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Le programme de master en « Sustainable Business Management », lancé en collaboration entre l'Université des Mascareignes (UDM) et l'Institut Supérieur de la Communication, des Affaires et du Management (ISCAM) de Madagascar, a sorti la semaine dernière sa deuxième promotion nommée « Zina ». Cette sortie de promotion marque une avancée significative pour la formation de professionnels capables de gérer les entreprises de manière durable.

Après le succès éclatant du spectacle « Le Roi Lion », Okalou Event prépare une nouvelle aventure scénique destinée à émerveiller le public et fans du monde de Disney à Antananarivo. Le prochain spectacle féerique est intitulé « Aladdin ». Cette comédie musicale, inspirée des célèbres contes des Mille et Une Nuits ainsi que de l'animé emblématique de Disney, promet de plonger les spectateurs dans un univers enchanteur mêlant danse, musique et péripéties, pour un spectacle mémorable. Le rendez-vous aura lieu le 2 novembre prochain au Centre de conférence international (CCI), sis à Ivato.

Les services publics essentiels vacillent : enseignants en arrêt de travail, internes hospitaliers au « service zéro », agents pénitentiaires refusant les nouveaux entrants, et le personnel de la JIRAMA exigeant le départ du directeur-général — autant de fronts qui posent au pouvoir de transition l’impératif de résultats rapides et visibles.

Le personnel de la JIRAMA a durci son mouvement en réclamant ouvertement le départ du directeur général Ron Weiss, organisant sit-in et actions de protestation qui perturbent les opérations et alimentent l’inquiétude des usagers confrontés à des coupures récurrentes.

 

A deux semaines de l'élection du président de l'Assemblée nationale, les députés semblent avoir oublié un élément fondamental : la complétion du Bureau permanent. Ce corps censé diriger les travaux de la Chambre basse s'avère être une pomme de discorde, repoussant sine die son installation officielle. Initialement prévue la semaine dernière, l'élection des membres du Bureau permanent a été reportée en raison de prétendues "mesures d'organisation interne". La réalité, cependant, serait bien plus complexe.

Impôt - Le SIM plaide pour l’équité fiscale

Publié le dimanche, 26 octobre 2025

Le Syndicat des industries de Madagascar (SIM) tire la sonnette d’alarme sur la nécessité d’une fiscalité plus juste et mieux adaptée à la réalité des producteurs locaux. Selon son vice-président, Rivo Andriamanalina, les industriels malagasy ne redoutent pas la concurrence étrangère, mais réclament des « règles équitables » pour pouvoir évoluer sur un terrain de jeu équilibré. Il souligne que lorsque les importations bénéficient des avantages fiscaux ou douaniers, « c’est toute la chaîne de valeur nationale qui s’affaiblit ». Produire à Madagascar, explique-t-il, constitue déjà un acte de patriotisme économique, mais cet engagement ne doit pas devenir un handicap pour les entreprises locales. Le secteur industriel, qui représente environ 6 % du PIB, reste freiné par des contraintes structurelles comme les infrastructures énergétiques insuffisantes, coûts logistiques élevés, accès difficile au financement et fiscalité jugée trop lourde. Ces facteurs, selon le SIM, affaiblissent la compétitivité des entreprises nationales face aux produits importés, souvent moins taxés. Plusieurs acteurs économiques partagent cet avis, estimant qu’une réforme s’impose pour rendre le système plus incitatif et mieux orienté vers la création d’emplois.

Transformation locale

Pour les membres du SIM, la mise en place d’une fiscalité adaptée serait un levier essentiel pour stimuler la production locale et renforcer la transformation sur place. L’organisation plaide pour une politique économique plus cohérente, qui valorise les ressources du pays et encourage la création de valeur ajoutée à Madagascar. « Quand les importations sont favorisées, c’est l’emploi local qui trinque », avertit un industriel du secteur agroalimentaire. Le syndicat propose ainsi de revoir les taxes appliquées aux produits importés lorsque des alternatives locales existent, et d’alléger les charges sociales et fiscales des entreprises qui produisent sur le territoire. De plus, le SIM appelle à une meilleure application des règles d’origine dans le cadre des accords commerciaux régionaux, comme la ZLECAF ou la SADC. Selon Rivo Andriamanalina, ces ajustements contribueraient à redynamiser l’industrie et à renforcer la souveraineté économique nationale. Il estime qu’« une industrie forte est un gage de stabilité sociale et de croissance durable ». Pour les industriels, la balle est désormais dans le camp des autorités, appelées à agir vite pour éviter un affaiblissement durable du tissu productif national.

