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Après une première annulation, l’exposition « Empreintes » signée Ramia et Mahefa Rasamuel prendra finalement place du 25 au 31 octobre 2025 à La Rhumerie, située à Ivandry. Cette rencontre artistique ambitieuse promet une plongée sensible dans les traces laissées par le temps, entre racines traditionnelles et expression contemporaine, offrant une réflexion profonde sur la mémoire et la culture malagasy. 

 

Trois semaines après les nuits de chaos des 25 et 26 septembre, la Capitale malgache reprend lentement son souffle. Derrière les façades réparées, c’est tout un tissu économique — du vendeur ambulant au prestataire de services — qui peine à se reconstituer. Le coût de la reconstruction se chiffre déjà en centaines de milliards d’ariary.

La deuxième session ordinaire de l’Assemblée nationale s’est ouverte hier, donnant le coup d’envoi à deux mois de travaux législatifs. Les cent soixante-trois députés devront notamment examiner le Projet de loi de finances initiale (PLFI) pour l’année à venir. Mais au-delà des dossiers économiques, c’est la nouvelle configuration de la Chambre basse qui attire les regards, dans un contexte de transition politique. 

L’une des questions qui se posent en ce début de session concerne le retour des députés qui avaient quitté l’Assemblée pour rejoindre le Gouvernement. En effet, plusieurs anciens ministres, désormais libérés de leurs fonctions, peuvent légitimement reprendre leur siège au Palais de Tsimbazaza. 

 

La Place du 13 Mai, haut lieu de l’expression populaire et des bouleversements politiques malgaches, revient au centre des débats. Faut-il la rouvrir au public ou la préserver de tout usage politique ? La question divise profondément les conseillers municipaux de la Capitale. D’un côté, Toavina Ralambomahay et Lalatiana Ravololomanana défendent une ouverture encadrée mais permanente de la place. Pour eux, il s’agit de « respecter l’esprit du 13 Mai », symbole de liberté et de revendication citoyenne.

 

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LA UNE DU 221025

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LA UNE DU 211025

Le monde du football malagasy poursuit sa mutation. Huit mois après la création officielle de l’association des Anciennes gloires du football malagasy, reconnue par l’Etat le 21 août 2025, l’association présidée par Maître Kira avec Bin Abdou et René Kely comme vice-présidents, prend désormais toute sa place au sein du paysage du football national.

Cette structure qui regroupe 44 anciennes gloires du ballon rond, bénéficie déjà d’un premier soutien financier, notamment à travers le Prize Money récemment distribué par la Fédération malagasy de football (FMF) sur les 40% de ces quote-parts. L’aide provient d’un appui accordé par la FIFA en décembre dernier et vise à renforcer la solidarité entre les acteurs du football malagasy.

 

L’enquête sur le meurtre d’Aimée Ravoniarisoa, 72 ans, ancienne cheftaine du scoutisme malagasy, survenu dans sa maison d’Ampivelezandrano, à Vontovorona, au cours de la semaine du 7 octobre, vient de connaître un tournant décisif. Après plusieurs jours d’investigations, la brigade de Gendarmerie locale a procédé samedi dernier à l’arrestation du présumé auteur, un jeune homme de 18 ans résidant à quelque 600 mètres du domicile de la victime.

Selon les informations recueillies auprès des enquêteurs, le suspect aurait reconnu les faits. C’est en retraçant l’usage du téléphone portable volé à la victime que les gendarmes ont pu remonter jusqu’à lui. 

 

La tempête tropicale modérée Chenge se déplace vers l'ouest à une vitesse de 45 km/h. Hier à 9 heures locales, elle a été positionnée à environ 2.059 km à l'Est-Nord-Est d'Antsiranana. Le vent moyen est estimé à 85 km/h avec des rafales de 120 km/h près de son centre. Du moins dans les 3 prochains jours, ce système n’aura pas d'impact sur le pays et sur les terres habitées. Selon Météo-France, Chenge passera au nord de la Grande île en fin de semaine. Elle pourrait encore légèrement s’intensifier pour atteindre temporairement le stade de forte tempête tropicale avant de s’affaiblir par la suite. Chenge est la troisième tempête tropicale de cette saison cyclonique, après Awo et Blossom.

 

Une perte estimée à environ 100.000 euros, soit l’équivalent de 510 millions d’ariary. Selon l’Alliance biblique France, le pillage et l’incendie ayant eu lieu à la Société biblique de Madagascar, le 25 septembre dernier, ont engendré une énorme perte pour cette entreprise chrétienne. Environ 2.700 Bibles ont été brûlées dans l’entrepôt de stockage et le reste a été détruit durant l’intervention des pompiers. 22 ordinateurs, 3 imprimantes, un appareil photo, un serveur et un vidéoprojecteur ont disparu. Des chaises, des tables et des fournitures diverses ont également été dérobées.

 

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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