mardi, 13 septembre 2022

La une du 14 septembre 2022

Publié dans La Une
mardi, 13 septembre 2022

Quid de la paternité ?

L’inauguration en grande pompe, aux allures d’une véritable fête populaire, de la RN 6A reliant Ambilobe à Vohémar par le couple présidentiel, crée des vagues et des remous. Et pour cause, la question de paternité des travaux effectués.
La lutte pour revendiquer la paternité de tel acte, de telle réalisation devient virale dans le pays. Elle déchaine des réactions et ravive des rancœurs. Les barons du HVM, anciens tenants du pouvoir, en particulier l’ancien Chef d’Etat et l’ancien président du Sénat, montent au créneau et fustigent les dirigeants en place, le Président Rajoelina en personne. Ils accusent de « voler » la paternité de tel acte.
En juin, quand Rajoelina inaugura la « Rocade de l’Est », allant d’Andranobevava au By-pass (Amoronankona), le camp de Rajaonarimampianina criait au scandale. Les propos tenus par le locataire d’Iavoloha au cours de son discours insinuant que le régime Orange soit à l’origine et à la finalisation des travaux provoquent le tollé général du côté des « cravates bleues ».
A Ambilobe, lors de son intervention, le Chef de l’Etat Rajoelina fait savoir que la réhabilitation des 151 km de la route Ambilobe – Vohémar entre entièrement dans le cadre des réalisations et de la concrétisation de son régime à travers le Velirano. Et la réplique immédiate des anciens du pouvoir, avec en tête Rajaonarimampianina: Ils revendiquent la paternité totale de l’œuvre. Ils taxent l’équipe actuelle au pouvoir de « menteurs » sinon des « voleurs » de … casquette. Stupide bataille entre HVM et TGV ! Plus exactement, de vaines frondes tirées par les losers ! Des attaques en règle contre Rajoelina et compagnie.
Au-delà de ce cafouillage, il importe de mettre en exergue le déficit du principe de la continuité de l’Etat. Il arrive que celui qui commence un chantier ne soit pas forcément celui qui va le conduire à terme. Et cela, au nom de l’alternance, le pilier de la démocratie.
La continuité de l’Etat est un concept difficilement accepté par les politiques. Dans un pays en quête d’une identité, comme c’est le cas dans la plupart des Etats du continent noir, on éprouve une difficulté de continuer l’action entamée par ces prédécesseurs tout comme on n’accepte pas que les autres finissent les travaux entamés et qu’ils signent à leur nom. On préfère ouvrir un nouveau chapitre au lieu de continuer et finaliser ce qui a été ébauché. Et c’est l’éternel départ à zéro dans les départements ministériels.
Au ministère de l’Education nationale, à chaque changement de régime et qu’un nouveau patron débarque, un nouveau programme s’élabore.  C’est l’éternel recommencement ! Dans d’autres ministères, le nouveau régime est synonyme de nouveau code. Nouveau code d’investissement ! Nouveau code minier ! Etc. On abandonne l’ancien sans qu’on ait en main un nouveau, prêt à être utilisé.
Si les cadors du HVM s’en offusquent, qu’ils mordent leur petit doigt. La faute à personne sauf à eux-mêmes s’ils n’ont pas pu finaliser ce qu’ils ont commencé. Ils ne pourront jamais imputer à d’autres leur déroute en 2018. Quand on quitte en cours de chemin, d’autres vont finir ce qu’on a entamé. Inutile de revendiquer la paternité quand on a été mis à la porte sinon botté en touche. Evidemment, d’autres vont relayer et marqueront des buts. C’est la règle du jeu.
Ndrianaivo

