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Cette année, le Pôle anti-corruption ou PAC Antananarivo aura vraiment du pain sur la planche pour trancher sur d’autres importants dossiers sur des affaires de détournement de deniers publics. Des procès d’anciennes personnalités ou autres directeurs ministériels de l’ère H.Rajaonarimampianina,   sont donc attendus.
A commencer par l’affaire CNaPS !  Plusieurs dizaines de milliards d'ariary auraient été détournés entre 2010 et 2018, Bien qu’elle incrimine principalement le président de la Fédération malgache de football, Raoul Rabekoto, actuellement en cavale, et non moins l'ex-directeur général de la CNAPS, d’autres anciens responsables de cette entité ont été entraînés également dans celle-ci.  Le PAC aura donc à juger les 4 autres personnes qui avaient été placées sous mandat de dépôt tandis que 3 autres le sont sous contrôle judiciaire. Parmi ces dernières, un ancien Premier ministre qui est également visé dans cette affaire de malversations.  Les incriminés doivent répondre de leurs actes sur des accusations de favoritisme, abus de fonction, faux et usage de faux et détournement de deniers publics.
L’affaire concerne la construction d'un hôtel cinq étoiles avec héliport dans le centre de loisirs qui jouxte le stade de Vontovorona. Une construction commandée par la Caisse nationale de prévoyance sociale qui est aussi propriétaire de la CNaPS sport, club de foot malagasy. Près de 4 millions d'euros ont été débloqués par cet établissement public, qui gère la sécurité sociale des salariés malagasy, pour la construction de cet hôtel. Selon une expertise, moins de 50% des travaux ont été achevés, alors que l'entreprise a presque été intégralement payée, du moins selon le BIANCO. 
De l’ex-DG de l’ORTM à des anciens responsables du MEN
A la suite d’une plainte du MCC, Johary Ravoajanahary, ce désormais ex- directeur général de l’Office de la radio et la télévision nationale (ORTM), avait été placé sous mandat de dépôt vers fin octobre dernier, et bien entendu après son déferrement au PAC. Dans le fond de l’affaire, une somme aurait été promise par une institution assurant l’élection, sur la rénovation du plateau télévisé, durant le face-à-face de deux candidats pour la course à la magistrature suprême. On reproche donc à l’ancien DG d’avoir détourné une somme d’argent dont le montant n’a pas été précisé, avec l’initiative de la décaisser à partir du compte de l’ORTM. En gros, il est poursuivi pour sa gestion de l’ORTM durant la période de la propagande présidentielle de 2018.
Mais c’est plutôt le ministère de l’Education nationale qui devra focaliser le plus les esprits avec l’incarcération provisoire vers fin décembre 2020 de six personnes pour le détournement de 1,2 milliard Ar. Initialement, ils étaient 22 à être déférés au PAC. Finalement, seuls six ont atterri en prison, dans l’attente d’être jugés. Il s’agit de l’ancien directeur de l’Education préscolaire et de l’alphabétisation, le responsable du suivi-évaluation, le chef comptable, l’ancienne PRMP, deux fournisseurs et le soumissionnaire.  L’affaire remonte en 2018, sans toutefois préciser la date, où un soupçon de détournement de 4 820 880 000 ariary relatif au marché de ravitaillement en légumes de 86 écoles primaires publiques dans la Région d’Analamanga, de Vakinankaratra et d’Atsinanana a été soulevé. Après une enquête menée par le service de l’Inspection générale de l’Etat (IGE), un montant de 1 277 280 000 ariary a été effectivement détourné. Une livraison fictive à hauteur de 316 680 000 ariary pour la première commande et 960 600 000 ariary pour la deuxième commande a été enregistrée alors que l’écriture comptable a attesté un service fait moyennant l’usage de faux document.
Pas de répit pour l’ex—conseillère de H. Rajaonarimampianina
S’il existe une personne qui a fait couler tant d’encre durant le régime de l’ex-président Rajaonarimampianina, c’est bien Claudine Marie Odette Razaimamonjy, lors de l’affaire plutôt connue sous l’appellation « Affaire Claudine ». Tout au long de 2020, elle a plusieurs fois comparu à la Cour criminelle du PAC pour de multiples incriminations de détournement de deniers publics, de favoritisme, de
corruption active ou encore de faux en écriture publique, etc. L’affaire Ambohimahamasina arrive en tête et elle constitue l’une des
grandes poursuites sur cette femme d’affaires et non moins
propriétaire de l’hôtel A&C à Ivato. Mais ce n’est qu’une goutte ayant
fait déborder le vase. Avec un récent dossier, l’ex-conseillère devra être rejugée encore, probablement en mars 2021.
Normalement, Mbola Rajaonah, alias Mbola Tafaray, également ex-conseiller spécial de Rajaonarimampianina, devra être jugé dans le courant de cette année. Placés sous MD depuis février 2019 à Tsiafahy, il aura à répondre encore de ses actes pour de multiples accusations liées au blanchiment de capitaux, de fraudes douanières, mais aussi de falsification de signatures, etc.
Franck Roland

