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Dans le cadre du projet ambitieux intitulé « Femmes bien traitées, loin de la douleur », l'organisation non-gouvernementale Douleurs Sans Frontières (DSF) s'engage activement pour améliorer la prise en charge médicale des femmes à Madagascar. Il faut ainsi écarter l’idée que les femmes supportent plus la douleur que les hommes. Tout un chacun doit bénéficier du même traitement et d’accès aux soins et médicaments contre la douleur.
Le traitement du cancer figure parmi les thérapies lourdes et douloureuses pour un patient. Il combine à la fois douleurs physiques et psychologiques. Par conséquent, une journée de sensibilisation sur les pathologies douloureuses et le dépistage du cancer du col de l'utérus sera prévue le mercredi 11 octobre de 9h 30 à 15h au Centre de santé de base (CSB II) d’Ambohidroa.
Cette fois-ci, l'événement vise à sensibiliser les femmes sur le cancer du col de l'utérus et à les encourager à la prévention et au dépistage précoce de cette maladie. Plus un cancer est détecté tôt, plus son traitement sera facile et les résultats seront positifs. En outre, DSF en partenariat avec l’association « Fianakaviana sambatra » (FISA), sensibilisera les participants au sujet de la santé sexuelle et reproductive. « DSF mettra en lumière l'importance de la prévention du cancer du col de l'utérus. Les femmes auront l'opportunité de se faire dépister sur place. L’ONG et ses partenaires seront présents pour informer, orienter et accompagner les femmes, garantissant ainsi une prise en charge médicale de qualité et un suivi approprié », a indiqué l’organisation.
Soutien des proches
En outre, l’importance des soutiens psychologiques venant de l’entourage et des proches des malades sera également soulevée. En effet, ces personnes vivent au quotidien la détresse des malades. Il faut ainsi les encourager à prendre cette responsabilité. Si son entourage vient à flancher, cela aura certainement une influence négative sur la patiente. Les gestes et les paroles devront être réfléchis et bien pesés afin de ne pas infliger davantage de souffrance au malade.
Le projet « Femmes bien traitées, loin de la douleur » a été lancé dans le but de fournir un soutien médical adéquat aux femmes malgaches souffrant de pathologies gynécologiques douloureuses et cancéreuses. Grâce au financement de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) via le fonds « La Francophonie avec elles », DSF a pu mettre en place ce projet crucial pour renforcer le système de santé à Madagascar.
Nikki Razaf

