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Dans le secteur commercial à Madagascar, nombreux sont ceux qui renouvellent leurs offres pour mieux appréhender le marché. A l'instar, de la société « Baolai », sise à Analakely Soarano et Bazar Be Toamasina. « A la demande générale, la giga promotion continue sur nos Smart Tv, Télé Led compris entre 32 et 85 pouces - Laser Tv de 100 pouces (avec une garantie de 12 mois) et ce dans la limite du stock disponible », selon un responsable.

 

Le secteur de l'exportation de vanille à Madagascar est en proie à des défis persistants malgré les récentes tentatives de libéralisation. Les espoirs des producteurs ont été douchés par des résultats en-deçà des attentes, suscitant des appels à une intervention gouvernementale pour soutenir l'industrie. Avant la libéralisation de l'exportation de la vanille, le pays avait exporté 1 340 tonnes. Cependant, suite à l'application de ces nouvelles mesures, seules 426 tonnes ont trouvé preneur sur les marchés internationaux. Cette déception a poussé les agriculteurs du District de Maroantsetra à plaider une fois de plus pour l'intervention de l'Etat en faveur des producteurs, lors de leur récente rencontre avec le ministre du Commerce, Edgard Razafindravahy. Le ministère a pris des mesures pour la réforme et l’assainissement de l'industrie de la vanille, visant à protéger les prix et les intérêts des cultivateurs.

Un vrai artiste qui mérite aujourd’hui tous les hommages, et cela, compte tenu de sa contribution à l’épanouissement du Hiragasy. La place du Hiragasy à Ampefiloha porte désormais le nom de  « Rochel Rasamimanana ou Rapetit ». La ministre de la Communication et de la Culture, Lalatiana Rakotondrazafy, l'a annoncé de manière officielle hier, lors de l’événement qui s’est tenu à Ampefiloha et ce en mémoire de l’artiste, mais également en raison des nombreux efforts qu'il a déployés au cours de sa vie pour le développement du Hiragasy.

De la diffusion de fausses informations. C’est ainsi que la procureure de la République, auprès du tribunal de première instance d’Antananarivo, Rakotoniaina Narindra Navalona qualifie la manœuvre de certains acteurs politiques qui véhiculent des informations en lien avec une hypothétique assignation du Président Andry Rajoelina. Le numéro un du TPI est monté au créneau lors d’une déclaration à la presse dans la soirée d’hier. Selon ses propos, « aucune assignation signée de nos mains n’a été déposée auprès de la Présidence de la République ». Elle dément ainsi toute information dans ce sens relayé par certains médias internationaux.

Actuellement, un étranger répondant au nom de Durand Alain, de nationalité française et son épouse malagasy sont activement recherchés pour abus de confiance et dont le préjudice s'élève à 5600 euros. Cette affaire s'est produite à Sambava, et l'avis de recherche a été divulgué le 30 août dernier.

En effet, c'est la brigade de Gendarmerie de Sambava qui est saisie de l'affaire. Elle a agi en se conformant au soit-transmis du 25 août dernier, et qui est déposé par le plaignant. De source officieuse, ce dernier n'est autre qu'un associé de ce couple en cause.

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La une du 30 août 2023

Un programme consacré uniquement à l’humour. Après plusieurs semaines d’attente, le Festival du rire « Jôkôsô » entame sa troisième édition. Actuellement, les organisateurs peaufinent les dernières préparations. L’évènement se déroulera du 11 au 15 octobre prochain. Et pour la première fois depuis sa création, ceci accueillera des invités internationaux pour partager la scène avec les humoristes issus du collectif des « Gasy Stand Uppers ». Il s’agit de Fafa et Océane, deux humoristes réunionnaises.
Vu le succès des deux éditions précédentes, ce Festival du rire s’annonce déjà cocasse et promet d’être convivial. Comme à l’accoutumée, plusieurs spectacles auront lieu dans différents endroits de la Capitale, entre autres l’IKM Antsahavola, l’Alliance française d’Andavamamba, Kudéta Urban Club - Anosy. Durant ces quatre jours, plusieurs humoristes de renom sont attendus, mais aussi des talents en devenir. Actuellement, les responsables n’ont pas encore donné des informations concernant la liste des artistes qui participeront à ce festival.  Mais comme d’habitude,  les programmateurs concocteront une affiche alléchante où les poids lourds de l’humour vont monter sur scène. Et pour la promotion des nouveaux talents, les organisateurs ont prévu des ateliers à leur encontre. Il y aura également une scène ouverte pour ceux qui veulent prendre part au spectacle.      
Vitrine
Depuis plus de quatre ans, les spectacles humoristiques commencent à prendre une place dans les évènements culturels. Cependant, rares sont les mouvements qui se consacrent à la promotion des jeunes humoristes ayant du talent. Par ailleurs, il n’existe pas de cadre idéal mis à leur disposition. Néanmoins, le Festival du rire « Jôkôsô », « Sokaf’Hehy », « Be-Tige » ou encore « Men in Blague » - initié par le collectif Gasy Stand Uppers représentent quand même des opportunités où les jeunes comédiens peuvent montrer leur savoir-faire sur scène. En attendant, le public pourra bien s’amuser durant ce Festival du rire « Jôkôsô », au cours duquel plusieurs comédiens vont provoquer des éclats de rire sur des sujets de la vie quotidienne, le tout réalisé avec beaucoup d’humour et de courtoisie.
Si.R

