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La compagnie minière Ambatovy a décidé de rapatrier 850 ressortissants étrangers dans son établissement. Sur 10 000 travailleurs, 1000 d’entre eux sont des étrangers.  90% d’entre eux sont alors à rapatrier suite à l’arrêt de la production. D’après le communiqué de l’entreprise, ces personnes sont issues de 39 nationalités différentes. Le premier vol a eu lieu mercredi dernier. L’entreprise a travaillé avec la compagnie Qatar Airways pour acheminer les voyageurs à leur destination. L’avion a transporté 150 personnes vers  Qatar durant la première vague. « Considérant l’arrêt de la production depuis le 6 avril  et la quarantaine stricte des sites d’Ambatovy, la compagnie a décidé de rapatrier temporairement une grande majorité de son personnel expatrié et leur famille ainsi que les expatriés de ses sous-traitants bloqués sur les sites, notamment pour avoir un nombre d’employés qui correspond au niveau d’activité, réduire la pression éventuelle sur les services de santé, et aussi pour réduire les coûts de charge en l’absence de production et de revenus. Les sites sont actuellement en situation de soin et maintenance, avec des équipes réduites d’employés nationaux et expatriés », note le communiqué officiel.
150 travailleurs assurent en ce moment le travail minimum dans la société. Selon un responsabe auprès d’Ambatovy, « Ce rapatriement du personnel expatrié est temporaire, la compagnie compte reprendre la production dès que les conditions le permettront, avec l’ensemble du personnel national et expatrié ».
Solange Heriniaina






Nouvelle organisation. Toamasina héberge plus de la moitié des cas actifs recensés dans tout Madagascar. Pour cette raison, les cas positifs requérant une hospitalisation au niveau des quatre centres de prise en charge des patients Covid-19, à savoir le Centre hospitalier universitaire CHU Morafeno, le centre médical ISOS du site d'Ambatovy,  le Centre régional de la jeunesse et des sports de Toamasina, le foyer social canada,  dépassent largement de leur capacité d’accueil. C’est ainsi qu’une nouvelle organisation doit s’imposer dans les jours à venir. Une réunion  s’y rapportant et ayant vu la présence des autorités locales issues de plusieurs domaines d’intervention a eu lieu hier. Jusqu’à l’heure où nous mettons sous presse, aucune information ne nous est parvenue. Mais suivant les dernières informations communiquées par des responsables locaux, la possibilité d’un traitement à domicile pour les cas positifs demeure envisageable sous réserve de respecter les conditions sanitaires. D’autant plus qu’actuellement, plus d’une centaine de cas suspects  récemment testés positifs ne sont pas encore pris en charge médicalement, ce qui n’arrange pas la situation sanitaire locale. « Mon neveu figure parmi les personnes nouvellement identifiées positives au coronavirus. Nous avons appris la nouvelle mercredi matin mais jusqu’à maintenant (ndlr : hier matin)  soit 48 heures après la confirmation, aucune ambulance n’est venue le chercher pour être hospitalisé. Pourtant, quelques membres de sa famille ont  présenté quelques symptômes  et pourront être déjà contaminés », martèle une famille d’un cas positif. Un observateur a même avancé que les autorités sanitaires de la ville de Toamasina sont dépassées par l’évènement. «  Les centres de prise en charge ne disposent plus assez de place pour les nouveaux cas confirmés qui augmentent tous les 24 heures.  Le traitement à domicile  demeure inquiétant vis  à vis des manques de lucidité et de civisme des habitants à Toamasina», indique-t-il.
Selon un responsable au niveau du ministère de la Santé publique, toutes personnes testées lors du dépistage massif ont été déjà préparées mentalement en cas d’obtention de résultats positifs. Une attitude particulière doit être adoptée avant de prendre le départ à l’hôpital. « Faute d’organisation et de moyen, il arrive que les ambulances ou encore les personnels de santé prennent un léger retard  pour  la récupération. En attendant, il faut  protéger les proches après la confirmation de la contamination », insiste-t-il. 
K.R.