Bataille loyale

Publié le vendredi, 06 octobre 2023

La campagne électorale ouvrira ses portes dans douze heures franches. Selon le calendrier du processus électoral établi par la CENI, l’rgane officiel habilité à organiser en amont et en aval des élections à Madagasikara, et adoubé par le Gouvernement, la période de la campagne électorale au vu de l’élection présidentielle de 9 novembre 2023 débutera le 10 octobre à zéro heure et prendra fin le 7 novembre à minuit.
Toute consultation populaire qui se respecte et quelle que soit sa forme est précédée d’une période campagne ou d’un temps de propagande afin que chaque prétendant ou chaque groupe de personnes soutenant tel ou tel candidat puissent présenter son programme ou bien exposer auprès des concitoyens électeurs les motifs ou raisons le ou les conduisant à se présenter ou à soutenir tel ou tel postulant.
La campagne électorale est une phase cruciale dans le processus électoral dans la mesure où elle permet aux électeurs sinon décideurs, à la base, de prendre une décision bien en connaissance de cause en direction de leur choix. Ainsi, la campagne électorale s’inscrit dans la logique de la démocratie. Tout scrutin quelle que soit sa forme qui n’est précédé d’une campagne électorale libre et inclusive perd sa crédibilité et sa notoriété vis-à-vis de l’opinion nationale et internationale. Une campagne électorale à sens unique est le propre d’une République bananière. Et une campagne électorale entachée de troubles ou de violence n’a pas sa raison d’être. Enfin bref, une campagne électorale en bonne et due forme débouche vers une élection digne des valeurs universelles de la démocratie. Une réserve s’impose. Quand un participant se décide, lui-même, de son propre gré, de ne pas participer aux joutes verbales de la campagne électorale, c’est un choix délibéré qui lui incombe personnellement. Son acte ne portera pas atteinte à la crédibilité du scrutin.
Ceci étant, allons-y pour une bataille loyale. Une bataille rangée au cours de laquelle le « fair play » jouit pleinement de son droit. A la guerre comme à la guerre, à la bonne guerre, où la règle du combat sinon du jeu existe. Sur le ring de pugilat, les boxeurs sont soumis à une règlementation stricte. L’arbitre est là pour faire respecter la … loi.
Les animosités verbales encore moins physiques sont formellement interdites. De même, les dénonciations calomnieuses ou accusations gratuites ne méritent point de monter en surface et polluer l’air sur terrain. Les placages par-derrière sont à bannir. Les habitués à lancer des piques ou à tirer des boulets rouges doivent revoir ces pratiques délétères.
Il est vrai qu’il n’existe pas de crise ni de problème politique à Madagasikara toutefois il y a de vrais problèmes auxquels il va falloir trouver des solutions urgentes. Pour ne citer que la misère, l’insécurité, la corruption, l’impunité, les insuffisances chroniques alimentaires, etc. La campagne électorale est le moment propice ou idéal pour les prétendants à la magistrature suprême d’exposer par quels moyens efficaces proposent-ils pour venir à bout de ces vrais problèmes qui ont tendance à s’incruster au pays. Il faut éviter à tout prix de se perdre dans les dédales des faux problèmes impliquant de faux débats.
Le pays attend de cette campagne électorale loyale qui va s’ouvrir des exposés à des programmes de société dignes et efficaces.
Ndrianaivo


« Je dirige la sélection nationale juste pour la préparation au Maroc ». C’est la réponse donnée par le coach des Barea de Madagascar, Romuald Rakotondrabe dit Rôrô, à la veille du départ, prévu pour ce mardi,  de la formation malagasy pour le Maroc. Là où les Barea de Madagascar auront deux matchs amicaux de préparation en vue des rencontres officielles comptant pour la qualification à la prochaine Coupe du monde de la FIFA. A l’issue de cette campagne de préparation, c’est le point d’interrogation sur l’identité du futur entraîneur des Barea qui dirigera les matchs de qualification programmés au mois de novembre prochain, 13 et 20, face respectivement au Ghana et Tchad.
«  Pour l’instant, je n’ai aucune proposition de la Fédération ni sollicité », révèle Rôrô qui ne cache pas son désir de rempiler pour diriger les Barea de Madagascar. Cette situation cocasse n’arrange personne notamment le coach lui-même, les membres du staff et les joueurs. La sérénité fait ainsi défaut à l’ensemble du groupe et ce à un mois de la double confrontation au programme des Barea cette année.
Interrogé sur ce point, Patrick Pisal Hamida, administrateur délégué général du principal partenaire de la Fédération nationale en l’occurrence Telma, se dit « étonné » de l’hésitation des dirigeants de la Fédération.  « Certes, l’instance nationale aborde dans quelques jours ses élections. Toutefois, cela ne doit pas entraver à la bonne gouvernance des Barea de Madagascar qui ont une échéance internationale à honorer et où ils ont une chance à saisir en étant tiré dans un groupe jouable », explique Patrick Pisal Hamida. Madagascar compose en effet son groupe avec le Ghana, le Mali, le Tchad, les Comores et la Centrafrique. Il suggère aux membres actuels de la FMF de passer à la désignation de Romuald Rakotondrabe en tant qu’entraîneur des Barea, ne serait-ce que jusqu’à la fin de l’année. Et ce afin que tout le monde prépare en toute tranquillité les rencontres officielles au mois de novembre. L’actuel président de la Fédération peut prendre cette décision sans attendre l’issue de l’élection et de donner cette prérogative à la nouvelle équipe fédérale.
C’est en effet inconcevable qu’un nouveau technicien soit nommé à 30 jours de ces deux matchs alors que l’actuel occupant du fauteuil du coach a déjà fait ses preuves. Une médaille de bronze au Championnat d’Afrique des Nations (CHAN), une médaille d’or aux derniers Jeux des îles de l’océan Indien (JIOI) et une sortie honorable à la dernière journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) face à l’Angola.
Bref, Rôrô a réussi là où ses prédécesseurs, malgré eux, ont échoué. Mais quelques têtes à la Fédération ne reconnaissent pas ou même doute encore de cette performance de l’entraîneur malagasy le plus capé au niveau international d’où leur décision d’accorder qu’une pige à Rôrô.
Rata