 

La une du 27 octobre 2025

Publié le dimanche, 26 octobre 2025

La "Grande muette" entend  conjuguer rigueur intérieure et implication constructive dans la vie de la nation. Le chef d'Etat-major des armées, le Général Pikulas Démosthène, a adressé jeudi un message sans équivoque, marquant un tournant dans la discipline au sein des Forces armées. L'ère de l'indulgence est officiellement révolue, a martelé le haut gradé, annonçant des mesures immédiates et fermes à l'encontre de tout militaire coupable de "dérives". "Il n'y aura plus aucune tolérance pour ceux qui font preuve d'indiscipline", a déclaré le Général Démosthène avec une solennité palpable. "Toute faute fera désormais l'objet de sanctions immédiates." Cette nouvelle ligne de conduite vise à endiguer tout comportement susceptible de porter atteinte à l'image, à la cohésion ou à la mission des Forces armées. Au cœur de cette reprise en main disciplinaire, une règle fondamentale a été érigée en principe inaliénable : aucun militaire ne pourra désormais s'exprimer publiquement, sous quelque forme que ce soit, sans avoir obtenu l'autorisation préalable de sa hiérarchie. Cette consigne vise à centraliser la communication institutionnelle. Le Général Démosthène a rappelé que les directives relatives aux Forces armées émanaient exclusivement de l'Etat-major basé à Andohalo, réaffirmant ainsi la chaîne de commandement et l'autorité centrale.

Perquisitions controversées 

Parallèlement à ce renforcement de la discipline interne, la question des perquisitions menées en dehors du cadre légal au domicile des citoyens par des militaires inquiètent également. En effet, de nombreux citoyens ont rapporté des fouilles et des saisies de biens par les Forces de l'ordre, incluant le vol présumé d'objets de valeur tels que téléphones portables, ordinateurs, et même des jouets d'enfants. Dans d'autres cas, le mandat ne remplit pas les conditions requises pour la perquisition dans les locaux de hautes personnalités. Ces agissements devraient faire l'objet d'un suivi attentif de la part de la hiérarchie militaire.

D'ailleurs, une communication émanant de la Haute Cour constitutionnelle de Madagascar a soulevé des interrogations quant à la légalité d'une perquisition menée récemment. Selon la haute juridiction, l'opération, qui a conduit à la saisie d'un fusil AK 47 utilisé par des militaires protégeant un haut conseiller, aurait été effectuée "sans mandat de perquisition délivré par une autorité judiciaire compétente". La  HCC  a confirmé qu'une descente, impliquant des éléments des Forces armées accompagnés d'un huissier  avait bien eu lieu. Cependant, le manque de document légal de perquisition soulève des questions juridiques sérieuses quant à la validité des actions entreprises et à leur conformité avec les procédures en vigueur. L'affaire met en lumière la nécessité d'une stricte observance des règles entourant les investigations judiciaires afin de garantir le respect des droits fondamentaux.

Nikki Razaf

Sitôt installé… !

Publié le dimanche, 26 octobre 2025

Sitôt installé, sitôt au travail ! Il n’y a pas de temps à perdre, les nouveaux membres du Gouvernement retroussent immédiatement les manches et se mettent en chantiers. Ils n’ont pas de marge de manœuvre pour apprendre. Censés être opérationnels dans l’immédiat, on les attend sans palabre à pied d’œuvre.

Au-delà des débats souvent houleux tournant autour de la nomination du Premier ministre, le chef du Gouvernement Herintsalama Rajaonarivelo, les uns jubilent, d’autres doutent. Auparavant, lors de la mise en place du numéro un de l’Etat, le colonel Randrianirina Mickael, le Président de la Refondation de la République, les avis créent des vagues. Le même phénomène se produisait. Certains espèrent un lendemain meilleur, d’autres rejettent. La Haute Cour constitutionnelle a tranché dans le vif. Le temps presse, il faut agir vite et on verra !

Maintenant, place aux actes ! Les observateurs espèrent bien que les nouveaux membres de l’Exécutif au sein du Gouvernement aient l’esprit du discernement et sachent faire la différence entre les « vrais problèmes urgents » et les questions subsidiaires qui peuvent être traitées selon le calendrier établi. En effet, les actions liées à la chasse aux sorcières, aux règlements de compte et à des actes de vengeance, de quelque nature que ce soit, ne devraient pas entrer dans le domaine des urgences. Dans un contexte particulier qui est le nôtre où le risque de tension sociale éclaterait à la moindre contrariété, le montage d’une équipe gouvernementale s’avère des plus difficiles.

Les vrais problèmes urgents qui attendent le nouveau Gouvernement se résument à toutes les questions se rapportant à l’amélioration des conditions de vie de la population, des travailleurs et des opérateurs économiques. Les solutions qui aboutiront au dénouement vers la livraison  régulière et continue de l’électricité, de telle sorte que les unités de production allant des ateliers aux grandes chaînes industrielles puissent fonctionner normalement, et que l’approvisionnement en eau dans chaque foyer abonné, des bornes-fontaines de quartier et également dans les unités de travail devant utiliser régulièrement de l’eau n’en souffre pas. La régularisation du fonctionnement de l’électricité et de l’eau dans tout Madagasikara est un défi et un enjeu délicats de taille colossale. Il s’agit là d’un test de grandeur nature auquel le Gouvernement n’a pas le droit d’échouer.

