Politique

Plus d’une semaine après le naufrage d’un boutre à Soanierana- Ivongo, des langues commencent à se délier. 85 morts, c’est le bilan officiel de cet accident de M/S Francia qui, selon les autorités, possède une licence d’exploitation de transport de marchandises et non de personnes. Or, quand le drame survint dans la nuit de lundi 20 décembre dernier, 130 passagers, version officielle, se trouvaient à bord.
Point noir sur les travaux. La pluie aidant, la circulation sur la Route nationale 44 reliant Moramanga et Ambatondrazaka se complique depuis quelques jours. Pourtant une grande partie de cette nationale est en travaux et 40km sur la totalité ont déjà été bitumés. « C’est donc le reste, qui est en phase de terrassement, qui subit de plein fouet les impacts des averses récurrentes depuis ces quelques jours car il est évident qu’une route en phase de terrassement reste encore fragile face aux intempéries et c’est le cas de ces points noirs que les usagers de la RN44 doivent subir…
Une réponse à l’insécurité alimentaire, notamment en cette période de soudure. La Croix- rouge Malagasy (CRM) a récemment apporté une assistance alimentaire auprès de 1200 ménages dans la Commune de Behara, District d’Amboasary Sud, dans la Région d’Anôsy. Chaque ménage bénéficiaire a reçu un pack de vivres comprenant 30kg de riz, 2 kg de pois du cap, 2,5kg d’haricots et 3 litres d’huile. Cette ration peut assurer 15 jours d’alimentation pour éviter que ces personnes, déjà en détresse, ne retombent dans une situation d’insécurité alimentaire aigüe. « La Croix-rouge Malagasy s’efforce de distribuer des vivres aux personnes qui sont affectées…
À quelques heures de la fin de l’année, des observateurs mettent en garde face à la progression de la Covid. Au vu de la situation, certains assurent que des restrictions plus strictes "risquent d'être annoncées prochainement dans l'urgence" pour freiner le virus.Nombreux tirent la sonnette d'alarme pour les fêtes de fin d'année. Certains professionnels de santé ne sont pas rassurants, alors que la « 3e vague » de Covid-19 exerce une pression croissante sur les hôpitaux malgaches. De quoi laisser craindre un renforcement des mesures contraignantes dans les prochaines semaines ?La situation dans les hôpitaux malgaches commence à devenir préoccupante.…
« Ce mardi 28 décembre (hier), 49 kilos de lingots d’or ont été saisis à l’Aéroport International Prince Saïd Ibrahim (AIMPSI) ». L’information a été publiée par la Gendarmerie nationale des Comores hier dans le milieu de l’après-midi sur ses réseaux sociaux. « Trois personnes, dont deux de nationalité malagasy, ont été arrêtées », poursuit la courte brève de Gendarmerie nationale de l’île voisine de la Grande île. Une information qui a immédiatement fait parler à Madagascar.
Nouveau coup dur pour le Secrétaire d’Etat en charge de la Gendarmerie nationale, le Général de Corps d’Armée, Serge Gellé. En effet, ce dernier a été admis au bloc opératoire de l’hôpital militaire de Soavinandriana dans la matinée d’hier vers 9 heures afin de subir une opération chirurgicale. Le ministre de la Défense nationale, le Général Rakotonirina Léon Richard est venu rendre visite à son homologue avant son entrée au bloc opératoire.
Un franc – parler qui séduit ou qui dérange. De l’honnêteté, de l’intégrité et du patriotisme à revendre ! Autant de qualités qui définissent le Général Serge Gellé, actuel secrétaire d’Etat à la Gendarmerie nationale (SEG). Cet officier de la Gendarmerie mérite amplement d’être nommé homme politique de l’année 2021. Du haut de ses 57 ans, il faut dire que le Général Gellé n’a pas volé son statut actuel. Il a gravi tous les échelons avant d’occuper son poste. Il a débuté en tant que gendarme stagiaire à la brigade de Toamasina-ville avant d’intégrer l’Académie militaire d’Antsirabe où il faisait…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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