 




2021, année de relance

Publié le dimanche, 03 janvier 2021

Une année perdue sinon partie ! Une autre qui arrive ! En 2019, le régime Orange venait tout juste de prendre place. Le verdict sans appel du peuple en décembre 2018, propulse au sommet de l’Etat un jeune visionnaire et « révolutionnaire », Rajoelina Andry Nirina. La première année de son mandat (2019) servit à asseoir la stabilité et la solidité de l’assise du pouvoir. L’occasion de jeter de façon formelle les bases du développement. Aussi, le Chef de l’Etat mit à profit l’entame de son mandat à la mise en œuvre des fondements rationnels du Programme pour l’émergence du pays. Fidèle à son principe et toujours à cheval à sa méthode de travail dictée par la nécessité urgente d’actes concrets, tout est urgent dans le pays, Rajoelina Andry enclenche la vitesse supérieure.  Cependant, il avait dû prendre en mal sa patience car certains membres du Gouvernements ne parvinrent pas à suivre le rythme comme il l’entendait. Ainsi,  le leader Orange se trouvait, en 2019, dans l’obligation de « fouetter », mieux, taper sur la table pour que les esprits se réveillent et que les choses avancent.
2020 arriva ! Les espoirs furent permis. Les tenants du pouvoir sous la houlette du Président Rajoelina et son Premier ministre Ntsay comptèrent faire une bouchée double. On investira de gros   efforts tant physiques, intellectuels que matériels. Le tout pour le décollage rapide de l’économie nationale et ce, pour atteindre dans les meilleurs délais les premiers jalons des objectifs fixés par l’Initiative pour l’Emergence de Madagasikara (IEM) condensés dans le Velirano.
Coup de massue ! Au beau milieu du troisième mois de l’année et en pleine préparation pour le décollage, un étrange « hôte » s’invite à la maison : la Covid-19. Un intrus qui, au final, porte malheur, tel un oiseau de mauvais augure ! L’année 2020 fut une année de la perdition. Des emplois s’évanouissent. La pauvreté s’intensifie. Le Kere dans le Sud redouble de nuisance. Le pays s’enlise. Pas pour autant que le mal a tout détruit. Les dirigeants réussissent, après tout, à tenir tête. Des chantiers ont pu être actés. Malgré tout cela, il y a eu des réalisations. Le rendez-vous est fixé pour 2021 !
Et voilà 2021, l’année de relance pointe son nez ! Le Chef de l’Etat dans son discours de vœux à la Nation le dernier jour de l’année, a annoncé nettement et fermement les couleurs. Des perspectives très encourageantes et audacieuses. Déjà à l’endroit du personnel de la Présidence, durant une cérémonie « familiale », au Palais d’Ambohitsorohitra, à l’occasion des fêtes de fin d’année, de Noël et du Nouvel an, Rajoelina Andry aux côtés de son épouse a anticipé sur les grands chantiers qui devront avoir lieu en 2021. Les dégâts collatéraux causés par la crise sanitaire due à la pandémie de Covid-19 nous obligent à nous tous de fournir des efforts colossaux. Il faudra retrousser les manches. Les membres du Gouvernement, du moins ceux ou celles qui seront appelés à continuer le chemin avec le Chef, se doivent de faire preuve de compétence, d’efficacité et de célérité.
L’année 2021, année de relance de l’économie nationale, promet. La volonté politique de nos dirigeants et la mobilisation générale garantissent le succès.


