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Brossez vos dents 3 fois par jour. Ce message des dentistes est inculqué aux enfants dès leur plus jeune âge. Toutefois, bon nombre de personnes ne peuvent le faire, pour diverses raisons. Pourtant, brosser les dents au moins 2 fois par jour s’avère indispensable, d’après un dentiste. Outre celui de la dentifrice, le choix des brosses à dents compte également pour assurer la santé bucco-dentaire. « La brosse à dents devraient être remplacée tous les 3 mois. Une brosse trop souple ou avec des poils usés ne peut pas bien faire son travail, même si nous utilisons une dentifrice répondant aux besoins bucco-dentaires », avance notre interlocuteur.
Outre la durée d’utilisation, la protection de la brosse à dents est aussi essentielle. « Nous avons l’habitude de laisser notre brosse à dents dans la douche après chaque utilisation, sans aucune protection. Des microbes ou autres saletés pourraient toutefois s’y installer, sans que nous nous en apercevions. Dans ce cas, la brosse à dents sert à absorber les microbes dans notre corps, au lieu d’assurer notre hygiène dentaire. Pour y remédier, je recommande une brosse à dents avec un étui de protection », informe le dentiste. Certaines marques, à l’exemple de Formula, répondent aux exigences, dont la dentifrice aux normes et des brosses à dents avec des capuchons, disponibles sur le marché local.
Notons que le brossage des dents suit des techniques et une durée recommandée. Il devra se faire au moins 2 fois par jour et pendant 3 à 5 minutes pour chaque brossage. Cela avec des mouvements rotatifs allant de la gencive jusqu’aux dents.
P.R.
 



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LA UNE DU 12 JUILLET 2023

La célébration officielle de la Journée mondiale de la population a eu lieu à Ambohidratrimo, hier. Le thème de cette célébration a été axé sur la promotion du genre. « Nous devons écouter la voix des femmes et des enfants. Ils tiennent une place importante dans le développement du pays. Les femmes constituent 51 % de la population malagasy », soutient la ministre de la Population, de la Protection sociale et de la Promotion de la femme, Soafilira Princia, lors de son discours. Elle de poursuivre : « Nous devrions unir nos forces pour assurer le développement. Sur ce, il est important de laisser la population libre de porter ses points de vue sur ce thème ». 

Les efforts de Madagascar ont doublé en deux ans. Le pays est devenu une référence en matière de gestion des risques et des catastrophes en Afrique. Outre les efforts du Gouvernement à réduire les risques de catastrophes, les compétences des acteurs sont d'une grande aide pour la population, autant lors de l'intervention qu'au moment de la prévention. Cependant, ils ont encore besoin d'un renforcement des capacités par rapport à l'évolution de la situation dans le pays. 

« En tant que premier responsable de la gestion des risques et des catastrophes (GRC) dans la Grande île, le Bureau national de gestion de risque et de catastrophes (BNGRC) multiplie ses initiatives en organisant des ateliers afin d'augmenter le niveau de technicité des acteurs en GRC », s'explique le directeur général du BNGRC, le Général Elack Andriankaja, lundi dernier durant la cérémonie d'ouverture d'un atelier qui s'est déroulé à Ambodivona. 

10.000 hectares de rizières sont ensablées chaque année, soit une perte de 20.000 tonnes de paddy. Ce chiffre effrayant concerne la plaine de Marovoay. La situation ne fait qu’empirer d’année en année. L’année dernière, cette perte était estimée à 15.000 hectares. Ainsi, la politique d’autosuffisance alimentaire serait en danger à cause de ce cas de Marovoay, longtemps considéré comme un grenier à riz. 

L’ensablement des rizières est principalement dû à la déforestation et la désertification des collines et versants bordant la plaine. Les terres ferrugineuses ne sont plus retenues par aucune végétation et l’érosion emporte toute la terre arrachée des montagnes dans la plaine.

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Soyons unis …

Soyons unis pour lutter contre ceci. Soyons unis afin de réussir à cela. Chaque appel à l’union ou à l’unité comporte en soi un caractère divin tout au moins solennel. Sans vouloir pousser loin à l’enseignement des Saintes Ecritures par le biais des catéchèses ou des écoles de dimanche où l’on apprend, entre autres, que Dieu unit tandis que Satan divise. En effet, toute volonté prônant la vertu de l’unité ou de l’union vient de Dieu. Et toute tentative sinon tentation menant à la division ou à la séparation est l’œuvre du diable. L’unité ou l’union engendre une force, une énergie. La division ou la fracture affaiblit.