Publié dans Editorial


« Malgré un constat mitigé », la Grande île a tout de même pu obtenir le décaissement de 31,9 millions de dollars de la part du FMI, a annoncé hier Mokhtar Benlamine, représentant du fonds monétaire international. Cette somme correspond à la troisième tranche du financement dans le cadre de la Facilité élargie de crédit approuvée par le conseil d'administration du Fonds monétaire international pour la couverture des besoins de financement du pays. « La performance de Madagascar dans le cadre du programme appuyé par le FMI a été globalement satisfaisante, malgré les retards dans les réformes structurelles et un environnement extérieur difficile. La poursuite de politiques prudentes et une attitude plus proactive pour soutenir la performance structurelle sont nécessaires pour maintenir la stabilité macroéconomique, stimuler l'investissement et aider à atteindre une croissance plus durable et inclusive », expliquait le FMI. Ainsi, l’amélioration de l'exécution du budget est essentielle pour accroître l'efficacité de la politique budgétaire et atteindre les objectifs du programme. Dans le contexte actuel de hausse des prix des denrées alimentaires et du carburant, il est particulièrement important d'augmenter l'exécution des dépenses sociales et de mettre en place des filets de sécurité plus solides pour protéger les plus vulnérables. De ce fait, les autorités sont encouragées à poursuivre leurs efforts pour améliorer la transparence budgétaire et renforcer la responsabilité, notamment par une application plus efficace du cadre juridique de lutte contre la corruption. Afin de renforcer les contrôles a posteriori des finances publiques, la Cour des comptes bénéficie d'un accès complet en tant que contrôleur aux systèmes d'information du ministère des Finances. Parallèlement, la Banque centrale continue d'améliorer son cadre de politique monétaire et devrait se tenir prête à relever encore les taux d'intérêt pour contenir les pressions inflationnistes.
Hary Rakoto


Publié dans Politique


Environ 600 personnes par jour sont prises en charge au niveau du Centre hospitalier universitaire Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA) sis à Ampefiloha. Certainement, beaucoup de patients nécessitent une ambulance. Pourtant, l’établissement ne dispose que de deux véhicules destinés à cet effet. Sur ce, la majorité des malades ont recours à d’autres moyens de transport comme le taxi et une ambulance privée. Pour ceux qui sont dans le grand  besoin, ils sont contraints de contacter les services privés dont le coût est exorbitant, selon leur explication. « Mon père a été victime d’un AVC et son état est très inquiétant. Nous avons contacté deux établissements publics, mais ils nous ont tous répondu qu’aucune ambulance n’est disponible. Nous avons recours à une ambulance privée, malgré un tarif très élevé », soutient Lanto. Lui de poursuivre que contrairement à ce que beaucoup pensent, l’ambulance s’avère d’une grande importance pour sauver des vies. D’une part, les agents peuvent donner un soin d’urgence et de l’autre, il est plus facile de transporter les malades malgré les embouteillages qui sévissent dans le centre-ville.
Pour l’HJRA, le coût d’une ambulance est de 20.000 ariary. Cependant, il est difficile de contacter le service, vu le nombre insuffisant des véhicules pour répondre aux besoins de la population. Afin de permettre à cet établissement hospitalier de répondre à ce défi, le Gouvernement du Japon lui a octroyé une enveloppe de 64.037 euros pour l’acquisition de 3 ambulances recyclées. Ces véhicules ont subi des entretiens minutieux et s’avérant nécessaires avant de quitter le Japon. Ils sont aujourd’hui remis en très bon état et dotés d’équipements médicaux nécessaires pour permettre de fournir une assistance médicale immédiate aux patients, à partir de l’endroit où ils sont récupérés jusqu’à leur arrivée à l’hôpital. Les équipements dans chaque ambulance varient d’un véhicule à un autre, et ce, en fonction de leur spécificité. Cet appui entre dans le cadre du programme de coopération japonaise, intitulé « Dons aux micro-projets locaux contribuant à la sécurité humaine ».
Anatra R.