Dans son discours du 31 décembre, le Président de la République Andry Rajoelina a tenté de remobiliser les dirigeants et de rassurer la population sur la réalisation des engagements présidentiels.  « Amis Malagasy. L’année 2021 sera une année de travail, de reconstruction et de refondation », a lancé le Chef de l’Etat durant son allocution. « Nous travaillerons de jour comme de nuit pour atteindre nos objectifs (…) à savoir le développement de Madagascar », dit-il. L’an dernier, la crise sanitaire engendrée par la Covid-19 a retardé le début de la réalisation des grands chantiers, consent le Chef de l’Etat. S’en est suivie la malnutrition qui malmène la population dans le Sud. Cette année 2021, le Président compte donc mettre les bouchées doubles pour rattraper le temps perdu. Des projets majeurs débuteront cette année, à commencer notamment par la réhabilitation et la construction des routes nationales pour permettre le développement local, la construction de la nouvelle ville Tana-Masoandro, le désengorgement de la Capitale, l’amélioration des transports en commun, le bouclage du projet « Miami » à Toamasina, le début de la construction de l’autoroute Antananarivo – Toamasina, l’amélioration du système d’adduction d’eau et des constructions d’infrastructures publiques. Des projets qui se veulent résolument audacieux.
Le message est clair. Il faudra retrousser ses manches. Les membres du Gouvernement, du moins ceux qui resteront à la suite de leur prochaine évaluation, devront faire montre de compétence, d’efficacité et de célérité. Mais le message est également adressé aux différentes autorités jusqu’au niveau des Fokontany. « La feuille de route est claire pour réaliser ensemble les visions inscrites dans le Velirano », a dit le Président au cours d’une allocution qui a été diffusée sur la chaine publique. « Nous allons réaliser les grands projets encore jamais réalisés à Madagascar pour changer drastiquement l’histoire du pays. Pour les générations futures, nous allons réaliser des projets porteurs d’emploi qui mèneront vers le vrai développement. Ce ne sera pas facile mais nous en faisons un défi que nous devrons réussir.  (…) Le changement de mentalité et de manière de travailler sont les seuls chemins pour arriver au développement », rajoute-t-il. Aux Malagasy, le Chef de l ‘Etat dit que l’objectif commun sera de chercher la manière d’obtenir de meilleurs résultats rapidement, des résultats quantifiables et qui impactent directement la population et la vie du pays en général.
La rédaction

En hausse par rapport aux chiffres de l’année dernière. Le centre Vonjy, implanté dans l’enceinte du centre hospitalier universitaire de gynécologie obstétrique de Befelatanana (CHU GOB), a enregistré plus de 900 cas de viol en 2020, contre 843 en 2019. Ce centre de prise en charge intégrée accueille des victimes de viol, que ce soit des mineurs ou des adultes, provenant de la ville d’Antananarivo et périphéries. Toutefois, ce chiffre augmente durant les périodes festives, à l’exemple de la fête de l’indépendance ou celles de fin d’année, durant lesquelles les veillées et bals se multiplient. Rien que dans la matinée du 29 décembre, le centre a reçu 4 cas de viol, dont une fillette de 4 ans parmi les victimes. « D’après sa mère, sa fille jouait dans les parages pendant qu’elle était sur le champ en train de cultiver. Elle a ensuite remarqué que sa fille n’y était plus mais après quelques minutes de recherche, la mère l’a trouvée ailleurs, inconsciente avec des traces d’étranglement. Elle suspecte un homme du voisinage, qui est déjà en conflit avec la communauté », relate une assistante sociale qui a accueilli la victime. Celle-ci y a bénéficié d’une prise en charge complète et gratuite, dont les consultations médicales, l’appui pour la plainte et poursuite judiciaire ou encore l’accompagnement psychologique et social.
Baisse de consultations durant le confinement
70. Tel est le nombre moyen des cas reçus et traités chaque mois auprès du centre Vonjy Befelatanana. Mais les chiffres ont nettement baissé durant les périodes de confinement. Les cas se chiffrent respectivement à 32 en avril, 55 en mai, 59 en juin, 42 en juillet et 52 en août, selon les informations recueillies sur place. Cette baisse s’explique surtout par l’absence totale ou partielle des taxis-be durant cette période, sans parler de la crainte des habitants de consulter les centres hospitaliers à cause du coronavirus. Au lieu des dénonciations et des poursuites judiciaires, les cas de viol ont été conclus avec des arrangements et ce à tous les niveaux, que ce soit entre les familles de la victime et de l’auteur, dans le Fokontany et même auprès des Forces de l’ordre et du Tribunal. « Les arrangements en cas de violences sexuelles persistent dans la société. Cela nuit gravement au respect des droits et de la dignité des victimes, surtout les mineurs qui vivent avec des séquelles à vie », se désole un responsable auprès du CHU GOB. Effectivement, certaines familles préfèrent recevoir une somme conséquente et ne pas porter plainte que de porter l’affaire devant la Justice et se plier aux lourdes procédures. Toutefois, le ministère de la Justice a souligné, lors de l’annonce de la mise en place de la chaîne pénale anti- violences basées sur le genre (CPA VBG) que toute personne déférée au Parquet pour des infractions y afférentes doit automatiquement être placée sous mandat de dépôt, en cas de charges suffisantes, et que toute demande de liberté provisoire s’avère irrecevable…
Patricia Ramavonirina