Un véhicule a été l’objet du mécontentent des riverains du côté d’Anosizato, hier. Celui-ci a failli être réduit en miettes ou pire incendié. L’affaire a débuté avec l’écrasement du pied d’un piéton qui marchait en pleine rue. Le conducteur a klaxonné plusieurs fois à l’endroit des piétons, mais ces derniers refusaient de s’écarter, en bloquant totalement la circulation. Dans un manœuvre de réflexe, le chauffeur n’a pourtant pas pu ainsi éviter l’un d’eux qui a eu son pied écrasé par l’une des roues de son véhicule.
La victime a ainsi crié de douleur, mais le chauffeur ne s’est pas arrêté pour constater la gravité de la blessure. Un tollé général gagna ainsi les autres piétons, excités par certains individus aux intentions belliqueuses.
Une foule s’est lancée à la poursuite du véhicule qui n’a pas pu aller bien loin. Il fut rattrapé au niveau de la station-service Galana. « Brûlez la voiture, tabassez le chauffeur ! » et autres cris de vengeance fusaient sur les lieux de l’accident. Cependant, le chauffeur ne s’est pas laissé faire et a réglé la situation avec calme malgré la menace grandissante. Après des pourparlers, le véhicule et son conducteur ont été finalement libérés.
Des profiteurs aux aguets
Hélas, ce genre de situation n’est pas rare, surtout sur les axes à forte influence passant par les bas-quartiers. L’axe Anosy-Anosibe-Anosizato est souvent le théâtre des cas similaires. La plupart du temps, ce sont des bandits qui font partie de la majorité de ceux qui veulent une vindicte populaire. En effet, ils ne se préoccupent pas de la victime de l’accident, mais veulent seulement profiter de l’occasion pour voler tout ce qu’ils peuvent (phares, déflecteurs, téléphones, pare-brise).
Il faut donc faire attention quand on emprunte des chemins noirs de monde qui, en plus, ignore totalement le code de la route. Il faut être patient car tout peut basculer d’un moment à un autre et les bandits n’attendent que le moment opportun pour sévir.
Nikki Razaf

