Nos archives web

Les appels à candidatures pour la sixième édition du concours « Women in Africa » sont à présent ouverts. Lancée par l’initiative Women in Africa, cette campagne est dirigée par  la Nigériane Hafsat Abiola. Les entrepreneures africaines ont l’opportunité de candidater au programme WIA 54 qui promeut l’entrepreneuriat féminin en Afrique. Pour cette édition, la gagnante du prix Gold Award recevra un financement de 10 000 € pour la réalisation de ses projets.

L'aventure touche à son terme. Après une longue attente due à la crise sanitaire, les organisateurs du concours de beauté ont été contraints de reporter la finale de Miss et Mister Teen Beauty Fashion ». Une finale qui aurait dû avoir lieu au mois de janvier. Cette semaine, le concours revient pour la grande finale qui se tiendra ce samedi 14 mai dans les enceintes de l'IKM Antsahavola à partir de 14h30.

Le Président Andry Rajoelina a visité la FOFIFA (Centre National de recherche appliquée au développement rural) sis à Ambatobe. C’est la première fois que le FOFIFA accueille un Président de la République dans ses locaux.

Des propos qui font froid dans le dos ! 13 ans après le carnage qui a fait près d’une quarantaine de morts et plus d’une centaine de blessés à Ambohitsorohitra, le 07 février 2009, le Général Raoelina est loin d’éprouver des remords. Pire, l’ancien directeur de la garde présidentielle semble être rattrapé par ses vieux démons. A croire ses propos sur le réseau social Twitter, hier, non moins conseiller militaire de l’ex – Président Marc Ravalomanana a clamé haut et fort qu’il serait prêt à le refaire.

La ministre de l'Economie et des Finances, Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison, ou son éventuel représentant, est prévue rejoindre la capitale sénégalaise, Dakar, où se déroule du 11 au 17 mai la 54e session de la Conférence des ministres africains des finances, de la planification et du développement économique (CoM2022).

Entre le 9 et le 10 mai derniers, les opérations menées par la Gendarmerie et visant à réprimer le gangstérisme à Anjozorobe ont porté leurs fruits. En observant à la loupe les faits plus récents, qui datent du 10 mai dernier, ils se traduisaient par un accrochage avec des dahalo puis se sont soldés par la neutralisation d'un malfaiteur répondant au nom de Herizo (24 ans), réputé dangereux et doublé d’un récidiviste en matière de vol. Les circonstances de cette élimination se sont déroulées vers 22h 30 au “kizo” ou passage obligé sis entre Antampon'ny Tsimahabeomby et Ambohitrandriana, route menant au village d'Anosimanarivo, Commune rurale d’Ambatomanoina, District d’Anjozorobe II.

LA UNE DU 12 MAI 2022

Publié le mercredi, 11 mai 2022

La une du 11 mai 2022

Publié le mardi, 10 mai 2022


Dimanche après-midi dernier, Michel Dolidzé, ce Français de 80 ans, a été retrouvé mort dans sa maison à Foulpointe. Des traces de coups de couteau ont été observées sur le cou de la victime, privilégiant ainsi la piste d’un meurtre. Depuis, la Gendarmerie a ouvert une enquête qui semble évoluer assez rapidement. Hier matin, les gendarmes ont procédé à l’arrestation de trois suspects dans l’affaire à Toamasina. L’une, puisqu’il s’agit d’une femme, est une ex-compagne de l’octogénaire. Les deux autres sont des hommes dont l’un est le conjoint actuel de la dame, et le second, son beau-frère.
Selon les premiers éléments de l’enquête, des témoins affirment avoir vu les suspects entrer dans le domicile de l’ancien parachutiste de l’Armée française, dimanche après-midi dernier. Là, c’est l’ex-compagne en cause qui fit en premier son irruption à l’endroit suivie, quelques moments à peine après, par les deux hommes. “Actuellement, les trois suspects devraient être soumis à un interrogatoire dans le bureau de la Gendarmerie à Foulpointe pour répondre de leurs actes”, concède notre source au niveau du groupement de la Gendarmerie d’Atsinanana.
L’affaire évolue depuis que l’enquête avait été lancée ! Alors qu’un pan entier de la vie de la victime demeure encore obscur, on sait toutefois qu’il vivait seul dans cette ville touristique et balnéaire de Foulpointe qu’il a rejoint depuis 2019, à l’instar bien sûr ses habitudes à faire le trajet Toamasina-Foulpointe, et en sens inverse. Aux dernières nouvelles, des membres de la famille de la victime viennent d’arriver à Foulpointe afin de récupérer sa dépouille mortelle. Le représentant de la chancellerie française, dans cette Province de la Grande-île, a été déjà mis au courant de cette affaire, depuis lundi dernier.
Franck R.