La nouvelle est tombée comme un couperet. Un choc qui a ébranlé le monde du sport à Madagascar du fait que le président de la Confédération africaine de football (CAF) a été sanctionné par la chambre de jugement de la Commission d'éthique indépendante de la FIFA. Il a été interdit de toute activité relative au football (administrative, sportive et autre) au niveau national et à celui international pour une durée de cinq ans et à payer une amende s'élevant à 185 000 euros. Un coup bien préparé dont l'unique but n'est autre que d'écarter Ahmad de la course aux prochaines élections de l'instance panafricaine qui auront lieu à Rabat le 12 mars 2021, au lieu de la Mauritanie.

Ils nous ont quittés

Publié le mercredi, 30 décembre 2020

2020 a été une année sombre pour la musique traditionnelle malagasy, autant que les Eglises. En effet, des grandes personnalités ayant marqué la scène musicale et la foi chrétienne sont parties pour rejoindre l'au-delà.

 

Fin de carrière pour le tristement célèbre Lama

En mai dernier, l’élimination, après 20 ans de cavale, du tristement célèbre Norbert Ramandiamanana, alias Lama, a provoqué un séisme dans l’industrie du kidnapping d’hommes d’affaires indopakistanais de la Capitale. Sa neutralisation, qui a succédé à la libération d’Anil Karim, son dernier otage, a valu aux éléments de la section de recherche de la Gendarmerie de Fiadanana d’être primés. Les 200 millions d’ariary promis sont allés donc dans leurs poches. Car les choses se sont accélérées après la libération de l’otage.D’après le commandant de la Circonscription interrégionale de la Gendarmerie nationale d’Antananarivo, le Général Andry Razafindrazaka, il a fallu cette longue période pour que les enquêteurs réussissent à traquer un bras droit de Lama après avoir interpellé une vingtaine de personnes censées être dans son orbite.

Davantage médiatisés. Les cas de violences à l’égard des femmes et des enfants, notamment les viols et agressions sexuelles, ont été largement dénoncés à la fois sur les réseaux sociaux et dans les médias cette année 2020. L’affaire Tahisy, la jeune femme qui a succombé avec son bébé suite à son accouchement en février dernier, constitue le début de toute une série de cas de violences publiés notamment sur Facebook. Les internautes ont fait appel à la Première dame Mialy Rajoelina pour rendre justice à la victime ainsi que les autres, dont les cas sont peu médiatisés.

Comme tout autre pays du monde, Madagascar a aussi sombré durant la pandémie de Covid-19. L’annonce des trois premiers cas dans la soirée du 19 mars 2020 a bouleversé la vie sociale du pays. A la date du 25 décembre dernier, la Grande île a recensé 17 714 cas positifs dont 17 228 patients guéris. Malheureusement, le syndrome de détresse respiratoire aiguë a emporté 261 porteurs du virus ayant développé des formes graves de la maladie. A ce jour, le pays comptabilise encore 225 individus infectés qui sont en cours de traitement. Pour Madagascar, la mise à disposition des tests PCR à tous les cas suspects et les cas contacts, même avant la découverte du premier cas positif, s’est avérée une réussite. A cela s’ajoute le dépistage massif de tous les passagers ayant voyagé lors des vols s’étalant du 11 vers la fin du mois de mars.

 

Que nenni !

Publié le mercredi, 30 décembre 2020

Quelle désolation ! Année blanche. Année noire. A chacun sa couleur ! Et à tous, les malheurs ! Pauvre planète Terre ! Il ne reste plus quelques petites heures et l'année 2020 termine sa course. Enfin, l'année arrive à son terme. Mais quel parcours nous a-t-elle réservés ! Au tout début, le jour du Nouvel An, le 1er janvier, la nouvelle année 2020 nourrit beaucoup d'espoirs. Des attentes légitimes ! De l'espérance dans tous les domaines ! 2020, l'année des maxima, une note maximale de 20 sur 20 ravive les espoirs. En France, un candidat ou une candidate qui aura obtenu la note maximale de 20/20 au Bac sera reçue d'office à l'une des Ecoles préparatoires pour l'admission aux Grandes Ecoles de son choix. Il ou elle n'a pas besoin de subir les tests de présélection réservés au commun des mortels.

 

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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