Publié dans Société


Loin du compte. L’encours de la dette de la compagnie nationale d’eau et d’électricité remonterait à cette somme astronomique, selon la ministre de l’Economie et des Finances, hier à Ambatonakanga à l’occasion d’une rencontre avec le représentant du Fonds monétaire international (FMI), Mokhtar Benlamine  et le gouverneur de la Banque centrale (BFM), Henri Rabarijohn dans le cadre de l’annonce de l’approbation du décaissement de la troisième tranche du financement portant sur la Facilité élargie de crédit (FEC). « Il est à préciser que les passifs de l’Etat envers les pétroliers sont à dissocier des dettes de la JIRAMA envers ses fournisseurs. D’après les autorités, la mauvaise gestion serait à l’origine de la situation catastrophique dans laquelle se trouve ainsi cette entreprise, causant par ailleurs une dégradation totale de ses services. Les consommateurs en paient actuellement les prix forts, avec les nombreuses coupures qui deviennent leur pain quotidien. Cependant, l’importance des services fournis par la compagnie pour les usagers est telle que la JIRAMA devra encore bénéficier des subventions dans les prochaines lois de Finances malgré tout », explique la ministre de l’Economie. D’ailleurs, la compagnie nationale d’eau et d’électricité a encore pu bénéficier de cette subvention étatique à hauteur de 120 milliards d’ariary dans la LFI 2022 malgré la réticence des bailleurs à ce sujet. Réticence ayant donné naissance à la mise en place de la nouvelle tarification « Optima » de la JIRAMA.
Equilibre financier
En effet, les bailleurs traditionnels comme le FMI ou encore la Banque mondiale ont insisté sur la nécessité de cette nouvelle tarification de manière à combler le gap de la dette autant que possible. Pour rappel, le tarif Optima consiste en une baisse tarifaire jusqu’à 15% du prix de l’électricité, notamment pour les abonnés qui consomment moins d’électricité mais toutefois une hausse relative pour les grands consommateurs. Le prix par KW étant revu à la hausse au-delà d’un certain seuil de consommation. Quatre tarifs sont proposés ainsi : le tarif social, économique, confort et super confort. L’application de cette tarification devrait alors contribuer à redresser l’équilibre financier et opérationnel de la JIRAMA, améliorer la qualité des services de fourniture de l’électricité, rétablir l’équité sociale et élargir l’accès d’un plus grand nombre de Malagasy à l’électricité. Ainsi, avec le tarif Optima, 77% des clients de la JIRAMA, faisant tous partie de la classe moyenne et des classes défavorisées, verront leurs factures d’électricité baisser. Les ménages vulnérables, représentant un tiers des clients de la JIRAMA, pourront avec ce nouveau tarif bénéficier d’une baisse allant jusqu’à -80% de leurs factures d’électricité. 18% des clients auront une hausse modérée (jusqu’à 25%) et uniquement 7% des usagers de la JIRAMA, ce qui correspond à moins de 1% de la population malagasy, verront une augmentation de plus de 25%. Malgré cette baisse de facture pour 77% des clients de la JIRAMA, le tarif Optima permettra d’augmenter les recettes de la compagnie à hauteur de 95 milliards d’ariary par an selon les études des bailleurs. 
Hary Rakoto