Coïncidence ou manœuvre orchestrée ? L’évolution de la conjoncture actuelle suscite beaucoup d’interrogations chez les observateurs politiques. En effet, plusieurs évènements du moment sont mis à profit pour multiplier les récupérations politiques et deviennent carrément une brèche pour les politiciens en quête de popularité. A titre d’exemple, la gestion de l’épidémie du Covid-19 ainsi que la polémique engendrée par la construction d’une arène aux allures de colisée dans l’enceinte du Rovan’Antananarivo.
Alors que ladite polémique vient de connaître un court répit, l’ancien Président Marc Ravalomanana en profite pour surfer sur la vague. Hier, le leader du parti « Tiako i Madagasikara » s’est déplacé sur le site de construction du Rova et a pénétré dans l’enceinte sans la moindre autorisation. En plein chantier, le Rovan’Antananarivo est interdit au public, dont fait partie Marc Ravalomanana, mais celui-ci a complètement ignoré cette interdiction. Il en aurait profité pour distribuer des produits laitiers confectionnés par son usine TIKO  à des ouvriers sur place. Un geste qui parait ironique dans la mesure où en cette période de crise sanitaire, bon nombre d’entreprises privées ont mis la main à la pâte en apportant des dons au profit des patients, des membres du personnel médical ou encore des Forces de l’ordre qui travaillent jour et nuit actuellement. Le locataire de Faravohitra s’est contenté d’un simple tam – tam médiatique en faisant don de quelques bidons jaunes vides.  Hier soir encore, l’ancien exilé d’Afrique du Sud est intervenu sur la télévision MBS pour s’exprimer sur le sujet. En guise de « bande » annoncée, l’ex – Chef de l’Etat a déterré une de ses vieilles photos brandissant un livre sur la restauration du Rova.
En ordre dispersée
De son côté, Roland Ratsiraka tente le tout pour le tout en incitant les habitants de Toamasina à faire fi des mesures de confinement partiel. Hier, des informations ont fait part de la sortie de quelques étudiants de l’université de Barikadimy dans la rue. Les observateurs avertis savent pertinemment qu’en politique, rien n’arrive par hasard et que tout est calculé.
En cette période de crise, l’ennemi commun et invisible qu’on devrait pourtant combattre est l’épidémie de Covid-19. Un ennemi qui pourrait nuire gravement à la vie sociale et économique du pays. Sous d’autres cieux, les querelles politiques sont mises entre parenthèses afin d’optimiser les stratégies appliquées dans cette lutte. En revanche, à Madagascar, certains politiciens semblent prendre du plaisir à voir le pays sombrer si jamais un tel scénario devait arriver.
Un autre combat attend également le commun des Malagasy : la revendication en vue de la restitution des îles éparses (îles malagasy) par la France. Des causes pour lesquelles tous les Malagasy doivent faire un front uni pour y faire face. Sauf les « collabos » bien sûr…
La Rédaction