Cinq années après le début de ses activités, et 3 mois après l’annonce de son augmentation de capital en mars, qui lui permettait de doubler ses ressources investissables ainsi que son tour de table d’investisseurs, Miarakap entend bien accélérer ses activités et a signé en juin deux nouveaux investissements dans deux PME malagasy référents de leurs secteurs respectifs à savoir la Laiterie Maminiaina, dans la production et la distribution fromagère  et Okalou, dans l’organisation d'évènements grand public. Pour ce qui est de la Laiterie Maminiaina, l’investissement portera sur une structuration et un passage à l’échelle. Localisée à Antsirabe depuis sa création en 2009 et dirigée par Serge Randriamahefasoa, un entrepreneur malgache disposant d’un fort ancrage dans le triangle laitier, sa région natale, la Laiterie Maminiaina collabore aujourd’hui avec 750 éleveurs, emploie une cinquantaine de collaborateurs dans son usine, et distribue ses produits à travers un réseau de 8 points de vente dans la Capitale et à Antsirabe.

Un programme consacré uniquement à l’humour. Après une longue année d’attente, le festival du rire « Jôkôsô » arrive enfin à sa troisième édition. Actuellement, les organisateurs peaufinent les dernières préparations. Pour cette année, l’évènement est programmé du 11 au 14 octobre prochain. Vu le succès des deux éditions précédentes, ce festival du rire s’annonce déjà cocasse et promet d’être convivial. Comme à l’accoutumée,  il y aura plusieurs  spectacles assurés par une brochette de comédiens dans différents endroits de la Capitale, entre autres IKM Antsahavola, Alliance française d’Antananarivo à Andavamamba, Kudéta Urban Club à Anosy. 

Les gangs ont essuyé un revers à Toamasina, à cause d'une action musclée de la FIP. Car s'ils n'ont pas laissé leur peau, ils ont été capturés vivants. Les faits.

 En deux mois, les attaques à main armée se sont multipliées dans les quartiers de Valpinson et d'Androranga à Toamasina. D'où la décision du procureur de Toamasina, en l'occurrence Vahiny Yvi Sandro de prendre le taureau par les cornes en vue d'y rétablir l'ordre, un pari qu'il s'est d'ailleurs fixé. Aussi, ordre fut donné à la Force d'intervention de la police ou FIP d'en finir avec les gangs qui y sévissent. Le soir du 10 juillet dernier donc, la FIP, qui fut encadrée par le commissaire Jules Rafaliarivo, a déclenché des chasses à l'homme. Cette opération policière a porté ses fruits. Elle s'est soldée par l'élimination de deux agresseurs répondant aux noms de Kaiser et Mika. Ces derniers tombaient sous les balles de la Police. Le prénommé Kaiser venait tout juste de purger une peine de prison. Mais cela ne l'a pas empêché de récidiver.

Le 9 décembre, les citoyens malgaches inscrits sur la liste électorale se rendront aux urnes, pour l’élection de leur Président de la République. En cas de deuxième tour, ils referont ce même trajet le 20 décembre. C’est à la suite du décret convoquant les électeurs adopté hier en Conseil de Gouvernement. Une convocation qui se veut du reste conforme aux dispositions constitutionnelles et légales en vigueur. En effet, entre hier 11 juillet 2023 et le 9 novembre 2023, date prévue pour le premier tour du scrutin, 121 jours se seront écoulées, alors que l’article 51 de la loi organique relative au régime général des élections et des référendums parle d’au moins quatre-vingt-dix jours avant la date du scrutin. 

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Editorial

  • Mission délicate
    Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) change de main. Le suspense sur celui ou celle qui va assurer le relais pour succéder à Sahondra Rabenarivo prend fin. Jean Louis Andriamifidy, magistrat de son état, a été nommé président du CSI par le Conseil des ministres du 19 avril. Il va tenir les rênes de cet organisme public ayant la haute charge de veiller à la bonne marche de la Nouvelle stratégie de la lutte contre la corruption à Madagasikara. Sahondra Rabenarivo, juriste de classe internationale, sortante de la célébrissime université privée américaine Harvard (School of law) – Cambridge, a été à la manette pendant 6 années, 2019 - 2025. Arrivée en fin de mandat, Sahondra Rabenarivo quitte la présidence du Comité après avoir milité, à bras-le-corps, contre ce fléau. C’est une citoyenne imprégnée de la conviction sur la nécessité de battre à plate couture la « bête »…

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