Le redémarrage de l’année scolaire, notamment pour les écoles, les collèges et les lycées publics après ces quelques semaines de débrayage sinon de … récréation s’impose comme l’une des urgences nationales. Le nouveau titulaire du département de l’Education nationale aura du pain sur la planche. Il va falloir engager un dialogue constructif avec les professionnels de l’éducation publique. La problématique de l’éducation à Madagasikara résulte d’un profond malaise qui ne date pas d’aujourd’hui ni d’hier. Il va falloir aller par étape sans se précipiter. La première mesure qu’il faille adopter urgemment est le retour des élèves en classe.

Le redémarrage du fonctionnement des hôpitaux ne peut pas attendre aussi longtemps. Ici également, le dialogue franc et sans détour avec les internes qualifiants doit être pris au sérieux. Vient ensuite le cas des agents pénitenciers. Rien que par la concertation autour d’une table qui vaille la peine d’être considérée. Nombreux sont les problèmes urgents qui méritent l’attention du Gouvernement.

Sitôt installé, sitôt au travail.

Ndrianaivo

Actu-brèves

Publié le dimanche, 26 octobre 2025

Le Premier ministre rencontre  les acteurs de la société civile. Dans un geste marquant la volonté d'un dialogue accru et d'une concertation approfondie, le Premier ministre  Rajaonarivelo Herintsalama Andriamasy, a tenu  sa première rencontre officielle avec les représentants des organisations de la société civile malgache. L'entretien, déroulé au  Palais de Mahazoarivo hier, s'est axé sur les enjeux cruciaux de l'organisation des affaires nationales, démontrant ainsi une volonté commune de construire un avenir solide pour Madagascar. Lors de ces échanges, le chef du Gouvernement a souligné avec insistance l'importance capitale de l'écoute mutuelle. Il a accordé une attention particulière aux aspirations et aux propositions émanant de la société civile, considérées comme des éléments fondamentaux dans l'actuelle phase de discussions politiques que traverse le pays. Ces propositions sont attendues pour éclairer la voie et définir une feuille de route claire et consensuelle, particulièrement en cette période de transition qui demande l'engagement de tous. L'objectif partagé est de jeter les bases d'une gouvernance plus inclusive et d'assurer que les décisions prises soient le reflet des besoins et des attentes de l'ensemble de la population malgache. Il reste désormais à voir comment ces échanges se traduiront en actions concrètes.

 

Mission de la SADC à Madagascar : cap sur la rédaction du rapport pour la Troïka. Après plusieurs jours d’entretien avec les principaux acteurs de la vie politique et sociale malgache, la mission d’enquête de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) entame désormais une étape clé : la rédaction d’un rapport destiné au président de la Troïka. Ce document devra synthétiser les observations recueillies et proposer des recommandations pour renforcer la stabilité institutionnelle et la consolidation de la paix à Madagascar. Lors de leur séjour, les émissaires régionaux ont rencontré le Président de la refondation de la République, les anciens chefs d’Etat, le président de l’Assemblée nationale, le président de la Haute Cour constitutionnelle, ainsi que des représentants diplomatiques des pays membres de la SADC. La société civile, les responsables sécuritaires et le mouvement Gen Z ont également pris part aux échanges, témoignant de la diversité des contributions. La Présidence de la refondation a pour sa part réaffirmé son engagement à mettre en œuvre des projets répondant aux attentes de la population, dans une perspective de justice et de développement durable. Le rapport attendu par la Troïka devrait ainsi marquer une nouvelle étape dans la coopération entre Madagascar et la SADC, tournée vers la stabilité, la gouvernance et la confiance renouvelée entre les institutions et les citoyens.

 

Réouverture du Bazar be d'Antsiranana. Le maire Jean Luc Djaovojozara a officiellement repris ses fonctions à la tête de la Commune urbaine d’Antsiranana vendredi dernier, à la suite de la cérémonie de passation de service avec Edmond Tina, président de la délégation spéciale sortante. Dans son discours, le maire a indiqué qu'« Antsiranana doit redevenir une vitrine du Nord »,  devant un parterre d’autorités locales, de représentants de la société civile et de simples citoyens venus assister à cet instant historique. Parmi les premières annonces marquantes  figure la réouverture imminente du marché central, récemment rénové après plusieurs mois de travaux. Fer de lance du commerce local, ce marché modernisé offrira désormais de meilleures conditions d’hygiène, de sécurité et de confort aux commerçants comme aux consommateurs. Le maire Djaovojozara souhaite faire de cette réouverture un moment festif, qu’il présente comme un véritable « cadeau de Noël » pour tous les habitants  symbolisant ainsi la renaissance économique et sociale d’une ville en pleine mutation.