Depuis le début du mois, les plaintes des abonnés de la JIRAMA ont fusé sur les réseaux sociaux. Ils ne comprenaient en effet pas pourquoi ils recevaient deux factures et non une seule en un mois. La hausse considérable de leur facteur leur est aussi incompréhensible. « Nos factures sont passées de 115 000 à 175 000 ariary, du mois de mars au mois d’avril, soit une hausse de près de 60 000 ariary. Pourtant notre consommation est demeurée la même tout au long de ces deux derniers mois », témoigne un jeune comptable dans une entreprise offshore. « Cette hausse des factures ne concerne en aucun cas les tarifs appliqués par la JIRAMA. Nos tarifs n’ont pas changé depuis plusieurs années. La dernière révision des tarifs date notamment du mois de janvier 2018. Mais c’est plutôt une question de consommation. Il ne faut pas oublier que le mois d’avril, nous étions en confinement total. Les usagers ont donc pu augmenter leur consommation sans s’en rendre compte. Et ils pourront les constater eux-mêmes en comparant les index dans leurs dernières factures » répond Rivo Radaniela, directeur adjoint chargé du marketing, de la digitalisation et de la vente auprès de la JIRAMA.
Toutefois, cette explication fournie par la JIRAMA est loin de satisfaire la majorité de sa clientèle. Certains clients maintiennent leur position comme quoi, leur usage de l’électricité n’a pas vraiment changé malgré le confinement total. Pour éviter toute confusion, la société nationale d’eau et d’électricité invite ainsi ses usagers à suivre de près leur relevé et leur index. « Quand nos agents effectuent les relevés auprès de nos clients, ils ont tout à fait le droit de vérifier les chiffres relevés par nos agents. Comme cela, ils auront également les mêmes informations que nous. Et en cas d’incohérence, ils pourront tout de suite faire des réclamations auprès de nos différentes agences », rajoute le responsable.
Double factures
Concernant l’arrivée des deux factures en un seul mois, la JIRAMA explique que cette organisation entre dans la préparation de la facturation par lot qui débutera le mois prochain. « Nous continuons aujourd’hui à améliorer nos services, dont ceux fournis par nos agences. Pour les décongestionner, nous avons notamment décidé d’appliquer la facturation par lot. Et nous sommes actuellement en pleine préparation. De ce fait, la première facture que nos clients ont reçue au début mois concerne alors la consommation du mois d’avril, et la seconde facture arrivée au cours de cette semaine concerne celle du mois de mai »,  détaille Rivo Radaniela.
Cependant, malgré cette nouvelle méthode de facturation, les responsables de la JIRAMA promettent que cela n’aura aucune incidence sur les factures que ce soit sur la hausse de la consommation ou l’augmentation du nombre de jours de facturation.
Rova Randria

Seconde nature

Publié le jeudi, 28 mai 2020


« L’habitude est une seconde nature !» dit-on et à quelque chose malheur est bon !A l’instar de presque tous les pays, Madagasikara se débat contre la maladie du nouveau coronavirus, le Covid-19. Une terrible maladie qui, en deux temps, se mue en épidémie et par une vitesse d’éclair en pandémie. Jamais aucune maladie n’a pu affecter autant de pays ou régions. Elle touche gravement quatre des cinq continents (Asie, Europe, Nouveau Monde et Afrique) qui, en fait, concentrent le maximum des populations de la planète Terre.
La prévention curative de la pandémie de Covid-19, une maladie virale qui se transmet essentiellement par contact, impose à l’homme un certain mode de vie qui tranche avec les anciennes pratiques. Un nouveau style qui requiert une nouvelle habitude. En réalité, on peut « facilement » éviter et maitriser la SARS-COV-2. Il suffit « uniquement » de respecter à la lettre les consignes données : le confinement, le port de masque, le lavage des mains en permanence et le geste barrière c’est-à-dire la distanciation d’un mètre inséparable à la barrière sanitaire. La victoire, au plus vite, sur cet ennemi invisible dépend étroitement de la disponibilité de chacun à se soumettre au diktat des mesures de prévention. La responsabilité de chacun est ainsi remise sur table. Le Chef de l’Etat Rajoelina le répète à toute occasion. Personne n’est responsable de personne. A chacun de veiller sur sa propre santé. La tentation de vouloir taxer et faire porter aux autres le chapeau de son échec sinon de sa maladie relève d’un état d’esprit de bas étage et d’une mauvaise foi flagrante. Il est navrant d’entendre dire de la part de  l’élu parlementaire  de Toamasina-Ville, lors du face- à-face quelque peu raté entre députés et membres du Gouvernement, qui accuse ainsi l’Exécutif d’être à l’origine de la prolifération du Covid-19 dans  sa  ville. N’importe quoi !
 Le confinement et le geste barrière ou barrière sanitaire figurent en tête de peloton des armes décisives pour faire plier ou repousser l’ennemi, le Covid-19. Rester confiné chez soi selon les instructions formelles de la direction des opérations sanitaires relayées par les autorités publiques reste la voie la plus rapide et la plus pertinente pour vaincre dans les meilleurs délais la pandémie. En restant confiné à la maison, chaque citoyen prend soin de sa santé et protège celle d’autrui. Le geste barrière ou barrière sanitaire permet efficacement à limiter tout contact et par la suite freiner sinon stopper la propagation du virus. Seulement, le jour où le pays arrivera à bout de cette ignoble maladie, confinement et geste barrière ou barrière sanitaire seront appelés à disparaitre de la circulation.
Par ailleurs, le port de masque (bouche et nez) et le lavage en permanence des mains avec du savon qui constituent des éléments vitaux et à la même enseigne que les deux premières mesures  pourront bien continuer leur chemin après le confinement. Il serait souhaitable même en temps normal que chaque citoyen ait l’habitude de porter le masque et se laver les mains autant que possible. Beaucoup d’autres maladies ou épidémies faisant souffrir la population surtout le petit peuple seront évitées si le port de masque et le lavage des mains demeurent ancrés dans  nos mœurs  pour  en devenir une seconde nature.
Ndrianaivo