Etant parmi les pays les moins développés dans les années 1960. Actuellement, la Corée du sud devient un acteur majeur de l'économie mondiale en tant que membre du G20. Elle a bénéficié de l'aide internationale pour son développement dans le passé. Maintenant, il s’agit d’un pays donateur actif. La Corée du sud s'engage dans l'aide au développement en apportant un soutien financier et technique à de nombreux pays en développement, y compris Madagascar. 
Lors de la célébration de la Fête nationale coréenne, hier, Yvette Sylla, ministre des Affaires étrangères, a souligné l'importance du partenariat entre Madagascar et la République de la Corée. Ce partenariat se manifeste par des investissements significatifs dans divers secteurs, en particulier les mines. Ce pays apporte un soutien financier et technique à la réalisation des programmes de développement initiés par le Gouvernement malagasy. Les domaines prioritaires incluent la santé, l'éducation et la préservation de l'environnement. Yvette Sylla a également cité les réalisations récentes de cette coopération, notamment le financement du projet d'électrification à travers la construction de deux sous-stations : celle de Tanà Nord et d'Ambohibary, dans le cadre du Projet de Renforcement et d'Interconnexion des Réseaux de Transport d'Energie Electrique à Madagascar (PRIRTEM I). Vient ensuite  la réussite du « Better Education for Africa’s Rise » (BEAR II), une coopération tripartite dans le domaine de l'éducation, financé par la Corée et mis en œuvre par l'UNESCO, achevé en novembre 2022. On peut mentionner également le projet de Conservation de la biodiversité et gestion durable des ressources naturelles pour le développement communautaire intégré dans les parcs nationaux de Madagascar (BIOCOM).
Pays pivot
Divers programmes de formation sont destinés aux agents de l'Etat malagasy, octroyés chaque année par l’Agence coréenne de coopération internationale (KOICA), tels que la formation pour l'autonomisation des femmes et le renforcement des capacités pour les diplomates,  la convention de partenariat entre le « Korea Customs Service » (KCS) et la Direction générale des douanes malagasy sur l'« Amélioration du système douanier à Madagascar », ce qui a permis l'échange d'expertises entre les techniciens des deux pays dans le domaine de l'e-gouvernance en matière douanière.
En août dernier, Madagascar a également eu l'honneur de recevoir une délégation coréenne dirigée par Yoon Sang Jick, un envoyé spécial du Président coréen. Cette visite a conduit à la signature de quatre mémorandums d'entente visant à concrétiser la coopération économique entre les deux pays, notamment dans la promotion du commerce et des investissements miniers. D'après l'ambassadeur de La République de la Corée à Madagascar, « la Corée du Sud aspire à jouer un rôle de "pays pivot" sur la scène mondiale, en contribuant à la liberté, la paix et la prospérité mondiale. Elle renforce également ses relations de coopération avec les partenaires africains, en mettant l’accent sur les relations mutuellement bénéfiques et orientées vers l'avenir, particulièrement avec Madagascar ».
Carinah Mamilalaina


