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« Je vous prie, monsieur le Consul, d’accorder mon visa. Ma fille a besoin de moi jusqu’à son opération. Je vous promets que je ne vais pas faire comme la maman de G. (initiale) et de revenir à Madagascar une fois l’opération d’I. (initiale) achevée », supplie la maman d’une fillette malade, les larmes aux yeux, dans une vidéo partagée sur Facebook. En fait, la petite I. souffre de graves problèmes cardiaques entraînant son inconscience répétitive à chaque émotion. Son traitement nécessite une intervention chirurgicale à l’étranger, d’où son évacuation sanitaire prévue en France, après divers plaidoyers par son association garante. Cette petite fille, tout comme d’autres enfants malades dont les cas nécessitent des évacuations sanitaires en France, semble condamnée. Ceci suite à l’histoire de G. et sa mère, lesquelles restent introuvables dans le territoire français jusqu’ici alors que leur visa a expiré le 3 mars dernier. Pourtant, ladite association s’est porté garante auprès du Consulat de France pour cette mère de famille ayant une fillette malade dans l’obtention de leur visa. « Une fois la première opération effectuée, G. et sa mère auraient dû rentrer à Madagascar, où devrait se faire le suivi de son état de santé. Ceci en attendant la seconde intervention chirurgicale, estimée se faire en décembre 2019, mais elles restent introuvables. « Nous avons fait tous les nécessaires auprès des autorités françaises et locales, mais aucune nouvelle depuis des jours », s’explique l’association.

Une plateforme de réseautage. L’Institut Supérieur de la Communication, des Affaires et du Management (ISCAM) a organisé hier au PK 0 Soarano le « Forum des entreprises » propre à l’institut. Cet événement représente une occasion pour les visiteurs, notamment les étudiants de l’ISCAM de tisser une relation avec les entreprises. « Ce forum est destiné à établir une connexion entre les étudiants de notre établissement et les entreprises, soit pour boucler des contrats de stage, soit pour des contrats d’embauche, soit pour développer le réseau ou tout simplement développer les bagages professionnels. A noter que le stage est obligatoire à l’ISCAM dès la première année. Les étudiants n’auront plus du mal à contacter des entreprises grâce à ce forum. On attend jusqu’à 3 000 à 4 000 entretiens effectués pour ce jour avec environ 500 à 700 élèves présents », rapporte Hervé Razafindranaivo, directeur de communication et marketing de l’ISCAM.

Après une assez longue période pour avoir extorqué de l’argent aux gens, cinq personnes dont  3 femmes ont été finalement démasquées puis interpellées par les éléments de la section de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale. Les suspects auraient utilisé le nom du couple présidentiel pour parvenir à leur funeste objectif,  gagner autant d’argent avec une histoire d’envois fictifs d’ouvriers  du pays en France. Pour balayer toute méfiance ou suspicion sur leur compte, ils  déclarent  travailler étroitement  avec le Chef de l’Etat malagasy et de son épouse.  Dans ces belles promesses, les immigrants devront travailler dans les chantiers  prévus accueillir les prochains Jeux olympiques en France. Pour mieux tromper leurs victimes, les escrocs n’ont pas hésité à avancer que cet envoi de travailleurs nationaux en France entre dans le cadre d’une coopération entre les deux pays.  Et pour cela, ils avaient besoin de 1700 postulants,  tous des hommes.