Le Rajim qui venait d’être placé sous mandat de dépôt à Tsiafahy mardi dernier, est bel et bien celui qui est décrit comme l’un des complices supposés de Lama,  et sans doute les plus recherchés. Cette confirmation est de la Police. L’une des récentes révélations qu’une source proche du dossier a confiée, parle de la preuve matérielle du lien qui a uni les deux hommes dans l’industrie du kidnapping au pays. Une preuve que Rajim aurait détruite quelque temps avant que la Police ne l’ait arrêté à Ambohijanaka, la semaine dernière. Cette preuve se matérialise avec une  puce de téléphone détenue par le prévenu. Au cours de son audition par la Police, Rajim aurait avoué que l’objet en question contiendrait des conversations téléphoniques qu’il a eues avec Lama sur les actions du gang, qui se sont déroulées au cours de l’année dernière, et même avant cette période. « Certes, Rajim a détruit cette puce téléphonique lorsqu’il a compris  que la nasse allait se refermer sur lui. Mais il se souvient parfaitement du numéro », a confié une source.
Puisque la Police ait donc l’assurance d’avoir mis la main sur l’un des importants complices supposés de Lama, elle s’estime donc être en droit de recevoir la prime de 200 millions d’ariary promise, notamment pour l’escouade ayant réussi à mettre la main sur Rajim plus récemment. « Nous avons droit à cette prime, c’est notre dû », apprend-on du côté de cette Force. Notons que parallèlement à la récente incarcération provisoire de Rajim, un autre gendarme de 1ère classe lui a également emboité le pas à Tsiafahy. Bien que ce soit la Gendarmerie qui a procédé à l’arrestation puis à l’enquête de sa brebis galeuse, cette première semble ne pas vouloir faire un tapage médiatique sur l’affaire. Ce qui détonne de l’euphorie du premier temps lorsque cette Force a neutralisé définitivement Lama et le frère de celui-ci à Analamahitsy et à Ambohimahitsy. Néanmoins, la querelle intestine qui oppose ces deux corps composant les Forces de l’ordre, semble être loin de s’estomper encore tant qu’il y a cette question de prime. C’est du moins ce que les observateurs avertis ne manquent pas de constater. L’entrée en lice de ces informateurs, ces civils qui revendiquent leur contribution dans l’arrestation de Rajim, et donc un droit dans cette chasse aux 200 millions d’ariary, ne fait qu’ajouter de l’huile sur le feu.
Franck R.