Triste fin pour un soldat de 2e classe répondant au nom de Lalatiana Aimé Solonirina (22 ans), qui était en service à l'ENSOA Antsirabe. Il a trouvé la mort de façon particulièrement violente car étant littéralement broyé par un camion-citerne. Le militaire se serait suicidé, du moins selon la Gendarmerie. Les faits sont survenus sur une portion de voie longeant la gare routière de Vatofotsy, Fokontany de Saharoaloha, Commune urbaine d'Antsirabe.
 Revoyons les circonstances de l'accident. Le militaire est sorti d'un petit portail de l'ENSOA, bordant la route secondaire. Puis, et sans formalité, il a directement plongé sous le camion-citerne qui venait d'un dépôt sis à Saharoaloha. La victime a été tuée sur le coup.
Il s'agit d'un suicide, selon le premier renseignement reçu. "Le militaire s'est jeté, non au-devant le poids lourd, mais a plutôt attendu à ce que le poids lourd passe à sa hauteur avant de plonger subitement sous les essieux. La mort fut sans appel et il ne fallait pas voir. Le résultat fut effroyable.
D'après les premiers éléments de l'enquête, un problème familial, ayant occasionné une tension psychologique chez le concerné, aurait motivé ce comportement suicidaire du soldat.

Le camion de marque DAF XF en cause, appartiendrait à un habitant d'Anosiala Ambohidratrimo.
Le corps du défunt a été remis au colonel, commandant de l'ENSOA après la constatation.
La brigade de police de la route est saisie de l'affaire.
Franck R.


Parmi ses griefs, le Collectif des candidats critique le processus électoral, sans pour autant fournir de preuves. Des critiques qui montrent une mauvaise foi des onze prétendants à Iavoloha regroupés au sein de ce mouvement. En effet, depuis le début du processus électoral, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) montre patte blanche en matière de transparence.
Dans un souci de fiabilité et de transparence du processus électoral, la CENI a organisé plusieurs dialogues avec les parties prenantes, dont la dernière s'est tenue, hier à Alarobia, au siège de cette commission électorale. Ce dialogue vise à créer les conditions les plus favorables à la conduite d’un processus électoral apaisé, à travers des discussions ouvertes sur les différents volets du processus et les préoccupations des acteurs.
Il est loisible de critiquer à ce sujet la politique de la chaise vide adoptée par les candidats de l'Opposition. Ceux-ci boycottent systématiquement les séances d'information initiées par la CENI dernièrement destinées pourtant à lever tous leurs inquiétudes sur tous les aspects du scrutin. Ces candidats qui ne se privent pas de remettre en question le processus électoral, sans pour autant fournir des preuves. Une énième manifestation de la mauvaise foi de ces candidats.
Surveillance des fraudes
En matière de transparence, la CENI a procédé en début de semaine à la distribution  d'un disque dur à chaque candidat à l'élection présidentielle contenant les données statistiques du registre électoral national et de la liste et l’emplacement des bureaux de vote. Cette dotation répond à un souci de la transparence par rapport au processus électoral, devait expliquer le président de la CENI, Dama Arsène Retaf Andrianarisedo.
Toujours dans ce souci de transparence, la CENI, en collaboration avec le PNUD et la Commission nationale indépendante de la défense des droits de l’homme (CNIDH), a lancé la semaine dernière la plateforme I-report permettant de faciliter la surveillance des fraudes, lors des élections. Cette plateforme ouverte à tous, aura pour objectif de lancer un système d’alerte précoce contre toute fraude ou infraction durant les élections.
Audit
Par ailleurs, la CENI a également entrepris d'effectuer un audit du registre électoral. Ainsi le fichier électoral a subi deux audits, des opérations auxquelles ont pu participer des techniciens issus des partis politiques de l'Opposition dont le Tiako I Madagasikara de Marc Ravalomanana. Ces techniciens avaient notamment conclu que le Registre est suffisamment fiable pour permettre la tenue des prochaines élections.
Le candidat Marc Ravalomanana s’est même réjoui de la réalisation de l’audit du fichier électoral. Les organismes internationaux, dont notamment l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), dans son rapport d’audit du Registre électoral national de Madagascar (2022-2023), avaient aussi adoubé ce registre. Tout cela pour dire que la liste électorale est aussi sûre que possible. D'ailleurs si la CENI avait des velléités de fomenter des irrégularités, elle n'aurait pas remis ladite liste aux candidats.
Force est ainsi de souligner que jusqu'à présent tous les outils que la CENI pouvait donner en guise de garantie de sa volonté d'avancer vers une élection présidentielle transparente et intègre ont été faits. Alarobia est exempt de reproches dans ces domaines.
L.A.