Parmi les personnalités qui sont montées au créneau pour défendre le projet de référendum constitutionnel décidé par le Président de la République en conseil des ministres, Lalatiana Rakotondrazafy regrette l’avis de la Haute Cour constitutionnelle, et trouve dommage que la volonté du Chef de l’Etat d’aller vite dans le rattrapage du retard de développement de Madagascar n’est pas partagée, notamment par certains qui ont fait primer leurs intérêts politiques personnels au détriment de ceux du plus grand nombre. Dans une interview accordée à l’équipe de la rédaction, la ministre de la Communication et de la Culture estime que la HCC a confirmé son statut de juridiction juridico-politique, et son avis était basé plus sur des considérations politiques que juridiques et constitutionnelles.
La Vérité (+) : Madame la ministre, vous avez farouchement défendu le projet de référendum prévu pour la révision de certaines dispositions de la constitution, mais la plus haute juridiction y a coupé court en émettant un avis non favorable à sa tenue. N’est-ce pas un revers que le Président et même le Gouvernement a essuyé ?
Lalatiana Rakotondrazafy (=) : Effectivement, je l’ai défendu avec beaucoup de convictions tout simplement parce qu’il s’agit pour le Président de la République de réaliser les promesses qu’il a faites au peuple malagasy durant sa campagne électorale. La décentralisation effective ou encore la suppression du Sénat ont été annoncées et discutées maintes et maintes fois pendant des mois et le Président s’y est engagé. La majorité l’a élu, ce qui signifie clairement qu’elle a adhéré à ces engagements.

19 janvier 2019 - 29 avril 2019. Cela fera exactement cent jours lundi prochain qu’Andry Rajoelina est à Iavoloha. Dans ce cadre, le Président de la République fera le bilan de ses premiers cent jours à la tête du pays et ce, lors d’un évènement grand public au Palais des Sports de Mahamasina dimanche.  Pour les observateurs, les 100 jours écoulés depuis l’investiture d’Andry Rajoelina ont permis de jeter les bases d’un véritable Etat de droit dans le pays.  Il a réinstauré l’autorité présidentielle à travers des gestes aussi bien symboliques que réels. Dès son investiture, Andry Rajoelina a montré sa volonté de marquer un changement et d’œuvrer en faveur d’un Etat de droit. Chrétien pratiquant, le plus jeune Chef d’Etat africain a respecté à la lettre les dispositions constitutionnelles sur la laïcité de la République et la séparation des affaires de l’Etat et des institutions religieuses. Il a accepté sans broncher une cérémonie d’investiture laïque et républicaine, sans culte et sans usage de la Bible. Preuve de cette volonté du tout récent Chef de l’Etat de respecter les lois et d’instaurer l’Etat de droit, avant de prendre une décision importante, Andry Rajoelina a demandé l’avis de la Haute Cour constitutionnelle sur son projet de soumettre directement au peuple le vote d’une loi constitutionnelle par voie référendaire. Bien malgré l’avis de la HCC, le Président ne semble pas vouloir passer outre l’avis de la Haute Cour constitutionnelle qui repousse à une échéance ultérieure son projet d’installer des gouverneurs de région. Et ce, contrairement à son prédécesseur à Iavoloha qui, notamment, avait fait fi de l’avis d’Ambohidahy sur l’article 54 relatif à la nomination du Premier ministre.

Obligation de résultats

Publié le vendredi, 26 avril 2019

Le Président de la République Rajoelina Andry Nirina convie le peuple de la Capitale, ce dimanche 28 avril, à une rencontre solennelle au palais des Sports Mahamasina. Rajoelina s’adressera  à l’assistance pour marquer d’une pierre blanche les cent jours de son accession au pouvoir et dans le cadre global de la nécessité de rendre compte des activités effectuées et d’anticiper les grands projets dans l’avenir.  Une grande première dans l’histoire récente de Madagascar. De la première République jusqu’à nos jours, aucun des Chefs d’Etat, de feu Philibert Tsiranana à Rajaonarimampianina Hery,  n’avait pas daigné rendre compte de leurs activités au peuple au moment où ils avaient franchi le cap des cent premiers jours de leurs mandats.  Une pratique généralement appliquée pourtant sous d’autres cieux ! La loi n’exige pas à tout nouveau dirigeant de se mettre au rapport devant les citoyens électeurs dans le délai de cent premiers jours de leur prise de fonction. Mais dans un souci de transparence et pour le respect envers le peuple, le vrai détenteur du pouvoir, mais surtout pour mettre en valeur le début de la concrétisation des engagements tenus, Rajoelina va se plier à la bonne et utile pratique. 