Obstruction des digues et canaux d’évacuation des eaux par les boues et déchets, des constructions illicites sur ces infrastructures. Tout cela constitue une menace, voire un danger imminent pour la ville d’Antananarivo. Les risques d’inondation s’aggravent durant la période cyclonique, même en seulement quelques heures de pluie. « L’assainissement des canaux constitue l’issue face à ce danger. L’assainissement du canal C3, depuis Anosibe jusqu’à Ambodimita, pourra prévenir l’inondation à Antananarivo », reconnait Pierre Houlder, ministre de l’Aménagement du territoire et du Service foncier. C’est justement la finalité du Projet de développement urbain intégré et de résilience du grand Tanà (PRODUIR), actuellement mis en œuvre sur un financement de la Banque mondiale.
La mise en œuvre du PRODUIR engendre la démolition des constructions illicites, l’achat des terrains appartenant à des particuliers ou encore la suspension des activités génératrices de revenus de certaines personnes, dont les lessiveuses et les briquetiers œuvrant au bord des digues. Au total, près de 1 400 personnes sont affectées par le projet (PAPS). Ils bénéficient d’une compensation financière pour ce faire. Le paiement de leur compensation a débuté en février dernier, avec une vingtaine de personnes dédommagées. Le paiement s’enchaîne cette semaine pour 950 personnes ayant des dossiers complets. Elles ont reçu des puces téléphoniques contenant un compte « Orange Money », lundi après-midi à Anosizato. « Le dédommagement financier va s’accélérer dans les prochaines semaines. Près de 75 % du paiement des PAPS de la digue seront effectifs », communique le responsable du projet.
Rappelons que la mise en œuvre du PRODUIR se fait sur un financement à hauteur de 75 millions de dollars alloué par les partenaires. Ce financement permettra de mener diverses activités et travaux, dont l’enlèvement des déchets, l’assainissement et l’extension des canaux ou encore la compensation des PAPS. Les travaux sur le site de réinstallation à Andavamamba, le confortement de la digue ainsi que le curage du canal C3 vont bientôt commencer. Il en est de même pour la construction de 206 infrastructures urbaines en faveur des Communes bénéficiaires du projet.
Recueillis par Patricia Ramavonirina


Fil infos

  • Animaux sauvages saisis en Thaïlande - Œuvre des réseaux de trafiquants à Madagascar
  • ACTU-BREVES
  • JIRAMA - Ron Weiss, nouveau directeur général
  • Production d’énergies renouvelables - L’Etat encourage les investissements privés
  • Actu-brèves
  • Coopération Madagascar-Maroc - Une seconde visite du Roi Mohamed VI se précise
  • ACTU-BREVES
  • Lutte contre la famine et les fléaux climatiques - Le Président Rajoelina plaide pour une hausse des financements
  • Actu-brèves
  • Energie renouvelable - Le premier parc éolien de Madagascar opérationnel début 2025

La Une

Recherche par date

« May 2024 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
Pub droite 1

Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

A bout portant

AutoDiff