LA UNE DU 06 OCTOBRE 2023

Publié le jeudi, 05 octobre 2023

Jour-J, tout est prêt pour le « Road to BAL ». Le Club omnisport de la police nationale (CosPN), l’équipe malagasy en lice dans cette campagne africaine des clubs champions, est déterminé à aller plus loin dans la compétition.  Trois jours de compétition sont au programme à partir de ce vendredi 6 octobre au dimanche 8 octobre. Un match par jour se tiendra au Palais des Sports de Mahamasina à 17h. C’est l’équipe seychelloise de  Beau Vallon Heat et la formation comorienne d’Ushindzi qui ouvriront la confrontation ce jour. Un match décisif car le malheureux vaincu de ce choc sera déjà dans une impasse pour la suite de la compétition.  L’équipe malagasy sera en lice demain samedi à 17h face à l’équipe comorienne. Un club à ne pas amoindrir car les Comoriens ne sont pas venus au pays pour passer des vacances mais ont pour mission de s’arracher l’unique ticket pour l’Elite « Sixteen ». 

Education - Hommage au corps enseignant

Publié le jeudi, 05 octobre 2023

Un dévouement, une passion. « Sans les enseignantes et les enseignants, l'éducation ne remplirait pas le rôle qui lui est assigné, car enseigner ne signifie pas uniquement apprendre à l'élève une série de faits et nombres. C'est inspirer, libérer le potentiel de l'enfant, lui offrir de nouvelles perspectives. Enseigner, c'est aider les enfants à concrétiser leurs rêves d'un monde meilleur ». La Journée mondiale des enseignants est célébrée tous les 5 octobre. 

« Les enseignants dont nous avons besoin pour l'éducation que nous voulons », tel est le thème de cette année. Il s'agit de reconnaître le rôle important que jouent les enseignants dans l'éducation et le développement des individus et des sociétés. 

L’opération de soins gratuits pour les riverains du quartier d’Isotry a été un franc succès. En effet, le bataillon médical du ministère de la Défense nationale a mis la main à la pâte en offrant des soins gratuits et en distribuant des médicaments pour les personnes défavorisées de ce quartier. Cette action civilo-militaire entre dans la politique « Santé pour tous ».

Au jour de lancement de l’opération, environ 600 personnes sont venues pour se faire ausculter à l’EKAR Anatihazo-Isotry. Et au final, ce chiffre a dépassé le millier lors de la dernière journée. Lors des consultations, il a été relevé que ce sont les maladies pulmonaires qui sont les plus fréquentes. « En cette période d’intersaison, grippe, toux et autres maladies respiratoires apparaissent. Les patients ont ainsi reçu les médicaments s’y référant selon le stock disponible. Ce genre d’action va continuer dans d’autres quartiers. 

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Editorial

  • Visite d’Etat
    Le pays s’apprête à accueillir une visite d’Etat. Dans une ambiance effervescente, la Grande île se prépare à recevoir sur le sol malagasy, en visite d’Etat, le Président français Emmanuel Macron le 23 avril. Ce sera le 5ème voyage officiel d’un Chef d’Etat français à Madagasikara mais il s’agit cette fois-ci d’une visite d’Etat. On entend par « visite d’Etat, un voyage officiel d’un Chef d’Etat souverain dans un pays souverain suite à l’invitation officielle du Chef d’Etat d’un pays souverain. C’est le plus haut niveau protocolaire d’un voyage officiel qu’effectue un Chef d’Etat à l’extérieur. Selon le protocole français en matière de visite ou voyage du Chef d’Etat, il existe trois sortes de voyage : le voyage officiel (d’Etat éventuellement), le voyage de travail et le voyage privé. Le général de Gaulle effectua un voyage officiel à Madagasikara en 1958. Il ne s’agissait pas d’une visite d’Etat du fait…

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