 

Une nouvelle génération d’élèves malagasy s’apprête à quitter le pays pour poursuivre ses études supérieures en Turquie. Cette année, 23 élèves de l’Ecole internationale Maarif bénéficieront d’une bourse d’études, leur ouvrant les portes des universités turques. Parmi eux, six sont titulaires d’une bourse YTB (accordée par l’Etat turc) et dix-sept autres bénéficient de la bourse Maarif. Le départ du groupe est prévu pour le mardi 28 octobre 2025.

 

Les deux bourses YTB et Maarif ont un même objectif : ouvrir les horizons des jeunes malagasy. Les bourses YTB (Türkiye Burslari) sont offertes par le Gouvernement turc à des étudiants étrangers dans le cadre d’un programme international. Chaque année, plus d’une centaine d’élèves malagasy en profitent. Ce dispositif complet prend en charge les frais de scolarité, le logement, le billet d’avion aller-retour, l’assurance santé et même une allocation mensuelle. Les inscriptions se font en ligne chaque mois de janvier, avant une sélection rigoureuse menée par l’ambassade de Turquie.

La bourse Maarif est, quant à elle, attribuée par la Fondation internationale Maarif de Turquie, qui supervise le réseau d’écoles Maarif implantées dans plusieurs pays, dont Madagascar. Cette bourse permet aux meilleurs élèves de l’établissement d’accéder à des formations gratuites dans des universités turques partenaires. Les frais liés à l’hébergement, au transport aérien et à l’argent de poche restent à la charge de leurs familles.

 

Une école internationale, deux systèmes éducatifs

Installée à Antananarivo, l’Ecole internationale Maarif est la première école publique turque ouverte à Madagascar. Elle offre une double formation, notamment en malagasy et en français, permettant aux élèves d’obtenir à la fois le baccalauréat malagasy et le baccalauréat français. « L’Ecole Maarif fait partie de la Fondation Maarif, créée sous la tutelle du Président Erdogan. Elle accueille des élèves de diverses nationalités : malienne, guinéenne, pakistanaise, chinoise, coréenne, arabe et malagasy, dans un environnement laïque et multiculturel », relate Ramanantsoa Fanomezana, directeur général de l’établissement.

L’Ecole Maarif renforce cette année son orientation vers le système français, offrant aux élèves le choix entre plusieurs spécialités comme les mathématiques, la physique-chimie, ou encore la nouvelle filière STMG (Sciences et technologies du management et de la gestion).

Depuis le lancement du partenariat, les premiers boursiers Maarif ont rejoint la Turquie en 2023, ouvrant la voie à une coopération éducative durable. En 2024, douze nouveaux élèves ont pris le relais, et la promotion 2025 confirme cette dynamique ascendante.

Parmi les nouveaux boursiers, Karen Rasoanaivo, bachelière de la série A2, intégrera l’université de Sakarya où elle étudiera la science politique. « Mon choix s’explique par la situation actuelle qui prévaut à Madagascar. La science politique aide à comprendre les blocages du développement et à renforcer nos institutions », confie-t-elle avec conviction.

A travers les programmes YTB et Maarif, la Turquie consolide ses liens éducatifs et culturels avec Madagascar. Ces bourses offrent aux jeunes talents malagasy une chance unique de se former à l’international, dans un environnement académique dynamique et reconnu. Pour l’Ecole Maarif internationale, comme pour la Fondation Maarif, investir dans la jeunesse, c’est investir dans l’avenir et les 23 nouveaux boursiers de l’année 2025 en sont la preuve vivante.

E.F.

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Editorial

  • Mieux … !
    Sauf contre temps, le Premier ministre, chef du Gouvernement, Herintsalama Andriamasy Rajaonarivelo va présenter le programme du Gouvernement à l’Assemblée nationale ce mardi 18 novembre 2025. Il s’agit d’un exercice « rituel » dicté par la Constitution. En effet, en vertu de l’Art. 99 de la Loi fondamentale comme suit : « Dans les trente jours de sa nomination, le Premier ministre présente son programme de mise en œuvre de la Politique générale de l’Etat au Parlement qui peut émettre des suggestions. » Ainsi donc, c’est une obligation constitutionnelle au cours de laquelle l’Exécutif se plie devant les représentants du peuple et se donne de tous les efforts afin que les concitoyens soient à la première loge de ce que le Gouvernement compte entreprendre pour assurer et offrir le maximum d’opportunités à la Refondation de la République Malagasy.

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