La UNE du 26 AVRIL 2019

Publié le jeudi, 25 avril 2019

Santé - Situation mondiale alarmante

Publié le jeudi, 25 avril 2019

Actuellement, Madagascar n’est pas le seul pays frappé par l’épidémie de rougeole. Ailleurs, elle fait  également des millions de  victimes. Lundi dernier, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait savoir que les cas de rougeole ont fortement augmenté au niveau mondial. Comparant à l’année dernière, ils ont pratiquement quadruplé au premier trimestre 2019 avec un total de 112.163 personnes atteintes.   Selon l’UNICEF, près de 110.000 personnes, notamment des enfants, ont perdu  la   vie après avoir contracté la rougeole, un nombre en hausse de 22% par rapport à 2016.

 

Il y a plus de deux semaines, il s’est enfui avac les 100 millions d’ariary appartenant à la banque Baobab de Mahitsy et après avoir leurré sa compagne, une employée de l’établissement. Depuis hier, la brigade de gendarmerie de Mahitsy chargée de l’enquête, a émis un avis de recherche à l’endroit du fugitif.   Il s’agit d’un certain Hajatiana Rabetsaroana,  sans domicile fixe, du moins selon les termes employés par les gendarmes.

 

Courte mémoire !

Publié le jeudi, 25 avril 2019

Chez l'homme (ou la femme) le problème de santé lié au trouble de la mémoire cause des dégâts énormes. Quand l'âge avance, il se trouve dans la plupart des cas que des défaillances de la mémoire apparaissent. Pour certains cas plus graves comme la maladie neurodégenerative ou la « maladie d'Alzheimer », le patient victime, généralement à partir de 65 ans, suit des traitements particuliers. Selon les spécialistes, il s'agit d'une démence liée à une dégénérescence de neurones corticaux et elle se manifeste, entre autres, par des troubles de la mémoire, du langage et par la difficulté de se localiser.

 

Fil infos

  • Affaire des Boeing 777 - L’un des inculpés avoue
  • Présidence du Syndicat des administrateurs civils - Rakotondramanana Solofotahiana plébiscité par ses pairs
  • Gouvernement - Un remaniement discuté dans les salons 
  • Affaire Ambohimalaza - Sept patients, dont la mère de Nombana, transférés à l’IMM Anosy
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  • Présidence de la FJKM - Missions titanesques pour le pasteur Zaka Andriamampianina
  • Financement des grands chantiers routiers - Une délégation d'Abou Dhabi à Anosy pour accélérer les projets
  • Présidence de la FJKM - L’élection prévue ce soir à Taolagnaro
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Editorial

  • Céline s’en est allée !*
    Céline Ratsiraka, épouse Céline Marthe Velonjara, de son vrai nom et Céline pour les intimes, Première dame de la Deuxième République est partie pour un voyage définitif, rejoindre son défunt époux Didier Ignace Ratsiraka, ancien Président de la République Démocratique de Madagasikara (RDM), 1975 – 1991 et 1997 – 2002, décédé en 2021. Troisième d’une fratrie de cinq enfants de feu Pascal Velonjara, parlementaire de l’époque coloniale, parmi les fondateurs du Parti des Déshérités de Madagascar (Padesm) et de feue Berthe Kolohasina, Céline Velonjara épousa Didier Ratsiraka dans la chapelle de la cathédrale catholique de Diégo-Suarez par le père répondant au nom de Gaétan Armand Razafindratandra, futur et très influent cardinal de Madagasikara. A l’issue de cette union, le couple Ratsiraka a eu quatre enfants dont trois filles Olga, Sophie, Annick et un garçon Xavier. En tandem avec sa grande sœur Hortense, épouse de Raveloson Mahasampo, directeur général de la…

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