Nos archives web
Super User

Super User

Elle fait partie des 8 enseignants recensés au Collège d’enseignement général (CEG) de Betsako. Cet établissement se trouve à une quarantaine de kilomètres de la ville de Mahajanga, dont 14km de route secondaire. Affectée en milieu rural, elle doit survivre avec les moyens du bord, loin du confort dans sa maison. Cette enseignante nous raconte sa semaine d’enseignement dans la brousse !

 

%PM, %07 %892 %2021 %20:%Oct

Objectif 2023 

A vingt-quatre mois et quelques de la fin du mandat de l’actuel homme fort du pays, la classe politique s’apprête déjà aux étirements, préludes aux vrais entrainements. Les uns montrent les biceps. D’autres gonflent la poitrine et affichent la détermination. Ainsi, le camp du pouvoir autant que celui de l’Opposition se mobilisent. En 2023, le pays se trouvera sur la croisée des chemins. Les formations politiques, ayant l’ambition du pouvoir, se préparent activement.

 

Du 04 au 07 novembre prochain, le Salon international de l'habitat entamera sa 23ème édition. Et comme à chaque année, toute la chaîne opératoire sera au rendez-vous, et ce malgré la crise sanitaire par laquelle est passé le pays. « Les visiteurs pourront alors découvrir des entreprises de construction, des vendeurs de matériaux, des paysagistes pour les espaces privés mais également urbains, des agences immobilières et bien d'autres domaines liés à la filière habitat.

La pression exercée sur les ressources naturelles continue de s'accroître dans les quatre coins du pays. Pour cette fois-ci, l'équipe de la Direction régionale de l'Environnement et du Développement durable Atsinanana avec celle de l'ONG Conservation International ont intercepté onze personnes dans la forêt d'Ampasimpotsy, dans le District de Brickaville, lors d'une mission de contrôle au courant de la semaine. « Ces personnes ont été prises en flagrant délit d'exploitation illicite d'or dans cette réserve naturelle.

 Cris, applaudissements, danses, larmes de joie ! Les habitants de Mananjary ainsi que les natifs des autres Districts, venus spécialement pour l’occasion, avaient montré, chacun à leur manière, leur enthousiasme à l’arrivée du Président Andry Rajoelina, hier dans cette localité pour la cérémonie de mise en place officielle de la Région de Vatovavy. Un rendez – vous mémorable durant lequel le nouveau gouverneur de cette 23ème Région de l’île a également été installé officiellement tout comme le préfet de Mananjary.

 

Les procédures pour la construction du pipeline, pour le transport de l’eau de la rivière Efaho à Taolagnaro vers la Région d’Androy, vont être lancées. Le Conseil des ministres de mercredi a approuvé l’appel d’offres pour la construction de cette infrastructure. Cet appel d’offres sera rendu public le 13 octobre prochain, soit dans moins d’une semaine.

%PM, %07 %881 %2021 %20:%Oct

LA UNE DU 08 OCTOBRE 2021

%PM, %06 %927 %2021 %21:%Oct

La une du 7 octobre 2021


 Protéger les citoyens et leurs biens, c’est la devise de la Police nationale. Les Forces de l’ordre jouent un rôle important dans la protection de la population, face à l’insécurité qui mine la Capitale. Après une opération lancée par le ministère de la Défense nationale à travers son département en charge de la Défense et de la Sécurité publique de renforcer les patrouilles nocturnes à Antananarivo et ses environs, la Police nationale passe en action. La nuit tombée, les agents font le tour des arrêts de bus, notamment ceux considérés comme des points noirs en termes de sécurité dont Soarano. Outre la sécurisation des passagers face au vol à la tire, les agents de police assistent les conducteurs et leur aide dans le respect des files. Sans parler, bien évidemment, du respect des gestes barrières à l’intérieur des véhicules. En effet, c’est durant ces bousculades au sein des arrêts bus que les pickpockets passent à l’acte. Des actes que la majorité d’entre les citoyens ont salués. « Ce sont les gestes que nous attendions des Forces de l’ordre. D’ailleurs, certains des citoyens ont peur d’eux. Ils pensent que les agents de police sont toujours agressifs et ne font que terroriser la population. Ces gestes sont louables et ils ne devront pas s’arrêter là », avance Mirana. Outre les patrouilles dans les ruelles sombres, les policiers peuvent ainsi accompagner les personnes jusqu’à leur domicile à leur demande. Et cela concerne les zones dangereuses. Durant les épreuves du CEPE, ces derniers ont déjà aidé plusieurs candidats dont l’accompagnement jusque dans leurs salles d’examen, l’achat du repas, etc.
Les taxis- be se font rare en début de soirée
Les employés des zones franches, des restaurants et même les étudiants font face à des problèmes de transport, depuis la reprise de l’activité des taxis- be dans la Capitale, après le confinement. En effet, les véhicules de transport en commun disparaissent en début de soirée. A 19 heures, seuls quelques taxis-be sont encore en activité et le pire c’est qu’ils ne veulent plus transporter les passagers jusqu’au terminus. Selon l’explication des transporteurs, l’insécurité règne et ils ont peur d’être attaqués par les malfaiteurs. Et ce sont les passagers qui en paient le prix fort.
 Afin de faire face à cette situation, des solutions ont été proposées par les usagers. Il s’agit de la procuration des agents de sécurité pour escorter les véhicules, dans la soirée.
« Cela ne nous gêne pas de payer les indemnités des agents de sécurité. S’ils assurent notre transport jusqu’à destination, nous pourrions nous acquitter de la somme de 600 ariary », conclut la jeune femme.
 Anatra R.