Le scandale est apparu quelques jours à Madagascar. 8 milliards d’ariary auraient été dépensés par le ministère de l’Education nationale pour des bonbons. Des friandises destinées aux élèves pour effacer le goût amer du tambavy CVO. Pour rappel, ce remède à base d’artemisia et d’autres plantes médicinales   a été distribué gratuitement aux élèves en classe d’examen ayant repris le chemin de salles de classe. Révélé par un député lors du face-à-face avec les membres du Gouvernement en début de semaine, l’affaire a laissé tout d’abord l’opinion quelque peu sceptique. Depuis l’éclatement de l’affaire, l’information a depuis été confirmée.
 Un crédit ouvert aurait en effet été mis à la disposition du ministère de l’Education nationale dans le cadre de la lutte contre la propagation du virus Covid-19, selon les explications. Un crédit destiné, entre autres, à l’achat de consommables médicaux, mais également des produits alimentaires. C’est dans cette dernière rubrique qu’a été introduit l’achat de ces friandises d’une valeur totale  de 8,4 milliards d’ariary.
A raison de 500 ariary l’unité, 16 millions de bonbons au minimum auraient donc été achetés et distribués aux élèves en classe d’examen. L’on se pose la question de savoir combien d’écoliers, de collégiens et de lycéens en classe d’examen compte Madagascar.
Alors que, interrogé, un lycéen d’un grand établissement de la Capitale en classe d’examen affirme n’avoir eu un bonbon qu’une fois. Il soutient pourtant avoir bu le remède traditionnel amélioré CVO plus d’une fois. Il serait alors intéressant de savoir dans quels établissements scolaires ces friandises ont été distribuées. L’on ignore pour l’heure si les bonbons ont été ou non achetés auprès de fournisseurs malagasy.
Cette dépense au sein du ministère de l’Education nationale a été perçue comme extrêmement choquante et excessive par une frange non négligeable de la population.  Et elle a raison.  En effet, dans le contexte actuel de crise, l’Etat s’efforce de gérer au mieux l’argent du contribuable par rapport aux priorités sanitaires et sociales du pays. Il ne veut pas prendre le risque de débourser de l’argent pour des dépenses qui ne sont pas nécessaires. Il doit faire abstraction sur les dépenses en misant davantage sur les urgences du moment. Des urgences liées notamment au domaine social et sanitaire. Ce sont pour ces raisons notamment que certains projets utiles mais considérés comme non prioritaires ont été mis en suspens. Dans ce contexte, les dépenses du genre de celles qu’aurait effectuées le ministère de l’Education nationale sont jugées totalement déplacées. En tout cas, les précisions du premier responsable du département ministériel concerné face à cette question soulevée par les députés sont attendues.
La Rédaction


la une du 29 mai 2020

Publié le jeudi, 28 mai 2020

La Région de Haute-Matsiatra n'enregistre plus aucun cas positif au coronavirus depuis hier. Le dernier patient atteint du Covid-19, hospitalisé au Centre hospitalier universitaire (CHU) d'Andrainjato à Fianarantsoa, vient de remplir les critères de guérison. Il figure parmi les 9 personnes contaminées, recensées dans ladite Région. Il est à noter qu'un des passagers des derniers vols, dépistés positifs, a contaminé 8 personnes se trouvant dans le centre-ville de Fianarantsoa et Lalangina. La maîtrise des cas contacts résulte d'un travail de proximité, du moins pour cette zone actuellement sortie du « rouge » mais toujours menacée comme tout autre endroit.  

Lors du passage du Président  de la République Andry Rajoelina à Toamasina, mardi dernier, le début des essais cliniques d'une solution injectable a été annoncé officiellement. Il s'agit du développement d'un nouveau traitement pour lutter contre cette pandémie. Contrairement aux propos de certains médias, ce traitement s'effectue indépendamment des deux protocoles de traitement établis et élaborés, dont le CVO servant à traiter les  patients du Covid-19 à Madagascar. Afin d'apporter plus d'explications, le Professeur  Luc Rakotovao, médecin biologiste et investigateur  principal desdits essais cliniques  ainsi que le docteur Sahondrarimalala Marie Michelle, directeur des études juridiques auprès de la République, sont montés sur le plateau de la TVM, hier.

 

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Editorial

  • La lutte continue !
    « Orange Day ». La journée internationale de sensibilisation de la lutte contre les violences basées sur le genre se tenait ce lundi 25 novembre. Une mobilisation générale sous la houlette de la Première dame, Mialy Rajoelina, visant la conscientisation sur les méfaits de cet anachronique délit, a eu lieu dans tout Madagasikara, au Kianjan’ny hira gasy, Ampefiloha pour Antananarivo. Etant entendu qu’il s’agit une Journée mondiale, des mouvements de sensibilisation parfois même de contestation contre les violences basées sur le genre ont été constatées à travers les grandes villes du monde. Paris, New-York, Londres et bien d’autres ont vu des manifestations logées à la même enseigne. Les femmes, de toutes les couleurs, de race, de religion, ont battu les pavés des grandes capitales pour dénoncer ce qu’il convient d’appeler les féminicides. Une nouvelle terminologie pour immoler sur l’autel de la justice humaine cette honteuse et désuète pratique.A Madagasikara, l’inusable…

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