Mise au vert. Madagascar participe à la cinquième réunion de l'Alliance solaire internationale (ASI), qui se tient présentement  à Kigali, au Rwanda. Cette initiative s'inscrit dans la vision du Gouvernement malagasy de développer l'énergie solaire comme source de production électrique. L'ASI, résultat de la coopération entre la France et l'Inde, est née lors de la COP 21 avec pour objectif de définir des normes et des accords communs pour stimuler le déploiement de l'énergie solaire dans les pays africains riches en ensoleillement. Madagascar, avec ses ressources naturelles, joue un rôle dans cet effort mondial. L'un des objectifs de l'ASI est de faciliter la mise en place d'infrastructures pour générer plus de 1 000 GW d'électricité à partir du soleil d'ici à 2030, nécessitant un financement massif de 1 000 milliards de dollars. Cette réunion à Kigali vise à mobiliser les ressources nécessaires pour concrétiser cette vision. Pour rappel, le pays a déjà lancé un projet de 78 centrales solaires à travers le pays, générant une capacité de 82 MW. Ces centrales solaires démontrent la capacité du pays à exploiter pleinement son potentiel solaire. Cette initiative a déjà permis de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de stimuler le développement économique dans les régions concernées.
Transition
L'intégration de Madagascar à l'ASI offre plusieurs avantages. Tout d'abord, cela renforce la position de l'île dans la transition énergétique en Afrique. Madagascar dispose d'un ensoleillement généreux, en faisant un candidat pour devenir un producteur d'énergie solaire majeur. Cette source d'énergie renouvelable permettra de réduire la dépendance aux combustibles fossiles. En rejoignant l'ASI, Madagascar aura accès à des financements pour développer son infrastructure solaire, stimulant la création d'emplois et renforçant la sécurité énergétique. Cela ouvre également la voie à de nouvelles opportunités commerciales, notamment l'exportation éventuelle d'électricité solaire vers d'autres pays de la région. Un autre avantage réside dans le partage de connaissances et d'expertise au sein de l'ASI. Madagascar pourra bénéficier des meilleures pratiques et des expériences d'autres nations membres, accélérant ainsi son propre développement énergétique. Enfin, l'adhésion à l'ASI renforce la position diplomatique de Madagascar sur la scène internationale. Le pays devient un acteur dans la lutte contre le changement climatique et dans la promotion de sources d'énergie propre. Cela renforce également les liens diplomatiques avec les pays membres de l'ASI, ouvrant la voie à des collaborations futures dans divers domaines.
Hary Rakoto


Vers 17h10 hier, un incendie a éclaté dans le bâtiment G, qui sert de logements aux étudiants de l'université de Barikadimy, à Toamasina. C'est la chambre du rez-de-chaussée,  la porte 7, qui avait été ainsi dévastée. Les dégats matériels sont assez importants.
Mais le sinistre a été maîtrisé un quart d'heure à peine après, précisément vers 17h30. Là, la pièce occupée par quatre étudiantes était la proie des flammes. Malheureusement pour ces dernières, elles n'étaient pas à l'endroit au moment des faits. Ce qui expliquait la perte des mobiliers et autres affaires personnelles des occupantes de cette pièce. Le feu a pu être vaincu assez rapidement car on a assisté à une mobilisation, sinon à une intervention sans précédent des locataires eux-mêmes pour mâter le feu. Leurs efforts n'ont pas été vains. Car même si les sapeurs- pompiers de la Commune urbaine de Toamasina étaient intervenus une quinzaine de minutes à peine après l'alerte au feu, les étudiants, eux, ont déjà fini de circonscrire les flammes avec les moyens du bord. Ce qui fait que les soldats du feu n'avaient qu'à parachever la tâche.
Sur place une fois les flammes vaincues, l’heure était au bilan : une partie des mobiliers a été perdue dont un ordinateur et même le diplôme d’une étudiante. Dommage toutefois que des individus, à l’intention malveillante, ont profité de voler l’autre partie qui a pu être sauvée du brasier.
Quant à l’origine du sinistre, un court-circuit a été pointé à l’index. « Le bâtiment ne dispose pas de disjoncteur », explique une source d’information locale. Mais les causes du problème sont multiples : la chambre située au-dessus de celle des victimes est déclarée inhabitable . L'effet de la forte chaleur d'en bas aurait sérieusement altéré la résistance des structures à l'étage, selon toujours cette source.
Et il est inutile d’ajouter la vétusté des installations à Barikadimy, comme on en voit dans tous les campus universitaires du pays. De plus, certains locataires s’entêtent à utiliser des réchauds électriques alors que c’est interdit dans le campus. Et que les locataires ont déjà une cuisine commune à leur disposition.
Franck R./M.R.





 





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Editorial

  • Mouroirs
    Triste vraiment triste ! C’est désolant de devoir parler de la mort alors qu’on vient tout juste de passer des moments d’allégresse durant la célébration la date du 26 juin 2025, le 65ème anniversaire du retour à la souveraineté nationale. Une réjouissance légitime ! En effet, après avoir passé et vécu 64 ans sous le joug du pouvoir colonial, parfois inhumain et même bestial, le pays revient dans sa dignité, à l’indépendance. Encore faut-il en croire « de quelle indépendance » s’agit-il ! Dans tous les cas de figure, on a droit à une fête. Et ça a été ! Mais, il va falloir redescendre sur … terre.

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