Publié dans Economie


Une bonne nouvelle pour Madagascar. Le nombre de cas de paludisme recensés à Madagascar a diminué de 500.000 au cours des six premiers mois de cette année. En effet, le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) a annoncé qu’un million de cas ont été recensés depuis janvier, contre 1,5 million l’année dernière. Pourtant, le paludisme reste l’une des maladies qui tue le plus de personnes dans le pays. Il se trouve à la 8ème place des consultations dans les centres de santé.
Le PNLP a affirmé que les efforts dans la distribution des moustiquaires dans les zones sensibles ont fortement contribué à cette baisse des nouveaux cas. La campagne de distribution de moustiquaires imprégnées d’insecticide (MMI 2022) a été lancée officiellement à Marovoay, le 10 septembre dernier. 55.000 moustiquaires ont été distribuées à cet effet. Ce District a été choisi pour son taux élevé de prévalence au paludisme. « Lorsqu’elles sont utilisées correctement et systématiquement, les moustiquaires sauvent des vies. Une diminution considérable des cas de paludisme a été signalée au cours des six premiers mois de 2022, par rapport à la même période en 2021 », a déclaré Sophia Brewer, directrice du Bureau de la Santé, de la Population et de la Nutrition de l’USAID/Madagascar, lors de la cérémonie de lancement à Marovoay.
Dans le rapport de l’Institut national de la statistique (INSTAT) sur le paludisme dans le document Enquête démographique et de santé à Madagascar (EDSMD-V) 2021, de 2008 à 2021, le pourcentage de ménages possédant au moins une moustiquaire a augmenté de 57  à 69 %. Sept ménages sur dix, soit 69 %, possèdent au moins une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) et, en moyenne, un ménage possède 1,2 MII dont 58 % proviennent d’une campagne de distribution de masse. Parmi les Régions entièrement couvertes par la campagne de masse, c’est dans les Régions de Vatovavy, Fitovinany et Atsimo-Atsinanana que la possession de MII est la plus élevée, estimée à 90 %. Par contre, la Région d’Analamanga enregistre le pourcentage le plus faible de ménages possédant une MII, évalué à 42 %. Ayant permis de réduire à moitié les cas de paludisme à Madagascar, l’utilisation de moustiquaires est considérée comme la « stratégie la plus efficace pour lutter contre le paludisme ».
C’est aussi dans cette optique que le ministère de la Santé publique, de concert avec le Gouvernement américain, continue la campagne distribution de moustiquaires. Cette initiative du PNLP est financée par le PMI et gérée par l’Agence américaine pour le développement international (USAID). Ils financent tous les trois ans une campagne de distribution à grande échelle qui comprend des efforts pour remplacer les moustiquaires déchirées ou perdues et couvrir de nouveaux espaces de couchage. Ainsi, 1,1 million de moustiquaires ont été distribuées en 2021 et actuellement, l’objectif est de couvrir 14 Districts à fort taux de prévalence de paludisme avec 2,2 millions de moustiquaires supplémentaires.
Nikki Razafy

Publié dans Société



Les dernières tournées du Président Andry Rajoelina ont prouvé, une fois de plus, que sa côte de popularité demeure intacte, en particulier dans les Régions. A titre d’exemple, son récent déplacement dans les régions de SAVA et DIANA, plus précisément à Ambilobe et Vohémar, à l’occasion de l’inauguration de l’axe Ambilobe – Vohémar sur la RN5A. En effet, le Chef de l’Etat et son épouse ont été reçus par une grande foule en liesse. Il n’en reste pas moins de ses précédents déplacements comme sur l’île Sainte- Marie où la ferveur populaire a toujours été au rendez – vous. Preuve que l’homme fort du pays est loin d’avoir perdu la confiance de la population à une année de la fin de son quinquennat.
Cette popularité du Président place l’Opposition en très mauvaise posture. Une Opposition déjà fragilisée car éparpillée. A défaut d’être solidaires pour former une seule et unique Opposition, les leaders de l’Opposition agissent en ordre dispersée. Outre ce manque de cohésion, les partis de l’Opposition peinent également à trouver des arguments en béton dans leur tentative de décrédibiliser les tenants du régime.
Tentative de dénigrement 
D’ailleurs, la montée de la crainte des prochaines élections se fait davantage sentir en ce moment. Beaucoup d’observateurs ne manquent pas de remarquer le pullulement des comptes « fake » sur les réseaux sociaux où de nombreuses publications qui s’apparentent à une campagne de dénigrement contre les figures emblématiques du régime se multiplient. A cela s’ajoutent les nombreuses interventions des ténors de l’Opposition qui semblent dépourvues d’arguments crédibles.
A titre d’exemple, la dernière sortie médiatique du coordonnateur national du parti « Hery Vaovao ho an’i Madagasikara » (HVM) au lendemain même de la cérémonie d’inauguration de la RN5A. Visiblement vexé par les déclarations du Président de la République qui a fustigé les anciens dirigeants pour les promesses non tenues auprès de la population, l’ancien président du Sénat a évoqué la continuité de l’Etat pour essayer de justifier que son régime y est pour quelque chose dans la réhabilitation de la RN5A. Ce dernier est même allé jusqu’à remettre en question les « Velirano » du Président. Une réaction de « mauvais joueur » qui n’est pas en faveur de son parti dont la popularité avait dégringolé depuis bien longtemps.
La Rédaction