En vain! Après toute une année d’attente, le plan de redressement de la compagnie aérienne nationale malagasy n’a toujours pas été dévoilé. Les annonces de présentation se succèdent mais rien ne se concrétise. En effet, dès l’officialisation du divorce entre Air Madagascar et Air Austral, les responsables ont annoncé la présentation d’un nouveau business plan pour relancer les activités de la compagnie aérienne pour le mois de septembre 2020. Ce délai a ensuite été rallongé d’un mois puis de deux mois. Mi-novembre 2020, le président du Conseil d’administration de la compagnie, Mamy Rakotondrainibe, a annoncé qu’ « un calendrier a déjà été établi et que le plan sera finalisé à la fin du mois de novembre, au plus tard au début du mois de décembre ». Cependant, arrivé au mois de février 2021, toujours aucune trace de cette présentation. Joël Randriamandranto, l’ancien ministre des Transports d’antan, a évoqué à quel point l’élaboration d’un plan de redressement n’est pas une tâche facile, d’où tout l’importance de prendre son temps. Mais quand même, un an plus tard, ils ont déjà eu largement de temps de peaufiner ce document. Il ne faut pas oublier qu’Air Madagascar a fait appel à des experts en aviation internationale, des spécialistes en relance de compagnie aérienne en détresse, dans la conception de ce nouveau business plan. De plus, le mois dernier, le ministre des Transports et de la Météorologie, Tinoka Roberto ainsi que le PCA d’Air Madagascar ont annoncé sa présentation prochaine au Conseil des ministres mais aussi au Conseil du Gouvernement. Cependant, aucune présentation du plan de redressement n’a été rapporté au cours des quatre Conseils de ministres et de Gouvernement pour le mois de septembre.
Jusqu’à maintenant, seules les grandes lignes sont connues. Pourtant bon nombre de personnes, mais plus particulièrement les employés de la compagnie aérienne, attendent depuis longtemps pour connaître une fois pour toutes le sort d’Air Madagascar, sachant surtout que la Grande île prévoit bientôt de rouvrir ses frontières aériennes.
La Rédaction

Fil infos

  • Elections consulaires des Français de l’Etranger - La liste Français du Monde revendique une meilleure prise en charge sociale
  • Refondation - « L’espoir d’un véritable renouveau démocratique s’amenuise », dixit la société civile
  • Direction Générale de l’ARAI - Un homme de l’intérieur prend les rênes
  • Premières pluies - Les infrastructures déjà mises à très rude épreuve
  • Actu-brèves
  • HCC - Trois anciennes ministres réintègrent l’Assemblée nationale
  • Concertation nationale - LES RECOMMANDATIONS D’UN CITOYEN D’AMBATONDRAZAKA
  • Détention de Rinah Rakotomanga - Son avocate dénonce des dessous politiques
  • Actu-brèves
  • Loi de finances - Nouveau huis clos des députés

La Une

Recherche par date

« November 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
          1 2
3 4 5 6 7 8 9
10 11 12 13 14 15 16
17 18 19 20 21 22 23
24 25 26 27 28 29 30
Pub droite 1

Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

A bout portant

AutoDiff