Un jeune malagasy de 16 ans, qui joue au poste de trois-quarts centre du Stade Français Paris catégorie U16, prête main-forte aux Ladies Makis dans le cadre de leur préparation pour la Coupe du monde en Afrique du Sud en septembre. Zina Nicolas Ramanamirija, accompagné par ses parents, Bob et Murielle Ramanamirija, n'est pas venu les mains vides en rendant visite aux joueuses à l'entraînement au stade Makis.
Une bonne entame pour l’équipe nationale malagasy de basketball, les Ankoay de Madagascar. M’Mady et ses camarades ont effectué une entrée fracassante hier en s’imposant sur une belle victoire face au Benin. Madagascar a franchi la barre de 100 points en battant à plate couture les Béninois 102-41. Dès le premier quart- temps, l’équipe malagasy a déjà pris le large avec 28-03 au score.
Comme l’a annoncé l’ambassadeur de l’Inde à Madagascar, Abhay Kumar, le 3 juin dernier, 15.000 bicyclettes seront offertes aux enseignants et élèves malagasy. Le premier lot, composé de 5.000 vélos, est déjà arrivé hier à Toamasina. Selon le diplomate, ils seront remis au ministère de l’Education nationale, lequel se chargera de leur distribution autant que le choix des bénéficiaires. Par ailleurs, une cargaison de 5.000 tonnes de riz est en route et atteindra le port de Toamasina lundi prochain. Ce don est conçu afin de lutter contre la sécheresse et la famine sévissant dans le sud de Madagascar. Au cours de ces derniers mois, plusieurs projets ont été réalisés.
Construites il y a plus de 50 ans sur le long des principales rivières. Les digues ont été conçues pour assurer une protection contre les inondations, avec des périodes de retour de 20 à 50 ans. Pourtant, nombreuses d’entre elles se trouvent actuellement en mauvais état, avec des brèches produites pendant presque tous les épisodes d’inondation récents. Raison pour laquelle le confortement des berges des digues d’Ikopa et de Sisaony fait partie des chantiers phares du Projet de développement urbain intégré et de résilience du grand Antananarivo (PRODUIR), financé par la Banque mondiale. Les travaux y afférents se feront pendant 12 mois, selon la prévision.
Le drame d’Ankazobe continue, encore et toujours, d’interpeller l’opinion. Inhumain ! Abominable ! Atroce ! Barbare ! Odieux ! Etc. Quels sont les termes exacts pour qualifier ce crime qui rappelle étrangement l’autre crime l’ « Affaire d’Antsakabary », février 2017, qui reste encore non éclaircie ? Trente-trois personnes, en date du jeudi 4 août, périrent dans un incendie criminel ayant pour cible deux maisons d’habitation à Ambolotarakely, Ambohitriniandriana, Ankazobe. Un crime sauvage et barbare qui dépasse l’entendement d’un homme normalement constitué. La limite dépassée ! La ligne rouge franchie ! Il fallait agir en conséquence de cause et faire en sorte que de tel crime ne se répète plus à jamais.
Pour cette fois-ci, on n'aura pas attendu la mort d'un icône nationale pour reconnaître sa valeur dans son propre pays. Une éminente personnalité de la scène musicale malagasy, un artiste dont le charisme sur scène n'a rien d'égal, de même que sa passion à communier avec le public à travers sa musique. Il s'agit du chanteur Joël Issoubaly Andriamahazo, connu sous le nom de Wawa, qui a reçu deux distinctions honorifiques. La fête, les parades et l'émotion étaient au rendez-vous jeudi dernier lors de la deuxième journée du festival « Sômaroho » puisque la ministre de la Communication et de la Culture, Lalatiana Andriatongarivo a honoré de sa présence ce festival et elle n'est pas venue les mains vides.
141 ariary. C’est le prix d’achat actuel du kilowattheure appliqué pour les grands consommateurs. Pourtant, le coût de production de ce même kilowattheure est présentement estimé à 1 300 ariary selon les dirigeants de la JIRAMA. Un constat exposé hier lors d’un point de presse effectué par les premiers responsables de la compagnie à Ambohijatovo. Ainsi, c’est à partir de cet argument que Rivo Radanielina, CEO par intérim de la compagnie a avancé l’importance de l’application de la révision des tarifs pour les industriels à travers l’optima business.
Deux hommes de 34 et de 35 ans furent arrêtés vers les premières heures de la matinée, jeudi dernier, à Ankorondrano Ouest par les limiers de la brigade des stupéfiants d'Anosy. Les suspects sont trempés dans une affaire de transaction illégale d'héroïne. Car, les Forces savaient déjà, sur la base d'un renseignement, que des trafiquants fournissent de l'héroïne, appelée familièrement « rôrô », d'après le jargon des trafiquants, dans un secteur de ce quartier de la Capitale.