Publié dans Politique


Il faut reconnaître que le ministère de la Communication et de la Culture (MCC) n’a pas ignoré le travail et les talents des artistes venant des Régions en dehors de la Capitale. A cet effet, 27 chanteurs et chanteuses qui excellent dans les rythmes  « Bahoejy », « Malesa », « Sanadera », « Osika » » ou encore « Antosy », originaires d’Antsohihy, capitale de la Région de Sofia, à l’instar de Din Rotsaka, Grand maître Tianjama, Jean Rigo, Le Jim 415, Dadi Love, Sisca, Vaney's, Vaiavy Chila, Dah’Mama, Lego, Lianah, Sayah,… ont été récompensés par le Gouvernement à travers le MCC. Durant la cérémonie, la ministre Lalatiana Andriatongarivo leur a fait honneur en les promouvant au titre de Commandeurs de l’Ordre des Arts, des Lettres et de la Culture. Une décoration remise pour les artistes qui se sont distingués par leur création dans le domaine artistique ou littéraire et par la contribution qu’ils ont apportée au rayonnement des arts. D’ailleurs, la plupart des artistes de la Région de Sofia sont particulièrement appréciés et connus de toute l'île. Ils ont même eu l’honneur de représenter le pays au niveau international. « Cette décoration représente une source d’encouragement et de motivation pour les artistes. Cela nous pousse à aller de l’avant et à donner le meilleur de nous-mêmes pour satisfaire le public. Evidemment, c’est un immense  honneur de recevoir cette distinction. Nous sommes heureux de savoir que le Gouvernement, à travers le ministère de tutelle, continue de nous soutenir », s’enthousiasme le chanteur Dadi Love.
A l’écoute
Le ministère de la Communication et de la Culture, de son côté, poursuit son effort dans l’objectif de soutenir les chanteurs et musiciens, ainsi que tous les acteurs du domaine culturel. En plus de cette reconnaissance spéciale, afin d'améliorer le secteur artistique et culturel, le MCC ne cesse de construire des espaces culturels permettant aux artistes de se produire. Par ailleurs, il continue de se concerter pour l'élaboration d’un arrêté d'application de la politique nationale de la culture qui déterminera le « statut des artistes ». Il s’agit d’une charte qui permet aux artistes de bénéficier entre autres des avantages octroyés par la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNaPS). Lors de son discours, la ministre a également martelé la concrétisation du processus d'établissement de la carte professionnelle de l'artiste, sans oublier la réforme structurelle au sein de l'Office malagasy du droit d’auteur (OMDA), ce qui a conduit à la mise en place d'un programme de commande spéciale pour que les artistes puissent vraiment vivre de leur art.
Sitraka Rakotobe

Publié dans Culture

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Editorial

  • Menace permanente
    Un amateur du cruciverbisme risque une fois de tomber sur un énoncé « menace permanente » un mot de dix cases : « INSECURITE ». On ne cesse point d’insister sur la nécessité primordiale et cruciale d’évoquer les problèmes récurrents liés à l’insécurité qui règne dans le pays qui est justement une menace permanente pour les hommes et leurs biens.

A bout portant

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