avance dans la même direction ! Un changement dans la continuité !
La venue de l’année 2025 demeure l’évènement majeur qui capte notre attention et fixe notre intérêt général. Les vœux pieux n’en manquent pas. Les congratulations ne tarissent point. Les souhaits et les félicitations sont toujours les bienvenues !
A tout seigneur, tout seigneur ! Le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina a ouvert le bal dans la soirée du 31 décembre 2024. Il a tenu à féliciter les concitoyens d’avoir joui, par la grâce de Dieu, la bénédiction d’atteindre la fin d’année 2024 et par anticipation le début du Nouvel An 2025. L’opportunité aussi pour le numéro Un du pays d’anticiper sinon d’extrapoler mieux encore de faire  projection dans l’avenir à court et à moyen terme la mise en route de grands projets, de grands chantiers afin de redémarrer effectivement la relance de la Grande Ile.
L’année qui venait de nous quitter, de nous dire adieu pour toujours, a été dans certains domaines de dures épreuves pour les uns, des occasions de bienfaits pour d’autres. Pour le pays, en dépit des efforts consentis, 2024 confirme toujours, malheureusement, le maudit rang de l’un des pays les plus pauvres du monde. Selon la Banque Mondiale, Madagasikara avec les 80,3% de population qui vit moins de 2,6 dollars  caracole en tête de liste des dix pays les plus pauvres du monde dont entre autres Malawi 70%, RDC 69,7%, Rwanda (10 ème) 52%. Le classement de la BM consolide l’information récemment véhiculée par Watson, organisme helvétique. En fait, selon le rapport du Grand Argentier Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison devant les députés lors de la présentation de la Loi des Finances 2025, la Grande Ile n’a pas pu atteindre la spéculation du taux de croissance établi à 4%.
Toujours est-il que la relance économique de Madagasikara se trouve en bonne voie. Le plus important consiste à continuer avec acharnement de manière à ce que le pays puisse briser le cercle vicieux de la misère. Au titre de la LFI 2025, le Gouvernement n’hésite pas d’ambitionner une projection d’un taux de croissance de 5%.
Au moins, la relance de trois grands chantiers offrira la possibilité de dynamiser l’économie nationale. D’abord, l’essor des exploitations des produits miniers. Un grand chantier dont la réalisation ne fait pas l’ombre du doute. La Grande Ile, un des pays disposant d’importantes ressources minières, va miser sur la valorisation de ces produits du sous-sol. Ensuite, l’amélioration des produits agricoles qui avance à grand pas. L’objectif étant d’atteindre l’autosuffisance alimentaire. Objectif réalisable à temps voulu ! Le département de l’agriculture en collaboration étroite avec des grandes puissances agricoles telles la Chine ne ménage pas les efforts. L’objectif à terme c’est de franchir au final le cap de l’autosuffisance. Enfin, la mise en place de grands projets énergétiques, un des objets du discours présidentiel de fin d’année, améliorera certainement l’approvionnement de la population en électricité et en eau potable qui, en fait, a fait couler beaucoup d’encre et de … larmes ces derniers temps.
Le point crucial qu’il faille de rappeler, de retenir  et d’insister réside au fait de continuer sans relâche les efforts. Il faut partout les moyens briser l’emprise de la malédiction. C‘est faisable et réalisable.

Fil infos

  • Développement - Andry Rajoelina érige Sainte-Marie en modèle
  • Tensions à la JIRAMA - Le Président Rajoelina tend la main aux employés
  • Développement de Sainte-Marie - L’Etat appuie sur l’accélérateur 
  • Disparition du bateau AW - L’hypothèse d’un acte de piraterie privilégiée
  • ACTU-BREVES
  • Malagasy aux Seychelles - Camille Vital appelle à l’unité de la diaspora
  • Ambohimalaza - Les analyses en France confirment l’empoisonnement
  • Déstabilisation à la JIRAMA - Une minorité tire les ficelles 
  • Service foncier - L’obtention du certificat de situation juridique presque instantanée
  • Huile impropre à la consommation - La traçabilité de "Roots" confirmée

La Une

Recherche par date

« July 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30 31      
Pub droite 1

Editorial

  • Déficit de confiance
    Les investisseurs boudent. Apparemment, ils hésitent mille fois et réfléchissent soixante-sept fois avant de débarquer sur la Grande île pour placer sinon fructifier leurs précieux capitaux. La directrice générale de l’Economic development board of Madagasikara (EDBM), Josielle Rafidy, devait avouer récemment et publiquement que les investisseurs, du moins les vrais et potentiellement importants, tardent à venir au pays. L’EDBM est l’agence nationale chargée de promouvoir les investissements à Madagasikara. De ce fait, l’EDBM a pour objectif de renforcer la compétitivité du secteur privé, d’accroître l’investissement privé et étranger direct et d’accompagner les investisseurs. A ce titre, l’EDBM propose des services qui pourraient être utiles aux investisseurs tels que des conseillers spécialisés et un guichet unique dans l’objectif précis de faciliter l’implantation et l’expansion des entreprises. En somme, tout y est pour accueillir, comme il se doit, les investisseurs ayant choisi la Grande île pour placer et pour fructifier leur argent.…

A bout portant

AutoDiff