La vigueur de la reprise économique du Maroc se confirme. Après la Banque mondiale, la semaine dernière, qui a révisé à la hausse la projection de croissance de l’économie nationale pour l’année 2021 (de 4,2% à 5,3%), c’est au tour du Fonds monétaire international, l’autre institution de Bretton Woods, de rehausser son taux de croissance prévisionnel pour le Royaume.
 
Dans son rapport intitulé «World Economic Outlook», rendu public ce mardi 12 octobre 2021, le FMI s’attend désormais à ce que le taux de croissance du Maroc pour l’année 2021 atteigne 5,7%. C’est 1,3 points de plus que le taux prévisionnel pronostiqué en avril dernier par les équipes du FMI.
 
Comme ce fut le cas pour la Banque mondiale, les statistiques du FMI montrent que le Maroc devrait afficher le taux de croissance le plus vigoureux des pays de la région MENA. Le Maroc fait mieux en particulier que l’Egypte (3,3%), la Tunisie (3%), l’Algérie (3,4%), les Emirats arabes unis (2,2%), ainsi que la Jordanie (2%).

 
L’institution de Bretton Woods souligne, en outre, que le chômage devrait grimper à 12% en 2021 avant de légèrement reculer à 11,5% l’an prochain. L’indice des prix à la consommation restera stable et se situera respectivement à 1,4% en 2021 et 1,2% en 2022, selon les mêmes projections.
 
A noter qu’au niveau mondial, l’institution internationale a légèrement abaissé ses projections de croissance, tablant désormais sur 5,9 % cette année et 4,9 % en 2022, tout en relevant la persistance à court terme des répercussions de la pandémie et ses effets divergents.
Source : le360.ma

Publié dans Politique
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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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